DATE & LIEU DE NAISSANCE 11 Novembre, Detroit ; NATIONALITE Américaine ; CAMP Neutre ; ETAT CIVIL En couple LIEU D'HABITATION La demeure familiale des Lannisters, quartier nord METIER Journaliste CLASSE SOCIALE Moyenne ETIQUETTE Beth vient tout juste d'arriver en ville, peu de gens l'ont donc déjà croisée. Au premier coup d’œil elle a l'air sympathique et sans histoire. C'est quelqu'un qu'on oublie rapidement.
INTRODUCTION AU GENRE
Traits de caractères Beth a été faite dans le même moule que tous les journalistes. Bornée, elle lâche difficilement le morceau lorsqu’elle est sûr d’une chose et ce en partie parce qu’elle n’acquiert de certitudes qu’après moult observations ou après des recherches minutieuses. Elle aime disséquer, comparer, fouiller, tourner et retourner les informations, presser et essorer le tout jusqu’à ce que la vérité en ressorte. Et les moyens qu’elle utilise pour cela ne sont pas toujours emprunts d’angélisme et de bonnes intentions. Elle n’est pas persuadée que des bonnes actions soit la solution idéale pour obtenir ce que l’on souhaite ou défendre ses idées. Calme et pondérée, elle perd rarement le contrôle de ses émotions et ce depuis qu’elle est toute jeune. Colère et hystérie ne servent pas ses ambitions et elle aborde toujours un écueil avec recul et réflexion. Tout obstacle lui semble bénéfique et comme un apprentissage nécessaire. Elle a de toute façon besoin d’un stimulus constant et c’est en partie la raison qui lui rend son quotidien si pénible. La routine l’ennuie et l’agace. Ce qui ne fait pas pour autant d’elle une téméraire. Beth garde son répondant et sa confiance lorsqu’elle domine la situation et sait parfaitement lorsqu’il est temps de prendre la fuite. En particulier lorsque le danger devient physique. Peu amène en ce qui concerne l’effort, elle pratique l’art de la fuite comme personne. D’un naturel enjoué, elle peut impressionner par son dynamisme et sa capacité à rire de tout. Sa bonne humeur se révèle souvent contagieuse. Elle est de ces femmes qui aiment le contact physique, non pas dans le but d’aguicher, mais de façon naturelle, inconsciente. Occupation nocturne Beth est journaliste dans un quotidien New Yorkais. Elle couvre les événements de moindre importance de la grosse pomme, comme l’ouverture d’une nouvelle boucherie ou un marathon pour une œuvre de charité obscure. Et le moins que l’on puisse dire c’est que son job la fait chier. Si elle a choisi la voie du journalisme, c’était avant tout pour courir après les scoops. Elle rêve de fourrer son nez dans l’affaire du siècle et désespère que ça arrive un jour. Elle a beau fouiner, gratter les couches de vernis, assommer de questions, le Pulitzer a de plus en plus la tronche d’une chimère. Et au final, plus ça va et moins elle a l’envie de se casser le cul. L’énergie qu’elle ne mobilise pas dans son travail, elle la modèle pour maintenir une vie sociable à peu près décente. Dîners avec des amis, brunchs avec des collègues, quelques rares séances de cinéma avec des mains baladeuses. Là aussi rien de bien transcendant. Bien entendu, c’est si l’on excepte de faire mention de sa rencontre avec son étrange voisine quelques mois auparavant, et tout ce qui en découle. Madame Lannister dit des choses troublantes et ses « souvenirs » de famille ne sont pas communs. Madame Lannister a un fils, chelou mais sexy. Madame Lannister pourrait bien être cousine avec une chimère. Manies, habitudes & goûts • La journaliste a un besoin compulsif de vérifier les informations qu’on lui donne, ou ce qu’elle entend simplement à la télévision ou la radio. Elle peut passer de longues