Dreyen Lecter

© psychadelia tumblr









Dreyen Lecter était un enfant brillant. A en maths, A en lecture, A en écriture, dès l’école élémentaire, les enseignants ne tarissaient pas d’éloges sur son intelligence à ses parents. Ceux-ci étaient plus que fiers de voir leur fils unique être si vif d’esprit et si bon à l’école. Ils acceptèrent qu’il saute une classe, puis, une deuxième. Il dévorait des livres - certes pour enfant - à sept ans, à peine ! Et ses connaissances se faisaient de plus en plus nombreuses. Bientôt, on conseilla à ses parents de le faire entrer dans une école spécialisée pour enfants au Q.I. trop grand pour pouvoir s’épanouir dans une école publique. Enclins de la philosophie de la responsabilité de l’enfant, et trouvant le leur extrêmement mature, ils lui posèrent tout simplement la question, en lui demander de peser le pour et le contre. Trois jours plus tard, Dreyen avait réfléchit. Il ne voulait pas quitter son école, partir dans une école remplie d’ « intellos ». Déjà, lui, il se trouvait trop intello, mais ses camarades de classe l’aimaient bien. Après tout, ce n’était pas un fayot ! Il avait plusieurs fois couvert les arrières de ceux qui avaient fait des bêtises devant lui. Il était jeune, intelligent et mignon. Les filles le voyaient comme un petit frère très mignon à couver, et les garçons ne portaient aucune jalousie contre lui. Tout roulait donc bien dans sa classe, et il n’envisageait pas perdre ça. Il répondit donc à ses parents qu’il ne souhaitait pas aller dans cette école pour surdoués, et qu’il se sentait très bien là où il était, et qu’il avait toujours les heures en dehors de l’école pour apprendre de nouvelles choses, qu’il n’aurait pas besoin d’une école spécialisée pour cela. Ses parents acceptèrent, et les enseignants de son école furent soulagés. Ils aimaient tous cet enfant très intelligent mais pas prétentieux.

Un mercredi, alors que Dreyen et des amis à lui jouaient à cache-cache dans la petite ville, le jeune génie se perdit un peu. Il s’était aventuré dans quelque ruelle pour échapper aux yeux du chasseur, et avait continué dans des rues qu’il ne connaissait pas. Avant de tourner dans une nouvelle ruelle, Dreyen découvrit avec stupéfaction deux ombres qui s’agitaient sur le mur de brique qui lui faisait face. S’accroupissant, plaçant sa main devant la bouche pour ne plus émettre de son en respirant, il regarda et écouta avec appréhension mais aussi curiosité. Une des ombres, plus grande que l’autre, semblait mener la danse. En effet, il entendait une voix grave qui ordonnait à la deuxième personne de se calmer, sinon elle n’aurait pas son fric. Celle-ci ne semblait pas d’accord, et gémissait et hurlait, mais de façon telle que Dreyen décida qu’elle avait la main de l’homme dans la bouche, ou un bâillon. L’homme à la voix grave reprit alors la parole, et commença à décrire le corps et certaines parties de l’anatomie de la femme à la voix aigüe. Dreyen rougit, prude qu’il était alors à l’âge de 9 ans. Soudain, il s’immobilisa. Il venait d’entendre un bruit qu’il reconnaîtrait partout. Pendant toute son enfance, il avait regardé avec fascination son grand-père paternel couper sa viande avec son couteau suisse. Il en était certain, quelqu’un, juste à deux mètres de lui, venait de sortir la lame d’un couteau suisse, ou semblable. Épris d’une curiosité malsaine, Dreyen voulut voir quel couteau avait la personne si près de lui. Il passa sa tête devant le coin que le mur faisait. La lumière au dessus d’un porche était si forte qu’elle l’aveuglait. Il n’arrivait pas à distinguer des détails des deux visages, qui étaient si proches l’un l’autre. L’homme passait tranquillement la lame de son couteau dans le cou de la jeune femme qu’il tenait dans ses bras. L’enfant retint difficilement un hoquet de surprise et d’horreur. Alors qu’il commençait à s’habituer à la lumière, il put voir des gouttes de sang couler et tomber sur la chaussée. Il aperçut alors distinctement la lame du couteau qui se dirigea vers la tête de l’homme. Celui-ci la mit dans sa bouche, et lécha la lame ensanglantée. Épouvanté, Dreyen courut pour s’échapper de cet endroit horrible. Encore aveuglé par la lumière qui lui avait d’abord montrer les ombres du meurtrier et de la tuée, il percuta de nombreuses poubelles avant de se retrouver dans la rue principale à vomir son déjeuner.

