I've Got a Name

Invité

Too Old to die Young man

Peter Wilkins

© me

Prélude

➽ date et lieu de naissance. 04 Novembre 1819 à Birmingham ➽ nationalité. américaine ➽ nom de votre vampire. Anne-Lise de Sainte-Hermine ➽date de la marque. 15 Janvier 1861 ➽ état civil. célibataire ➽ lieu d'habitation. quartier d'habitation en ville. ➽ métier. Major-général ➽ étiquette qui vous est collée. En ville, les gens qui me connaissent savent que je suis quelqu’un de droit et sincère. Ils savent aussi que je suis un grand malin et ne me laisse pas prendre dans des quelconques jeux pervers et également que je ne suis pas un homme fragile que l’on peut détruire facilement. Pour les vampires je pense ne pas être vu comme un esclave pur, mais plus comme un compagnon de vie pour ma vampiresse, même si en soit je suis quand même un serviteur à leur yeux. Et par mon lien de marqué avec ma maîtresse on constate un lien simplement fraternel, et de là, les gens savent que si l’on fait du mal aux miens, on le regrette amèrement. Sinon je pense qu’on ne me voit pas comme quelqu’un de difficile à supporter ou à vivre…

I. I want to know who you are

traits de caractère.

Se décrire soit même est une dure épreuve, j’ose espérer que je serais le plus objectif possible !
Tout d’abord je pense avoir gardé mon caractère un peu introverti par moment, selon la personne en face de moi. Mais ce ne signifie pas que je suis asocial, bien au contraire, j’aime être en compagnie de toutes sortes de personnes. En fait je n’aime pas être seul dans le sens où je ne suis pas un solitaire dans l’âme. Par ailleurs, les personnes que je considère comme très proches, ou comme de ma famille, je les choierais et les protégeais même si cela m’en coûte la vie, ce qui fait que je fais la transition vers un autre trait de caractère chez moi, je suis plutôt déterminé dans certaines choses. Quand je suis une ligne, j’y reste, et ce n’est pas de l’entêtement non, car je ne suis pas têtu comme un âne voyez vous, on dit bien qu’il n’y a que les idiots qui ne changent pas d’avis, non ? Ce que je veux dire c’est que j’ai des convictions, des opinions, comme tout le monde j’imagine.
Je ne suis pas seulement déterminé dans l’idée, je le suis pas des faits également, quand je dis quelque chose, je le fais !
Je peux être quelqu’un de très mauvais durant mes jours de manque, heureusement ça arrive peu souvent, mais quand ça arrive, il ne vaut mieux pas me croiser, il se peut que vous vous retrouviez chez vous non pas avec un coquard, mais avec des vérités que vous n’auriez pas aimé entendre de façons très sèches et brutes.

Je peux être mesquin quand je sais que la personne en face de moi n’est pas honnête. Je ne serais pas hypocrite, je n’aime qu’on ne me prenne pour un abruti c'est tout.
Je suis quelqu’un de droit, je n’y vais par quatre chemins quand je veux dire quelque chose à quelqu’un, une sorte de franchise. Bon bien sûr je peux peser mes mots si je sens que cela est nécessaire, et que la personne face à moi est trop sensible, je ne suis pas un monstre voyons.
Je n’ai pas une carrure de grosse brute, alors je me défend lorsque j’en ai besoin avec ce que je peux, la parole est une arme puissante à mon sens.

Je suis aussi un homme sensible, oui oui j’ai un petit cœur ! Vraiment ! Je suis sensible aux sentiments, à l’amour, à la haine… Il m’arrive de m’effondrer, d’avoir peur comme une chochotte (aurais je du dévoiler ça ?) dans des situations bien particulières, d’être furax, et comme je l’ai dis plus bas cela se verra.
Je suis un homme fidèle, pas simplement au niveau des relations amoureuses, sur d’autres types de relations, sur des faits, des pactes… Je ne trahirais pas si On ne me l’ordonne pas… je suis un marqué n’est ce pas ? Et bien que je sois un marqué et un homme sociable, je suis indépendant, je vis ma vie librement, comme je l’entend.

J’ai beau avoir un grand âge en nombre d’années, je ne suis pas un vieux ronchon, je m’intéresse à tout, à la culture d’aujourd’hui, aux nouvelles technologies.
Je suis un homme également romantique. Je suis le genre d’homme à offrir des chocolats et des roses à une femme et à l’embrasser sous le clair de lune…

occupation diurne.

