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 Où que l'on soit, il y a toujours de l'obscurité. [Terminé]

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MessageSujet: Où que l'on soit, il y a toujours de l'obscurité. [Terminé]   Où que l'on soit, il y a toujours de l'obscurité. [Terminé] Icon_minitime12/6/2015, 12:36

Prélude
DATE & LIEU DE NAISSANCE 15 mai 1998 à Memphis ; AGE 18 ans ; NATIONALITE Américaine ; CAMP They don't care ; ETAT CIVIL Célibataire LIEU D'HABITATION Quartier résidentiel, dans une belle maison blanche et spacieuse, quoique très sobre. METIER Danseuse classique en formation, et mannequin à ses temps perdus. CLASSE SOCIALE riche. ETIQUETTE La jeune paraît pour une fille compliquée, froide, et très snob. On pense qu'elle est pédante, et au dessus du monde, qu'elle vous regarde de haut. Néanmoins, peu de personne la remarque, tellement elle est discrète.

“Bénie soit la providence qui a donné à chacun un joujou : la poupée de l'enfant à la femme, la femme à l'homme, et l'homme au diable.”
# VICTOR HUGO

Evangeline Victoria Giustiniani
Feat Claudia Guarnieri


✤ Traits de caractères Evangeline est un être humain banal, avec un cœur qui bat, un corps qui bouge et une âme qui danse au gré des humeurs et des sentiments. Elle possède une personnalité, une vie, avec ses lots de souffrances et de joies, avec ses lots d’erreurs et de réussite. La banalité est quelque chose dont Evangeline n’a jamais pu se détacher, puisqu’elle ressemble en tout point à un autre être humain. Pourtant, Evangeline est différente. Elle a vécu différemment, a souffert différemment et a prospéré différemment. Laissez-moi vous présenter Evangeline Victoria Giustiniani.
Evangeline est une personne combative, adorant les challenges et surtout, se mesurer aux autres. Ce n’est pas une question d’orgueil, mais elle aime beaucoup savoir où elle se situe, savoir si elle est la plus forte. Elle adore quand tout n’est  pas acquis, quand elle doit se donner à fond pour obtenir quelque chose. En cela, elle est peut-être un peu hargneuse. Mais elle n’est pas orgueilleuse, loin de là ; elle acceptera parfaitement une défaite, et avec sa détermination habituelle, recommencera à combattre quand l’occasion se présentera, et quand elle se sentira prête.  Elle n’a pas pour habitude de baisser les bras, Evangeline est une personne têtue, déterminée et ambitieuse. Puisque pour elle, elle doit toujours viser plus haut, plus fort, jusqu’au meilleur. La jeune danseuse est une personne énergique, dynamique, dont les défis ne lui font pas peur ; ainsi, son perfectionnisme a de quoi l’épuiser et l’occuper.  En effet, la jeune italienne est réputée pour son perfectionnisme, qui, s’alliant à sa détermination, font d’elle une personne forte et persévérante.  Evangeline n’a donc pas peur du travail et s’y adonne à cœur joie. Elle paraît très professionnelle, et donc sérieuse. Elle n’a pas le temps pour s’amuser, même pour une jeunette comme elle. Elle connaît assez peu les boîtes de nuits, les sorties en ville. Clairement, Evangeline ne vit pas. Ou du moins, pas de la même manière que vivrait un banal jeune de son âge. De ce fait, elle apparaît comme une personne mature, et indépendante. Son envol loin du foyer familial ne lui a posé pratiquement aucun problème, et elle s’est très vite habituée à sa vie d’adulte. De nature solitaire, la jeune fille est rarement accompagnée, et se débrouille souvent toute seule, ce qui a sûrement contribué à ce qu’elle mûrisse très tôt et gagne plus rapidement son indépendance.

Néanmoins,  la jeune fille n’est pas très sociable ; comme elle est quelqu’un de solitaire, elle apparaît comme une personne peu avenante. C’est souvent dû  à sa méfiance ; en effet, Evangeline n’aime pas être dupée ou déçue, alors, elle accorde très peu sa confiance au monde ; il faut se battre pour lui prouver que vous n’êtes pas quelqu’un de malveillant ou de lâche. De plus, elle n’est pas très bavarde et est peu souriante, sans oublier qu’elle déteste parler d’elle-même, ce qui n’encourage pas les gens à venir vers elle. Honnêtement, elle s’en fiche. De toute manière, elle n’a besoin de personne. Ce qui ne l’empêche pas, cependant, d’être courtoise et polie, usant d’un langage riche et varié ; elle semble alors très respectueuse. De nature rigide, Evangeline a souvent tendance à juger les gens sur leur capacité à respecter les règles, si bien que son cercle social se réduit encore. C’est un jugement certes hâtif et peu scrupuleux, mais la jeune danseuse n’a jamais pu se défaire de cette vieille habitude. De même, elle est très dure envers elle-même, pour ne pas dire intransigeante. Nul doute qu’Evangeline est quelqu’un de fort psychologiquement, avec une volonté de fer. Une petite teigneuse, en somme.

