➽ Date et lieu de naissance. 12 décembre 1979 à New-York ➽ nationalité. États-unienne ➽ état civil. Je suis marié avec mon célibat ➽ lieu d'habitation. Certains diraient à l'asile, sinon c'est à Midtwon. ➽ métier. Inspecteur pour la BRIS ➽ étiquette qui vous est collée. Je suis le meilleur agent de la BRIS, tous reconnaissent mes talents et s'en inquiète. Mais aussi du fait de mon insociabilité et de mon psychique proche d'un malade psychotique.

Suite aux nombreux événements récent et dû aux états de service de l'agent Hawking, un suivi psychiatrique a été sollicité par l'agence, en voici donc le rapport. Mr Hawking a montré des oppositions durant la phase de teste, cependant j'ai tout de même réussi à dessiner le portrait psychologie du patient.

Ces capacités d'enquêteur ne sont en rien remit en question. Durant l'entretien ainsi qu'après des recherches dans les archives, j'ai constaté que son Quotient Intellectuel est plus élevé que la moyenne. Du fait de son expérience, il n'est pas l'exemple de personne qui va émettre des conclusions trop hâtives pour ensuite foncer dans le tas comme beaucoup de jeunes recrut. Il sait rester calme afin d'émettre toutes les hypothèses possible, il peut durant des heures rester silencieux à se questionner sur toutes les éventualités de l'enquête et des conséquences de ses conclusions. Malgré le fait que l'inspecteur possède une arme, sa véritable arme est sa logique et sa raison. Et elle est redoutable. Mais ce qui fait de lui un excellent enquêteur reste sa capacité de curiosité. Avec le temps elle devient de plus en plus grande, c'est une soif qu'il ne peut étancher. Alors que bon nombreux d'agent abandonne une enquête ou ne trouve pas la réponse, cette curiosité pousse Mr Hawking à aller au bout des choses et de trouver des réponses ainsi que des résultats même si cela met sa vie en danger. Le patient m'a aussi assuré que : " Vous savez, il n'y a pas que cela dans le métier d'enquêteur, il y a aussi l'instinct. Vous savez celui qui vous murmure à l'oreille que cette personne ne dit pas la vérité, qu'une chose n'est pas à la bonne place, que cette tarte à la pomme est plus industrielle que veux nous faire croire la jeunette".

Cependant, j'ai pu observer que cette curiosité pour ses enquêtes à fait de lui un homme à part de la société. Il ne vit que pour son travail, cela devient même une obsession. Le patient m'a avoué qu'il faisait passer son travail avant tout le reste. Ce qui à long terme peut être néfaste pour la personne. Des signes liés à son état de santé psychologique sont déjà apparu. Mr Hawking a des tendances à la paranoïa sans nul doute du fait de son travail et de ses conditions de vie. Cette tendance se traduit par une méfiance envers autrui. Le patient semble avoir confiance en personne, pour lui toutes les personnes peuvent devenir des êtres amorales et dangereux. Cette névrose lui provoque des insomniaques constants et fait de lui une personne tout le temps en alerte.

Cet état mental ne fait pas de lui un homme dangereux, mais un agent à surveiller. Au premier abord, Mr Hawking une personne calme. Un peu froide, possédant un humour très douteux très cynique. Très taquin, vous trouverez à la fin de ce dossier une annexe de toutes sa poésie verbal. Mais je pense qu'il doit en jouer, c'est ce qu'on appelait une technique de défense. Car je songe qu'au fond lui, c'est une personne très respectable. Il possède des qualités qu'il ne montre qu'à peu de personnes. Quand j'ai abordé le sujet de Ms K.L. Murphy j'ai pu constater de la sympathie voir même plus que cela. Le patient semble apprécier cette personne. Envers celle-ci au fil des discutions je me suis retrouvé en face d'un autre homme. N'y voyait pas un dédoublement de la personnalité, seulement la seconde face d'une pièce. Tel que la générosité, une grande sociabilité et un sentiment de protecteur. Seulement, il a mis en place un bouclier que seul Ms K.L Murphy semble avoir traversé.