Pendant plus d’une semaine, Dreyen se trouva malade. Au bout du troisième jour, voyant que cela ne se calmait pas, ses parents appelèrent le médecin de garde. Celui-ci, âgé et près de la retraite, décréta de manière impérieuse qu’il s’agissait d’une gastroentérique. Il avait examiné le ventre du jeune homme, appuyant ça et là. À un moment, Dreyen avait exprimé une grimace de douleur, et cela avait conforté le vieux médecin dans son diagnostique. En fait, au même moment, celui-ci appuyait avec son coude, sans le faire exprès, sur la main du jeune garçon. Pendant encore une semaine, Dreyen ne quitta pas le lit. Ses camarades se relayèrent pour lui donner les cours, bien que tous savaient qu’il n’en avait pas besoin. Ils souhaitaient surtout pouvoir ramener des nouvelles de lui à la maîtresse et aux copains, pendant la récré. Tous avaient déjà agis de manière protectrice avec le petit Dreyen. Ils s’étaient ligués déjà contre un groupe d’élève plus vieux qu’eux qui avaient osé insulter leur petit protégé.

Finalement, Dreyen reprit les cours, après avoir avalé des tonnes de médicaments. Mais il était encore perturbé. Il traînait de plus en plus à la bibliothèque - personne n’aurait cru ça possible un mois avant ! et semblait surtout s’intéresser aux livres sur les cannibales ou les vampires. Petit à petit, les élèves des autres classes l’insultèrent dans son dos, le trouvant plus que bizarre. Mais ses camarades de classe le protégeaient encore, et voyaient encore en lui un petit garçon très gentil et très mignon. Ils n’avaient pas remarqué, ou n’avaient pas voulu voir les changements chez Dreyen. Ses parents, d’ailleurs, ne remarquèrent rien non plus. Les enseignants, dès lors qu’il continuait à ramener d’excellentes notes, ne se posaient pas de questions. Mais le jeune génie n’était plus le même. Il éprouvait une fascination morbide pour le sang et les méthodes pour faire couler le plus du sang d’un corps humain en quelques coups de couteau. Rapidement, il fit collection de couteaux-suisse. Ses parents n’en furent pas vraiment surpris, et crurent qu’il s’agissait d’une réaction, assez saine en fin de compte, à la mort récente de son grand-père. Ils se souvenaient de leur bébé applaudissant en voyant son papi sortir la lame du couteau, comme un magicien un lapin d’un chapeau ! Mais aux débuts de l’adolescence, les couteaux devinrent des poignards de plus en plus longs, de plus en plus dangereux, et enfin les sabres. Mais les résultats scolaires de Dreyen étaient époustouflants, et ses parents se contentèrent de croire qu’il devait bien se trouver une passion en dehors des livres de classe, et que cela en valait une autre. Et puis, Dreyen fut accepté en médecine à Harvard, soit à la meilleure université qui soit pour cette discipline ! Ses parents, très fiers de lui, avaient économisé depuis qu’ils avaient su qu’il était un génie. Certes, il n’avait pas eu une heureuse très gâtée, mais au moins, maintenant, il pouvait aller à la fac qu’il méritait ! Il n’avait que quinze ans, car né en fin d’année, et fut un réel phénomène de foire ! Alors que sa petite ville faisait école-collège-lycée et qu’il avait passé la majeure partie de sa scolarité dans une classe avec les mêmes personnes, il était désormais lâché dans un univers extrêmement différent, sans aucune tête connue. Ses