Certes ambitieuse, Evangeline a appris avec le temps à devenir une personne humble. Elle sait très bien qu’elle n’est pas parfaite et qu’elle ne le sera jamais, mais ça ne l’empêche pas de se battre ne serait-ce que pour effleurer la perfection. Elle travaille en permanence sur elle-même, ainsi que sur son corps, pour être ce qu’elle désire. Son tempérament dynamique lui est alors très favorable dans cette tâche.
Malgré son tempérament et sa volonté, la jeune danseuse est très discrète. Elle se fait très peu remarquer, et le plus souvent, elle préfère rester silencieuse. Si elle n’est pas d’accord, elle émettra une faible objection, sans insister plus que cela. Seulement, quand Evangeline se trouve devant une personne qu’elle n’apprécie que très peu, elle a tendance à plus s’affirmer, et donc, à être beaucoup moins discrète. Même si elle travaille pour ne plus avoir cette attitude, de temps à autre, elle s’oublie quelque peu. C’est qu’elle a confiance en elle, la bougre. Cependant, Evangeline n’est pas une grande gueule. Généralement, quand quelque chose lui déplaît, elle se tait et attend que les choses bougent. Elle n’aime pas trop se mettre en avant. Vous voyez, les meneurs de rébellion, ce n’est pas vraiment ce qu’elle apprécie. Elle aime bien le calme et la monotonie, quand les choses sont parfaitement réglées et sont à leur place. Elle adore quand tout est prévu, chronométré. Ce n’est pas quelqu’un qui fait des choses sur un coup de tête, pour elle, toute décision mérite réflexion.
Enfin, une fois qu’elle vous aura légué sa confiance, dites-vous que c’est comme un contrat à vie. C’est beau, quand elle se lie avec quelqu’un. C’est comme si elle vous louait fidélité. Evangeline est une personne loyale, sans nul doute. C’est un trait de caractère qu’elle a toujours eu, et elle est fière de cette facette qu’elle possède. Dans la mesure du possible, elle fera tout pour aider le peu d’amis qu’elle détient, le tout dans l’honnêteté la plus totale.


✤ Occupation diurne Evangeline est actuellement dans une école de danse, ainsi, elle donne quelques représentations, mais sans pour autant y gagner quelque chose. Quand elle aura terminé ses études, sans doute, pourrait-elle vivre de son métier. A l’heure actuelle, elle a une grosse aide financière de ses parents, bourgeois de leur état. Et comme la jeune danseuse déteste être dépendante de ses géniteurs, elle travaille en tant que mannequin, ça ne lui rapporte pas grand-chose, puisqu’elle est très peu connue dans le milieu, mais ça apporte au moins de la satisfaction personnelle à la jeune fille, c’est déjà ça. Elle travaille assez peu dans le mannequinat, ce n’est absolument pas son objectif d’être connue, et puis, elle a assez peu de temps pour se préoccuper de sa pseudo carrière de mannequin. Tant que ça lui rapporte des bénéfices et qu’elle peut en vivre, elle continuera. Néanmoins, elle gagne beaucoup quand elle s’investit davantage dans sa carrière de mannequinat, reste à voir quand elle a le temps, c'est-à-dire très rarement.

✤ Manies, habitudes & goûts
-Evangeline aime bien qu’on la surnomme. Enfin, tant que c’est quelqu’un qu’elle aime bien. Mais ce n’est pas dit qu’elle se rebiffe si quelqu’un la surnomme sans son autorisation. Après tout, c’est vrai que son prénom est long.  

-Elle a toujours été très proche de son frère, même s’il lui faisait de l’ombre.

-Grâce à son frère, Evangeline sait jouer du violoncelle. Un peu. Elle aurait préféré du violon, mais bon, on fait avec ce que l’on a.

-Elle adore les roulés à la cannelle. Sa mère lui en faisait souvent quand elle était petite.

-Elle mange très peu et s’impose un régime drastique.

-Elle est très musclée. Et un peu squelettique aussi.

-Elle aime beaucoup le tango et en a quelques bases. Petites.

-Elle possède un chien, un spitz japonais,  répondant au doux prénom de Neve. (Ca veut dire neige, en italien).

-Elle a des origines italiennes et parle un peu italien.

-Ses pieds sont… Ce qu’ils sont. C’est-à-dire très abîmés, et elle en souffre beaucoup.
-Elle a reçu une éducation très stricte, étant donné qu’elle est née dans une famille très conservatrice.

