INTRIGUE MULTIJOUEURS La tempête du diable {TOUR N°1

Invité

DANS LA CAFET AVEC JULIAN, KIARA, LAURE LYNN, HANAE, VESPER, DARIUS

Alors que je cherchais cette p***** de radio du regard, les événements se succédèrent à une vitesse folle. Si rapidement qu'une seconde auparavant, seule une voix se faisait entendre et maintenant, la porte de la cuisine explosa laissant place à Laure Lynn, Julian et Kiara Lannister suivis de deux inconnues. Ils semblaient en très mauvais état, à croire que cela faisait des heures qu'ils se battaient. Contre qui ? Contre quoi ? Je ne voyais personne. Laure Lynn me reconnu aussitôt et me demanda ce que je foutais là. Sérieusement ?

- « Je prends des petites vacances et toi ? C'est quoi cette gueule ? »

Je la vis considérer Clochette du regard et j'étais à 90% sûre qu'elle envisageait une relation entre lui et moi. Mais pas le temps de s'attarder car déjà d'autres personnes voulaient s'inviter à notre petite fiesta. Génial ! Qu'ils défoncent la porte pour qu'on puisse sortir et tout irait bien pour tout le monde.

- « Bah, tu sais, de la vaisselle c'est mieux que rien... Les couloirs sont ennuyeux au possible ! Me dit pas que tu t'es ramollie depuis la dernière fois ! »

Mon attention portée sur Laure Lynn, je n'avais pas remarqué que Kiara était légèrement dans le coton, ainsi qu'une autre fille que je ne connaissais pas. Elles ne semblaient pas être dans un état critique, mais mieux valait ne pas perdre de temps pour les faire soigner. Après un dernier regard à Kiara, je me tournais vers Laure.

- « Vas-y ! Fais toi plaiz tiote ! »

A ce moment là, l'attaque qui se déroulait dans la cuisine sembla se rendre compte que les ennemis étaient dans la cafétéria. Elle aurait pu continuer à foutre le bordel là bas, mais non, il fallait qu'elle vienne jusqu'à nous ! Aussitôt, je renversais une table dans le but de nous protéger un minimum. Violent ! Le bruit des couverts qui s’abattaient sur notre protection de fortune était assez fort. J'essayais de trouver une solution, mais il n'y avait personne à combattre. Je savais me téléporter mais en l’occurrence, cela ne m'était d'aucune utilité. La grande question restait : Comment combattre des cuillères ?

Le sorcier eut la solution. Réciter quelques incantations et hop, le tout restait collé au plafond. Je devais reconnaître que c'était classe. La fourchette n'aurait pas dû l'énerver car Monsieur semblait prendre la mouche rapidement. J'allais pour le lui dire lorsqu'il se montra menaçant vis à vis de Julian. Je n'aimais pas du tout le ton employé. Quelque chose n'allait pas... Je m'approchais au cas où les deux mâles se taperaient dessus dans le but de m'occuper de Kiara.

- « Remballe tes menaces avec la vaisselle. C'est pas le moment. »

Je me tournais vers les deux Lannister.

- « Kiara ? Comment elle va ? »

Spoiler:

