Camille Léandres âge. On me donne 17 ans mais en réalité j'en ai 586. date et lieu de naissance.le 8 août en Auvergne, France. nationalité. Française nom du sire. Maximilien date de l'étreinte.Hiver de l’an de grâce 1441 statut. Ancienne discipline. Domination ~ Niv. 5: Possession état civil. célibataire lieu d'habitation. un appartement dans le district métier. musicienne étiquette qui vous est collé. Je suis celle qui fascine tous les vampires qui m'ont un jour connu ou ont croisé mon chemin, personne n'arrive à me détester, on me pardonne tout, même les pires trahisons. Néanmoins, je porte une réputation de cœur d'artichaut qui s'entiche facilement d'un humain et possède la malheureuse habitude de transformer ceux dont je m'entiche

traits de caractère.

« Je suis une femme adorable, à qui on pardonne tout »

Que suis-je réellement hormis cette douce femme, au regard tendre et passionnée, qui tombe si facilement amoureuse d’un homme mortel ou non ? Pour commencer simplement, je me décrirais comme étant une femme, dans tout ce que cela implique d’archaïque dans la pensée occidentale, où l’égalité des sexes est si récente. Et j’ajouterais une femme noble, dont la principale occupation est de séduire et plaire à tous, petit reste de ma noblesse familiale. Je représente parfaitement la dame noble du XVIème siècle, époque où la frivolité commence à se répandre dans les Cour royale et Impériale de la Vieille Europe. Et ce qui aujourd’hui fait de moi une ingénue, totalement romantique, bien entendu. Je suis donc la grâce même, l’élégance féminine dans la tenue que j’arbore ou dans mes manières, dégageant un quelque chose d’angélique et de parfait à chaque battement de cil qui méduse l’entourage et fait qu’on me remarque instantanément. Ma simple présence suffit à attirer les regards conquis. J’ai ce charme naturel et instinctif qui autrefois était la marque de la féminité et qui me rend si désirable aux yeux des autres. Et comme toute femme, j’ai un côté mystérieux derrière mes doux regard passionné et tendre, un quelque chose qu’on aimerait découvrir mais qu’on ne peut deviner. J’accentue cela par ma réserve naturelle. Je suis d’une époque où les femmes ne parlaient point sans y être invitées, j’ai longtemps gardé cette réserve soumise, mais aujourd’hui j’en joue, créant ainsi un nuage mystérieux autour de ma petite personne qui donne envie à mes interlocuteurs d’en savoir plus, de percer le brouillard. Bien sur mon physique de jeune femme fragile et mon air doux aide à entretenir cette image romantique un peu désuète que je renvoie. Et j’avoue en jouer souvent. Comme toute femme, je suis la douceur incarnée, que ce soit dans mon air ou mes actions et propos. Je suis quelqu’un de sensible, qui a la mauvaise habitude de suivre son cœur et ses envies sans vraiment y réfléchir à deux fois. Vrai cœur d’artichaut, je tombe souvent amoureuse et dans ses cas-là je deviens exclusive et possessive, devenant généreuse pour mon Amant, dans tous les sens que cela peut revêtir. Je suis aussi d’une sensualité exacerbée par ma nature profonde, jouant avec les sens des autres et créant le désir dans leur regard. J’aime être désirable, être l’objet de l’attention et de l’affection des autres. Comme je l’ai dit, je me définis comme étant une femme avec tout ce que cela implique de tendre et amoureux, mais aussi de sensuel et désirable aux yeux des hommes.

Néanmoins, même si je semble gentille pour une Vampire et très douce, j’ai un côté agressif et manipulateur qui ressort de manière invisible. Il faut me connaitre pour savoir à quel point je joue avec mes proches et les autres. Oui, je suis une joueuse qui parie son immortalité sur la séduction. Jouant à merveille le rôle que je m’impose, et par là même manipulant mon monde à ma guise pour arriver à mes fins. Mais je suis discrète et assez fine pour qu’on ne remarque pas que je tire les fils, suggérant ce que je désire pour que l’autre imagine en avoir eu l’idée. Finalement, souvent les hommes imaginent se jouer de moi, alors que c’est moi qui me ris d’eux ! Mais qui se méfierait d’une charmante jeune ingénue au regard tendre ? Pour continuer dans l’aspect négatif de ma personne, j’ajouterais que je suis une capricieuse finie qui n’a aucune patience. Quand je désire quelque chose ou quelqu’un, il me le faut de suite ; ne supportant pas de devoir reporter à plus tard l’acquissions de mon envie. Et peu importe le prix ou la bêtise que je ferais ; peu importe si je blesse quelqu’un par mon caprice, tout ce qui compte c’est d’assouvir mon envie… Pour aller plus loin, j’irais jusqu’à dire que je peux me montrer cruelle et en retirer un grand plaisir. Mais cela n’est pas un trait dominant de mon caractère, non c’est plutôt un aspect qui s‘est développé à la suite de nombreux échec. Mais quand je me sens acculée ou trahie, je deviens une vraie garce qui ne cherche alors qu’à infliger une souffrance atroce à mon ennemi. Je peux dans ces occasions-là faire preuve de sadisme et de machiavélisme, cherchant le point sensible et appuyant là où ça fait mal. Mais au fond je veux juste me protéger ou rendre la souffrance qu’on m’a infligée. N’est-ce pas logique de se venger ? Cela a été rare, amis je me suis parfois montrée cruelle avec d’autres et j’en ai, j’avoue, savourer le goût. On peut dire de moi que je suis une rancunière qui pardonne difficilement, même après plusieurs décennies sou siècle ce qu’on m’a fait.