minutes sur le net ou le nez dans un bouquin à vérifier des points de détails pour ses articles ou simplement par besoin d’être certaine. Le bon côté de cette obsession, c’est que les renseignements que contiennent ses articles sont toujours exacts. C’est pour cette raison qu’il est si difficile de la faire démordre de ses certitudes. • Pour venir à bout d’une journée, Beth est obligée d’ingurgiter des doses astronomiques de café. Qu’il soit noir ou au lait, peu importe du moment qu’il contient une bonne dose de caféine. Elle n’est d’ailleurs pas très regardante sur sa qualité. Les jus de chaussettes, elle les noie dans le sucre. De même, c’est une grignoteuse, elle se met rarement à table pour un vrai repas car elle est toujours en train de courir à droite et à gauche ou elle oublie simplement de se nourrir convenablement. En revanche elle adore se mettre aux fourneaux pour des invités. • Elle a très vite compris que maîtriser l’informatique serait un plus dans son domaine. Si la plupart du temps elle feint de ne maîtriser que google et les logiciels de traitement de texte, elle sait parfaitement où et comment trouver les informations qu’elle souhaite. Et pas toujours de façon légale. Son opiniâtreté lui vaut même de savoir percer les défenses de pare-feu hardcores et d’entrer dans n’importe quelle bécane. Son téléphone portable est d’ailleurs un vrai petit bijou de technologie, son appareil photo et son dictaphone lui ayant plusieurs fois sauvé la mise. • Elle aime l’odeur de la pluie. Allume la lumière avant d’entrer dans une pièce. Joue avec ses cheveux quand elle est nerveuse ou concentrée. Va de temps en temps à l’église. N’a de miroir que dans la salle de bain, superstition. Ne sait pas se battre et n’a d’ailleurs pas fait de sport depuis l’université. Ne parle que l’anglais. • Beth a une très bonne mémoire photographique. Elle oublie rarement un visage ou où elle a pu ranger un objet. Il lui arrive d’ailleurs souvent de coucher sur papier des informations pour mieux les enregistrer.
Convictions Un petit paquet d’années qu’on sait maintenant que le lapin d’Alice n’était peut-être pas l’hallucination d’une demoiselle sous acide et pourtant Beth a toujours des difficultés à se faire à cette vérité, aux bouleversements de la société et à en enregistrer tous les tenants et aboutissants. Là où certains ont sauté les deux pieds dans une phase grunge, elle a préféré garder ses distances avec un monde qu’elle ne connaissait pas et dont la présence la dérange. Peut-être est-ce le manque d’équilibre entre toutes ces forces qui la chiffonne ou simplement l’absence de confiance. Des siècles de clandestinité et on voudrait faire croire qu’ils arrivent au grand jour pattes et crocs clean ? Elle n’a qu’à écouter les conversations autour de la machine à café pour se tenir au courant du dernier massacre survenu. Elle n’éprouve donc pas une haine viscérale à leur vue, mais plutôt un vague dégoût saupoudré d’une envie de fuir. En revanche elle est bien contente que la vérité ait éclaté au grand jour et que le danger soit connu. Les règles qui ont été établies lui semblent primordiales et parfois même un peu trop laxistes. Elle serait la première à en dénoncer les failles et à pointer du doigt une trop grande tolérance. Vu les forces en jeu, il est capital de savoir comment les maîtriser, voir les réduire au silence.
Signes particuliers Beth possède une gourmette en argent, finement ciselée et aux motifs étranges qui la protège contre les télépathes et les vampires. Elle lui vient des Lannisters et sert pour sa protection personnelle et celle des secrets de la famille.