Invité

CHAUFFERIE : Lyle, Laureen, Lucian,

Elijah avait envoyé une pique à Lyle et celui-lui avait répondit et l’avais encore une fois rabaisser, le jeune homme en avait marre d’être traité comme un enfant depuis qu’il était entré dans les sous-sols, puis dans la chaufferie. Il n’avait que vingt-un ans, mais ce n’était plus un gamin. Le jeune homme ne put s’empêcher de répondre à l’agent même si celui-ci s’était désintéressé de lui.
-Va te faire foutre, murmura-t-il à l’intention de Lyle.
Et puis de nouveau le talkie de Lyle fit du bruit avant que tous ceux présents dans la salle entendent une voix à travers ce talkie. Une voix qui disait qu’ils allaient tous mourir, le jeune homme frissonna de peur, il n’aimait pas cette voix, il n’aimait pas non plus ce qu’elle annonçait. Le jeune homme était plongé dans ses pensées, et n’en sortit que lorsque la vampirette annonça qu’elle allait sortir du cercueil où elle était enfermée. Elijah ne fut pas assez rapide, il n’avait remarqué qu’au dernier moment la planche qui volait vers lui, heureusement Lucian était là et attrapa la planche avant qu’elle ne frappe le pauvre Elijah.
-Merci…Fit-il avec un petit sourire
À peine elle fut sortie de son cerceuil, que Lucian l’attrapa pour la coller au mur, et la menacer. Le jeune humain était resté immobile, il n’intervenait pas pour le moment, mais il gardait un œil sur Lucian pour l’aider, le protéger en cas de besoin, même si surement ça serait Lucian qui devrait le protéger. Il ferma un instant les yeux, il avait chaud, il était mal. Doucement il rouvrit les yeux et se tourna vers l’agent de la BRIS. Il le vit s’approcher de Lucian et de Laureen, il fit quelque pas dans la direction des vampires et de Lyle. Pourquoi les vampires ne réagissaient pas, il le vit plonger sa main dans sa veste, et son sang ne fit qu’un tour, son cœur s’accéléra soudainement, il s’approcha d’eux et un seul mot franchis ses lèvres.
-Lucian… Att…
Il s’arrêta lorsqu’il vit l’agent injecter quelque chose dans le cou de la vampirette et qu’il ne toucha pas à Lucian. Doucement le jeune homme se calma…Il resta immobile, prêt à bondir sur l’agent si celui-ci sortait une autre seringue… Le jeune homme finit par quitter sa veste, la chaleur était devenue de plus en plus insupportable. Et en plus la porte était fermée par quelque chose, et personne n’arrivait à l’ouvrir. Il soupira, ils devaient trouver un moyen de sortir de là, sinon ils allaient finir par cuire.
Il se retourna vers Lyle.
-Il doit bien avoir une quelconque aération ou ventilation dans cette pièce ? Si on la trouve, et qu’on la met en marche, on pourrait déjà refroidir la pièce.

RESUMER:
Il prend peur lorsqu'il voit Lyle s'approcher des deux vampire. Dés que Lyle à injecter le produit à Laureen, il ne lâche pas des yeux. Il dit qu'il y a surement une aération dans le piece, et que ça serais bien utile de la trouver. Il ne sent pas très bien a cause de la chaleur

Invité

Lieux: : SOUS-SOL
Personnes: : Arkadiy Krawczyck, Duncan MacLochlainn, Rosario M. Galeano & Zadig Warrens

C’était une vieille amie qui, d’avantage que les odeurs bariolées de ce qui grouillait dans le ventre du bâtiment, s’imposait à la louve. La fragrance du sang, plus prégnante à chaque pas, avait vite fait de s’insinuer en elle et la dérouter. Avançant à pas prudents, elle s’ouvrait au chant qu’elle éveillait en elle et qui faisait écho à sa part animale. Au creux de ses paumes, le long de sa colonne vertébrale, ce même fourmillement, délicieux chavirement charnel, que lorsque la lune s’arrondissait. Etrange mais pas désagréable. Comme une pluie fine avant le déluge qui nettoyait les doutes et remettait les choses à leur place. Il n’y avait rien de plus vrai et de plus rassurant que ce grondement intérieur pour Rosario. Elle avait besoin de cet appui alors qu’elle faisait toujours route vers le gymnase, s’écartant de sa destination chaque fois que la présence d’une autre âme s’imposait à elle. Elle n’avait ni envie de discuter, ni de charrier un hystérique dans son sillage. Or vu l’odeur qui la prenait à la gorge, il devait y avoir du grabuge.

