[Terminé Mais...] The Cold Blood Killer and Part-Time Mother

➽ date et lieu de naissance. 30 Mars 1984 à Kharkiv, Ukraine
➽ nationalité. Ukrainienne, mais aujourd'hui américaine.
➽ camp. Bien.
➽ type de magie. Sorcières héritière de pouvoir particulier.
➽ statut occupé. Ne mettez rien si vous ne voulez pas faire parti de la confrérie.
➽ classification. Agressif.
➽ état civil. célibataire
➽ lieu d'habitation. Olive St. dans le Midtown
➽ métier. Remplaçante de professeur d'histoire universitaire.
➽ étiquette qui vous est collée. Elle vient tout juste de déménager à Shreveport, sa réputation est pourtant déjà en train de se créer. Une fusillade ici, un homme noyé dans les toilettes par là. Personne ne l'a encore qualifié de bonne ou mauvaise, mais les gens qui ne sont pas haut placés ne savent pas qui elle est. Pour les habitants standard de Shreveport, elle est une mère mono-parentale constamment absente.

Aylison préfère se faire surnommer Ayli. Elle a deux facettes et un juste milieu. Sa première facette, c'est celle d'une femme qui élève son fils. Quelqu'un de gentil et de simple, une femme qui a beaucoup de charisme et qui reflète une image bien à elle. Chantant sous la douche, préparant un bon repas pour des amis, qui becotte les blessures de son fils et qui aime faire de l'humour. Une femme qui ne ferait jamais de mal à un innocent, une protectrice instinctive. Elle a toujours ce petit tempérament enjoué et sympathique. Sa seconde facette est très différente. C'est celle d'une tueuse, non pas une psychopathe, une professionnelle. Elle traque pour venger son mari, mais aussi pour un monde meilleur, le monde dans lequel son fils vivra un jour. Ceux qui meurent de sa main sont précisément des gens mauvais, architecte du mal. Elle a tourné la page relationnelle entre elle et son ancien mari. Elle est en quête de quelqu'un qui saura l'aimer pour qui elle est, mais aussi qui sera bon/ne pour son fils. Dans son juste milieu, on retrouve son amour impulsif, non pas qu'elle tombe amoureuse facilement, mais plutôt qu'elle n'hésitera pas à bondir sur celui ou celle dont elle est amoureuse. On y retrouve aussi sa haine pour l'injustice et sa joie contagieuse. C'est une envoûtante, si elle serait lycanthrope, elle serait une louve alpha avec certitude. Elle sait comment s'y prendre avec les gens.

Ayli a de forte qualités, mais elle porte bien ses défauts. Lorsqu'elle rit, elle a tendance à fermer les yeux, par réflexe. Elle a un sourire dur à décrocher, un regard très profond et direct. Elle croise les jambes en marchant, involontairement, les hommes derrières elle, ne se plaignent pas. Elle cogne une surface avec l'ongle de son index lorsqu'elle est impatiente. Elle se croise les jambes lorsqu'elle est assise, ne se croisent presque jamais les bras. Quand elle est excitée pour quelque chose, on le sait, elle bouge ses mains en parlant, sinon, ce ne jamais le cas.

C'est une bête niveau sociale, si elle s'intéresse à vous, vous risquez bien de finir dans son cercle d'amis. C'est quelqu'un qui parle avec modération, mais qui n'est aucunement timide, c'est une extravertie pure et dure. C'est une protectrice, parfois envers des amis aussi puissants, sinon plus puissants qu'elle.

Son plus grand défaut sera définitivement son incapacité à abandonner. Bien que tout pointe dans la direction d'une vie normale, elle demeure dans un domaine violent et dangereux. Elle est raciste envers les vampires, mais elle ne les déteste pas. Elle pourrait en avoir pour amis, mais si on lui parle vampire, elle n'aura pas beaucoup de choses à dire. Son mari était lycan, c'est donc toujours des lycans qui se démarqueront du lot à ses yeux. Elle les apprécie avec raison puisqu'elle en avait marié un. Elle connaît bien la race pour une femme qui n'en ait pas une.

Son fils est pour elle sa kryptonite, c'est la chose la plus importante pour elle, c'est même sa raison numéro un de resté en vie.

Aylison fait du remplacement de professeur d'histoire à l'université, ses connaissances additionner à de faux papiers d'enseignement antérieur très convaincant lui ont décroché ce travail dès son arrivée. Lorsqu'un professeur est absent ou a besoin de prendre une journée, elle travaille. Comparativement à un professeur normal, c'est plutôt minime comme quantité de cours et de travail. Elle n'effectue aucune correction, elle enseigne seulement. C'est peu, mais suffisant pour couvrir son nom. L'argent gagner arrondis les fins de mois et l'argent volé à ceux qu'elle tue (disons qu'ils ne sont pas dans la misère) lui suffise à vivre son mode de vie actuel. Lorsqu'elle remplace un professeur, elle ne peut passer à côté d'un bon café le matin même, c'est sa routine de " vie normale.'' Sinon, elle n'a ni routine, ni horaire fixe, la seule horloge qui influe sur son horaire, c'est celle de l'école primaire. Sa bonne lui permet de se réajuster si elle est incapable de rejoindre les deux bouts.

Elle a du temps libre, elle s'occupe de son fils, va faire les boutiques, s'incruste dans des discussions déjà en cours en pleins lieux publics. Elle amène son fils aux évènements tels les fêtes locales ou les spectacles. Elle participe souvent aux grandes soirées, si l'endroit est privé, ses charmes lui auront servi. Elle use de son charisme pour socialiser et ça fonctionne très bien.

Sa vengeance lui coûte cher en terme d'horaire, mais également en billet vert, ou plutôt en lingot d'or.