J’occupe le poste de major-général, un poste important au gouvernement, pas le plus haut mais tout de même, s'occuper décisions militaires est important. Autrement, j’ai l’habitude de voir très très régulièrement ma chère Anne-Lise histoire de passer du temps avec elle simplement.
Je ne pratique pas vraiment de sport à proprement dit, j’aime faire de la balade à cheval, c’est quelque chose qui m’est resté depuis longtemps. Sinon, j’aime boire quelques verres dans un bon bar pour écouter de la belle musique ou bavarder avec des amis.

manie, habitudes & goût.

Ce que j’aime :

-Ma nouvelle vie, oui ça paraît évident, je me complais dans mon nouveau statut de marqué
-Les aliments en rapport avec le lait, la crème, la chantilly, humm….
-J’apprécie la compagnie des animaux
-J’aime discuter de politique
-J’apprécie voir des films au cinéma
-J’aime lire
-Me sentir bien à mon époque
-Voir le temps qui passe sans que cela m’affecte
-La musique classique
-La mer
-Aime l'expression "La vérité sort toujours de la bouche des enfants", je la trouve vrai par moments...
-Jouer du piano

Ce que je n’aime pas :

-Les suspicieux
-Les fruits de mer
-Me sentir seul le soir
-Me sentir trop en manque de sang (ça me met en fureur ! si si je vous assure !)
-Les personnes qui se croient supérieures à tous ou mieux que tous
-Le froid
-La cigarette

Mes manies et habitudes :

-Me regarder dans le miroir et me dire que je n’ai pas changer, pas que je sois narcissique, c'est juste que cela m'étonne un peu plus chaque jour
-Mettre de temps en temps un bouquet de fleurs chez moi
-Faire des mimiques selon mes humeurs ou attitudes

relation avec votre vampire.

Cette relation avec ma chère sœur date d’il y a plus d’un siècle. Je ne connaissais en rien ce monde, celui des vampires, des marqués, tout cela… Je faisait parti des troupes fédérales nordistes, en mission en Louisiane pour lutter contre les mœurs d’autrefois, et c’est en ces terres que nous nous sommes rencontrés, de façons bien amicales puisqu’elle avait les mêmes convictions que moi. Nous avons discuté sur nos opinions, puis avons fraternisé.
Pour en revenir au sujet, j’ai plus ou moins choisit de devenir le marqué d’Anne-Lise, en fait je l’ai accepté comme une aide de sa part qu’elle m’a gracieusement et généreusement offerte alors que j’étais à l’agonie à cause d’une embuscade où j’avais été mortellement blessé. Sur le coup j’étais faible et en soit je consentais à être son « esclave » en acceptant d’être marqué alors que je luttais contre, paradoxal non ? D’un autre côté je savais que si je n’acceptais pas ce cadeau, j’allais finir tel un cadavre gisant sur le sol à me faire grignoter par des rats en pleine nuit à moitié conscient.
J’appelle cela un « cadeau » oui… en fait je pense qu’Anne-Lise m’a été envoyé comme un cadeau, et le fait d’être son marqué ne fait de moi son esclave, juste un membre de sa famille, un frère. Je ne l’ai jamais aimé comme un amant, jamais je ne me le serais permis et je ne pense pas que cela changera, cela gâcherait tout. Mais elle est dans mon cœur et reste pour moi une grande sœur.

conviction.

C’est amusant de voir comment cet événement a pu changer certaines mentalités. J’ai vécu quasiment un siècle et demi avant la révélation en pensant que cela n’arriverait pas, ou bien que cela ne devrait pas arriver. Aujourd’hui toutes ces « races » sont connues et sont sous les feux des projecteurs. Je ne blâme pas l’envie de s’exprimer, de vouloir avoir son identité réelle et non plus fictive, au contraire. Mais cette vérité est trop dure pour ce monde à mon sens, malheureusement.
Voyons le résultat aujourd’hui : des combats de plus en plus violents, des attaques de CESS de plus en plus fréquentes, des agressions, dont le mot est un euphémisme ici, sont de plus en plus violentes envers toutes les races, que ce soit pour les vampires ou bien même pour les lycans ou les autres.
De plus, je pense qu’une fascination accrue peut comporter trop de risques, on le voit actuellement, des humains qui s’intéressent de trop prêt à ce monde et qui s’en mordent les doigts ensuite, s’ils le peuvent encore… Cette révélation amène haine entre races, suspicions, vengeances.
Non, je le dis, je préférais avant la révélation.

signes particuliers.