VIDEODROME
PERSONNAGE INVENTE, SCENARIO OU PV? Presque inventé XD ; PSEUDONYME Didi ; DERRIERE L'ECRAN c'est beaucoup trop indiscret :11: CODE DU REGLEMENT Eh bien, il ne manque plus, que le thème musical de Dracula, prince des ténèbres, et je crois qu'on pourra commencer. ; COMMENT NOUS AVEZ VOUS DECOUVERT? Ca fait un bail je ne sais plus ; AVIS GENERAL SUR LE FORUM Un DC ça veut tout dire. ; AVATAR UTILISE Jessica Chastain
Dernière édition par Beth Cohen le 12/4/2013, 15:13, édité 9 fois
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Sujet: Re: Beth Cohen 4/4/2013, 16:26
NY Novembre 2013
Ses mains posées sur ses épaules, descendirent sur ses avant-bras. Le tissu éponge du peignoir était imbibé d’eau et devait peser une tonne. Sous l’épaisse étoffe, Beth percevait tout de même les tremblements qui agitaient le corps frêle de la femme. Son visage lui, ne laissait deviner aucune sensation de gêne et d’inconfort. Le marmonnement indistinct qui franchissait ses lèvres s’était tu sitôt qu’elles avaient franchi le seuil de la petite maison. Il y avait un reste d’élégance dans la façon dont elle se tenait droite, et la rouquine ressentit un pincement bref et vif à la rencontre de ses prunelles hagardes. Se mordant la lèvre elle se redressa et abandonna son sac à main au pied du fauteuil. « On va vous réchauffer Madame Lannister, sinon vous allez attraper la mort. » Dit-elle, entreprenant avec douceur de retirer le vêtement détrempé des épaules de sa voisine. Elle éprouvait un certain malaise à être entrée chez ses voisins alors que seule la mère se trouvait là, mais elle se disait que l’urgence valait bien de briser quelques règles de politesse. Elle croisait rarement les Lannisters et encore moins la matriarche seule. Elle avait eu beau frapper, il n’y avait eu personne pour lui répondre et clairement Madame Lannister n’était pas en mesure de prendre soin d’elle.
« Une tasse de thé, ça va vous faire du bien. » Et pendant que l’eau chaufferait, elle trouverait sûrement un pull à lui passer et une serviette pour sécher ses cheveux. Elle fouilla dans les placards de la cuisine et posa pêle-mêle sur un plateau des petits gâteaux, sucre et tutti quanti et une vieille tasse qui semblait beaucoup servir. Avec un peu de chance, la sienne. Est-ce qu’on ne disait pas que les personnes dans une telle détresse avaient besoin de repères solides ? Détresse oui, c’était le mot qu’elle choisissait d’employer après ce qu’elle avait entendu. Elle revint poser le plateau sur la table basse et constata que son hôte n’avait pas bougé d’un cil. « Je vais chercher de quoi vous réchauffer. Enlevez donc vos chaussettes… » Le crépitement de la pluie sur la fenêtre du salon lui répondit. C’était le milieu d’après-midi et pourtant il faisait sombre comme si la nuit était depuis longtemps tombée et Beth se demanda si c’était ce qui avait poussé sa voisine à sortir de chez elle. Qu’est-ce qu’elle avait dit déjà ? La journaliste laissa un frisson lui échapper. Madame Lannister avait été confuse dans ses propos. Des histoires de massacre, de chasses, de démons… Mais le regard qu’elle avait dardé sur elle à cet instant valait tout ce que cette putain de planète bleue recelait d’effrayant. Si le doute avait encore été permis sur l’existence de créatures maléfiques à cet instant, Beth aurait trouvé dans cette expression les preuves dont elle avait besoin.