-Evangeline est née dans une famille bourgeoise.

-Sa famille était orthodoxe. Evangeline a donc des bases de cette religion, même si maintenant, elle n’y croit plus vraiment.

-La mère d’Evangeline était une grande chanteuse d’opéra. Evangeline trempe donc dans le domaine de l’Art depuis sa naissance.

-Ses parents ne lui offrent que des bijoux en argent, pour la protéger des CESS, selon d’anciennes croyances. Evangeline n’y croit pas trop, mais ça lui fait plaisir quand même, d’avoir des bijoux.

-Elle est somnambule encore à son âge, ça lui arrive donc de temps à autre, de se réveiller un peu n'importe où.

✤ Convictions Evangeline…  Elle s’en fout. Elle s’en fout de tout, tant que ça ne l’atteint pas directement. Il peut très bien y avoir un génocide de vampires qu’elle passerait son chemin en rejetant ses cheveux en arrière.  Contrairement à ses parents, Evangeline ne prône pas « l’humain avant tout » et se tait. Oui, c’est ça, la jeune fille est une page blanche, sans nom, sans trace, sans opinion. La vérité, c’est qu’elle a peur d’avoir des opinions. En ces temps de haine, de perdition, et de désarroi, il vaut mieux porter du gros scotch à ses lèvres et feindre l’ignorance. Ce qui se passe devant ses yeux est inexistant, flou, comme un rêve. N’essayez pas de l’emmener quelque part, vers une opinion certaine, elle courrait dans l’autre sens. Ou plutôt, elle fuirait. Elle sait très bien que les humains sont en position de faiblesse face aux CESS, et qu’elle se fera dévorer un jour. Elle a peur. Alors, elle sauve sa peau comme elle le peut, ou tout du moins tente de s’échapper, sans pousser vers l’extrémisme. En réalité, elle apprécie de savoir que les CESS existent, pour mieux comprendre et connaître son ennemi, pour ne pas mourir ignorante, en somme.


Prélude
CHOIX DANTESQUE Inventé! P'TI NOM Bond. James Bond.  Cool RUMEURS Je heu... J'aime bien les cookies? :B        SESAME Validé par Iza LE VENT D'EST Grâce à un classement de forumactif DECLARATION HONNÊTEMENT. J'aime. TROMBINE Claudia Guarnieri



Dernière édition par Evangeline V. Giustiniani le 12/6/2015, 23:48, édité 7 fois
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MessageSujet: Re: Où que l'on soit, il y a toujours de l'obscurité. [Terminé]   Où que l'on soit, il y a toujours de l'obscurité. [Terminé] Icon_minitime12/6/2015, 14:00

Ticket for Pandemonium Voilà 3 jours qu'Evangeline vient de quitter le cocon familial. Voilà quelques temps qu'elle a vu la silhouette de son frangin disparaître peu à peu, avalé par l'horizon. C'est regrettable qu'il ait disparu de cette manière. Cette image procura un petit pincement de cœur à la danseuse, mais elle changea presque aussitôt de sujet. Son café à la main, la jeune fille se dirigea vers sa grande porte vitrée, qui inondait son salon de lumière. De là, elle avait vu sur son petit jardin vert et puis, derrière le mur blanc qui la "protégeait" du monde extérieur, la route. Elle avait eu de la chance, de ne pas être logée dans un quartier trop insalubre. Ici, elle se sentait en sécurité, apaisée. Rien qu'en repensant à eux, ses entrailles vrillaient. Elle avait tellement peur de les voir en face. De toute manière, elle ne ferait pas le poids face aux CESS. Pour eux, elle ne doit être ni plus ni moins qu'un morceau de chair à arracher, puis à avaler goulûment, sans même en retenir le goût.

Cette ville est dangereuse pour elle, elle le sent. Alors, elle ne sortira pas souvent, juste pour aller à son école de danse, et rentrer. Au fond, Evangeline n'aime pas vraiment cette ville. Elle n'irait pas jusqu'à dire qu'elle la déteste, mais une chose est sûre: une fois qu'elle n'aura plus rien à y faire, ce sera la première à s'en aller. La voilà maintenant, rêvassant sur sa vitre, le front collé à la paroi. Si elle est venue ici, c'était juste histoire de ne pas se taper 558 Km tous les jours pour aller à son école. Au fond, elle pense que c'est cette trop grande diversité dans cette ville qui la tue; elle n'arrive pas à trouver une place, par ici. Comme d'habitude, elle est seule. Non pas que ça la dérange, mais elle rage de ne pas pouvoir changer, depuis qu'elle est enfant. Elle porte à ses lèvres son café, maintenant tiède à force de trop rêvasser. Dans son jardin, il y a Neve, qui aboie aux gens à la rue. Evangeline tiqua, étirant sa lèvre du côté droit, traditionnel signe de mécontentement chez elle.