Finalement, je suis une insouciante qui réfléchit peu et qui suit son cœur et ses envies. Je dois paraitre compliquée à déchiffrer à mes relations proches, mais je pense qu’on se fait à mon instabilité et au fait que je me lasse vite de tout, même ce que j’ai désiré avec passion. Je profite en jouant de mes charmes de mon Immortalité, de ce que la vie peut apporter de bon, sans penser au lendemain. J’ai tout de l’aristocrate libertine du XVIIème siècle, qui jouit de tout sans réflexion aucune. Cependant après 5 siècles d’échec amoureux, j’ai perdu une part de mes illusions et développé une certaine mélancolie. Je ne peux m’empêcher de tomber amoureuse, mais je sais d’avance que cela sera éphémère et se finira surement dans la souffrance. Et ce petit côté triste est un atout de plus pour faire tomber dans mes filets les Mortels, ou les Vampires que je croise. C’est aussi une arme de séduction dont je sais jouer à la perfection.
Finalement, en réalité, je suis juste une jeune femme frivole usant des atouts que la nature lui a donnés pour profiter de la vie. Juste une jolie poupée à la peau blanche, à qui personne ne résiste et à qui on passe tout caprice et erreur, comme à une enfant gâtée qu’on aime malgré ses bêtises.


occupation nocturne.

« Il faut bien meubler le temps pour qu’il ne soit pas trop long à endurer ! »

Qu’est-ce que je fais de mes longues nuits ? Plein de choses intéressantes et ennuyantes, c’est selon comment on envisage les choses.
D’une certaine manière, je travaille. Je dis d’une certaine manière car ce n’est pas un travail astreignant avec des horaires fixes et réguliers, non j’ai opté pour un secteur me laissant beaucoup de temps libre. Surtout que quoiqu’on en dise, la nuit est souvent plus courte que le jour, et que j’aime en profiter un maximum. Je suis donc musicienne, plutôt classique que moderne. Quand l’envie m’en prend, je loue donc mes talents artistiques pour des galas, soirées, des arrangements musicaux sur des chansons… Ou bien je joue pour mon propre plaisir, seule dans mon salon. Je maitrise le piano et le violon. Disons que cela me permet d’être admirer pour autre chose que mon minois d’ange et m’offre un moment de bonheur. C’est un métier pratique, puisqu’il dépend uniquement des mes envies et humeurs. De manière générale, la musique douce a toujours eu un effet relaxant sur moi. Et quand je ne travaille pas que fais-je me demanderez-vous ? Et bien ce que je fais le mieux depuis que je suis devenue une Vampire : je profite de la vie. Je tombe éperdument et passionnément amoureuse. Je sors dans des bars à Vampires pour m’amuser, danser, séduire... Je séduis beaucoup, c’est inné chez moi. Je joue à manipuler mon monde, enfin mes amants surtout. Je cherche un volontaire pour une nuit de plaisir ou m’offrir son sang. Je prends soin de moi. Je lis. Je promène… Comme je l’ai dit, je fais beaucoup de choses, tout dépendant de mon humeur à mon réveil.


manie, habitudes & goût.

« Ce qui me définit mieux et raconte tant sur moi est invisible au premier regard »

J’aime :
 Le goût du sang humain.
 Séduire des Mortels, en tomber amoureuse et parfois devenir leur maitresse voire les transformer
 La musique classique, les arts de manière plus générale
 Sortir pour m’amuser, arpenter des bars, danser, rire, boire…
 Manipuler mon monde, me faire passer pour la douce romantique et naïve qui ne demande qu’à être pervertie (mais bon vous me direz que je le suis déjà …)
 Les compliments bien tournés
 Les animaux pour leur fidélité
 Les bijoux, les parfums, les beaux tissus. Tout ce qui peut embellir mon corps et faire ressortir ma beauté
 Le blanc, surtout pour les vêtements. Cette couleur a un sens fort symbolique pour moi, me rappelant la pureté qui était mienne quand je suis devenue Vampire et ce qui a en partie attiré mon Sire.
 Composer une mélodie classique enfermée dans mon appartement
 Lire un bon vieux livre
 Me promener sans but dans les rues de la ville
 Certains de mes anciens amants et créations gardent envers et contre tout ma profonde affection

régime alimentaire.