S’avançant dans la pénombre, elle essaya de deviner d’instinct où se trouvait la chambre du couple. Première porte un placard. Ensuite c’était un long couloir entièrement baigné de pénombre. Tâtonnant elle chercha l’interrupteur, elle n’avait aucune envie de s’aventurer là-dedans sans savoir où elle mettait les pieds. Elle longea rapidement l’espace exigu et ouvrit une autre porte et la referma presque aussitôt. Décoration de « fille ». La grande brune, nota-t-elle. Une autre qui devait être celle d’un des deux garçons. Puis celle du couple. Sans trop s’éterniser elle s’avança vers la grande armoire et choisit un grand chandail, puis dans une commode elle trouva de grosses chaussettes. Le refermant elle tomba nez à nez avec un vieux carnet de cuir à la couverture élimée. Le genre à avoir été feuilleté souvent. A être important ? Elle pinça ses lèvres et fit la moue. Hésita un quart de seconde puis tendit le bras pour l’ouvrir. Quelques pages et elle eut l’impression que son crâne la chauffait. Rapidement elle le referma et le coinça sous son bras. Elle allait redescendre lorsqu’elle vit un nouveau couloir. Encore une chambre et comme les autres la décoration n’avait rien de transcendant. Enhardie par sa première découverte, elle s’avança jusqu’au bureau où était étalée une pile de feuillets, de journaux et de croquis. Beth détailla les figures d’horreur qui semblaient la narguer. Le trait était délicat, le dessin bon, autant qu’elle puisse en juger. Mais les sujets…
« Julian a toujours été très bon en dessin. » Le sang de Beth ne fit qu’un tour et elle se retourna pour voir Madame Lannister qui la fixait avec un vague sourire. Le glapissement de Beth la fit sursauter et elle recula d’un pas, de nouveau le regard dans le vague. Bon sang elle ne l’avait même pas entendue venir ! « J’ai trouvé votre pull Madame Lannister. » Elle s’avança vers la femme, l’air chiffonné. C’était la première fois qu’elle l’entendait parler et elle supputait que ça ne devait pas arriver souvent et il avait fallu qu’elle lui fasse peur. S’approchant, elle vit qu’elle se méfiait et elle posa doucement sa paume contre son bras. Elle avait la peau glacée. « Allez on va le boire ce thé. » Fit-elle en l’amenant de nouveau vers le salon. Elle continua à s’en vouloir car la matriarche ne prononça plus un mot, même si elle semblait ne pas s’offusquer de sa présence et acceptait ses attentions. Elle sirota quelques gorgées de son thé et ses joues reprirent de la couleur. Et connerie ou pas, Beth eut le sentiment qu’elle écoutait sa conversation, même si elle ne la regardait pas.
NY, Mars 2014. Une impasse. Pas même une infraction au code de la route. Et elle qui commençait à voir dans tout ce merdier un schéma logique. Frustrée elle referma rapidement le clapet de son ordinateur, et se laissa aller contre le dossier de sa chaise. Négligemment, elle tendit le bras pour attraper un morceau de pizza, dont le fromage avait figé depuis des heures, ce qui ne l’empêcha pas d’en dévorer une bonne partie tout en fixant furieusement l’ordinateur éteint. A côté, elle avait posé le vieux carnet de cuir « emprunté » aux Lannisters la fois où elle s’était occupée de la mère pendant un orage. Elle l’avait oublié un temps, mais les propos que tenaient Marie Fran l’avait remis en lumière. Et certaines coïncidences étaient trop belles pour n’être que ça. Cependant chaque fois qu’elle pensait être arrivée à se faire une opinion sur ses voisins, un autre élément venait perturber sa vision.
*Et tu parles d’un détail…* se morigéna-t-elle alors qu’elle se levait brusquement pour aller se refaire un café. Elle avait soudainement besoin de se dégourdir les jambes et d’occuper ses mains. Pendant qu’il coulait, elle essayait de faire le tri dans ses sentiments. Sentiments… L’idée était aussi grisante qu’effrayante. Pourtant c’était là. Pas la grande dégoulinade de mièvreries mais il y avait quelques chose. Se passant une paume sur la nuque, elle essaya d’enfermer dans un coin ses pensées parasites mais elle voyait bien qu’il était trop tard. Trop tard pour faire la part entre sa raison et le reste. Elle revint dans le salon, tasse à la main et s’approcha de la fenêtre. De là elle voyait d’autres maisons du voisinage, dont celle des Lannisters. Il y avait de la lumière à certaines fenêtres. Elle savait qu’il était là.
Grimaçant à l’adresse de son reflet, elle essaya de se détourner de la fenêtre mais fini par ne pas bouger d’un iota. Julian était un paradoxe à lui tout seul. Du genre à essayer de parler à sa mère pendant des heures juste dans l’espoir de lui soutirer une vague réaction. Mais le corps marqué. Elle se souvenait d’avoir retracé du bout des doigts la ligne d’une cicatrice gigantesque. D’avoir exploré des tatouages au dessin tourmenté. Ils devaient bien avoir un sens s’ils n’étaient pas là pour un aspect purement esthétique. Et puis il y avait ce foutu carnet. Ce qu’il y avait dedans aurait dû lui filer une trouille de tous les diables et la pousser à s’enfuir en courant. Héros ou pas, le débat n’en était plus là.