« Fais chier… » Râla-t-elle. Foutu trou à rat. Elle se demandait si les autorités avaient bien calculé leur coup en les parquant tous là-dedans et si le machin allait pas finalement leur tomber sur le coin du museau. Plus le temps passait, et plus elle se disait qu’il aurait été plus malin de se payer des vacances au frais pendant la tempête. Plus elle avançait et plus ses jurons étaient inventifs. Une drôle de sensation s’insinuait en elle, et l’étrange chuchotis de la radio ne la quittait pas. Elle ne pouvait s’empêcher de faire le parallèle avec les visions qu’elle avait parfois, et la similarité des deux événements étaient loin de la réjouir. Si elle adorait sa part lupine, le reste était loin d’être une partie de rigolade. Quand l’odeur d’autres lycans lui parvint, l’instinct l’empêcha cette fois de dévier sa route. Mais elle était faible par rapport à celle du sang, comme étouffée par cette dernière. La seule chose qui l’aidait à conserver son calme était qu’il ne coulait pas de veines connues.

Elle aperçut de loin les silhouettes des deux loups au moment où les lumières refaisaient des siennes et vit avec stupeur leur ombre s’étirer en la forme d’un loup. Comme la sienne. Ca ne dura que quelques secondes mais l’ambiance resta chargée de cet étrange phénomène. L’air était épais, saturé par l’hémoglobine. Et l’appel de la bête résonna en elle avec tellement de force cette fois qu’il lui coupa la chique. Derrière elle, le bruit de pas qui gagnait en force.

Spoiler:

Invité

Dans les couloirs :

Ariel - Evan - Rafaël

Quelques instants devant la porte de la Cafétaria où se trouvent de l'autre côté du mur :

Julian - Kiara - Laure Lynn - Astarte - Darius - Vesper - Hanae

Non, je n'ai pas sept clefs magiques qui m'ouvrent les portes, je fais partie de la réserve des pompiers, je sauve le monde toutes les nuits.

Et la lumière s'éteint. Encore. Et se rallume, afin de tuer les épileptiques enfermés avec nous. Quand elle revient, je revois mon ombre de nouveau imprimant la silhouette de mon aigle. Qu'est-ce que j'en ai à foutre, si ce n'est que cela m'énerve. Je ne sais où je suis, que faire. La magie envahie les lieux, le paranormal et sans doute des esprits au vue des jeux de lumières, à moins que ce ne soit que le sort des sorciers protégeant le lycée, et je ne peux rien faire contre ça. Rien. Si la magie s'amplifie, devient agressive ou qu'importe, on sera dans la merde. Pour l'instant, cependant, la priorité demeure le contrôle de ces vampires avant qu'ils ne provoquent une hécatombe.
Durant le chemin, je tente de dégriser l'atmosphère qui ressemble à celle d'une boîte de nuit déserte un soir de Nouvel An.

Le lycée a été construit sur un cimetière indien, c'est toujours comme ça, et les esprits vengeurs viennent... se venger.

Au bout d'un énième corridor, on tourne et tombe enfin sur la porte, close, de la cafet. Les horaires indiqués dessus expliquent pourtant qu'elles devraient être ouvertes. Bon, je tourne la poignet, j'explique que je suis pompier et qu'on a besoin d'urgence, mais vraiment, de quelques bouteilles de True Blood.
Rien.
Je tape dessus, je la pousse.
Rien.
Et là je remarque. Je sens. Il y a un problème ; habituellement, les portes ont quelques millimètres de jeu, mêmes closes nous pouvons les bouger, on peut entendre la serrure métallique heurter son encoche. Là, rien, la porte est aussi immobile qu'un mur.

Des clefs ne la déverrouilleront pas, elle est scellée par une force inconnue, lâché-je à contre-coeur, littéralement blasé. Comme j'expliquais à l'Ulfric avant qu'on se croise, il y a de fortes chances que tout ce paranormal provienne du sort lancé par les sorciers employés par le Gouvernement. Malheureusement, personne ne sait de qui il s'agit, qui les a mandé ou quoi. Pire, ni où ils se trouvent. Mais là nous devons accéder fissa à la cafèt et, excepté par l'accès des livreurs, il n'y a pas d'autres entrées.

Je regarde par la fenêtre le rideau de fer baissé qui mène aux stocks de la cuisine du lycée et voit les trombes d'eaux qui s'abattent sur le bâtiment.
Je me tourne et regarde le plan de l'établissement, cherchant le fameux "Vous êtes ici."