« Dis-moi qui tu manges, je te dirais qui tu es »

Je suis opportuniste, je n’ai pas vraiment de régime alimentaire défini. Mais s’il faut vraiment me qualifier, alors je dirais omnivore. Pourquoi ? Parce que je peux indifféremment me sustenter de Blood Tablet ou de sang frais. Bien sur je préfère nettement le goût métallique du liquide rougeâtre coulant dans les veines des Mortels. Cela est un met exquis, le préféré pour une Ancienne comme moi. Révélation ou pas, on ne change pas si facilement des habitudes vieilles de 5 bons siècles. Néanmoins, je fais attention de ne pas tuer ma proie. Paradoxalement, il m’est encore plus facile d’obtenir qu’on m’offre son sang, les fanas de morsure venant d’eux-mêmes, captivés par mon regard envoutant et la délicatesse de mes traits. Je n’ai jamais eu besoin de chasser réellement, tout se passant par la séduction. Maintenant, si je n’ai pas l’envie de sortir ou que personne ne propose gentiment sa gorge, je peux me contenter de Blood Tablet sans problème et sans dégoût.

conviction.

« Ce que je pense n’influence jamais ce que je fais, ou si peu. »

La révélation, ce que j'en pense ? Sincèrement ? Rien du tout. Je veux dire que pour cela a changé peu de choses. En fait si, cela me permet de boire du sang frais de manière plus facile qu'avant. Il suffit de fréquenté les bons endroits pour avoir une foule de Mortels qui vous tendent avec envie la gorge, et il suffit juste de choisir. Moi, qui aime à être le centre d'intérêt et à séduire, je peux encore plus facilement être admirée de par ma grâce naturelle et de par ma nature vampirique. Finalement c'est positif, si ce n'est que je ne peux plus tuer d'Humains. Je ne suis pas violente de nature et j'ai toujours tué très peu de Mortels lors de mes « chasses », mais j'avoue que parfois... Bref, je dois contrôler ma soif et savoir quand je dois arrêter de boire, parce qu'on ne peut pas compter sur les Mortels pour nous le dire. Côté négatif, je dirais que cela m'ennuie car j'ai mois à jouer la comédie pour obtenir ce que je désire, et c'est lassant. Ensuite, parfois j'aime ma tranquillité, qu'aujourd'hui je ne peux retrouver que dans l'isolement de mon chez moi …
Bref la Révélation n'a pas changé grand chose pour moi, et le sujet ne me passionne pas. J'en prends les bons côtés au maximum, et j'en limite les mauvais du mieux que je peux.

signes particuliers.

»Ce qui fait que je suis moi. »

J’aime à porter des robes et vêtements blanc, image de pureté et d’innocence que je renvoie. J’ai toujours aimé cette couleur, ainsi que les tissus fins et doux. J’ne porte encore, moins souvent qu’avant cependant.
Je maquille mes yeux, les entourant de noir ou bleu pour les faire ressortir et rendre mon regard encore plus envoutant qu’il ne l’est.

histoire.

«Ma vie est une succession de coup de foudres incertains et éphémères »

Si ma vie est une grande succession de coup de foudre éphémères, il a eu un avant, une période de préparation à tout cela ; un moment où l'insouciance donnait tout espoir et où on m'a créée telle qu'aujourd'hui je suis. Ou pour être précise, telle que je fus pour séduire mon sire, Maximilien à l'âge de 17 ans. Mon enfance et mon éducation ne furent que les prémices de ce que serait ma très longue vie.

Bien que les souvenirs soient toujours présent et vivaces, de cette époque où j'étais mortelle, j'éprouve parfois bien des difficultés à les évoquer. Tout cela est lointain, certes, mais c'est surtout que je me dis que c'était une autre vie, une autre moi. Parfois je peine à me retrouver dans cette enfant bien élevée et silencieuse que j'ai été. Pourtant, ma grâce et mon maintient noble viennent de cette époque lointaine. Je suis née en été, en plein 15ème siècle, en l'an de grâce 1424. À l'époque, on était catholique, les grandes découvertes et réformes religieuses ou autre n'avait encore pas eu lieu ; la frivolité n'était pas encore un mode de vie mais commençait à émerger dans la noblesse. À une époque, où la femme n’avait que pour rôle d’assurer la descendance mâle de son époux, on n’était guère heureux d’avoir une fille. Quelle place avait le sexe faible dans la société ? Aucune, ou si peu : celle de procréer, de se taire et d’obéir. Pourtant peu à peu, les Dames de la Cour avaient développés l’art de la séduction et de la manipulation. Si au devant de la scène une femme bien élevée se taisait, cela ne l’empêchait pas d’être influente auprès de son époux ou de son amant dans le secret des alcôves. On éduquait donc les filles nobles à être de bonne épouse, à savoir plaire, à se taire et à être maitresse des hommes en coulisse. C’est pendant ce siècle de transition entre le Moyen-âge foncièrement chrétien et stricte, et la Renaissance Humaniste que je suis née, dans une famille aristocratique française dont le domaine faillible se trouvait dans la belle région de l’Auvergne.