Non je n’ai pas de rien de notable ou de très important à signaler. Pas de tatouage, pas de percings, rien de tout cela. J’ai des cheveux gris ! C’est notable ça ? Et oui quand on a passé les 40 ans (même avant je vous l’assure) il se peut qu’on ait ce genre de problème… Sinon j’ai des mimiques me dit on, quand je suis surpris, quand je suis très gai, par contre je tire la tronche quand je suis pas content, et ça c’est expressif chez moi !

II. A true storyOption 1: la version classique

histoire.

Spoiler:: Tout d’abord, je suis née au Royaume-Unis, le 04 Novembre 1819 dans une petite clinique à Birmingham. Je n’étais pas le premier de la fratrie, mes parents avaient déjà eu un fils 2 ans auparavant, Edouard. J’étais né dans une famille composée de mes deux parents, mon grand frère, mon grand-père puis enfin moi, à tendance protestante sans vraiment pratiquer à fond tous les jours. Ma famille était aisée pour l’époque, mon père travaillait dans l’artisanat du verre dans la boutique de mon grand-père et tout allait pour le mieux.
Je grandis dans mon petit village, non loin de la grande ville de Birmingham, j’étais un jeune garçon épanoui à l’école, plein de gaieté et très complice avec mon frère. J’étais juste un peu introverti, cela faisait parti de mon caractère à l’époque.

Birmingham a cependant été sujette à l’industrialisation du Royaume-Unis, surtout à partir de 1820, et c’était une très bonne chose en soit c’est certain. Mais l’industrialisation se fichait des petits artisans et à l’époque nous n’avions que deux choix : soit elle te rachetait ou soit elle te détruisait, mon grand-père lui à subit la deuxième solution, trop orgueilleux pour se faire racheter sa petite entreprise. Du coup plus de travail pour mon père et mon grand-père, et ma mère ne travaillait pas, elle s’occupait de nous et de la maison. Encore une fois deux choix s’offraient à nous : le premier était que mon père et mon grand-père se résignent à aller travailler dans les grandes industries du coin, et la deuxième solution moins banale était d’immigrer en Amérique, à la conquête de l’or dans l’Ouest. En réalité cela se faisait de plus en plus, une sorte de mode et bien sûr un besoin évident pour des familles comme la notre à refaire fortune, et bien sûr nous avions choisit cette solution là. J’avais environ 15 ans quand nous avions réellement décidé à nous lancer, le temps de gagner un peu d’argent pour le grand voyage qui nous attendait tous. J’ai du mettre la main à la patte en travaillant dans une ferme voisine à m’occuper de l’écurie.
L’argent en poche, les valises faites, nos places sur le bateau nous emmenant vers un autre continent, un autre chapitre s’ouvrait pour ma famille et moi…

II L’immigration

Le 5 Mai 1834, nous étions enfin sur ce navire gigantesque, parmi une foule aussi pressée que nous de partir loin de notre terre natale pour partir à la conquête de l’ouest. Je m’imaginais déjà les cow-boys de là-bas, la civilisation si différente, leurs cultures… Bref, j’étais impatient de changer de changer d’air. Mais autant que je m’en rappelle, ce voyage n’était pas qu’une simple croisière, ça non… Nous étions très mal nourris, ma mère était approché de trop prêt par certains types avec des idées très malsaines à son égard ce qui évidemment mis en colère mon père et propagea de violentes bagarres. Enfant ou pas, mon frère et moi qui étions deux adolescents étaient traités comme des chiens, et le reste de ma famille aussi. En fait cela concernait tous les immigrants du bord, c’était affreusement épuisant et puis comme vous pouviez vous l’imaginer, le voyage n’était pas fait en une journée…

Après ce long périple, nous étions enfin arrivé en Amérique du nord, à New York où nous établissions domicile pour le moment afin de nous reposer quelques temps. Cela aurait du n’être l’histoire de quelques jours, mais finalement nous nous sommes résolus à rester car mon grand-père était tombé gravement malade durant notre voyage. Mon père a du trouver un travail dans le coin, mon frère et moi aussi, tandis que ma mère s’occupait de notre grand-père la journée à notre domicile. Nous ne gagnions quasiment rien, immigrants que nous étions, pas assez pour se nourrir correctement, pas assez pour avoir un logement convenable, pas assez pour payer des soins à notre grand-père malade. Et finalement quelques mois suivants il en mourut. C’est mon père qui en a plus souffert je crois, moi aussi mais pas autant. Nous avions suivit le rêve américain pour en arriver là…