Bon. A moins que vous sachiez où se trouvent ces sorciers, il nous faut les amener à un endroit précis. Vue que les diodes des sorties de secours fonctionnent, les sprinklers aussi. La sécurité incendie du lycée est simple, s'il y a de la fumée à un endroit, le lycée entier sera inondé. Sauf une pièce, celles où les produits hydrophobes sont rangés, comme l'huile, pas besoin de vous expliquer pourquoi. Si on allume un sprinkler, les sorciers se dirigeront automatiquement dans cette pièce, ou alors on crèvera tous, et nous iront les chercher afin qu'ils nous ouvrent cette putain de porte. A moins que vous ayez une meilleure idée, il faut fouiller les casiers des lycées afin d'y trouver un briquet.

Spoiler:

Invité

Lieux: COULOIRS DU LYCEE
Personnes: Amber W. Drewen, Wolfgang S. Ludwiczak

Rafaël est parti avec les vampires à la recherche de Tru Blood... C'est une bonen chose.
Je reste donc seulement avec Amber et Wolfgang... Les eux semblent bien se connaitre et je me demande si c'est de ce loup dont elle m'a parlé lors de notre première rencontre...
Mais ce n'est pas important pour le moment. Il vaut mieux chercher à savoir ce qui se passe et se mettre en route pour trouver d'autres loups. Je sens que ce n'est pas bon de nous laisser tous dispersés avec les choses qui se passent, et retrouver le gymnase, même si ça signifie se retrouver au milieu d'une foule, est peut être pourtant la chose la plus sensée à faire.

Cependant, les choses ne sont pas de cet avis et, de nouveau, les lumières nous jouent des tours. Je sers les dents et pousse un soupir, observant mon ombre prendre la forme du loup... Le vent souffle toujours plus fort et la pluie tambourine sur les vitres. L'ouragan est vraiment proche...
Mais alors que les lumières clignotent toujours, je surprends le regard d'Amber vers Wolfgang et sens, tout autant que je le perçois, l'odeur forte de l'animal jaillir dans le couloir. Mon regard s'arrête sur le jeune loup et je me déplace sensiblement pour me mettre entre la petite humaine et lui.
Ce n'est pas la pleine lune, les magouilles magiques sont assez louches comme ça et je ne pense pas que ça aide Wolfgang à se maitriser. Il vaut mieux parer à toute éventualité. Sa voix à changé et ses poils se sont mis à pousser. Pour l'instant, ça ne semble pas aller beaucoup plus loin, mais je m'approche d'un pas vers lui, le dépassant largement.

Le couloir est maintenant désert hormis nous trois et s'il fallait intervenir, quelque soit la manière dont ce serait nécessaire, je n'hésiterais pas.
Je sens mon loup se mettre en accord avec mon esprit à l'intérieur de moi, lui aussi est prêt à ne pas laisser Wolfgang faire quoi que ce soit que tout le monde pourrait regretter.
« Calme toi, ce n'est pas le moment de faire une bêtise. »
Je le regarde dans les yeux, il serait bien capable de m'envoyer chier mais ce ne serait pas intelligent de sa part. Surtout s'il est vraiment ami avec Amber, je doute qu'il ai envie de la blesser par mégarde.

Invité

GYMNASE : Darren Gates, Truccone Joaquinn, Maelys E. Kendrick, Iris O. Littlespark, Stella Montgomery, Izabelle Kennedy et Michelle Tray // avec Izabelle par la suite

J’étais quelque peu choquée par la vision que je venais d’avoir à cet instant. Bien qu’elle fût plutôt floue et sombre, elle était assez macabre pour me donner des frissons dans le dos. La louve aux cheveux noir ainsi que mon frère me demanda en quoi elle consistait, mais je n’eus pas le temps de leur raconter et que l’action recommença à débouler. Je n’avais qu’eu le temps d’ouvrir la bouche, que la lycanthrope s’était précipitée dans la chaufferie et que je me fis escorter loin du lieu par des agents en direction du gymnase. Ulysse, quant à lui décida de se rendre avec la louve, la grande humaine brune et le sorcier blessé à l’infirmerie.