Elle posa son café sur la table de la salle à manger et alla dehors, tirant son petit chien par le collier en cuir noir qu'il portait, pour le faire rentrer docilement dans cette grande maison vide et blanche. Sa maison. Une maison où elle ne se sent pas chez elle, mais où elle a eu moins le mérite de se sentir en sécurité. Dans le petit couloir de l'entrée, blanc, quelques cartons soigneusement empilés font face au grand salon. Câlinant le crâne de son petit chien du bout des doigts avant de le relâcher, Evangeline s'approcha des cartons grands ouverts. Elle soupira en se disant qu'elle avait encore des bouquins à ranger. Elle n'était arrivée que récemment, mais elle savait qu'elle était arrivée au mauvais moment. Elle sentait dans l'atmosphère cette tension, mêlée d'une odeur d'elle-ne-savait-quoi. Elle avait peur, c'était indéniable. Elle se savait en danger malgré tout. Alors, reste cachée Evangeline, et surtout, tais-toi.  


“Les prières sont pour les hommes ce que sont les poupées pour les enfants. Elles ne manquent ni d'utilité, ni d'agrément, mais il est difficile de les prendre au sérieux.”
#SAMUEL BUTLER

Une histoire de dingue


« Ce n’est pas grave.  J’ai l’habitude. » Chuchote une petite fille qui espère, dans la pénombre. Ses genoux recroquevillés contre sa poitrine, elle soupire. Combien de temps cela va-t-il durer ? Posée contre un mur, la petite enfant écoute d’une oreille distraite des notes de violoncelle, en espérant. En espérant qu’on la remarque, elle, la cadette. La petite cadette de la famille, sans talents, sans dons, sans rien.

Voilà quelques temps que la mascarade se joue au sein de cette famille branlante, dégénérée. La noble famille Giustiniani possède un seul enfant. Oh, non, c’est faux, elle en possède bel et bien deux. C’est fou comme la seconde paraît transparente, insignifiante, au côté de son grand frère, un petit frêle aux yeux noisettes. Il possède un don, voyez-vous. Il entend les notes. Littéralement. Alors, que fait-on d’un don ? On l’exploite.  Ah, quel beau talent possède-t-il, le petit Giustiniani. On ne jure que par lui, ici.
Alors, la petite enfant espère. Son frère  s’est jeté il y a fort longtemps dans une soi-disante passion pour la musique. Plutôt une débouchée, si vous voulez son avis. Il avait un avenir tout tracé. Un bel et brillant avenir. Il a sombré, s’est suicidé, du haut d’une falaise, tout ça pour quelques ridicules notes enchaînées sur un instrument à cordes.
La petite, du nom d’Evangeline, espère. Elle espère, elle rêve, que son frère grimpe sur  les murs de la falaise de laquelle il s’est jeté, pour toucher la surface. Elle rêve qu’il la revoit comme avant,  qu’il ne lui adresse ne serait-ce que quelques mots.  Evangeline rêve depuis bien trop longtemps. Si bien qu’elle possède une illusion, une illusion trop grande, trop improbable, pour qu’elle se réalise. Evangeline idéalise.
Cela fait bien longtemps que la jeune fille tente, tant bien que mal, de se faire remarquer, en bien, par ses parents. Elle n’a aucun talent, aucun don, aucune facilité, nulle part. Alors, elle fait de son mieux, elle applique ce que ses parents disent. S’ils disent que les CESS sont de dangereuses créatures bonnes à faire du gibier, elle le récitera haut et fort.  Si ces parents lui disent que Dieu est sa seule et unique voie de sortie, elle se fera plus fervente à la religion de papa et maman. Avant de bientôt se rendre compte que c’est une déviante, qu’elle ne pense pas tout à fait comme eux, et que, de toute évidence et malgré tout, elle ne pourra jamais leur plaire.
On lui dit « Ca alors, qu’est-ce qu’elle ressemble à son père ! » et ça lui fait énormément plaisir. Mais son père ne dit rien, il s’en fiche. Comme d’habitude, il n’y en a que pour le petit violoncelliste, Cole.  Evangeline fait de la danse contemporaine, comme son papa, qui est très très fort et très très connu. Malgré le fait qu’il soit à la retraite, et reconverti en un actuel architecte, la petite espérait qu’exercer la danse de papa lui ferait plaisir, mais elle n’en est plus si sûre. Evangeline en a assez. Alors, pour se démarquer, pour se faire remarquer, pour qu’enfin, elle puisse briller, la petite danseuse cesse la danse de son père.
Mais ce n’est pas assez, il ne réagit pas. Alors, après quelques sanglots, la gamine décide de tracer sa propre voie, à bout de force, épuisée, accablée. « Tant pis si je ne plais pas, de toute manière, c’est comme ça, et plus autrement. » Se dit-elle, en traçant à la craie blanche son propre avenir.  Elle continue ce qu’elle a toujours entreprit ; la danse classique. Ah, que serait la vie, sans cela ? Elle aime beaucoup cette danse, ça l’apaise. Alors peut-être pourrait-elle devenir comme papa, dans un autre domaine ? Pour aller un peu plus dans la provocation, et pour se perfectionner aussi, la danseuse se dit que, la GRS, ce ne serait pas si mauvais pour se perfectionner. Alors, elle fait, la gamine, elle s’acharne et elle s’entraîne, jusqu’à ce que ses muscles se détachent les uns des autres.
Dans le monde extérieur d’Evangeline, le beau monde se déchaîne, le rouge décore et teinte les rues, et bien que ses parents posent un délicat bandeau noir sur ses yeux, elle ne peut s’empêcher de remarquer comme le monde extérieur est étrange, changé. Quelque chose cloche, elle le sait, elle le sent, mais cet épais bandeau lui empêche de comprendre et de voir, plus loin, ce qui se trame. Alors, elle se tait, et vit comme elle le fait habituellement. Ses parents insistent sur la croyance, sur Dieu. Ils lui disent que c’est important de croire, et de ne pas oublier. Ils lui disent que le monde de dehors est dangereux, et qu’elle ne doit pas s’y aventurer. Ils l’empêchent de voir et de comprendre ce qui se trame dehors.