On peut résumer Mr Hawking simplement à son travail d'inspecteur de La BRIS. Il reste de longues heures à son bureau ou chez lui à travailler sur ses enquêtes en cours. Il vérifie les dossiers, il confronte les preuves, les témoins, il retourne sur les lieux des crimes, il vérifie les archives. Avec le temps personne n'est plus étonné de le voir rester dans son bureau quand tout le monde est parti ou de le retrouver le lendemain au même endroit avec seulement plus de feuille sur son bureau et la machine à café totalement vide. J'ai appris de ses collègues qu'il gardait un sac de couchage dans un placard. Certes, cela donne un bon agent, mais pas un homme équilibré. Mais il serait honteux pour moi de le réduire à cela.

Après interrogation des membres du service physique des employés, il semble que Mr Hawking pratiques une activité sportive régulière. Il semble avoir son propre entraînement qu'il pratique chez lui, mais va aussi presque tous les soirs à la salle de sport afin de pratiquer un sport de combat tel que le close combat ou la boxe thaïlandaise. D'après ses professeurs, il serait un élève assidu qui montre une très bonne santé physique.

Enfin une dernière activité qui pratique est le tir. Il va régulièrement s'entraîner au stands de tire. Durant l'entraînement il utilise presque tous les types d'arme, presque puisque dans sa profession il n'utilise que rarement un lance-roquette. Encore d'après les personnes du services du tir, Mr Hawking est un homme doué, mais très réservé et à leur connaissance aucun ami.

- Mr Hawking avez-vous des amis ?

- Regardez sur Facebook, j'ai environ 500 amis. Je suis même pote avec le président des Etats-Unis. Il est vraiment cool, dans deux semaines je pars en vacances à la maison blanche, on va bien se marrer !


Afin de bien connaitre le personnage de Mr Hawking, j'ai du enquêté un peu sur sa vie et ses habitudes. Apparemment, il semble ne pas aimer grand chose autre que sont travail, mais comme je l'ai déjà dit, on ne peut le résumé à un métier. J'ai pris donc des notes (ci-dessous) qui témoigne de sa personnalité, comme on dit sur les goûts et les couleurs.

Habitude :
- Tous les matins à environs 6h30 du matin, il coure durant 45 min avant de rentré chez lui.
- Regarde toujours des deux côtés de la route, mais aussi souvent vers le ciel et sa montre
- S'habille mal et porte toujours son blouson en cuir
- Le club de sport et le stands de tir de La BRIS

Aime :
- Les filles à 5$ la total (selon lui)
- La tranquillité
- Préférence musical : plutôt le classique
- Son amie Ms K.L Murphy
- Se battre
- Sa moto

Déteste :
- Tout le monde (enfin il veut nous le faire croire)
- Les pimbêches
- La nourriture japonaise (qui toujours d'après lui, lui donne des gaze)
- Tout ce qui à de matériel sur se monde

Envers les CESS je ne peux me prononcer, il semble n'y avait aucune animosité.


- Mr Hawking que pensez-vous de la révélation ?

- Ce fut pour moi comme une ... révélation. Échange de regard. Cela à juste confirmer ce que j'ai toujours affirmé. Que voulez-vous de plus. On me prenait pour un fou parce que j'y croyais et maintenant ... Je pense que ce ne soit pas une si bonne chose que cela, en tout cas pour les humains. Ils sont restés caché tellement longtemps, pourquoi maintenant ? Pourquoi se révéler soudain au grand jour ? La révélation est annonciateur d'un mauvais présage pour les humains. Je n'ai rien contre les vampires, les sorciers ou que sais-je. Mais je peux vous certifier que nous sommes plus près d'un désastre que d'une paix universel que ces abruties de hippie veulent nous faire croire.


Suite à un examen médical physique, le patient présente de nombreuses cicatrices sur tout le corps. Certaines sont presque effrayante et ne sont pas d'origine humaine.