Je me retrouvais donc à nouveau sur mon rectangle de mousse, dans le gymnase plus bondé que jamais. Le vent soufflait si fort qu’on pouvait l’entendre de l’intérieur et la pluie fracassait les fenêtres. Ma page de journal était toujours blanche. Je n’arrivais pas à écrire quoi que ce soit. Je commençai à gribouiller un dessin, le visage de ma vision. Je poussai un soupir. Je n’avais même pas eu le temps d’avertir quelqu’un et je ne savais pas du tout l’endroit ou le moment ou ce que j’avais vu allait se produire.

Soudain, les lumières s’éteignirent d’un coup, plongeant le gymnase dans le noir pendant plus de 5 minutes. J’avais l’impression d’être exactement dans l’ambiance de ma vision. Puis des cris. J’allumai mon cellulaire, m’en servant comme lampe de poche. Ce n’était pas très efficace, mais je voyais des ombres bouger. J’éclairai les alentours, puis tombai sur un visage à glacer le sang. Le même que dans ma vision. Rien de très net, juste un visage sombre, masculin, qui me fixait l’espace d’une demi-seconde puis disparu dans le noir. La lumière se ralluma et un cadavre gisait à quelques mètres de moi. Je criai et reculai le plus loin possible du mort.

Quelques instants plus tard, un agent sympathique m’interrogea, moi ainsi que les autres témoins. Je leur racontai que j’avais vu un visage d’homme qui semblait humain me fixer, mais que je n’avais aucune idée de qui ou de quoi il s’agissait.L’agent semblait quand même intéressé par mon témoignage et me posa des questions auxquels je ne pus répondre vraiment. Après tout, ce que j’avais vu n’étais peut-être pas le meurtrier, mais un autre membre du gymnase.

J’étais un chamboulée par la situation. J’avais hâte qu’Ulysse revienne pour me rassurer un peu. Je m’éloignai du groupe de gens et marchai en direction de mon carré. Alors que je retournais distraitement à ma place, et rentrai dans quelqu’un.

« J’suis vraiment désolé… j’avais la tête ailleurs. »

C’était la femme qui m’avait donné une bouteille d’eau au début de la soirée. Je souris. J’étais bizarrement d’humeur à bavarder.

« Hey! C’était vous qui…»

Je m’interrompis, voyant que quelque chose clochait.

« …Vous allez bien ?! »

Dis-je, un peu inquiète pour elle.

RÉSUMÉ :

Spoiler:

Invité

Infirmerie : Avalon & Ulysse & Grayson

Ils se demandaient ce qu’il se passait. Ils étaient tous les quatre enfermés dans une infirmerie, où semblait-il quelqu’un rôdait juste quelques minutes encore avant leur arrivée, et la porte était complètement bloquée. Pire encore elle semblait bloquée mais non verrouillée. Qu’allait –il se passer ? Luna s’inquiétait. Elle avait peur pour Grayson qui semblait comme dans un mini coma, et pour Ulysse qui avait magiquement été soigné par son amant. Visiblement celui-ci allait bien. Enfin presque.

Luna l’observa avec intensité. Ils n’étaient pas seuls. Mais encore ? Luna récupéra sa main, mais elle ne savait pas si elle ne préférait pas se le faire broyer encore un peu par Ulysse histoire de se dire et d’être sûre qu’elle était encore dans la réalité. En tout cas son ami semblait complètement paralysé par ce qu’il voyait. D’ailleurs que voyait-il et qu’était-il ?

« Ulysse, qu’est ce que tu racontes ? »

Quand soudain, elle vit son ombre. Ou plutôt celle de sa bête. Puis petit à petit celle-ci se fit de plus en plus présente. Comme lorsqu’elle prenait le dessus sûr elle. C’était de moins en moins courant, surtout depuis qu’elle était à Shevreport, mais ça arrivait encore. Sauf que là, ils étaient en huit-clos.