Je suis donc née dans une famille aristocrate française, au XVème siècle. Je n'étais pas l'ainée ni la cadette, judicieusement placée au centre de la fratrie. Mon destin était tracé dés le jour de ma naissance, après le baptême conventionnel, je ferais un jour un mariage de raison qui offrirait une alliance intéressante à mon Père, encore fallait-il que j'atteigne l'âge adulte, à une période où la mortalité enfantine était élevée. Comme toutes les femmes de la noblesse, ma Mère ne s'occupait pas vraiment de sa descendance, aillant trop à faire pour gérer la maisonnée et les fêtes, quand elle n'était pas à la Cour avec mon Père. Je fus donc confiée à une nourrice puis à une gouvernante. Ce sont peut-être les deux femmes qui m'ont apporté le plus d'amour maternel pendant mon enfance. J'ai vraiment regretté le jour où j'ai du dire au revoir à celle qui m'avait élevé. D'une manière générale, pour parler rapidement de ma famille, je dirais qu'on oscillait entre l'Angleterre et la France. Par filiation et mariage, nous étions plus proche de l'aristocratie anglaise, d'ailleurs une de sœurs de mon Père avait épousé un Lord. Mais nous vivions en France et servions le Roi, mes parents passant beaucoup de leur temps à Paris. À cheval sur les deux, Père ne prenait jamais position dans les conflits opposant les deux nations, préférant se contenter de prendre les avantages. Néanmoins, c'est grâce à cette branche anglaise de ma famille qu'un jour je pourrais fuir vers l'Angleterre et m'y cachait un certain temps.

Mon éducation fut simple mais stricte. Je fus bien entendu élevée dans la foi chrétienne dés mon plus jeune âge. Mis à part cela, très jeune on m'a appris à me tenir en publique, à me comporter comme une femme noble : ne pas parler sans invitation, ne pas contredire les hommes et sourire. J'ai aussi eu des cours de maintien accompagné bien souvent de cours de danse. Ma Mère, pour le peu qu'elle s'est occupée de moi, m'a surtout inculquée les bases de la gestion d'un domaine et des servants ainsi que la manière de se vêtir et comporter en toutes occasions. Une parfaite époque est obéissante et fait toujours honneur à son époux. C'est pour cela qu'on m'éduquait. Je n'avais pas besoin d'être intelligente, juste de savoir où était ma place et de la tenir correctement. À cette époque, mon caractère n'était pas encore forgé et je ne connaissais encore rien de la séduction. J'appris également, car c'est une occupation pour Dame noble, à broder même si celle ne me plaisait guère de passer des après-midi sur un ouvrage et j'eus quelque notion de musique et de chant, pour que je puisse éblouir plus tard mes invités. À 14 ans, j'étais une parfaite petite aristocrate, digne de sa famille, et bonne à marier, mais dépourvu d'enseignement. On ne lisait pas et n'écrivait pas hors des monastère, ou du moins si peu de monde. Et naitre femme, c'était se fermer ces portes-là, ce fut donc bien plus tard que je pus parfaire ces lacunes dans mon éducation.

Donc une fois devenue femme, ou pubère comme on dirait à notre époque, capable de procréer, je fus invitée à rejoindre mes parents à la Cour du Roi de France. L'idée était que pour me trouver un parti intéressant, et plus vieux que moi, il fallait que je fasse mon entrée dans le monde et qu'on me représente. La vie à Paris était nettement différente de celle que j'avais eu en Auvergne sur le domaine familiale. C'est là, entourée des Dames de Cour rodées à la séduction et à la manipulation, que j'ai appris à plaire et à être une séductrice. Peu à peu, j'ai appris comment positionner mon regard, que dire ou faire comme geste pour être remarquée et écoutée. J'ai aussi découvert l'immense pouvoir qu'un beau regard pouvait avoir sur les hommes. Cependant si j'étais capable d'inspirer un certain intérêt à la gente masculine, je savais que ma virginité était importante. La perdre ce serait me condamner au couvent ou à être considérée comme femme facile. Pour prouver que j'étais encore une innocente, ce qui était somme tout le cas, je portais des robes blanches. J'adorais le blanc, qui me rendait si pure, si lumineuse, tel un bel ange. Et ce fut ce qui me condamna à l'Immortalité, cette manie d'être vêtue de blanc et ma discrétion, le mystère doux qui m'entourait. Car je n'avais pas encore l'aplomb des femmes, j'étais certes capable de me faire remarquée, mais je rougissais encore au compliment et rester une petite discrète, écoutant plus que parlant. Mais une belle jeune femme, qui avait attiré un certain regard, ce qui allait considérablement changer mon avenir et ma vie.

Mon premier coup de foudre, ne fut pas si éphémère et dura de longues années. Il m'offrit l'Immortalité et se donna pour but de parfaire mon éducation.