Combattre ou mourir. Tel était la devise de mon père. Quand j'étais plus jeune, je pensais en avoir une idée bien précise de ce que signifié cette phrase. Mais avec le temps, comme tout à chacun on change.

Je suis né dans une ville isolée, loin des grandes agglomérations. A l'époque de ma naissance les États-Unis démocratique sont en pleine guerre froide contre l'URSS communisme, les tensions sont forte et tous les peuples ont peur de revivre les massacres des grandes guerres. Le second choc pétrolier va pousser beaucoup de monde à ce jeté d'une fenêtre que devant les bureaux des députés pour y clamer une fin d'un pouvoir de l'argent. Malheureusement les plus touchait fut les gens de classe moyenne disait-on. Les personnes comme m'a famille. On ne vivait pas dans le luxe, loin de là, on vivait simplement. Dans une petite maisonnette, au sien d'une petite ville.

Pour être sincère je ne sais pas pourquoi j'écris ces quelques lignes, mais si je dois mourir bientôt je pense que le monde doit savoir ce que je sais. Car il y a bien plus que de simples créatures et ce qui se trame dans l'ombre est quelque de tellement plus terrifiant. Mais pour vous dire la vérité, j'écris aussi parce que j'en ai besoin, je ne peux me confesser, car Dieu m'a rejeté, alors je soulage ma conscience par les mots, car les mots ne peuvent pas mentir, non ? En tout cas c'est mon cas.

Je n'ai pas vécu ce qu'on pourrait appeler une enfance heureuse et épanouies. Mon père était policier et ma mère était infirmière. J'aimerais l'oublier, pour toute la souffrance qu'elle nous a causé. Actuellement on dirait qu'elle était médium et que son don, que je nommerai malédiction était d'avoir un lieu très fort avec outside : le monde des morts. Quand j'avais 7 ans, je jouais dans ma chambre, mon père était de repos et faisait tant bien que mal la cuisine. Mais croyait avant ce moment parfaitement sain, que jouait avec des G.I.Joe, qui admirait son père et qui commençait à jouer au docteur avec les filles, ... Hum... Je me souviens bien de la petite Élisabeth, la petite de la famille O'Connor. Déjà à son âge elle était bien foutue, mais je suis sûr que plus tard elle a dû devenir une vrai salop** Oui ce n'est pas le sujet.

Après son service, ma mère est rentrée à la maison, mais cette fois elle était légèrement plus blanche que d'habitude. Moi je ne remarquais rien et mon père ne s'inquiète pas plus que ça. Il devait penser qu'elle avait dû avoir une dure journée. Il n'imaginait pas cette malédiction venait de commencer. Le temps passer et ma mère revenait de plus en plus pâle, fatigué, toujours sur les nerfs. Elle ne dormait plus, ses mains tremblaient et ne souhaitait pas aller à son travail. Ce qui était parfaitement logique puisque dans les hôpitaux quand on y va s'est surtout pour y mourir. C'est quand elle commençait à parler toute seule, que mon père s'est inquiété, puis tout est allé très vite. Il y a eu des visites chez le psychologue, des histoires sur des fantômes qui lui demandaient de l'aide. Ses voix qu'elle entendait. Cette couleur de vie qui quittait peu à peu ses joues et ses yeux. Ma mère avait changé.

Mon père ne comprenait pas ma mère ce qui était bien normal, il avait tout fait pour l'aider, mais en réponse il ne reçut que des gifles, des cris et des insultes. Moi, comment vous dire que je restais dans ma chambre, je ne voulais plus voir ce visage qui n'était plus celui de ma mère et qui hantait la maison. Car cette malédiction lui coûta son travail. Après une croise d'angoisse, elle administra le mauvais médicament à un garçon qui le conduisit à sa mort. Quand je pense qu'il n'était venu que pour un mal de ventre. Ironie du sort ? Blague de dieu je crois.