« Oh non non non non pas maintenant non ! »

Elle s’éloigna le plus possible d’Ulysse et d’Avalon. Se recroquevillant dans un coin de la pièce. Se transformer comme dans les couloirs, pour défendre un proche, et lorsqu’elle se contrôlait, oui, mais se transformer en étant hors de contrôle, non. Il y avait des innocents dans cette pièce. Luna était têtanisée par la peur de faire du mal à des humains qui n’avaient rien demandé. Avaient-ils vu son ombre ?

« Prenez tout ce que vous trouverez qui puisse me maîtriser si je me transforme, vite ! »

Elle la sentait de plus en plus présente, et ne savait plus quoi faire. Elle cherchait quelque chose pour s’attacher, lorsque tel un pantin, Grayson se releva du lit. Oh mon dieu, que se passait-il ! Luna ne fit qu’un bond pour se retrouver aux côté de son amant et elle prit son visage dans ses mains. Quelque chose de froid en émanait. Qu’était-ce ?

« Grayson ? Tu es là ? Tu m’entends ? Que fais-tu ? …. Ulysse, tu crois que c’est un effet secondaire de son utilisation de magie ? Je ne sais pas comment ça fonctionne ce truc là ! »

Résumé :

Spoiler:

SOBRIQUET

GYMNASE ▬ AVEC LES INSPECTEURS, PUIS AVEC MAELYS

Ils furent interrogés. L’inspecteur lui parla d’un cimetière indien qui était peut-être sous le gymnase. Ah bon ? Elle n’avait rien contre les Amérindiens, elle venait du Nouveau-Mexique. Sauf qu’être au-dessus d’eux, elle ne se sentiat pas très confortable avec cette idée. Si elle donnait des plumes, ils allaient être contents et les laisser tranquille ? Les indiens portaient des plumes. Elle en avait tout plein. Enfin, quand elle était en cigogne. En humaine, disons qu’elle avait autant de plume que n’importe qui d’autre. Avec comment elle se sentait en ce moment, ça n’en prendrait pas beaucoup avant de pouvoir avoir des plumes. Ce qui n’allait pas arriver. Car c’était peut-être un meurtrier et non pas des fantômes indiens. Rien qui n’était très rassurant. Elle dit tout ce qu’elle savait, soit pas grand-chose. Elle n’avait rien vu ni rien entendu. Pas dans le coin où elle était. Assez loin du corps retrouvé. Elle put partir. Enfin. Ne pas rester avec les inspecteurs. Car elle ne pouvait pas aller très loin. Ils étaient enfermés. Oh. Zut. Elle venait d’y repenser. Elle voulait son coin.

Iza se retourna, comptant y aller. Elle fit demi-tour et avança, sans regarder où elle allait. Elle fonça dans une blonde jeune femme qui s’excusa. « C’est pas grave. » dit-elle. Pas du tout, c’était de sa faute. Ou de la leur à toutes les deux. Dans ce genre de situation ça pouvait être assez difficile à déterminer. La jeune femme commença à dire quelque chose, mais elle s’interrompit, lui demandant si elle allait bien. Oh, ça paraissait tant que ça ? Ce n’était pas la première fois qu’on lui faisait ce commentaire. « Euh… non. » Elle n’arrivait pas à le cacher alors. «Je vais me transformer et vouloir manger des petites bêtes.» Bon, ce n’était pas à dire. « Je suis… claustrophobe. Et ça commence à peser. Surtout avec… le meurtre. » Elle disait presque toute la vérité. Elle aurait pu lui dire qu’elle avait envie de se transformer. Sauf qu’elle ne savait pas si tous les médiums pouvaient savoir quand ils avaient affaire à un métamorphe, lycan ou vampire. Alors, autant continuer de se taire. Surtout qu’elles étaient peut-être écoutées. Elles étaient entourées de gens. Il n’y avait pas grand-chose à faire, alors écouter des conversations pouvaient être un passe-temps comme un autre. « Sinon, ça va. »rajouta-t-elle, quelques secondes plus tard, faisant un léger sourire. Autant que possible au vue des circonstances. « Et vous ? » lui demanda-t-elle par la suite. Essayer de s’occuper. Cela avait marché précédemment avec seulement la claustrophobie. En espérant que ça marche encore même avec une nouvelle donnée. Donnée qu’elle ne pouvait pas ignorer.