J'eus 17 ans cet été-là, et j'étais enfin assez femme pour qu'on commence à négocier mon mariage. Nous étions en 1441, une année que je n'ai jamais oubliée. Peu après mon anniversaire, un noble étranger était arrivé à la Cour. Il avait une prestance étonnante et envoutante, personne ne restait insensible à sa présence, il était très vite devenu le centre de tout. Néanmoins, nous ne pouvions le voir que la nuit, lors de bal et jeux de soirée. Qu'importe, il en était encore plus mystérieux et intéressant aux yeux de tous. Comme tout le monde, et peut-être plus au vu de mon jeune âge, j'étais intriguée par lui. Je passais mes soirées à l'observer de loin. Et il ne fallu guère longtemps pour que l'intérêt ressenti se mut en amour. Un premier amour intense et totale, qui me faisait rougir rien qu'à le voir. Il me fascinait à un point tel que je finis par chercher à attirer son regard. Comme je l'ai déjà mentionné, je ne portais que des robes blanches et étrangement c'est ce petit détail qui l'attira vers moi. Il m'avait donc abordée et commençait à passer beaucoup de temps par moi. En bonne élève, j'avais alors jouer maladroitement à la séductrice et à la mystérieuse. Il prétendait qu'il y avait quelque chose de si doux, si pure en moi que j'étais la plus attirante des femmes. Je le crois, de toute manière je ne doutais jamais de lui, j'étais envoutée. Il disait que j'avais la grâce et la beauté des anges, naïvement je le croyais. J'imaginais que peut-être il demanderait à m'épouser... Mais ce n'était pas exactement son but. Il a neigé très tôt cette année-là, et novembre avait recouvert un magnifique manteau blanc. Le blanc a eu une grande importance dans l'histoire de ma transformation. Cette nuit-là, je portais une robe de bal en mousseline et soie blanche, il y avait bal au palais royale. Maximilien, dont nous ne connaissions que le prénom, était comme toujours depuis quelques mois mon cavalier et galant attitré. Après quelques danses et quelques verres de vin, étourdie et sous le charme j'ai suivi Maximilien dans les jardins, loin des lumières et regards des autres. Je ne me méfiais pas, il n'avait jamais manquer de respect. Sous la lumière lunaire, Maximilien m'a demandé un baiser, et innocemment j'ai accepté, fermant les yeux, sure qu'il m'épouserait... Le suite fut floue, ses lèvres s'étaient posées sur la peau de mon cou, une légère pincette vite devenue source de plaisir. Puis j'ai eu une faiblesse, avant de perdre en partie connaissance. Je ne me rappelle que du goût métallique et du liquide chaud qui coulait entre mes lèvres rosées...

Les débuts de ma nouvelle vie ne furent pas toujours évident, mais ce fut surement l'époque où Maximilien me trouva la plus attachante. Tout simplement parce que j'étais alors la plus proche de lui en mode de fonctionnement. Et puis à cette époque là, folle amoureuse de lui, je en cherchais qu'à lui plaire et à recevoir ses compliments. Il faut comprendre que Maximilien était un Ancien quand il m'a transformée et qu'il n'était pas du genre gentil. Il s'était maitrisé face à moi parce qu'il voulait que je consente à tout et l'adore, il m'avait donc séduite pour m'amener à l'aimer suffisamment une fois transformée. Ce que je fis pendant de très nombreuses décennies. Maximilien était un tueur hors paire, et un sanguinaire qui aimait torturer ses proies et se répète du sang. Il disait que le goût était meilleur quand le liquide était empreint de peur et de souffrance. La première année, j'étais une jeune Vampire qui sautait à la gorge de sa victime sans ménagement quand la soif lui brulait la gorge, et cela l'amusait... Bien que très vite, il décida de m'enseigner à être discrète et à jouer avec mes proies, comme le chat avec la souris qu'il va tuer par jeu. Mon Sire me vêtait exclusivement de blanc, si les tissus et coupes des robes variaient, elles étaient inexorablement blanches, signe de pureté. Encore aujourd'hui, j'ignore pourquoi il m'aimait ainsi, mais j'en ai gardé l'habitude très longtemps. Maximilien m'apprit donc à chasser comme lui, à aimer le goût du sang. Il m'utilisa aussi comme appât : mon air innocent à peine feint, ma fraicheur et ma candeur attirait si facilement les hommes que je devenais l'hameçon indispensable à sa pêche. Et moi, fascinée et amoureuse, je faisais tout pour lui plaire, tout sans exception. J'imaginais, qu'un jour il ferait de moi sa compagne, qu'il m'aimerait, et pour cela j'étais prête à tous les sacrifices. Grâce à lui j'ai appris à être une manipulatrice et à laisser parler mon côté violent, à jouer de mes charmes pour guider mes victimes volontairement dans mes bras. Et pourtant, malgré l'amour passionné que je lui portait, je l'ai quitté. Pourquoi vous demandez-vous ? Parce qu'au bout de quelques temps, j'ai compris que jamais il ne me rendrait cet amour que je lui portait. Non pour lui j'étais juste son élève, sa disciple qu'il s'amusait à pervertir et à rendre sanguinaire. Capricieuse de nature depuis ma renaissance, et sous le coup de la colère, après qu'il m'a lancé à la figure que je ne serais jamais qu'une enfant, qu'il était illusoire d'imaginer que j'aurais pu ne fut-ce qu'être sa maitresse d'une nuit, je suis partie. Sans but précis, j'ai erré quelques temps. Pendant près d'un siècle j'ai imaginé qu'il me chercherait, qu'il me reviendrait avec des excuses et pour faire de moi sa compagne. Et plus le temps passé, plus je me sentais oppressée et attristée de ne pas comptait pour lui,d e l'avoir quitté...