*Mais tu t’en fous…* Lui glissa une voix intérieure. Tu t’en fous... Et c’était vrai. Cinq mois qu’elle avait le nez dans le carnet et qu’elle se heurtait aux mêmes conclusions avec quel résultat ? Elle avait envie de savoir la vérité. Elle avait envie de la « partager ». Et d’autres envies qu’elle ne comprenait même pas. Mais pas celle de fuir. Malgré les rapports de police sur lesquels elle était tombée, les photos qui avaient défilées devant ses yeux, les vérités qui s’étaient affirmées et la sensation languissante qu’elle mettait les pieds dans quelque chose de louche. Une merde noire. Faisant volteface, elle rangea le carnet dans un tiroir, et força l’arrêt de son ordinateur puis elle prit son téléphone.
« Le café est encore chaud. Si ça te tente... » Fit-elle alors qu’elle réajustait son décolleté.
Dernière édition par Beth Cohen le 12/4/2013, 14:58, édité 5 fois
SECRET DE CONFESSION
SIGNALEMENT : le démon qui gouverne les ombres de cette ville. HABILITIES : Thaumaturgie - La main de destruction ; capacité à voir le monde des esprits, sentir la mort. OFFICE : Chef de la mafia Italienne avec sa soeur jumelle. SERENADE : I'm Shipping Up To Boston - Dropkick Murphys
INFORMATIONS CONFIDENTIELLES
SOBRIQUET : Eden Memories ; Flan coco ; Pâte à choux ; La drag-queen MISSIVES : 8449 ACTE DE PROPRIETE : Eden Memoires; tumblr
I’m gonna make him an offer he can’t refuse. LE PARRAIN
Lucian A. Corleone
BIG BAD BOSS Ϟ Je suis... La Drag-Queen.
Black Moon JE SUIS: CAPACITES: MEDISANCES:
Sujet: Re: Beth Cohen 4/4/2013, 17:00
Bienvenue parmi nous!!
Hum, j'ai hâte de voir ce que tu nous prépare.
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Sujet: Re: Beth Cohen 4/4/2013, 17:03
J'passe incognito c'est cool
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Sujet: Re: Beth Cohen 4/4/2013, 17:16
Mwais tu parles. Incognito. HA. *rit beaucoup*
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Sujet: Re: Beth Cohen 4/4/2013, 17:18
Bon. Sauf avec toi Toto. Parce que t'es trop fort. Forcément
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Sujet: Re: Beth Cohen 4/4/2013, 17:18
Je ne cesse de le clamer. :03:
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Sujet: Re: Beth Cohen 4/4/2013, 17:20
En toute modestie, of course.
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Sujet: Re: Beth Cohen 4/4/2013, 17:22
ah ah la voilà donc ^^
re bienvenue Au besoin... ^^ Bonne chance avec ta fiche :)
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Sujet: Re: Beth Cohen 4/4/2013, 17:31
Au besoin, j'ai le choix si je veux embêter quelqu'un Merci ma belle
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Sujet: Re: Beth Cohen 4/4/2013, 17:35
En tout cas, je remarque que tu as bien plus le temps de te faire un D.C, que de commencer notre rp. :11:
Et puis c'est quoi cette pouffe ?
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Sujet: Re: Beth Cohen 4/4/2013, 17:50
Totochou, la fiche est postée dans l'espoir qu'on me pique pas le vava. Mais je n'ai pas oublié mon papy d'amour ok ?
Et la pouffe, c'est juste pour te défriser. :11:
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Sujet: Re: Beth Cohen 4/4/2013, 17:57
Ben ça me défrise jusque dans l'caleçon. ET TU SAIS C'QU'IL TE DIT LE PAPY ?! Il dit ok.