▬

Résumé ▬ Izabelle répond aux questions, ce qui l’occupe un peu, et repense ensuite au fait qu’elle soit enfermée. Elle veut retourner dans le coin, mais fonce dans Maelys et elles parlent.

Invité

Dans les couloirs puis devant les portes de la cafétéria avec Rafael et Ariel

D'autant plus méfiant à l'égard du lycan lorsqu'il constata que l'ombre de celui-ci se déformait, Evan c'était interposé discrètement entre lui et Ariel, marchant entre eux deux. Il ferait au moins écran si les choses dégénéraient, protégeant ainsi son amie. L'ambiance étrange qui régnait ne plaisait pas des masses au vampire qui se posait bien des questions quant au possible dénouement de tous les faits étranges qui se déroulaient dans ce lycée.
Intrigué et observant le moindre élément pertinent, le buveur de sang n'était pas très bavard. Son attention était ailleurs et ses sens en alerte, sa réflexion s'activait mais rien de cela ne pouvait paraître tant son sang froid habituel demeurait intact. Il espérait ainsi inspiré de la confiance à la jeune vampire, toujours attentif à son état et plus encore sa sécurité. La lumière est instable mais ça il s'en fout pas mal, c'est un peu agaçant mais pas vraiment handicapant pour ceux de son espèce. Ecoutant tout de même le lycan évoqué le cimetière indien, Evan apprécie l'effort que Rafael fait pour briser la glace "Les esprits sont puissants, mais le plus dangereux c'est la panique qu'ils sèment." il avait déjà vécu cela plus d'une fois et était bien placé pour le dire. Enfin ils arrivèrent devant les portes de la cafétéria, celles ci semblaient cependant bloquées. Ni Rafael, ni Evan ne purent les forcer, ce qui contraria quelque peu le vampire pas habitué à ce que sa force ne l'aide pas.

Il laissait l'autre prendre les choses en main, ça ne lui posait pas de problème et ses idées n'étaient pas stupides. Amener les sorciers responsables de tout ça dans un endroit précis en activant la sécurité incendie était un plan tout à fait réalisable, encore fallait-il qu'ils aient la chance de trouver des briquets dans ces casiers. Evan hocha la tête "Bien, il nous faut donc une source de chaleur suffisante pour créer cette inondation." il s'approcha d'Ariel et lui glissa à l'oreille "Reste prudente.". A ces mots il se mit en quête de trouver de quoi faire du feu. Des bruits parvenaient à ses oreilles à l'ouïe si fine mais il n'y prêtait pas attention. Ouvrant les casiers à la volée sans se soucier des dégâts, il les vidait sans ménagement pour y trouver ce qu'il cherchait.

Spoiler:

SIGNALEMENT

DANS LES COULOIRS; avec A. C. Jeremiah Kellog

« J'suis capable de me maîtriser. »

résumé; La bête de Wolfgang est éveillée par une forte odeur de la forêt, et Jeremiah s'en rend compte, mais Wolf par fierté ne l'écoute pas.

SIGNALEMENT · MJ Ϟ Shut up, bitch.

Des suites d'un fort ralentissement au sein de l'intrigue, et des quelques problèmes et abandons qui se sont successivement enchaînés au sein du forum... Nous avons décidés de conclure plus rapidement que prévu.
Nous vous prions sincèrement de nous excuser. En espérant que les nouveautés dorénavant mises en place et durement réfléchies, vous plairont !
Afin de ne pas refaire les mêmes erreurs et de vous permettre un jeu confortable la prochaine fois, nous mettons à votre disposition un sujet afin que vous puissiez nous éclairer sur votre ressentiment, afin que vous puissiez nous donner vos avis, et vos idées pour améliorer les choses.