Mon premier amour éphémère à sens unique venait de mourir, il me faudrait du temps avant d'aimer à nouveau.

Pendant les années qui suivirent, je voyageais surtout en France, en Italie et en Espagne. J'allais de ville en ville à un rythme lent et tranquille, semant des cadavres derrière moi. Mais j'avais abandonné la manière sanglante de chasser de mon Sire, pour commençait à construire la mienne : toute en manipulation et séduction. Peu à peu, je créais celle que je devais devenir bien des année plus tard. Durant les pérégrinations, il m'a été donné de rencontrer de nombreux Anciens. Mon air de doux Ange, et ma capacité à attiré affection de tous furent de précieuses armes pour séduire les membres de ma race. Je m'étais liée d'amitié avec tous, et tous, femmes comme hommes, avaient succombé à mon charme et m'ont aimée. Ce fut une période tranquille, où j'espérais encore le retour de mon Sire, tout en me décourageant de plus en plus. Ce fut aussi pendant ces années-là, que mon côté cœur d'artichaut se développa. Il m'était fréquent de tomber amoureuse d'un mortel que je finissais par tuer ou abandonner. Je n'étais que rarement seule, toujours en compagnie d'un Ancien. Il n'y avait qu'une exception à cette règle, les moment où je voulais que les jeunes hommes de l'aristocratie viennent me compter fleurette et me permettre avec mes regard timides de les séduire. Et encore une fois mon monde bascula, mais cette fois c'était le fait des Mortels. La sainte Inquisition s'installa en Europe, ravageant d'Espagne dans les années 1480 et me forçant à quitter le continent. J'avais assez vu mes amis proches se faire massacrer pour en pas risquer mon immortalité. J'ai alors opté pour l'Angleterre, pays où j'avais des ancêtres. Là, j'ai encore longtemps continuait mon jeu de manipulation et de séduction, faisant tomber facilement mes proies dans mes filets et devant un peu comédienne. Cela me distrayait mais n'effaçait pas la tristesse qui recouvert mon âme. J'avais perdu Maximilien et beaucoup d'amis, je commençais à me sentir seule...

Et puis, il me fut donner d'aimer passionnément... une seule fois.

C'est ainsi que je devait rencontrer les deux hommes qui allaient bouleversé mon petit monde. Je maitrisais suffisamment la manipulation pour me faire inviter chez les aristocrates anglais ossu prétexte de les connaître. Étrangement, tout le monde tombait dans mon piège, surement un effet de mon air su innocent et bon. C'est ainsi que je suis entrée dans la vie de la famille Llywlyn, nobles de Cornouaille. Je m'étais habillement faite passer pour la fille d'un ami de famille et gentiment Sir Llywlyn m'avait accueillie. J'eus droit à une chambre que je en quittais que la nuit, arguant une maladie qui ne me faisait pas supporter la lumière du jour. Ils me crurent, pourquoi aurait-il douté alors que ma peau était laiteuse et mes yeux si doux ? C'est durant ces soirées et début de nuit qu'il me fut donné de rencontrer Lorenzo, un des jumeaux. Nous paissons nos soirées à nous promener à converser avec animation. Je n'ai pas vraiment cherché à le séduire, en réalité, je désirais plaire comme toute femme mais je ne comptais pas faire tomber quelqu'un dans mes filets. Il était tombé seul amoureux de moi. Pour ma part, j'appréciais sa gentillesse et nourrissais mon âme abimée et triste en sa compagnie. Peu à peu, je reprenais vie et oubliais peu à peu Maximilien. L'équilibre qui m'unissait à Lorenzo fut brisé par ma faute. Car je ne peux, même avec tout ce qui s'est passé considéré les jumeaux pour seuls responsables. Ce petit fait anodin en apparence allait nouer nos 3 vies de manières intenses et sanglantes. Après de mois passés à Paris, Allessandro, jumeau de Lorenzo, était revenu sur le domaine familiale. Je ne l'avais pas de suite remarqué, j'avoue. Pourrais-je prétendre l'avoir confondu avec son frère la nuit de notre rencontre ? Peut-être, mais ce serait un mensonge car à son odeur je savais qu'il n'était pas mon compagnon de promenade. Mais il y avait quelque chose qui m'attirait en lui contre lequel je ne pouvais lutter. Je me suis donc approchée, comprenant ce que devait ressentir certains hommes en me voyant. J'ignorais pourquoi, mais j'aurais juré pouvoir assurer que je l'aimais. Il a été surpris de ma présence, devinant sans doute qui j'étais. Mais je ne lui laissais point le temps de réagir que mes lèvres étaient scellées aux siennes. Ce fut notre seule baiser, et notre seul échange tendre... Ensuite, je disparu sans prendre la peine de m'inquiéter de la présence proche de Lorenzo ni de ce qui pourrait se passer entre les 2 frères. J'étais confuse et perdue dans mes propres sentiments. Le lendemain, Allessandro quittait le domaine parentale et je ne devais le revoir que bien des années plus tard.