Tout fini ou un soir, mon père rentrait à la maison à la fin de son travail. Il me retrouva dans la cuisine, assit, pleurant alors que du sang faisait comme une flaque protectrice. Un couteau gisait au seul pas loin. Fou de colère, il ne prit pas la peine de me sortir de la qu'il cherchait sa femme, la main sur son arme. Dans son esprit quelque aussi venait de se briser. Cela était dû à la seule personne dangereuse de la maison et de la ville : ma mère. Nouvelle ironie, alors qu'il souhaitait la voir morte c'est qu'il arriva. Elle était déjà morte. Je ne sais guère comment et comment la situation s'était passé, car mon père ne m'a jamais raconté et les dossiers concernant l'affaire on brûlait peu de temps après.


Dans années durant j'étais un garçon psychologiquement stable et j'avais passé le cap du docteur avec des filles faciles de mon ancien quartier. J'avais retrouvé une vie presque idéale. J'étais populaire, j'avais une magnifique copine qui changeait de nom toutes les deux semaines et j'avais le lycée pour amis. Cependant, mon père avait trouvé d'autres amis moins sympathique, comme Jack Daniel's, tequila ou encore Vodka. La perte tragique de sa femme est de ce qu'elle était devenue l'avait affecté au plus haut point. Il était devenu une sorte d'être sans envie, avec un boulot minable dans un appartement minable. Chaque fois que je croisais son regard, c'était ma mère que je voyais, à chaque fois qu'il buvait, qu'il était bourré s'était une souffrance pour moi de voir un homme bon devenu quelque chose de regrettable.

J'étais jeune et idiot, mais j'ai fait la seule chose que je devais faire si je ne voulais pas devenir fou ou comme lui. Non je ne me suis pas dans une choral stupide pour gagner une connerie de compète de chant. Comme beaucoup je me suis inscris à l'armée. Et ce fut la dernière que je vis mon père.

Pour la faire courte, car je ne sais pas s'il y a encore beaucoup d'encre sur ce stylo, j'étais un très bon soldat, mais un soldat qui réfléchit. Du coup je suis vite monté en grade, jusqu'à devenir lieutenant. Ma vie était toute tracée, buter des méchants avec mon arme, prendre la retraire à 45 ans, profité de l'argent mit de côté et passer mes nuits dans des bars de strip-tease, la belle vie... Malheureusement, alors que je voulais oublier l'histoire étrange de mon enfance quelque chose du passé me rattrapa. Avec mon régiment on traversait une ville déserte en Irak. D'après des sources "officiel" il y aurait non loin de la des armes atomiques. Vous y croyez ? Parce que moi oui. Bref, la nuit arriva et on installa le camps. C'est alors qu'on le remarqua. On ne savait pas qui s'était, mais il avait l'allure des habitants qui vivaient dans la région. Ce qui étonna ne fut pas le fait qu'il se retrouve très proche de nous sans qu'on l'ai remarqué, ce fut pas non plus la tête d'un de mes sous-officiers dans sa main droit, mais plutôt sa tête de loup sur un corps d'homme entièrement recouvert de poile.

La suite fit un véritable carnage, on se battait contre quelque chose que nous ne connaissions pas. Elle était rapide, forte, sanguinaire, un démon de la nuit. Le résultat était éparpillé un peu partout avec moi et soldat à mes côtés. Plus de balle, plus de force, plus d'espoir. Quand on rentra au pays, on ne fut pas accueille en héros. On sera quelques mains, on nous fit promettre de ne rien dire à personne et d'oublier ce qu'on avait vécu. Pour l'autre ce fut facile, à peine rentré chez lui qu'il se fit explosé la cervelle, mais pour moi s'était autre chose. Cette bête me faisait repenser à ma mère, pour une raison inconnue. Mais cette pensée petite au début, me hanter de plus en plus, je devais savoir ce qu'étaient toutes ses choses.

Vétéran de guerre, je suis rentré au FBI afin d'enquêter sur ces phénomènes étranges. Mon directeur de service partageait cette même obsession, même si les raisons en étaient différentes. J'ai travaillé des années durant sur ces phénomènes, on me traitait de cinglé, chaque piste m'emmenait plus loin dans l'imaginaire torturée des contes et légendes maléfiques. Puis le jour arriva

Vous savez, ce jour ou les vampires sont venus faire toc toc à la porte des humains pour leu dire : " non mais nous aussi on veut foutre notre bazar dans le monde. Puis les révélations se sont succédé comme si chacun souhaité une part de gâteau moisie.



Finlay était là bien avant les autres. Il voulait profitait d'un moment de calme avant la tempête. Le soleil venait de se coucher et il avait été informer dans la journée que des émeutes aller sans doute éclater durant la nuit, une émeute de vampire et bien d'autre. La situation était assez grave, pour que toutes les forces de police soient mobilisé armée de bouclier, de lance fumigène et de casque. Une vrai petite armée. Enfin elle paraissait bien triste face au opposant qui été bien plus fort et imprévisible. Des affrontements avaient déjà éclater en ville, mais elle n'impliquer que quelques personnes. Actuellement, personne ne savait combien de civil non-humain descendrait en ville pour mettre le feu au poudre.

Hawkink tourna la tête est aperçu la troupe de soldat policer se rapprocher du lieu de rendez-vous. Il eu un mince sourire, il n'y avait pas beaucoup de monde. Un dernier regard à la lune et il fit demi-tour pour prendre le contrôle de son équipe. Des membres de la BRIS étaient là, afin de prêter main forte au force de l'ordre et de contrôlé la situation.

- Bonjours Mr Hawking, nous attendons vos ordres !

L'interlocuteur était un jeune homme de bonne carrure avec des yeux vert qui reflétaient une certaine sureté orgueilleuse. Que croyait-il ? Pouvoir maitrisé une horde de civil en colère ? Pff, il est encore jeune..

- Mr Hawking est pas là.

Le jeune homme ne savait plus quoi réponde. Il se retourna vers collègue pour leur faire une grimace d'incompréhension, ils répondirent par des mouvements d'agacement, mais restèrent silencieux. Il savait bien où étaient leur place. Hawking était certes une personne peu fréquentable, mais s'était leur supérieur. Il avait un certain contrôle sur le protection de cette ville et des agents qui doivent assuré cette protection. Ici les agents de la BRIS représente une autorité bien supérieur. Voilà pourquoi l'homme au yeux vert restait sur place sans rien dire.

Finlay pousse un soupire, il faisait froid, il avait des courbature partout et sa journée n'avait pas été des plus reposant, bon elles ne le sont jamais d'habitudes, mais s'était une bonne soirée pour faire coulé du sang. L'agent sorti sont arme, un automatique, il vérifie si son chargeur était bien remplie de balle en argent, autant utile sur un individu quelconque que sur un vampire, une balle n'est pas raciste, elle trou aussi bien la peau d'un homme que d'une créature de la nuit.

- Vous voulez des ordres ? Très bien vérifiait que vos armes sont remplies de balle en argent car vous aurez l'air un peu con si ce n'est pas le cas. J'en veux cinq sur ce toit, six autour de ce bâtiment et 4 qui assurent une protection au soldat du feu.

Personne n'eut le temps de bouger qu'il continuait de donner des ordres qui en déconcerta certain.

- Toi appelle ta femme, elle doit surement être dans le lit de quelqu'un d'autre en se moment. Toi, il désignait un autre, crache moi ce chewing-gum, toi ... pourquoi tu es là toi ? Rentre chez toi ! Je veux que chacun est une arme, et une danseuse à ses côtés, avec un peu de chance ils s'en prendront à la nana plutôt qu'à cette bande de bras-casser. Et au pire, s'est toujours mieux de mourir avec une femme qui vous titille le colosse.

Hawking jette

un peu d'information sur votre famille.

➽ personnage inventé/scénarii/prédéfini ? écrivez ici ➽ pseudonyme. écrivez ici ➽ âge. écrivez ici ➽ code du règlement. écrivez ici ➽ avis général à propos du forum. écrivez ici ➽ avatar utilisé. écrivez ici