Ses parents s’en fichent de ce qu’elle fait d’elle, de son corps. Evangeline est seule, et ça, elle le sait mieux que personne : c’est la faute du grand méchant, du surdoué : Cole. S’il n’avait jamais été là, s’il n’avait jamais existé, elle serait en train de briller dans les iris de ses parents, mais pour l’heure, tout ce qui s’y reflète est Cole et son violoncelle. Cole a changé, Cole est différent. « Si seulement, on avait rien découvert. » pensa-t-elle, alors peut-être serait-il resté comme il était, neutre, souriant. Si seulement son don n’avait pas résonné jusqu’aux tympans de ses parents, si seulement ce don n’avait jamais existé… Peut-être ne se serait-il pas fait dévorer par la musique, et les notes. Mais maintenant, le mal est fait, et Cole se dénoue lentement de l’affection qu’il porte à la petite fille invisible : Evangeline. Dans cette lancinante obscurité, un rayon de lumière pourfendre les ténèbres : Evangeline a dû potentiel. Son professeur de danse en parle à ses parents, l’on parle d’auditions, de grandes écoles… Ca fait rêver la petite. Mais face aux rêves, vient probablement les désillusions : cela n’aide pas les parents qui préfèrent se languir sur les résultats de leur fils aîné, envoyé au très réputé Berklee College of Music. La pénombre s’agrandit, et Evangeline déteste encore plus son frère, qu’elle ne considère plus comme tel. Elle le hait, le hait, le hait, ne cessera jamais de se le dire, mais jamais elle ne prononcera ses mots à voix haute.  Elle le hait parce qu’il la délaisse, parce qu’il reporte son affection sur quelque chose qui n’en vaut pas la peine, parce qu’il l’abandonne, tout simplement.
Cette haine, aussi ironique soit-elle, l’aide à avancer. Son avenir se dessine sur un tableau noir, et Evangeline trace son avenir dans une grande école de danse. Et pour cela, il faut passer comme des tests : une Audition.
Cette audition, elle le sait et le conçoit, elle la passera seule, sans soutien. C’est devenu comme une habitude, chez elle. Derrière elle, elle n’aperçoit que des parents sceptiques et méprisants. Mais ce n’est pas grave, parce qu’elle fait ça pour elle. Parce qu’Evangeline adore se débattre dans la marécageuse et sombre bataille.  Peut-être, se surestime-t-elle un peu trop, peut-être est-elle trop bagarreuse, hargneuse, et trop jeune ? Peut-être est-ce à cause de cela que le rayon de lumière s’est dissipé, cette soirée-là.
Elle avait raté, s’était magistralement viandée. Et la suite n’en est que peu reluisante ; une bonne gifle, bien cinglante sur la joue, et puis des menaces qu’elle arrête ses « bêtises » et surtout, une honte immense. Une honte pour une si jeune enfant, d’à peine quatorze ans. Ça brûle, ça fait mal, ça blesse. Quelques sanglots, beaucoup de ténèbres, et la voilà de retour. Evangeline se morfond encore dans sa routine, et se questionne encore, sur la foi, sur ses géniteurs, sur tout. Et si, ils avaient tort ? Et si, tout ce qu’ils pensaient n’était pas correct ? Pourquoi était-elle en désaccord avec eux ? Les CESS sont-ils aussi dangereux qu’on le prétend ? Pourquoi Dieu ne lui vient-il pas en aide ?
Et si…
…On retentait l’aventure ?
A peine deux ans plus tard, la jeune danseuse se retrouve au même endroit, avec un espoir plus fort, plus hargneux, plus déchirant. Personne ne pourra l’arrêter, même si ses parents ne sont pas d’accord, protestent et gémissent, Evangeline sera toujours là, à tenter, tester, espérer. Parce qu’au fond, c’est dans sa nature même. Alors, peut-être qu’en tentant une seconde fois, ça marcherait ?
…Il n’y avait qu’à espérer plus fort.
Et ça a marché. La voilà, sa réussite, son trophée. Etrangement, il ne brille pas dans les yeux de papa et maman. C’est triste à dire, mais elle s’y attendait quelque peu. Ce n’est pas très grave, elle a eu ce qu’elle désirait le plus au monde ; son avenir dessiné à la craie sur un tableau noir. Ses ténèbres se sont dissipés, envolés. Mais derrière cette envahissante lumière qui baigne la pièce, personne n’aperçoit la petite tâche d’ombre sur le bas-côté.
Cole.
La haine a toujours un talent spécial pour ressurgir promptement et fugacement, quand on ne l’attend pas. Evangeline le remarque, le dévisage. Il est toujours le même au final, le petit préféré, aimé et indifférent à sa sœur. Seulement, Cole Edward Giustiniani paraît légèrement plus hésitant, effacé. « Eh bien, qu’arrive-t-il à l’homme le plus brillant de la famille ? » Chuchota-t-elle narquoisement, en le fixant de loin. Evangeline ne peut s’empêcher de masquer sa haine qui lui colle à la peau, mais Cole s’en fiche, car il a quelque chose de très, voire trop important à annoncer.
La vérité… C’est qu’il aime les hommes.
Alors, on crie au sacrilège, à la diffamation, au complot, à l’hérésie. Enfin, surtout les géniteurs, parce qu’au fond, Evangeline s’en fout royalement. La famille Giustiniani perd pied, s’emballe et puis s‘écrase. Les valises sont posées à l’entrée et n’attendent que lui. La petite fille invisible regarde son frère partir lentement, un peu paniqué et accablé.
« Alors, qu’est-ce que ça fait quand le plus brillant de la famille vous offre la plus belle déception de votre vie ? » Soupire-t-elle en voyant calmement la silhouette de son grand frère disparaître sous les cris outrés de la mère de Cole. Malgré cette grande victoire, Evangeline sent un petit pincement au cœur, et ne peut s’empêcher de ressentir une compassion incertaine envers celui qu’elle considérait comme son grand frère, désormais disparu à jamais.
Les ténèbres reviennent souvent plus vite qu’on ne l’avait prévu.
Et comme elle ne veut plus que les ténèbres envahissent une nouvelle fois sa chambre, la petite fille, devenue maintenant une grande personne, quitte son nid, en espérant voir apparaître une plus belle lumière, quelque part, où il n’y aura plus de zones d’ombres pour obscurcir le tableau.
Bienvenue à Shreveport, Evangeline.


En bref.

15 mai 1998 ► Naissance d’Evangeline Victoria Giustiniani, à 15 :41, fille d’Amanda Bennett et Gabriele Giustiniani, sœur de Cole Giustiniani, né le 31 août 1997.

2002-2003 ► Evangeline débute la danse classique, et la danse contemporaine.
L’on remarque que Cole possède un « don » : l’oreille absolue. Evangeline est rapidement mise de côté.

2006 ► Evangeline commence à se faire remarquer au classique.
Elle arrête la danse contemporaine au profit de la GRS.

2010-2011 ► Grande Révélation. La famille panique et se coupe du monde. Les CESS sont alors tabous dans la maison. Les parents sont partisans du mouvement des HA.

2011 ► Cole est admis au Berklee College of Music à 14 ans.
Son professeur de danse insiste auprès des parents d’Evangeline pour que cette dernière passe une audition pour rentrer dans une école de danse.

2012 ► Evangeline passe l’audition et se rate.

2014 ► Evangeline repasse l’audition et est prise.

2016 ► Peu après, Cole revient à la maison, il annonce alors à la famille qu’il est gay. La famille le vire de la maison.
Evangeline s’installe à Shreveport.



Dernière édition par Evangeline V. Giustiniani le 12/6/2015, 23:40, édité 4 fois
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MessageSujet: Re: Où que l'on soit, il y a toujours de l'obscurité. [Terminé]   Où que l'on soit, il y a toujours de l'obscurité. [Terminé] Icon_minitime12/6/2015, 14:36

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~ Ouèlcome bizaro
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MessageSujet: Re: Où que l'on soit, il y a toujours de l'obscurité. [Terminé]   Où que l'on soit, il y a toujours de l'obscurité. [Terminé] Icon_minitime12/6/2015, 16:23

Merci tout le monde! bizaro
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MISSIVES : 4308
ACTE DE PROPRIETE : Michaux & Rimbaud (citations) ; Shiya (avatar) ; SWAN (code signature) ; Biscotte (crackship)

« J'ai appelé les bourreaux pour, en périssant, mordre la crosse de leurs fusils. J'ai appelé les fléaux, pour m'étouffer avec le sable, le sang. Le malheur a été mon dieu. Je me suis allongé dans la boue. Je me suis séché à l'air du crime. Et j'ai joué de bons tours à la folie. »
 
Yago Mustaphaï
ALIAS ; Le juif pedofourbe en papillote. Tu veux des bonbons ?


Black Moon
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MessageSujet: Re: Où que l'on soit, il y a toujours de l'obscurité. [Terminé]   Où que l'on soit, il y a toujours de l'obscurité. [Terminé] Icon_minitime12/6/2015, 16:53

Bienvenue parmi nous ! lala
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Bill Gisborne
 

Do not go gentle
into that good night.


Où que l'on soit, il y a toujours de l'obscurité. [Terminé] Tumblr_nwutivno3t1qalyj8o1_400

SIGNALEMENT : Apôtre de la pensée sauvage. Fabuliste des temps modernes.
SERENADE : My Violent Heart – N.I.N. || Bad Moon Rising – Mourning Ritual || Evil Ways – Blues Saraceno || No Comment – Gainsbourg || Nevermind – Leonard Cohen.

Où que l'on soit, il y a toujours de l'obscurité. [Terminé] Tumblr_nwutivno3t1qalyj8o5_250

Rage, rage against
the dying of the light.

SOBRIQUET : Pathos.
MISSIVES : 1062
ACTE DE PROPRIETE : Babine (avatar), tumblr (gifs), Lou Bee (compo image de guedin), Nuru Kane (citation signature), Dylan Thomas (citation profil).

« He in his madness prays for storms, and dreams that storms will bring him peace. » L. Tolstoy.
 
Bill Gisborne
ALIAS ; Billoute-le-Cravacheur,
il fait Führer !


Black Moon
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MessageSujet: Re: Où que l'on soit, il y a toujours de l'obscurité. [Terminé]   Où que l'on soit, il y a toujours de l'obscurité. [Terminé] Icon_minitime12/6/2015, 22:02

C'est une fiche rondement menée dites donc !
Bienvenue parmi nous. coucou
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Melinda Warren
 
Maman louve léthargique

SIGNALEMENT : Une maman poule
HABILITIES : Rapidité, force, guérison rapide
OFFICE : Chômage - Ancienne Directrice en chef du Daily Comet
SERENADE : Just give me a reason - Pink & Nate Nuss

Où que l'on soit, il y a toujours de l'obscurité. [Terminé] Tumblr_inline_mipu4zxHOM1qz4rgp
Louve blanche et Alpha, lupa de la Meute.
En octobre elle devient la compagne officielle de Jeremiah A.C Kellog alors Ulfric de la Leute de Shevreport. Elle attend son enfant.
Février 2014, alors enceinte de 5 mois, Melinda découvre le corps de JEremiah, éviscéré, en pleine nuit.
Début Mars 2014, après avoir été pourchassée avec Duncan dans la forêt, puis sauvée par HAnsfried, celui ci se hisse au poste d'Ulfric.
Depuis, que le calme est revenu dans la Meute, Melinda s'enfonce dans une dépression dont personne ne parvint à l'en sortir. Pas même Conrad qui a réussit tout de même à lui redonner le sourire.
le 30 avril 2014, Melinda, torturée par Cinead en pleine forêt,accouche et oublie son enfant. Tisha qui la retrouve près du Pard la raccompagnera à la Meute, où Iza les rejoindra avec le bébé mort entre les bras... SOBRIQUET : Arwana / Arwy
MISSIVES : 2817
ACTE DE PROPRIETE : Bazzart

 
Melinda Warren
ADMIN ♥ Gangbang Melou ♥


Black Moon
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MessageSujet: Re: Où que l'on soit, il y a toujours de l'obscurité. [Terminé]   Où que l'on soit, il y a toujours de l'obscurité. [Terminé] Icon_minitime12/6/2015, 22:08

bienvenue mistinguette =)
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Anonymous
 
 
Invité
Invité


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MessageSujet: Re: Où que l'on soit, il y a toujours de l'obscurité. [Terminé]   Où que l'on soit, il y a toujours de l'obscurité. [Terminé] Icon_minitime12/6/2015, 23:26

Et bien voilà, j'espère que tu as trouvé ton bonheur. coucou
Bienvenue parmi nous !
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Izabelle Kennedy
 
Soigne. Vole. Aime.

— It`s nice to be important... but it`s more important to be nice! —
INFORMATIONS CONFIDENTIELLES
SOBRIQUET : Gedauphin
MISSIVES : 3241
ACTE DE PROPRIETE : Shiya — arctic-icons

« J'ai appris que l'on pouvait presque toujours voir le bon côté des choses, pourvu que l'on prenne la décision de le faire. Bien sûr, il faut que ce soit une décision très ferme. » LMM
 
Izabelle Kennedy
ADMIN — Piou-Piou, le super oreiller en plumes de poulet blanc.


Black Moon
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MessageSujet: Re: Où que l'on soit, il y a toujours de l'obscurité. [Terminé]   Où que l'on soit, il y a toujours de l'obscurité. [Terminé] Icon_minitime12/6/2015, 23:53

Purée, à deux jours près Evangeline (J'adore ce prénom !) a exactement la même date de naissance que ma petite sœur IRL mdr (elle a dix-huit dans un an oo !)

Bienvenue sur le forum et bonne future validation dans la soirée probablement (a)
J'ai validé ton code règlement et en cas de besoin, n'hésite pas à poser des questions

:dédé:

Welcome
Je suis là pour te guider

 
Tout d'abord, je te souhaites la bienvenue sur Drag me to Hell de la part de toute l'équipe administrative.
   Ensuite, maintenant que ta fiche est achevée, je viens la modérer pour la validation.


 
— « Clairement, Evangeline ne vit pas. Ou du moins, pas de la même manière que vivrait un banal jeune de son âge. » Elle s'amuse au moins ?
— « -Ses pieds sont… Ce qu’ils sont. C’est-à-dire très abîmés, et elle en souffre beaucoup. » Moh, vient voir infirmière Iza !

— « Elle sait très bien que les humains sont en position de faiblesse face aux CESS, et qu’elle se fera dévorer un jour. » On est pas méchant... pas moi en tout cas :pretty:

— «  Pour eux, elle ne doit être ni plus ni moins qu'un morceau de chair à arracher, puis à avaler goulûment, sans même en retenir le goût.  » C'est pas vrai :63:

— « Alors, on crie au sacrilège, à la diffamation, au complot, à l’hérésie. » Pffff

— En espérant qu'Evangeline puisse trouver sa voie loin de ses parents ! Et qu'elle ne les revoient plus jamais  suce
 
 
J'ai le bonheur de t'annoncer
  que tu es validé !
  Toutes mes félicitations !

 


 

 

   Maintenant que tu fais partie des Dragibus de Drag Me To Hell, tu peux :

   ♣️ Te rendre dans une fois que tu es validé pour remplir quelques petits formulaires ;
   ♣️ Remplir ton profil ;
   ♣️ Demander à être parrainé si jamais tu te sens un peu perdu ;
   ♣️ Adhérer à un clan ;
   ♣️ Créer ta fiche relationnelle ;
       ♣️ Choisir de recenser ou non ton personnage comme étant un CESS ;
   ♣️ Demander un RP ;
   ♣️ Visiter le coin des sujets multijoueurs pour pimenter ton jeu.

   PS : tu pourras demander un logement  et créer une entreprise, en cas de besoin, lorsque tu auras deux mois d'ancienneté et trois RP achevés.

   
 

 
Il ne me reste plus qu'à te souhaiter un bon jeu sur Drag me to Hell.
   Amuse-toi bien, et rappelle toi, que si tu as la moindre question nous serons toujours là pour y répondre.
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MessageSujet: Re: Où que l'on soit, il y a toujours de l'obscurité. [Terminé]   Où que l'on soit, il y a toujours de l'obscurité. [Terminé] Icon_minitime13/6/2015, 13:17

Merci beaucoup pour votre accueil, les gens :63:

Izabelle > Coïncidence? Je ne crois pas. Cool *musique des Experts Miami*
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MessageSujet: Re: Où que l'on soit, il y a toujours de l'obscurité. [Terminé]   Où que l'on soit, il y a toujours de l'obscurité. [Terminé] Icon_minitime

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Où que l'on soit, il y a toujours de l'obscurité. [Terminé]

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