III La guerre civile

Après avoir passé quelques années avec mes parents, j’étais enfin parti du domicile familial avec assez d’argent sur moi pour pouvoir louer une petite chambre rien que pour moi, toujours dans la même région. J’avais rejoint une bande d’amis composée d’américains pure souche, et d’autres immigrants britanniques comme moi. Nous nous retrouvions dans un bar pas loin de mon appartement tous les soirs, à jouer aux cartes, à discuter politique, à boire un peu… Le sujet qui nous touchait tous était l’esclavage qui se propageait énormément en Amérique du nord, et qu’on se le dise nous étions contre. J’avais un peu près 38 ans à cette époque là, et non je n’avais pas de fiancée ! Pas que cela ne m’intéressait pas, je n’avais juste pas trouver la perle rare je pense, celle qui m’étais destinée, mais malgré cela j’y songeais…

A l’aube de mes 41 ans en fin 1860, nous avions été informé que nous partions en guerre, les états confédérés contre l’union… J’avais été envoyé dans les troupes fédérales nordistes en direction de la Louisiane afin de changer les mœurs de là-bas, c’est à dire leur régime esclavagiste et très conservateur. Même si j’étais convaincu que l’abolition de l’esclavagisme était une bonne chose, je ne me considérais pas comme quelqu’un qui allait changer grand chose, ce n’était pas ma place, moi un homme encore un peu introverti, ne sachant à peine me battre. Je dois l’avouer j’avais peur de ce qu’il pouvait m’arriver, comme tout le monde j’imagine.

En début Janvier 1861, nous arrivâmes en Louisiane, un grand changement pour moi de voir cette bourgeoisie américaine. C’était impressionnant ces demeures gigantesques et fabuleuses qu’avaient les maîtres d’autrefois et le nombre de nègres qu’ils possédaient. Les nègres, on les appelaient ainsi car la majorité des esclaves étaient noirs, ou également les « démons » . Triste sort qu’on leur réservaient pour certains.
En ces terres je rencontra une grande dame, Mme Anne-Lise de Sainte Hermine, une magnifique femme que j’avais rencontré en pleine ville. Sa prestance m’avait tellement émerveillée, je ne connaissait rien d’elle, c’est un lieutenant qui m’avait parlé un peu d’elle, cela m’avait permis de savoir qu’elle était dans « notre camp », elle avait les mêmes opinions que nous sur ces mœurs horribles des états du sud. En sachant cela, je ne pensais qu’à une chose : la revoir, savoir ce qui poussait une si jolie dame à avoir de telles convictions ici.
Je l’ai donc retrouvé et nous avions tous simplement sympathisé, bavardé, fraternisé, je l’appréciais par sa douceur d’esprit et son élégance. Nous nous retrouvions souvent à discuter...

IV Une nouvelle vie : mon cadeau

La guerre civile en Louisiane n’était pas la régions la plus difficile en réalité, bien que les gens étaient plus riches et embourgeoisés, ils n’avaient pas l’industrie des nordistes, donc moins d’armes performantes pour lutter contre nous.
Un soir de Janvier, le 15 pour être précis, notre camp s’était déplacé un peu plus loin pour influencer d’autres villes de la Louisiane. Nous étions comme d’habitude tous sous nos tentes à manger quasiment la même chose tous les soirs. Nous n’imaginions pas se qu’il pouvait arriver ce soir là.

Je me rappelle de ce soir là, j’étais endormi, il était environ 23h quand un soldat me réveilla en hurlant, me disant que nous étions attaqués et encerclés. J’entendais les hommes criant et tombant un à un, j’entendais les tires de balles qui nous descendaient un à un. Je pris une arme et m’habilla en un temps record, sortis de la tente légèrement accroupie. Je sentais la poudre, le sang qui coulait déjà beaucoup, je sentais la fumée des feux qui brûlait les tentes de notre campement, je voyais des images d’horreurs , j’entendais les bruits des fusils devenaient assourdissant, j’en perdais tous mes sens… Abrutis par tout cela, je ne faisait que de ramper pour essayer de me déplacer le plus discrètement possible et tuer quelques ennemis qui étaient autour de nous. Je n’y arrivais pas, je me sentais trop mal par se qui m’entourait, mal au cœur, envie de vomir, les yeux qui piquaient et pleuraient à cause de la fumée, c’était insoutenable, et de ce fait je savais que j’étais fichu, j’avais de plus en plus peur.