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Sujet: Re: Beth Cohen 4/4/2013, 17:59
Scandaleux. Je crois que je suis choquée. Si c'est pas le meilleur des papy ça.
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Sujet: Re: Beth Cohen 4/4/2013, 18:08
Cherche pas papy, y'a des priorités dans la vie, et puis il y a toto. T'as assez de meufs qui te courent après, sans me piquer les miennes. èé
Bref, à l'intéressée.
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Sujet: Re: Beth Cohen 4/4/2013, 18:30
A l'essentiel, j'aime ça. :11:
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Sujet: Re: Beth Cohen 4/4/2013, 19:55
Re bienvenue ? C'est qui ? En tout cas beh... Re bienvenue lol Bon courage pour la suite de ta fiche ! ^^
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Sujet: Re: Beth Cohen 4/4/2013, 21:44
C'est Ross' p'tit Lu Merci pour tes encouragements
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Sujet: Re: Beth Cohen 4/4/2013, 22:00
J'aime bien ton ava, on remplacera quand même les doigts par une vraie arme au bout d'un moment. Histoire qu'elle claque pas au bout de deux rps, la demoiselle. :/
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Sujet: Re: Beth Cohen 4/4/2013, 22:03
Moooh ça va elle a un bon garde du corps.
SECRET DE CONFESSION
SIGNALEMENT : le démon qui gouverne les ombres de cette ville. HABILITIES : Thaumaturgie - La main de destruction ; capacité à voir le monde des esprits, sentir la mort. OFFICE : Chef de la mafia Italienne avec sa soeur jumelle. SERENADE : I'm Shipping Up To Boston - Dropkick Murphys
INFORMATIONS CONFIDENTIELLES
SOBRIQUET : Eden Memories ; Flan coco ; Pâte à choux ; La drag-queen MISSIVES : 8449 ACTE DE PROPRIETE : Eden Memoires; tumblr
I’m gonna make him an offer he can’t refuse. LE PARRAIN
Lucian A. Corleone
BIG BAD BOSS Ϟ Je suis... La Drag-Queen.
Black Moon JE SUIS: CAPACITES: MEDISANCES:
Sujet: Re: Beth Cohen 4/4/2013, 22:32
Rah merde, j't'avais pas reconnue!
Si tu as besoin d'un second garde du corps, non parce que prendre gigi en garde du corps c'est risqué... surtout quand ce dernier s'attaque aux infantes des autres... *lance des cailloux sur gigi*
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Sujet: Re: Beth Cohen 4/4/2013, 22:33
Pfff, elle peut faire panpan avec les doigts. Moi j'le fais bien. ET J'SUIS TOUJOURS PAS MORTE OKI ?! Bon.
(et j'dis pas coucou, parce que j'suis une rebelle okay ?! non mais allo. Allo ?! ALLO t'as pas de flingue ?! c'est comme si j'dis, t'as pas de frites, t'es pas jolie quoi. *fait des gestes trop classious comme dans la sign*)
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Sujet: Re: Beth Cohen 4/4/2013, 22:37
Citation :
« J’apporte les ténèbres, la douleur et la mort. » ALESSANDRO
Bah euh... Nan merci ça ira
Nimue. Je t'aime.
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Sujet: Re: Beth Cohen 4/4/2013, 22:41
Tiens mieux tes infantes, t'en prends pas à ma sœur. *lui lance un parpaing* èé Et Beth, tu la touches pas. De toute façon, c'trop trd, je lui ai fait un lavage de cerveau, elle est avec moi. :/
Bon, sinon, cotisons nous pour acheter des fringues à la larve. Visiblement, les deux mecs de sa vie sont assez radins. *prépare le panier de la collecte*
Edit: ah non, t'aimes pas la larve, hors de question que tu la ramènes à la maison, ou alors si tu le fais, c'toi qui enterre les morts, j'te préviens.
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Sujet: Re: Beth Cohen 4/4/2013, 22:41
ReBienvenue Ross' et bon courage pour la fiche de Beth