:69:

Episode 5

Event Multijoueur

Les choses devaient aller du mieux en pis.
Edward, vicieux et malingre petit dandy. Edward, donc, a une idée fixe dans un coin de sa cervelle. Les neurones s'agitent, et son trouble regard ne présage rien de bon. Coincé au milieu de tous ces hystériques beuglant ou miaulant à la découverte d'un cadavre en plein centre du gymnase, il reste silencieux et pensif. Il sait. Comment il le sait et que sait-il au juste ? Pourquoi tant d'interrogations ? Il le sait, parce qu'il le sent. Un point c'est tout. " Puisque ce n'est qu'une putain d'évidence. " cracherait-il, véhément." Honnêtement, qu’espéraient tous ces brailleurs ? Enfermer des loups-garous et des humains ensemble ? Stupide ! " adjoindrait l'enflure à sa précédente remarque.
Il se le répète, inlassablement. Il s'aliène, là, sur son lit de camp merdique. La peur au ventre et une migraine infernale l’assommant. " Ce sont les loups qui ont fait le coup ! La preuve, y'en avait un maculé de sang juste à côté du cadavre, et les flics là, ils l'interrogent en mode gentil alors que ça semble évident que c'est lui, non ?! "
Ce cher Edward... Oui, ce cher Edward est un con.
Mais Edward est aussi con que son voisin, que sa voisine, et que leur petite fille qui pleurniche. D'ailleurs, pourquoi les fillettes pleurnichent-elles tout le temps ? Edward se pose beaucoup de questions. Et Edward aime avoir une réponse à tout. Comme la grande majorité de la population, Edward se base sur des agissements et des quiproquos, sur des sensations et des a priori . Ainsi, Edward cogite. " Pourquoi les flics continuent-ils à interroger d'autres personnes, pourquoi entend-il comme des pleurs d'une enfant et pourquoi diantre la porte menant au sous-sol demeure-t-elle fermée ? "
Il a tout bonnement l'impression d'être bloqué quelque part entre l'enfer et les limbes, dans un endroit vraiment malfaisant où rien ne pourra sortir de bon ! " De toute façon, avec ces monstres, il ne peut décemment jamais rien arriver de bon. " Conclut-il vindicatif et pédant.
Ce cher Edward... Oui, ce cher Edward est un con.

La BRIS a en effet séparé les gens. Les agents interrogent et questionnent, alors que pendant ce temps, des métamorphes et des loups-garous sont confrontés à leur bête, dans l'ombre et dans les ténèbres, que des vampires commencent à flipper car la chaudière marche un peu trop fort et que ça commence à sentir le cramer, que des agents et chasseurs se retrouvent bêtement enfermés avec un poltergeist. " Trop de choses, trop, trop, trop de choses ! " crise un vampire nouvellement transformé en tapant des pieds.
Et soudainement les portes extérieures s'ouvrent. L'enfer semble terminé, à condition de pouvoir quitter les lieux bien sûr.
N'oublions pas qu'il y en a encore coincés en bas, dans la chaufferie, et dans la cafétéria. Il faudra défoncer les portes pour parvenir à les libérer. Toutefois ce qui les attend dehors est-il mieux ? Redoutable question ! Devant laquelle, notre cher Edward s'émoustillerait déraisonnablement.
Une fois l'agitation métaphysique terminée, il demeure deux faits élémentaires qu'on ne peut oublier : un crime a été commis d'une manière sanglante et extrêmement violente sans qu'aucune preuve ne puisse établir de liens avec quiconque présent sur les lieux au moment des faits. La BRIS cependant ne lâche pas l'affaire.
Et la tempête a ravagé la ville.
Chouette !

» THE CRAZIES DAYS intrigue multijoueurs
» INTRIGUE MULTIJOUEURS ♣ Une allumette dans un océan d'essence
» INTRIGUE N°2 | Déroulement de l'Intrigue & comment participer
» Le valet du diable fait plus qu'on ne lui demande...
» « La Hantise » [ INTRIGUE 3.2 ]

INTRIGUE MULTIJOUEURS La tempête du diable {TOUR N°1

INTRIGUE MULTIJOUEURS La tempête du diable {TOUR N°1

Sujets similaires

Sujets similaires