Au bout de quelques minutes ça n’a pas raté, toujours rampant, je me pris soudain une balle dans la cuisse, une douleur terrible. Je me coucha complètement sur le côté, je hurla de douleur, haletant, transpirant, boueux, je regarda cette blessure puis je mis ma main sur cette même cuisse comme une sorte de réflexe idiot pour arrêter le sang.
Ce ne fût pas fini, cette fois un ennemi s’était complètement infiltré dans le campement, il n’était pas le seul évidemment maintenant notre troupe quasiment décimée. Il me regarda en souriant et me tira une première balle dans l’épaule, sachant très bien que ça allait me faire souffrir et non pas me tuer tout de suite. Je hurla de nouveau, me laissant tomber sur le dos, j’étais paralysé de douleur, je le regardais en ayant qu’une simple envie de le tuer, je lui cracha tous ce que j’avais envie de lui dire avant de mourir. S’amusant fort bien ce soldat me frappa à la figure avec ses pieds et avant de partir il me logea une dernière balle à l’estomac. Cette fois ci c’était fatale, je n’allais pas me relever. J’étais couché, du sang remontais dans ma bouche, j’avais de grandes difficultés à respirer et à trouver mon souffle. Je serrais fort dans ma main gauche, le bras qui n’était pas touché donc, ma veste pour m’accrocher à quelque chose. Oui j’avoue j’ai versé quelques larmes, j’allais mourir dans quelques instants vu la situation.

Quelques minutes plus tard, l’ennemi était parti. Il faisait complètement noir, je regardais le ciel plus ou moins dégagé, me disant que j’allais bientôt être parmi les étoiles que je distinguais très mal à cause de ma fatigue qui m’emportais vers la fin. J’avais froid, je gardais les yeux ouverts, et à partir de là je ne me souviens de quasiment rien… Quelle tristesse. Je me souviens de son visage, de la douce dame qui m’a proposé un pacte, celui d’être marqué… Je…je crois que j’ai du dire oui vu que je suis encore là.

V L’éveil

A mon réveil, j’étais dans un lit très confortable, très grand et moelleux. J’étais dans une grande chambre, les rideaux noirs épais aux fenêtres empêchaient la lumière du soleil d'entrer. Je ne m’étais pas levé tout de suite, je regardais la chambre, j’étais admiratif de cet endroit bien qu'un peu sombre, ne sachant d’ailleurs de quelle façon je m’étais retrouvé ici. La seule chose que je savais était que j’étais en vie, j’étais propre e t rasé, et que je me sentais presque totalement bien, j’étais encore un peu fatigué simplement. Je m’assis et m’adossa sur les oreillers, je pris un peu d’eau qui était à disposition sur la table de chevet. J’étais vêtu d’une chemise blanche très légère, je me demandais qui m’avait habillé et à qui appartenait tout cela.

Perdu dans mes pensées je fut surpris par le toquement à la porte de ma chambre. Une voix de femme qui me demandais si elle pouvait entrer. Je me leva simplement, oubliant que j’avais été blessé à la cuisse il y a peu, et m’étonnant que de ne pas ressentir grand chose… J’ouvris la porte et accueillit la maîtresse de maison qui se trouvait être Anne-Lise de Sainte Hermine.
A sa vue, j’étais troublé, presque choqué, idiot d’être en chemise de nuit devant elle, un peu honteux et surtout ne comprenant rien !

Elle me fit asseoir à nouveau dans mon lit, et elle se mit devant moi dans une chaise. Elle m’expliqua se qui s’était passé là-bas, comment je me suis retrouvé ici, se qu’elle était réellement et moi se que j’étais devenu… Je croyais rêver ou cauchemarder, je ne sais pas… Vampire ? Marqué ? C’était de la folie. Elle m’expliqua comment le pacte s’était déroulé, j’avais du boire son sang….c’était juste incroyable. Elle m’expliqua pourquoi alors mes blessures se soignaient si bien et que j’allais avoir quelques changements : ce qu’était un marqué en soit.