Elle a la manie du chien de garde. Si elle se sent intimidée ou voit quelqu'un se faire intimider, elle n'hésitera pas à mordre. Elle peut aller très loin pour faire comprendre une leçon. Chez elle, les zones grises sont 100% grises, quand il y a hésitation, il y a hésitation, si elle penche vers le blanc ou le noir, c'est le plus proche qui l'emporte. C'est quelqu'un de non catégorique, "ça dépend", c'est une phrase contextuelle très utilisée lorsqu'on lui demande son avis. Elle a tendance à peser le pour et le contre. Cependant, lorsque les émotions sont fortes, l'impulsivité l'emporte généralement. Il y a peu d'élément qui la ferait dévier d'un acte impulsif, son fils, le bien des autres et sa vie. Elle n'a pas une " je sais tout " et elle ne les aime pas.

À l'exception des séances l'entraînement, elle porte généralement des souliers à talon, on la reconnaît assez facilement dans cette habitude. Elle aime les vêtements de femme d'affaire, on peut la prendre pour une avocate ou une patronne lorsqu'on la voit dans la rue. Elle a aussi pour habitude de se lever tôt et fait le petit-déjeuner à son fils chaque matin. Elle a sa bonne qui s'en occupe lorsque nécessaires bien entendus.

Elle n'est pas raciste envers les vampires, mais elle ne les porte pas dans son coeur. Après ce que ces vampires ont fait à son ancien mari puis à son second amour, elle ne peut que les repousser. Elle n'est pas du genre à mettre tout le monde dans un même panier, mais avec les vampires, il peut lui arriver de juger un peu trop vite. Néanmoins, elle pourrait en avoir pour amis, il faut simplement qu'elle accepte d'ouvrir cette frontière avec l'un ou l'une d'entre eux/elle.

Les lycans sont naturellement amicales, son fils en est un et son mari l'était. C'est une race avec qui elle a des affinités, elle les comprend un peu plus chaque jour, en élevant son fils, mais aussi ce qu'elle a appris avec son ancien mari.

La Blanche Confrérie pour elle, c'est une organisation comme une autre, bien qu'elle ne le soit pas. Aylison sait ce qu'elle représente ainsi que son ampleur, mais elle n'y accorde pas vraiment d'attention. Elle vole sous le radar du mieux qu'elle peut et vie sa vie de mère et de vengeresse.

Elle ne se considère pas comme une race totalement divisée de l'humain, plutôt une déviation. Ce n'est pas la même espèce, certes, mais elle n'est pas si différente si on la regarde dans son ensemble. Pour elle c'est : Humaine avec des pouvoirs surnaturels.

La mère d'Aylison, Kashia, descend d'une lignée de télékinésiste. De génération en génération, le pouvoir a connu une excellente évolution. Aylison en a hérité, elle l'a découvert alors qu'elle allait échapper un livre d'école et qu'elle l'a retenue en suspend. Elle a hérité de son père biologique inconnu, une sorte de sonar cérébral haute intensité. Par la concentration, dans sa tête, Aylison arrive à cartographier un environnement et les personnes, ainsi que les objets qui s'y trouvent. En grandissant, sa porté a augmenté. Les murs, plancher et plafond ne sont absolument pas un obstacle pour son sonar. Elle est tranquillement en train de décrypter les ondes verbales, pour comprendre ce qui est dit. Bien sûr elle ne l'entendra pas, son cerveau seul arrivera à traduire l'information en mot, puis en phrase. Le processus est toujours en cours, mais elle progresse bien. Le sonar cérébral qu'elle possède est l'équivalent d'un sonar si précis et efficace, qu'il prendrait une éternité, ainsi qu'une fortune à concevoir. Un appareil surréaliste, dans son cas, surnaturel. Elle a des déviations des pouvoirs de bases des sorciers qu'elle conserve, mais pour la majorité, ils sont seulement exploités pour les préserver. Elle résiste au charme et à l'hypnose des vampires.

Lorsque la révélation eut lieu, Aylison avait un fils de 2 ans, un petit lycan. Disons qu'un évènement montrant publiquement le surnaturel implique beaucoup de changements sociaux. Les lycans n'ont pas tardé aux aussi. Bien qu'ils aient obtenu leur propre statue sociale, ils ont aussi été bloquer à beaucoup d'opportunité de vie, seulement parce qu'ils sont des lycans. C'est quelque chose qu'Aylison a mal pris, sachant que son fils en souffrirait.

Lorsque son mari est mort, elle a commencé à se demander si la révélation y était pour quelque chose. Après tout, ils n'auraient jamais été aussi affamé s'ils avaient pu se nourrir sans les regards médiatiques leur en empêchant. Néanmoins, Ayli n'a pas blâmé la révélation, elle a blâmée ceux qui tyrannise ce monde qui devient de plus en plus fou.

Maintenant que les vampires ont un statut social, traqué les tyrans se faisait dans de simples dossiers. Lorsque les évènements autour d'Annabelly se sont produits, la traque a encore été facilité par leur statue sociale.

Tout problème réglé, toute vérité dévoilée, amène de nouveau problème et de nouvelles choses à cacher. Ce qu'Aylison en pense de cette révélation. Quand vous avez appris que Macdonald mettait des tonnes de chimique dans ses hamburgers, vous avez réagi comment ? Vous avez flippé, puis vous vous êtes inquiété, puis aujourd'hui vous vous retrouvez à en manger de temps en temps. Chaque chose a ses plus et ses moins, ce qui est fait est fait.

Une ou deux cicatrices sur le corps, généralement des lignes de coupure, après autant d'immersion et d'exposition au danger, elle a bien fini par se blesser. Il n'y en a que très très peu, peut-être 3 ou 4 sur tout le corps. Sinon, il n'y a que sa beauté qui représente un signe particulier.