Après cela, Lorenzo fut un peu différent et passa encore plus de temps en soirée avec moi. Peu à peu son amour inconditionnelle me rendant vie et couleur, je retrouvais le sourire et l'envie de séduire. Et plus les jours passaient, plus lui était épris de moi et me désirait. Finalement, pour une fois, ce fut moi qui fut séduite. Je lui devais tellement, alors que je renaissais, lui dépérissait. Finalement,il devina ma véritable nature et quand je lui proposais d'être comme moi, il accepta sans tergiverser. Il fut mon premier Infant, et celui dont je fus surement le plus proche.

Je vécus plusieurs années avec Lorenzo, le laissant m'aimer et l'éduquant comme Maximilien m'avait initiée à la vie vampirique. Néanmoins, peu à peu, son amour fusionnel et total commença à m'étouffer. J'aimais être aimée et remarquée, mais lui me limitait. Il avait toujours ma tendresse, bien que mes pensées allaient souvent vers Allessandro qui avait disparu en France, je pense. Ce petit jeu dura jusqu'au jour ou notre fugitif revient en Angleterre, mais il n'était plus humain, il était comme moi un immortel. Lui que je pensais pouvoir aimer et que j'aurais transformé pour être sa compagne, était devenu un Vampire. Laissant quelques temps Lorenzo, j'invitais Allessandro dans un domaine qui avait appartenu à mes ancêtres. Par curiosité, il était venu à moi et fut très surpris de reconnaître la jeune femme toujours vêtue de blanc qui l'avait embrassé dans les jardins familiaux. Cependant, je fus déçue car rien en se passa comme je l'espérais. Il voulu savoir ce qu'était devenu son frère, je cédais à contre cœur et lui expliquait que je lui avais offert l'immortalité. Allessandro entra dans une colère noire et s'en prit à moi, il m'attaqua et fini par se nourrir à ma gorge. Désireuse de lui plaire, je me laissais faire, mais après cela il partit me laissant là malgré mes cris. Je me suis sentie anéantie, trahie, souillée … Mais je l'ai laissé me fuir, retournant vers l'amour inconditionnel de Lorenzo.

Je vécu encore quelques années avec Lorenzo avant de l'abandonner temporairement. Près de lui je en pouvais séduire d'autres hommes, et j'en avais parfois besoin. Mais lors de mon absence, il disparut et il me fallut un certain temps pour retrouver sa trace et découvrir qu'il m'avait abandonnée pour une Mortelle. En moi c'était alors réveillée, celle qui m'avait faite quitté Maximilien. Je me sentais bafouée, humiliée et trahie. Dans ces moment-là ressort en général la pire partie de moi, celle qui fut modelée par mon Sire et qui ne réclame que al souffrance de mon « ennemi ». je souffrais, il devait souffrir. Et dans mon entreprise, il me fut donné de me venger des jumeau car ils aimaient la même femme : Orphée. C'était donc sa mort à elle que je désirais et orchestré patiemment, sentant revenir en moi le plaisir de la vengeance et de la souffrance. Mais ce fut d'abord Allessandro que je vis cette nuit-là, puisqu'il vient au secours de la demoiselle que je vidais de son sang goulument. Notre affrontement fut terrible et douloureux, surtout pour lui, car cette fois je ne me laissais point faire. À l'arrivée de Lorenzo, j'eus plus de mal à soutenir la lutte, mais e mal était fait. Épris de la femme de son frère, Allessandro l'avait transformée en Vampire pour la sauver. Me jugeant vengée et ayant subi assez de dommages, j'ai fui les laissant réglé leur différent. Ce fut la dernière fois que je les vu tous deux avant de long siècles.

J'ai aimé, ce fut aussi éphémère qu'un baiser échangé.

Et je repris ma vie d'errance à travers l'Europe, amer et déçu, blessée d'avoir perdu mon infant et celui dont j'étais éprise, je vagabondais sans but. Finalement, je me dirigeais vers l'Asie, désireuse de mettre de la distance entre mes souvenirs et moi. Peu à peu je reprenais goût à la vie, à al chasse et à la séduction. Je pris à cette époque-là la mauvaise habitude de m'éprendre de jeune homme noble sou bourgeois et de les transformer en vampire. Ils devenaient alors mes compagnons pour un certains laps de temps plus ou moins court, mais malheureusement aucune de ces relations ne finit bien. Et les échec successifs me firent douter de l'Amour et me rendirent peu à peu mélancolique, mais je ne pouvais empêcher mon cœur d'aimer passionnément et de désirer posséder.

Finalement, le 17ème siècle pointa son nez, et avec lui commença une vie plus frivole et libertine. Cela s'accentua au siècle suivant. Pendant cette période-là, je pris soin de devenir une spécialiste de la séduction. Je pus aussi apprendre enfin à lire et écrire, et je découvris avec passion la littérature. Je continuais seule ou accompagnée d'un autre Vampire à parcourir l'Europe, à jouer la comédie pour être invitée dans les maisons les plus prestigieuses et à séduire. Je laissais beaucoup de cœurs brisés dans mon sillage. Je pris l'habitude d'être capricieuse et d'assouvir mes envies. J'étais devenue une libertine, curieuse de tout et à l'attitude toujours aussi innocente.

À l'aube du 20èùme siècle, j'ai gagné le nouveau monde, les USA, pour y vivre libre et désireuse de voir d'autre paysage. J'ai parcouru le pays, et étais même jusqu'en Amérique du sud continuant ma vie tranquillement. Revenu des Andes, il y a une dizaine d'années à peine, après avoir voyagé sur la côté et suite à la révélation, j'eus plus facile de trouvé des volontaires pour m'offrir leur gorge quand la soif me taraudais. Finalement, j'ai choisi Shreveport comme point d'ancrage, ville où on tolère les Vampires et où il me fut donner de revoir mon Infant, Lorenzo devenu Maitre et mon seule t unique Amour, Allessandro. Si avec l'un les retrouvailles furent courtoises, avec l'autre ce ne fut pas une partie de plaisir.

Néanmoins, j'ai décidé de m'installer ici et d'y vivre un certains temps.

Camille Leandres a écrit:

Si tu veux devenir Vampire, bien que tu ne sois pas un homme, je peux faire une exception XD
merci miss flood :-)

Tout d'abord, je te souhaites la bienvenue sur Drag me to Hell de la part de toute l'équipe administrative.
Ensuite, maintenant que ta fiche est achevée, je viens la modérer pour la validation.

J'adore ta fiche. Premièrement ça colle parfaitement au personnage que j'ai imaginé dans ma tête, tant au niveau du caractère, de ses habitudes que de son histoire, et secondo tu as fait une très belle fiche. J'avais déjà lu le caractère, qui non seulement me conviens parfaitement mais décrit bien la complexité de la vampire, et là l'histoire m'a beaucoup plu. Surtout le début, j'avoue avoir été étonné que tu ai autant collé à l'histoire, parfois ça me manque mais là tu t'es parfaitement imprégné de l'époque. Et j'aime beaucoup aussi la fin, cette recherche de l'amour ça correspond totalement à Camille. C'est vrai que le test rp est peut-être un peu court, mais il est bien écrit donc ça me va.

J'ai le bonheur de t'annoncer que tu es validé! Toutes mes félicitations!

Avant toute chose, laisse-moi un peu te guider pour faire tes premiers pas sur le forum en tant que membre validé! youhou! Première chose à faire, si tu ne l'as pas encore faite, c'est de finir de remplir correctement ton profil, et ta feuille de personnage même si tu n'as pas encore de relations, de toute façon, il te faudra sans doute l'éditer dans les temps futurs. Ce n'est pas grand chose, mais d'un c'est plus joli et de deux, on cerne plus vite ton personnage ainsi. Ensuite tant que tu es sur ton profil, pense à mettre dans ta signature un lien vers ta fiche de présentation. Comme ça c'est plus facile pour les autres joueurs de savoir à qui ils ont affaires! Deuxième étape et pas la moindre: remplir ta fiche de relations. C'est la manière la plus rapide pour t'intégrer complètement au forum, et bien évidemment cela va te permettre d'avoir un panel de joueurs avec qui faire un rp tout simplement. La suite logique étant de répertorier tes rp en cours ainsi que tes futurs rp ici, tu pourra bien évidement faire des demandes de rp via les topics des autres joueurs. Nous te conseillons vivement d'aller à A.N.P.E. pour bloquer le boulot de ton personnage, tu pourra aussi créer ta propre boîte si tu le désire. Ensuite, fort de ton salaire, tu pourras demander un logement, n'oublie pas que la colocation est aussi une bonne option!
Quand tu auras fait tout cela, tu pourras aller jouer avec tes petits camarades. Pour mettre un peu de piment dans ton jeu n'hésite pas à faire un tour du côté des challanges ou bien dans l'animation. Et puis, en attendant une réponse d'un joueur, tu peux toujours aller flooder avec nous jusqu'au bout de la nuit!