parents habitaient en Oregon, très loin donc de l’université du Massachusetts, et aucun de ses ancien camarade n’avait été accepté à Havard. Les professeurs et les étudiants le repérèrent immédiatement, déjà à cause de son âge, ensuite à cause de ses résultats, et enfin grâce à sa modestie toujours gardée. Harvard fut un réel échappatoire pour Dreyen. C’était un lieu de savoir, où son cerveau pouvait vagabonder au gré de ses envies de connaissance sans atteindre de limites. Aucun professeur ne refusait de le rencontrer pour une entrevue scientifique, et ils lui permirent tous de se cultiver dans presque toutes les matières, même éloignées de la médecine. Et puis, avec la largeur des Etats-Unis posées entre son ancien foyer et lui, c’était une partie de la pression que ses parents et l’intégralité de son ancienne petite ville avaient placé sur ses épaules qui s’envolait. En effet, depuis le lycée, Dreyen n’avait fait que ressentir de plus en plus de pression sur ses épaules. Ses parents, déjà, qui insistaient un peu trop souvent sur le fait qu’ils avaient renoncé à beaucoup pour économiser pour ses études, ses professeurs ensuite qui devenaient extrêmement exigeants avec lui et le rouspétaient copieusement lorsqu’il obtenait moins de 18 à un contrôle, et ses camarades enfin qui, dans leurs discussion sur l’avenir, et sur ce qu’ils aimeraient faire plus tard, imaginaient surtout tout ce qu’eux auraient aimé faire s’ils avaient eu l’intelligence de Dreyen. La distance mise entre sa petite ville de l’Oregon et lui était un réel soulagement. Mais, à l’occasion de son anniversaire, fin décembre de sa première année, il déchanta. Il pensait que ses parents allaient organiser un dîner en famille, et ils semblaient, au téléphone, vouloir le garder pour eux seulement. Mais, à peine raccompagné par son père en voiture, il aperçut une énorme pancarte qui lui souhaitaient la bienvenue chez lui… Sous cette pancarte, et dans tout son jardin était réunie - Dreyen en était presque sûr - toute la ville et toute personne ayant au moins 1/100è de sang commun avec lui !! Ainsi que leurs conjoints… Trop nombreux, il eut à peine le temps de dire bonjour à tout le monde et d’échanger quelques amabilités pendant toute la fête, qui dura de 16h à 3h du matin ! Crevé d’avoir parcouru de long en large son jardin une vingtaine de fois, passant de groupes en groupes, de cadeaux en cadeaux, de questions en questions - toutes sensiblement les mêmes - Dreyen se coucha tout habillé dans son lit d’adolescent. Il avait 16 ans, et venait de ressentir un étouffement si fort qu’il faillit faire une crise de panique, seul, dans sa chambre. Et, pendant toute sa scolarité, dès qu’il entendait parler de l’Oregon, ou qu’on prononçait le mot « famille » ou « ami » devant lui, il ne pouvait s’empêcher de ressentir une pression supplémentaire. A 18 ans, sous les conseils d’un étudiant qu’il fréquentait en cours, et épuisé par les séances de révisions supplémentaires qu’il s’imposait, il toucha aux drogues dures, celles qui tenaient éveiller et qui faisaient assez se concentrer les étudiants pour leur donner l’illusion qu’ils apprenaient des quantités de nouvelles choses. Devenu accroc, il avait réussit à justifier auprès de sa famille qu’il reste le plus souvent possible au Massachusetts, près de son dealer.