Au bout de quelques temps j’allais beaucoup mieux. Je percevais mieux les choses, ça avait surtout commencé avec les sons, le bruit du vent, des oiseaux qui chantaient, etc… Je devais me rétablir vite pour partir en voyage avec ma Maîtresse en Amérique du sud. Et bien qu’elle était, et est toujours ma Maîtresse, je n’étais pas considéré comme son esclave, plus comme un membre de sa famille. Elle était si douce, si généreuse alors qu’elle ne me connaissait si peu. Évidement nous avions appris à nous connaître.
Au fil du temps je compris ce que marqué signifiait et je savais que je devais accepter les autres marques. Je me devais d’accepter ma deuxième marque quelques semaines plus tard, faire boire mon sang à la vampiresse. J’aurais pu tourner de l’œil de voir une telle scène mais je crois que ce que j’ai vu durant la guerre m’a un peu endurci, et de toutes façons je devais m’y habituer. En revanche m’accoutumer de son sang était plus aisé, à chaque fois je le buvais avec plus d’enthousiasme, et je dois avouer qu’après en avoir bu j’étais bien mieux.

Quelques temps plus tard nous partions pour l’Amérique du sud, un long voyage qui a duré presque un siècle. Encore un changement d’air pour moi. Je ne connaissais absolument pas cette civilisation bien plus exotique que celle d’Amérique du nord. Alors je découvris une nouvelle culture, appris quelques mots de ces nouvelles langues. Nous avions nos propres appartements, nous nous étions établit une sorte de lien fraternel durant ce voyage. Elle m’appris aussi à bien me tenir, à mieux parler, à être plus distinguer, et oui je n’étais plus le pauvre immigrant britannique d’autre fois.
Au bout de quelques semaine, à mon 43ème anniversaire je reçu ma 4ème marque. C’était un grand moment. Je sentais une proximité plus forte qu’autre fois avec Mme de Sainte Hermine. Je me sentais très bien en sa compagnie et bien que nous fûmes proches, je pouvais vivre un peu de mon côté, sortir seul, pratiqué des activités sans elle. Au début je n’osais pas, puis j’en ai pris un peu l’habitude. Une activité que je trouva très drôle à mon souvenir était de conduire les voitures de l’époque. Je n’avais passé mon examen pour pouvoir conduire que très récemment grâce à ma Dame, avant je n’avais pas assez d’argent. Je n’étais pas très débrouillard lors de mon apprentissage, se qui amusa la galerie, mais bon il fallait bien commencer.

VI Révélation

Il y a 50 ans environ, Mme de Sainte Hermine et moi sommes revenus en Amérique du nord à Sherveport à la demande de quelqu’un… En réalité, Mme de Sainte Hermine ne me disait pas tout, elle préférait rester secrète sur certaines choses, ou du moins je n’osais pas lui en demander plus. Je vit l’élévation de ma « chère sœur » au niveau politique et était fière d’elle, je savais plus ou moins comment elle gravissait les échelons mais évitais le sujet et je savais que cela touchais à un sujet sensible par son origine… De ce fait, pour alléger ses peines, je me vouais ainsi totalement à « ma sœur ».

Par ailleurs, je fus de plus en plus intéressé par la politique, sûrement à force d’en parler avec Mme de Sainte Hermine et d’entendre quelques conversations. Je me sentais bien plus concerné de mon pays actuel que d’avant lorsque j’étais soldat. A mon tour je gravissait lentement les échelons au gouvernement et aujourd’hui je suis Major-Général, c'était un haut rang dans tous ce qui concerne les décisions militaires de l'état, mais bien évidemment il est sous le commandement du Gouverneur et des lieutenants entre autre.

En 2007, l’année de la fameuse révélation, je me sens également concerné par ce grand événement qui touche aujourd’hui toutes les races en 2013. C’est un grand changement dans les mentalités des humains et également dans chez les vampires, sorciers, etc.. J’ai peur pour ma chère sœur…Il y de plus en plus d’agressions et d’attentats, de vengeances entre races. Je comprend la raison de la révélation, mais j’ai peur que cela détruise ce monde…

test rp.

Spoiler:

famille.