Lorsqu’à vingt ans, il entendit parler de la révélation, Dreyen eut un flash. Le traumatisme qu’il avait eu étant petit lui revint en tête. Cet homme, cette lame, cette femme, ce sang… Avant-il été un vampire ? Pourtant, et pour autant que le jeune étudiant pouvait s’en rappeler, il ne l’avait pas vu mordre, ni boire vraiment le sang de sa victime. Il s’en souvenait, l’homme n’avait fait « que » lécher la lame de son couteau… Mais Dreyen ne pouvait plus s’empêcher, désormais, de vouloir découvrir qui étaient les vampires. Plus il en entendit parler, plus il voulut en savoir. Son esprit curieux et insouciant le menèrent à fréquenter des bars nouvellement déclarés comme étant « pour vampires ». Il y rencontra plusieurs créatures merveilleuses, d’autres piteuses. L’une d’elle, alors qu’il avait 22 ans et passaient son diplôme six mois plus tard, exerçait une vraie attirance à laquelle Dreyen ne pouvait résister. Il l’observa, derrière un verre, pendant plusieurs semaines, avant que le vampire feigne de le découvrir enfin. Il ne semblait pas si jeune que ça - plus de trente ans, surement - et, à bien y réfléchir, n’était certainement pas très beau. Mais il y avait ce magnétisme que Dreyen ne pouvait réprimer. Le vampire, lui aussi, trouvait le jeune étudiant à son goût. Son odeur lui semblait particulièrement attirante, et il l’amena ensuite chez lui. Ils s’embrassèrent, puis, le vampire le mordit. Mais il ne le tua pas. Il ne voulait pas le tuer et souhaitait plutôt profiter du bon goût de son sang le plus longtemps possible. Leur relation devint donc régulière, et Dreyen fut fait le calice officiel de l’immortel. Mais celui-ci se fit de plus en plus exigeant. Il obligea l’étudiant à abandonner les drogues humaines - le goût de son sang en était altéré - et lui proposa, en échange, son propre sang. L’humain ne savait pas vraiment à quoi s’attendre, et but ce qu’il lui fit boire. La sensation était cent fois, non, mille fois meilleure que les drogues les plus pures qu’il avait utilisées ! Le sang de vampire était si puissant, si bon, et si addictif aussi… Dreyen quittait une addiction pour en trouver une deuxième. En plus, il était devenu le marqué du vampire. Cela s’était passé pendant les vacances de pâques, que Dreyen avait encore une fois passées au Massachusetts.

Mais les examens finaux et le diplôme arrivaient à pas de géant. Bientôt, Dreyen reçut des dizaines de propositions d’emploi par des hôpitaux et des cliniques se trouvant dans le monde entier et qui souhaitaient lui donner une carrière de médecin formidable. Le surdoué ne savait pas, il réfléchissait, et demanda rapidement l’avis de son Maître. Celui-ci fut catégorique:

« Nous allons à Shreveport. »

Cela ne souffrait pas de contradictions, et Dreyen se fit obéissant. Après que son diplôme lui fut attribué, il annonça qu’il allait à l’hôpital de Shreveport étudier la médecine générale. Ce fut un des plus grand scandale jamais vu à Harvard. Le petit génie venait d’accepter un poste banal dans un hôpital plus que banal. Il gâchait sa vie, gâchait ses capacités, gâchait les espérances que beaucoup, a cours de sa vie, avaient placées en lui. Ses parents lui envoyèrent des lettres incendiaires exigeant qu’il change d’avis. Puis, plus rien. Il avait fait sa décision, s’y tenait, et ses parents adoptèrent la politique du silence. Ils ne lui parleraient plus, jusqu’à ce qu’il accède à un emploi au moins digne de son université. Bien que Dreyen avait détesté la pression mise sur ses épaules, il ressentit un gros pincement au cœur en partant pour la Louisiane. Mais le vampire qui l’accompagnait lui fit oublier cela en quelques gorgées.

La vie là-bas fut un désastre pour Dreyen. À l’hôpital, il ne s’entendait ni avec ses chefs ou avec ses Co-internes - qui le jalousaient tous de son niveau - ni avec les patients auxquels il ne savait pas parler. Quand il rentrait chez lui, c’était pire. Son vampire était devenu plus qu’autoritaire, ou du moins, laisser l’humain entrevoir sa vraie nature. Dreyen n’était plus qu’un marqué, il était un réel esclave humain. Il n’avait plus aucune liberté, devait fournir son sang à n’importe quelle heure de la nuit, ne devait fréquenter personne d’autre que son Maître, et surtout pas se trouver en présence d’un autre vampire. C’était un vrai cauchemar.

Et puis, il y eut Alessandro. Ce vampire était plus ou moins responsable au Croquemitaine, un bar que fréquentait régulièrement le Maître de Dreyen. Celui-ci se faisait de plus en plus désagréable, offensant voire agressif envers les autres clients - humains uniquement - du bar. Alors qu’Alessandro intervint une énième fois, le vampire sortit ses crocs, et la soirée se finit en bagarre entre immortels. Alessandro gagna, et Dreyen ressentit, au loin, un déchirement au plus profond de lui. Cette sensation étrange, il sut ce qu’elle voulait dire: son vampire était mort, il n’était plus le marqué de personne. Mais, pas rassasié par cette liberté retrouvée, il voulut en plus savoir qui était son sauveur, qui l’avait libéré. Reprenant l’enquête depuis le Croquemitaine, il se trouva rapidement en face de celui qui était désigné comme avoir « foutu une raclée à un vampire pas d’ici qui s’était montré trop agressif envers la clientèle ». Après s’être présenté, avoir raconté un peu sa vie, il put revoir Alessandro plusieurs fois. Au bout de la quatrième fois, alors que Dreyen n’avait plus bu de sang de vampire depuis trop longtemps, il fit une crise de manque. Le vampire tendit son bras et proposa son sang à l’ancien marqué. Celui-ci se précipita sur la flaveur attirante que dégageait le sang d’Alessandro. Et, au fur et à mesure, il devint de plus en plus accroc du sang du vampire. Et, comme si cette liberté retrouvée ne suffisait pas, Dreyen fut orienté par ses supérieurs vers la médecine légiste. Il y découvrit la magie de ne pas avoir à discuter avec ses patients, à découvrir les subtilités de la mort, et de la vie après la mort, façon 1 + 1 = 2. Mais Dreyen était encore tout à fait traumatisé par ce qu’il avait vécu enfant, et par ses dernières années. Il passait ses nuits à provoquer Alessandro, pour que celui-ci prenne son sang, qu’ils aient un lien de plus en plus fort, et aussi pour que le vampire prenne le dessus sur lui, lui montre qui était « le maître ». Son désir de devenir le marqué de ce vampire merveilleux grandissait en lui. Il fallait que le vampire l’écoute, qu’il entende raison: Dreyen serait parfait en marqué. Il avait remplit plusieurs missions, volontiers, pour Alessandro, en tant que médecin légiste. Il réussissait à maquiller quelques crimes de vampires, et pouvait détourner des poches de sang pour le compte des vampires trop en manque. C’était donnant-donnant, et ce que voulait obtenir Dreyen d’Alessandro, c’était la marque, la domination, la relation ambigüe mais profonde que pouvait partager deux partenaires dans la mort.

Petites précisions sur la fiche::

Dreyen est un PV, un humain. Néanmoins, il a été un marqué, donc j'ai utilisé la fiche "Marqués". J'espère que ça ira, mais ça permettait de décrire aussi la relation de Dreyen avec son ancien vampire.

J'ai un peu manipulé le PV à ma sauce. Par exemple, j'ai pas mis dans la fiche que la famille de Dreyen était aisée et puissante... Désolé, mais avec ce que j'avais pensé pour lui, je suis un peu parti ailleurs sur ce point précis, et peut-être sur d'autres points. s'il a des choses qu'il faut vraiment modifier, je le ferai tout de suite !

Et enfin... c'est un double-compte (a) Et j'ai écrit sa fiche de 00h30 à 3h30, donc excusez s'il y a des choses pas très claires XDDDD En attendant, je vais me coucher ! Bon dimanche à tous (;

ETHAAAAAAAAAAAAAAN ESPECE DE SALE PETIT MINET PERFIIIIIDE TU DEVAIS PAS FAIRE AUTRE CHOSE TOI ?! ><"
Rhan...Je transmets ta fiche aux admins ♥ A mon avis tu devrais étayer un peu le caractère et toute cette partie =) Mais c'est que mon avis!

Bonne chance pour ta validation ♥♥

Je sais plus ce que je devais faire xD !!

Mais bon... Zozo m'a obsédé avec ce personnage ! Elle pensait que j'avais abandonné, mais je lui ai juste fait croire (a)

Etoffer

Rhaaaan >< Bah je suis contente que tu ai trouvé ton bonheur, Eden fait vraiment de super pv! Ya que moi qui ai pas succombez mais en voyant Angel j'ai failli...Puis fripouille m'a devancé et Abby est arrivée finalement pour plusieurs raisons et de très bonnes
J'ai transmis aux admins, on attend maintenant que ses Saintetés ramènent leurs jolies fesses qu'on les fouette *BIGZBAM*

Des liens promis? :005/:

Etoffer, peut-être

Mais bon... J'ai jamais été terrible pour décrire les caractères... Je m'y mettrai si je dois le faire, mais bon... XD

Pour les liens: Bah moi je suis pas du tout contre, hein (a) Tu sais à quel point j'aime me faire torturer par toi

Oki doki moi c'était pour toi juste au cas où après faudra voir avec Eden =O
Ouiiii *-* mais pourquoi forcément te torturer? Je peux aussi t'aimer et *ZBAM* XD

C'est gentil de me conseiller

Mais oui, Alek peut très bien devenir amoureux de Dreyen, le marier, avoir des enfants de lui, attendre le soir avec un verre de scotch en tablier après avoir préparé le dîner, ... :36:

L'espoir fait vivre mais la c'est ridicule

Maiiis !!! Il est mignon Andrew, avec sa tête de psychotique

Je dis pas le contraire mais n'oublie pas que Zozo est la aussi XD
Sinon Abby receuille les chiots égarés donc mh.. XD *ZBAM*

HAN! ya du favoritisme la...ET ABBY ALORS?! :(
*ZBAM*
Félicitation pour ta validation sale minet, je veux un lien au moins avec Abby

bienvenue et félicitation

HANNNNNNNNNNNNNNNN !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
SALE MINET SAAAAAAAAAAAALE MINET !!!!!!!!!!!!
*le frappe, le frappe le frappe et... le frappe. puis le prend sauvagement contre un mur *
TU M'AS MENTIIIII !!! TU M'AS MENTIIIIIIIIIIIIIIII !!! tu m'avais dis qu'au final tu le prenais pas è_é et j'étais déçue... et... et j'allais encore t'enquiquiner avec ce soir... et... et j'allais meme me forcer à te dire plein de vilaine chose (comment ça forcer ç va pas dans ma phrase ? é_è XD ) pour que tu revois ta décision !
TSsSSSsssSSs !
FAIBLE ! SALE FAIBLE :93:

Bon par contre j'vais devoir te tuer parce que... tu m'as devancé sur tous les points là... VIENS TE VANTER CE SOIR ET JE TE COUPE LA QUEUE è_é

XD

Alek sera pas content si tu lui coupe la queue...
Ahahaha c't'un sale minet pernicieux hein Enfin...Félicitation quand même pour ta validation, on va essayer de se trouver un petit truc pour mes trois persos...Enfin au moins une de mes filles! =O

Tsssk. M'en fou
Et je lui couperai aussi la langue è_é
XD Et je lui arracherai les dents ça tu pourras pas dire,ça a un effet pratique. #PAFF#
merde c'est dégueue ce que je dis 0_0

XD

Sinon, huuumf. bah disons que y'aura surement de quoi faire avec abby, parce que y'a surement moyen de le relier assez serré a angel. vu le lien qu'il a avec aless. niahah.

Tsssssh, ça floode sur ma fiche, ça

Merci à toutes, pour la validation & les bienvenues :54:

Et puis, les deux maîtres, là... 1) Zozo, je t'ai devancé de partout, I'm the best ; 2) Alek, moi, on m'aime pas seulement pour mon physique et ma soumission

Et je vous aime tous de toute façon :54:

P.S.: Zozo, je t'avais vu en ligne à 4h du mat', je pensais que tu aurais remarqué et que tu aurais rappliqué sur msn pour me foutre une fessée du feu de Dieu (a)

XDDD bah non... j'avais pas vu :(
vu que j'étais trop éveillée pour dormir en rentrant. mais pas assez pour parler ou écrire... bah j'ai reregardé sucker punch xD
mais t'avais qu'a venir rolalalah !