Avant d’être marqué, étant jeune je vivais avec mes parents, mon grand frère et mon grand-père. Mon grand-père est mort peu de temps après avoir débarqué aux Etats-Unis. Mes parents sont resté à New York, dans les quartiers modestes jusqu’à leur mort, c’est à dire vers la fin du XIXeme siècle. J’ai appris que mon frère avait été tué lors de la guerre civile. Ce qui fait que je n’ai plus de famille de ce côté là aujourd’hui.
Mais je considère ma maîtresse comme ma grande sœur, et fait donc un peu parti d’une sorte de nouvelle famille pour moi…

III. That thing I want to tell you

➽ personnage inventé/scénarii/prédéfini ? inventé ➽ pseudonyme. Juu', piou ➽ âge. 21 ans ➽ code du règlement. Et bien il ne manque plus que le thème musical de Dracula, prince des ténèbres et je crois qu'on pourra commencer.. ➽ avis général à propos du forum. Un forum rpg bien complet et complexe! C'est se qui fait qu'il a attiré ma curiosité et m'a poussé à m'inscrire. Beaucoup de choix de groupes/races possible qui rend le jeu très intéressant et le design est très soigné bien sûr. ➽ avatar utilisé. Christoph Waltz

Invité

Bienvenue parmi nous Wink

!

Invité

Bienvenue !
Bon courage pour ta fiche ! bee

Invité

Bienvenue parmi nous mister Cool

Invité

Bon, excellent choix d'avatar!!!!

Bienvenue & bon courage pour ta fiche! reuh

SOBRIQUET · Sujet: Re: I've Got a Name 1/2/2013, 13:38

Piou-Piou

Bienvenue sur le forum ! classic

Bonne continuation pour ta fiche ! superman

Invité

Merci tout le monde :D

Invité

Un choix d'avatar juste MORTEL !! J'attend avec impatience de voir ce que tu nous réserve !! **
Bienvenue à toi parmi nous ♥♥♥

Invité

Un marqué *-*
Bienvenue parmi nous et bonne chance pour ta fiche, j'ai hâte de la lire ^^

Si tu as des questions n'hésite pas =)

Invité

Hahaha un choix d'avatar si particulier ? ^^
En tous cas j'apprécie beaucoup !
Et merci encore une fois love01

Invité

Bienvenue .....

Bon courage et au besoin... bah tu sais déjà où me trouver boulet

:42:

Invité

Merciiiii

Z'êtes si gentils :D

Invité

Bienvenue et bonne rédaction

Invité

Bienvenue parmi nous coucou

Bon courage pour la suite de ta fiche ! ^^

Invité

Merci :D

Invité

THAT'S A BINGO !
*repart*

Invité

Citation :: THAT'S A BINGO !
*repart*

OMG !

Invité

Fini?

Je m'occupe de toi love01

Invité

Oui fini :3
Merci love01

Invité

Welcome

Je suis là pour te guider

Tout d'abord, je te souhaites la bienvenue sur Drag me to Hell de la part de toute l'équipe administrative.
Ensuite, maintenant que ta fiche est achevée, je viens la modérer pour la validation.

Alors tu peux un peu plus décrit son métier s'il te plait? ça me semble très court.
Ensuite j'ai surtout un problème avec la 4ème marque. Comme c'est uniquement à ce moment-là qu'il devient immortel, tu vas devoir revoir la date... presque un siècle ça me semble beaucoup ^^"
Sinon attention tu confonds "ce" et "se"
Ah et pour information, si Lsie débarque de jour dans sa chambre, elle crame, les Vampires ne supportent pas le soleil
Détail pratique:; tu as glissé un spoiler dans ton test Rp inutile.

Invité

Huum je vais mettre des rideaux bien sombres dans cette chambre alors :D
Juste une chose concernant la 3eme et 4eme marque, je ne saisi pas vraiment la nuance qu'il y a entre "cesser de vieillir" qui est censé être un pouvoir qu'un marqué appartient à la 3eme marque, et "l'immortalité" à la 4eme....

Bon je vais corriger mes petites fautes et décrire un peu plus mon job ^^

Invité

C'est une super bonne question j'avoue hum

J'ai été relire et de toute évidence tu n'es immortelle qu'avec la 4ème vu que ta vie est étroitement liée à celle du Vampire... Docn pour moi tu es "éternel" à ce moment-là hum

Invité

Bon ce n'est pas grave :D , je changerais juste la date de la 4eme marque dans ce cas ^^

Invité

ok préviens moi quand c'est fait Wink

Invité

Je crois que c'est bon :05: