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 Croyez-vous que je pense à un sacré violon, quand l'esprit me parle et que j'écris ce qu'il me dicte ? (L.Van Beethoven) || Doyle

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Croyez-vous que je pense à un sacré violon, quand l'esprit me parle et que j'écris ce qu'il me dicte ? (L.Van Beethoven) || Doyle Empty
MessageSujet: Croyez-vous que je pense à un sacré violon, quand l'esprit me parle et que j'écris ce qu'il me dicte ? (L.Van Beethoven) || Doyle   Croyez-vous que je pense à un sacré violon, quand l'esprit me parle et que j'écris ce qu'il me dicte ? (L.Van Beethoven) || Doyle Icon_minitime22/8/2015, 20:36

Prélude
DATE & LIEU DE NAISSANCE Doyle est né le 12 février en l'an 1811, à Drogheda (Irlande) ; AGE Doyle était âgé de 31 ans lors de son étreinte, on lui donne donc en apparence une trentaine d'années. Il est en réalité âgé de 205 ans ; ORIGINES Il est né de parents Irlandais nés eux-mêmes de parents Irlandais et ainsi de suite lorsque l'on remonte dans le temps : Doyle est donc un Irlandais pure souche et inconscient est celui qui lui maintiendrait le contraire car il est fier de ses origines ; CAMP Il suit le Maître, il est loyal : à l'Essain il est fidèle et il le restera ; NOM DU SIRE Christian de Mollans, un Vampire originellement né en France et transformé par Nicolas d'Andrivon (lui-même un infant de Mary Ann) ; DATE DE L'ETREINTE Le 25 mars de l'an 1842, dans une maison retirée au sud de Drogheda ; STATUT Doyle est encore un Ancilla et bien des décennies l'attendent avant qu'il n'atteigne la sagesse d'un Caïnite DISCIPLINE Doyle possède le pouvoir de Domination et il ne voudrait l'échanger pour rien au monde. Ayant atteint le troisième niveau de cette discipline, il continue à en découvrir les méandres avec une certaine délectation ; ETAT CIVIL Doyle n'est lié à personne de cette façon. Il n'a d'ailleurs pas de marqué. Il apprécie trop sa vie solitaire pour franchir le pas mais il n'est écrit nulle part que cela n'arrivera jamais LIEU D'HABITATION Dans le District, Quartier des Vampires, il a pris possession (en l'achetant de façon honnête) d'une petite maison mitoyenne qui certes, d'un point de vue extérieur, ne paye pas tant de mine que cela mais à l'intérieur, grâce à l'argent qu'il a accumulé et qu'il continue d'accumuler, Doyle vit dans un véritable luxe. Il a des goûts relativement anciens, n'aime pas trop ce qui touche au modernisme et cela se voit et se ressent dès qu'on entre chez lui. Encore faut-il  qu'il laisse entrer quelqu'un chez lui.  METIER Fut-ce un temps où Doyle était luthier et c'est un savoir qu'il possède toujours et sait utiliser. Il a été pianiste puis a fini par embrasser son rêve et est devenu violoncelliste professionnel. Ceci dit, depuis ces cinq dernières années, il est surtout compositeur bien qu'il continue à se produire de temps à autres dans de petites salles dans l'état de Louisiane ; CLASSE SOCIALE Doyle est né humain dans un milieu modeste, sa famille a même frôlé la pauvreté mais au fil des années passées en Amérique, il a commencé à mieux gagner sa vie. Les choses ont été plus faciles pour lui après sa transformation ; UN MARQUE ? Aujourd'hui il n'en possède pas mais, même s'il n'y songe pas, il n'exclut pas l'idée que cela arrive un jour : il n'est pas à l'abri de rencontrer l'être humain qui éveillera cette envie en lui ; ETIQUETTE Doyle étant assez secret et renfermé, il n'est pas simple de lui coller cette fameuse étiquette. Ceci dit, si on doit vraiment lui en donner une, on peut dire que c'est l'artiste rêveur. Toujours l'esprit ailleurs, souvent un crayon et une partition à la main pour noter les mélodies qui peuvent lui venir à l'esprit. C'est ce type, le rouquin qui joue divinement bien du violoncelle mais qui est plutôt vieux jeu dans sa façon de s'exprimer et d'agir.

Le bien que l'on fait parfume l'âme. # VICTOR HUGO

Doyle Eustace O'Reilly
Feat Sam Heughan



✤ Traits de caractères La beauté et le frisson de la création, voilà une chose dont Doyle ne peut pas se passer. Créatif, il aime faire naître quelques notes, une mélodie du bout de ses doigts. Il aime aussi faire naître des images, il laisse pour cela ses doigts tracer des traits et des formes sur des feuilles de papier. Particulièrement adepte du fusain, il aime sentir cette manière dans sa main, il aime le bruit d'une pointe de fusain allant et venant sur la papier. Sa créativité n'a d'égal que son sens artistique et si, durant sa vie humaine, cela se traduisait uniquement en dessin ou en musique, après être né à l'obscurité, il a souvent usé de sa créativité quand il assouvissait sa soif. Depuis la Révélation, il ne peut guère se laisser aller à tant « d'originalité» même s'il en a parfois l'envie.
Doyle est un petit curieux. Ce trait de caractère est sans aucun doute lié à sa créativité excessive. Combien de fois a-t-il fait en sorte de créer une situation à laquelle des humains ont dû faire face simplement parce qu'il était curieux de voir ce qui allait se passer ? Impossible d'en faire le compte tant c'est arrivé un bon nombre de fois. Il aime les voir réfléchir, se démener.
Cela nous amène inévitablement à son côté malsain. Sa curiosité le pousse parfois à pousser jusque dans les extrêmes, jusqu'à atteindre et dépasser des limites que l'on ne devrait pas franchir, d'un point de vue humain s'entend. Quoique certains êtres humains franchissent ces limites. Disons plutôt d'un point de vue moral et sain dans ce cas. Il n'est pour autant pas inconscient, il sait parfaitement qu'il va loin mais si son humanité l'aurait empêché de pousser plus loin, son âme souillée par le mal qui fait partie de lui ne l'arrête nullement dans ses petites expériences même s'il ne le fait jamais sans le consentement d'autrui. C'est d'ailleurs au sein du Croquemitaine qu'il a trouvé son bonheur durant ces dernières années car l'endroit regorge de ces gens-là bien que certains soient pris par la peur quand ils se retrouvent véritablement devant le fait accompli.
Ces gens-là sont chanceux que Doyle soit respectueux de la vie humaine : cela leur évite de terminer en vulgaire viande morte. Il a été élevé par son Sire dans ce sens, dans la tradition du respect d'autrui. Certes, l'être humain est de la nourriture mais il a vite appris que ce n'était pas une raison pour les traiter comme des animaux ou pire que des animaux. Quand il tuait (puisqu'aujourd'hui la mort est à éviter pour respecter la loi), il le faisait avec un certain raffinement. Il s'est bien accommodé de cette façon de pratiquer car même si au départ cela a été difficile, garder un certain respect pour l'être humain lui a apporté un certain réconfort : il n'était pas complètement devenu un monstre.
Cela compense un peu son côté obsessionnel. Déjà, lorsqu'il était humain, il avait tendance à tourner en boucle sur le même sujet tant qu'il n'avait pas obtenu gain de cause. Bien sûr, en devenant Vampire, ce côté de sa personnalité s'est exacerbé bien qu'il ait été pendant un moment facilement distrait. Une veine qui palpitait non loin le faisait vite s'éloigner de ses pensées mais avec le temps, il a appris à mieux focaliser ses pensées et c'est pour cela que sa fâcheuse tendance à se montrer obsessionnel a terminé par bel et bien ressortir. On pourrait dire que ce n'est pas bien grave, que ce n'est pas un mal mais ça l'est parfois.
Il est d'ailleurs particulièrement possessif et protecteur, l'un n'allant pas sans l'autre, et Doyle ne fait pas dans la demi-mesure, ce qui peut s'avérer être problématique.
Or, les problèmes, Doyle préfère les éviter. Loyal et fidèle envers l'Autorité, il ne tient pas à devenir un hors-la-loi, il ne tient pas à faire partie de ces Vampires qui ont tourné le dos à l'Ordre et au Dévouement. Il tient vraiment à continuer à s'intégrer comme il a bien su le faire depuis le début de la Révélation. Le tout est de trouver le bon équilibre pour à la fois s'intégrer tout en continuant à être ce qu'il est.
Ce qu'il est, c'est aussi une créature qui peut se révéler être très mélancolique. Des bribes de son humanité passée subsistent bien qu'elles aient mis des décennies avant de se faire pleinement ressentir. Doyle est cet artiste à fleur de peau qui se sert de ce qu'il a ressenti et ressent toujours pour créer. Ce n'est pas pour rien que l'on fait appel à lui pour des compositions plutôt sombres et teintées de tristesse.
C'est ceci dit quelque chose qu'il garde en général pour lui. Très secret, Doyle n'est pas créature à se confier facilement à autrui. Il sait que certains pourrait voir en lui de la faiblesse dans ce qu'il ressent et ne souhaite pas entrer inutilement dans un débat stérile : il estime ne pas avoir à se justifier alors pour éviter de le faire, il ne dit rien.
Il est de ce fait plutôt introverti et le succès qu'il a pu rencontrer lorsqu'il s'est lancé brièvement dans la carrière de violoncelliste professionnel n'a rien changé à cela. Mal à l'aise dans les interviews, mal à l'aise quand les salles se mettaient à applaudir avec avidité, lui, il aimait juste partager sa musique et s'enfermer dans sa bulle dès qu'il commençait à jouer.
Sa bulle, il y tient. Pensif ou plus exactement rêveur, Doyle a bien souvent la tête ailleurs si bien qu'on a souvent l'impression qu'il se désintéresse de tout. On dit même de lui qu'il est taciturne et éteint alors qu'en fait, intérieurement, il est tout sauf taciturne et éteint : il est passionné. Passionné par la musique, passionné par l'art, passionné par l'être humain.
Surtout par l'être humain.
✤ Occupation nocturne
~ Son occupation première, en dehors de se nourrir s'entend, est la musique. Doyle passe un bon nombre d'heures enfermé chez lui, à composer, encore, et encore. C'est ce qu'il aime, ce qui le fait véritablement vibrer de plaisir. Il ne pourrait pas vivre, exister pardon, sans musique. Il perdrait certainement l'esprit en fait s'il n'y avait pas la musique en lui, autour de lui.
~ Il peint aussi beaucoup même s'il préfère dessiner au fusain, il est très à l'aise tant avec la peinture à l'huile qu'avec l'aquarelle.
~ Il est peu sportif, il l'était davantage quand il était humain mais il n'éprouve ni l'envie ni le besoin de faire du sport. Un vélo d'appartement prend la poussière chez lui, au cas où un jour quelqu'un viendrait chez lui et voudrait l'utiliser. Ceci dit, il possède une bicyclette assez ancienne et il aime, la nuit, se balader, tranquillement, doucement, paisiblement.
~ Il va très souvent se balader dans les musées bien qu'ils les connaissent à présent sur le bout des doigts. Il aime ce qu'il se dégage de ces endroits remplis d'histoire.
~ Il passe pas régulièrement au Croquemitaine. C'est là qu'il se trouve ses hum... Compagnons et compagnes temporaires, à défaut de trouver un meilleur terme pour les définir.
Il observe très souvent sa descendance d'un coin sombre à l'abri des regards.
~ Il apprécie aller au cinéma mais il choisit très scrupuleusement les films qu'il va voir : il a des goûts très sélectifs.
~ Il joue une fois par semaine du piano dans un bar. Il n'en a pas besoin financièrement mais puisqu'il ne joue plus du violoncelle aussi souvent qu'il le voudrait dans des salles, c'est sa façon à lui d'exprimer sa musique en public.
~ La journée, il dort. Vraiment. (Vampire DUH !)
✤ Manies, habitudes & goûts
~ Il est fou de musique
~ Il est fou de peinture
~ Il est fou de littérature
~ Il est obsédé par sa descendance
~ Il regrette de ne pas pouvoir manger de sushis : ça a l'air véritablement bon
~ Il déteste les oiseaux
~ Il adore les chats
~ Il a un chat qui s'appelle Ludwig et il déteste que l'on fasse des commentaires à ce sujet
~ Il déteste la cruauté envers les animaux
~ Il a un goût prononcé pour les choses raffinées
~ Son accent irlandais ne l'a jamais quitté bien qu'il soit capable de prendre un accent américain absolument parfait
~ Il parle couramment le dialecte Gaélique et s'il jure, il jure en général dans ce dialecte
~ Il ne porte jamais de vêtements voyants
~ Il déteste la couleur rouge (comble pour un Vampire sans doute)
~ Il regrette encore aujourd'hui la vue du soleil et d'un magnifique ciel bleu
~ Il préfère la lumière naturelle d'un feu plutôt que la lumière artificielle, bien que cela soit plus dangereux
✤ Discipline La lignée dont il fait partie lui a permis d'obtenir le pouvoir de Domination. Les décennies lui ont permis d'atteindre un certain niveau si bien qu'à l'heure actuelle, Doyle se délecte de son don. Il en a toujours été ainsi mais les pouvoirs qu'il possède aujourd'hui sont une véritable source de jouissance même si l'on ne peut pas parler de jouissance à proprement parler. Lorsqu'il a commencé à user de son don, c'était simple ou plutôt, cela n'allait pas très loin : quelques ordres donnés par ci par là quand il parvenait à capter le regard d'un être humain et il fallait qu'il soit clair dans son ordre sinon, cela ne fonctionnait pas. Cela l'a beaucoup frustré car il voulait plus mais son Sire lui a appris à être patient et il l'a été. Et, quand au fil du temps, il a fini par être capable d'implanter une pensée inventée de toute pièce dans l'esprit d'un être humain, Doyle en a éprouvé une réelle satisfaction et fierté. Bien sûr, cela lui demandait beaucoup de concentration et de force d'esprit mais il en était capable, épaulé par son Sire. Son don n'a guère évolué après cela mais cela lui a permis de renforcer la force mentale qu'il possédait déjà de façon à rendre les ordres plus précis encore, plus efficaces également. Il a fini par être capable de donner des ordres plus complexes et même à implanter des idées bien précises dans l'esprit d'êtres humains. Puis, il a atteint le niveau qui est le sien aujourd'hui qui lui permet de fouiller à l'intérieur de l'esprit de quelqu'un jusqu'à voler ou encore modifier la mémoire à volonté. Il lui est possible de brouiller un souvenir, de le rendre plus flou, il peut également les modifier en intégralité ou encore les effacer mais cela est bien plus complexe. Il a appris qu'il était plus facile de modifier un souvenir plutôt que de l'effacer et d'en recréer un de toutes pièces : le psyché humain est une chose bien complexe, il en a parfaitement conscience et c'est pour cela que son don, il l'utilise avec une réelle prudence. Avec plaisir certes, mais prudemment. Il ne fait pas n'importe quoi.
✤ Convictions On peut dire que la Révélation a été une véritable aubaine pour Doyle. Cela lui a permis de pouvoir réaliser son rêve et devenir violoncelliste professionnel car, puisqu'il n'avait plus besoin de cacher sa nature, il pouvait bien carrément la mettre au devant des projecteurs. Il a donc vraiment été heureux de ce grand changement même si cela a entraîné davantage de règles qu'il n'en existait déjà. Ceci dit, ne pas tuer ne le dérange pas, c'est une simple question d'habitude et finalement, il s'y est fait. De plus, il a réalisé qu'il pourrait, lorsqu'il se sentirait prêt, se faire connaître de sa descendance, de ces personnes qu'il surveillait depuis un petit moment déjà. Malheureusement, les mauvais côtés ont vite rattrapé les bons côtés et les tentatives d'attaques dont il a été victime durant sa tournée en 2010 l'ont quelque peu refroidi (au sens figuré puisqu'il est déjà glacé). Fort heureusement, il avait quelques sorciers pour veiller à sa sécurité et pour le protéger mais c'est à ce moment-là qu'il a pleinement réalisé qu'être connu de tous n'avait clairement pas que des avantages. Si certains humains étaient curieux quant à l'existence des Vampires voire admiratifs, d'autres les craignaient et les haïssaient au point de vouloir leur disparition. L'attentat du Croquemitaine a confirmé les sombres pensées de Doyle. Et maintenant alors ? Maintenant, il pense toujours que la Révélation était une bonne chose car il est agréable de ne plus avoir à se cacher. Il est ceci dit moins catégorique : l'existence des CESS n'est pas parfaite grâce à la Révélation. Pas pire non plus. Elle est seulement différente.
✤ Signes particuliers Il a une vilaine et large cicatrice sur le flanc droit, vestige d'une blessure assez grave qui a bien failli le faire trépasser l'année de ses vingt-six ans.


Prélude
CHOIX DANTESQUE Inventé  What a Face P'TI NOM BereniceWCL RUMEURS Euh...  hin Je déteste les légumes  arrow J'adore les Manga  :cachotier: Je suis amoureuse de Lestat depuis que j'ai 14 ans et vu l'âge que j'ai maintenant, ça fait un moment  :bingo: Je suis une grande cinéphile et une fanatique obsessionnelle de tout un tas de séries  dildo Quoi d'autre ?...  :hungf: Je chante, dessine, je suis membre de GreenPeace et j'enquiquine les gens avec tout un tas de trucs qui me tiennent à cœur. Je trouve que l'humain se croit trop chez lui alors qu'il est arrivé en dernier et voilààààà ! Laissez-moi tranquille  sad SESAME Validé par Theo. Non, y'a plus de code !  LE VENT D'EST J'ai fouillé sur Bazzart et je comprends pas pourquoi j'ai attendu aussi longtemps avant de me pointer...  hum  DECLARATION AND IIIIIIIIIIIIIIIIIIIII WILL ALWAYS LOVE YOUUUUUUUUUUUUUUUUUU OHHHHHHHHHHHHHH  love01 J'avais envie, désolée  love03  TROMBINE Sam Heughan  love02  



Dernière édition par Doyle O Reilly le 8/9/2015, 07:58, édité 17 fois
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Croyez-vous que je pense à un sacré violon, quand l'esprit me parle et que j'écris ce qu'il me dicte ? (L.Van Beethoven) || Doyle Empty
MessageSujet: Re: Croyez-vous que je pense à un sacré violon, quand l'esprit me parle et que j'écris ce qu'il me dicte ? (L.Van Beethoven) || Doyle   Croyez-vous que je pense à un sacré violon, quand l'esprit me parle et que j'écris ce qu'il me dicte ? (L.Van Beethoven) || Doyle Icon_minitime22/8/2015, 20:36

Ticket for Pandemonium
An 1990
Mes doigts courent sur le clavier, les notes s’échappent du piano et j’ai la sensation merveilleusement agréable qu’elles vibrent jusqu’à l’intérieur de mon être mort, mon être qui l’espace de quelques instants, le temps de cette mélodie, revit. C’est en tout cas de cette façon que je le ressens. C’est toujours de cette façon que je le ressens quand je joue, que cela soit du piano ou du violoncelle. C’est bien plus fort ceci dit quand c’est de mon violoncelle que les notes s’échappent. Je m’arrête un instant, jette un regard en biais à l’étui dans lequel est soigneusement rangé mon violoncelle. L’envie me prend de l’en sortir et de jouer. Je me redresse, me saisis du drap blanc que je replace correctement sur le piano avant de m’approcher de mon violoncelle : c’est là que l’on frappe à ma porte. J’observe l’étui de violoncelle, ma main vient le caresser et l’instant d’après, mon corps m’a transporté à la porte d’entrée de la maison. J’ouvre la porte à la volée, fait sursauter le déménageur qui me semble d’ailleurs bien pâle. Mes yeux quittent les siens pour observer la veine saillante sur son cou, je perçois les battements de son cœur. Je prends une profonde inspiration : par tous les Diables, il sent merveilleusement bon. Non. Pas maintenant. Pas lui. Il ne rentre pas dans mes… Standards ? Je crois bien que l’on peut appeler ça comme ça oui et de toutes les façons, j’ai besoin de lui vivant, pas mort. C’est déjà difficile de trouver une société qui accepte de faire le déménagement à la nuit tombée, je ne vais pas m’amuser à éliminer le seul qui a accepté. Je l’invite lui et ses hommes à entrer, comble quand on sait que d’ordinaire c’est moi qui aie besoin de recevoir ce genre d’invitation pour rentrer chez quelqu’un. Je leur explique brièvement ce que j’attends d’eux puis, je vais m’asseoir sur un tabouret juste à côté de mon violoncelle et j’attends.

C’est long. C’est terriblement long. Les humains sont d’une telle lenteur, j’en pleurerais presque de lassitude. Ce n’est qu’infiniment plus tard, quand la maison est totalement vidée et que le camion est parti que je récupère mon violoncelle, le tabouret et que je quitte à mon tour la maison. Pas beaucoup de souvenirs ici, rien de bien mémorable en tout cas. Sans Christian, ce n’est pas la même chose. Ce ne sera jamais la même chose. Si ma sœur avait été là ça aurait sans doute été bien mieux mais elle est quelque part en France, aux dernières nouvelles en tout cas. Je referme la porte et vais déposer le violoncelle et le tabouret dans la voiture avant de me mettre au volant. Là encore, le trajet est d’une lenteur déplorable mais je ne peux pas faire autrement : il faut garder le secret, encore, toujours, alors je conduis le plus normalement possible. Durant le trajet, j’ai le temps de penser, de réfléchir pleinement aux raisons qui me poussent à aller m’installer à Shreveport. Ai-je raison d’agir ainsi ? Est-il sage de vouloir me rapprocher de ma descendance ? Que vais-je faire une fois sur place ? Vais-je aller leur parler et leur mentir, me faire passer pour ce que je ne suis pas juste pour pouvoir me faire une petite place dans leur vie ? Possible oui, si c’est la seule façon… Ils sont tout ce qu’il me reste de ma vie passée et même si elle n’est jamais plus qu’un souvenir lointain, je ne veux pas en être complètement séparé jamais.

Jamais.

An 2016

Je me demande parfois si j’ai bien fait de venir jusqu’ici. Certes, depuis la Révélation, je suis en mesure de pouvoir me rapprocher de ma descendance mais je ne l’ai pas fait pour un tas de raisons pas plus valables les unes que les autres quand on y réfléchit. Quelque chose m’en empêche. Moi… Le fantôme de ma défunte femme… Je ne sais pas. Et cette ville est le théâtre de tant d’événements… Je me surprends à repenser souvent à la tranquillité de notre plantation de la Nouvelle-Orléans. Peut-être est-moins calme là-bas à présent, je l’ignore mais à Shreveport, c’est loin d’être calme. Entre les attentats et les assassinats… Les empoisonnements aussi. Cela fait beaucoup pour moi qui ne voulais jamais que renouer avec ceux qui sont les miens, enfin plus ou moins. Je ne peux pas vraiment les considérer comme les miens puisque je suis mort, n’est-ce pas ? Si seulement tout pouvait être plus simple… Parfois, je songe à repartir, à aller retrouver la trace de ma sœur pour passer quelques décennies avec elle et après je la croise, elle, et je ne pars pas. Je n’y parviens pas parce que même si cette ville m’oppresse parfois, ils sont là et je ne peux pas me résoudre à m’éloigner d’eux. Même si cette ville m’oppresse souvent, c’est chez moi maintenant.

C’est chez moi.

L'âme qui est purifiée par le feu et par les larmes est au-dessus de ce que les gens appellent le vice et la honte : elle s'affranchit de la servitude des lois que les traditions ont établies pour réglementer les émotions du cœur et elle se tient la tête haute face aux trônes des Dieux. # KHALIL GIBRAN

Une histoire de dingue


An 1841 ~ Nouvelle-Orléans (U.S.A)

J'ai la main qui tremble quand je la pose sur la poignée de la porte. Je ne parviens même pas à l'ouvrir, je reste là, sans plus bouger. La main d'Abaigh se pose sur mon épaule et je tourne mon regard vers elle qui pose une main tendre et réconfortante sur ma joue. Elle esquisse un doux sourire et m'encourage silencieusement, je le sais. Je hoche doucement la tête, puis, elle vient déposer un tendre baiser au coin de mes lèvres avant de s'éloigner. Je prends une profonde inspiration et pénètre à l'intérieur de la chambre. Après avoir refermé la porte, j'observe la silhouette frêle et pâle étendue sur le lit pendant un instant avant de m'en approcher. J'attrape une chaise et vient m'installer juste à côté du lit avant de me pencher pour prendre la main glacée de mon père. A peine le contact est-il fait que je le sens se mouvoir et il ouvre les yeux avant de tourner le visage vers moi. J'esquisse un sourire que j'espère le plus large possible mais je sais que je suis incapable de tricher complètement en cet instant : mes yeux sont transparents, ils parlent pour moi, ils montrent ma tristesse. Ce lit c'est son lit de mort, il va partir, quitter ce monde, et bien que je sache que personne n'est éternel, j'aurais voulu qu'il vive plus longtemps. J'aurais voulu que mes enfants puissent davantage connaître leur grand-père, j'aurais voulu plus de temps avec lui, tout comme j'aurais voulu plus de temps avec ma mère qui nous a quittés il y a un an à présent. Peut-être est-ce pour cela que mon père est tombé lui aussi malade, peut-être est-ce le chagrin qui l'a affaibli... Et il va mourir.

« Doyle, tu es là...
- Bien sûr que je suis là. Tout le monde est là. Abaigh et les enfants m'ont accompagné.
- Cela me rend... Heureux... »

Les mots entrecoupés, la phrase hachée : mes entrailles se nouent. Il sert ma main avec le peu de forces qu'il lui reste.

« T'ai-je jamais dit... Que j'avais nourri le même rêve que toi ?
- Non... Jamais... je réponds à demi-voix.
- Je voulais tant vivre de ma musique... Je voulais... Jouer et que tout le monde m'entende... Comme toi...
- Vraiment ?
- Oui... Mais mon père me disait que... Je ne devais pas rêver, que ça ne menait... A rien... Les mêmes mots... Que j'ai prononcés à ton égard Doyle... Je n'aurais pas dû...
- Père...
- Tu es né pour faire de grandes choses Doyle... Tellement plus grandes... Je te demande pardon... Pardon fils...
- Chut... Vous n'avez pas à vous excuser père, je ne vous en veux pas. »

Je me penche davantage au-dessus de lui, ma main libre vient se poser sur sa joue glacée et les larmes me brouillent la vue mais je parviens à le regarder dans les yeux.

« Vous avez fait de votre mieux... Vous avez vraiment fait de votre mieux... » je répète une seconde fois.

J'esquisse un sourire qu'il me rend. Son corps soubresaute une fois, deux fois, puis son regard et son sourire se figent tous deux sur son visage. Je crispe la mâchoire, secoue la tête et me penche pour déposer un baiser sur le front de mon père ou sur son corps puisque mon père, lui, il est à jamais parti.

ᴧᴧᴧ


An 1842 ~ Nouvelle-Orléans (U.S.A)

La nuit est tombée depuis un moment déjà et je devrais être rentré mais je reste là, assis dans l'arrière boutique à jouer, encore, et encore, et encore, toujours ces mêmes notes, toujours ce morceau que j'ai écrit la nuit où Maellan est mort. J'aurais tant préféré composer des musiques respirant le bonheur, la joie, mais mon enfant m'a été enlevé alors qu'il n'était âgé que de quelques semaines. Comment pourrais-je composer et jouer autre chose que les notes qui s'échappent de mon violoncelle en cet instant ? Je sais que j'ai une merveilleuse femme et deux autres merveilleux enfants qui ont besoin de moi mais moi, j'ai besoin de le pleurer lui, encore. Cela fait des mois déjà, des mois qui filent à grande vitesse si bien que j'ai l'impression d'avoir perdu mon fils hier encore. La tristesse qui habite mon cœur est si grande qu'elle m'enveloppe tout entier tout comme la musique m'enveloppe elle aussi. Mes yeux sont fermés, plus rien n'existe autour. Ne subsiste que la musique qui n'est jamais que l'écho de ma douleur qui m'absorbe parfois à tel point que je ne parviens plus à respirer. Les notes fusent, s'envolent, pendant longtemps encore jusqu'à ce que la dernière note du morceau ne soit jouée. Elle dure, se languit puis se meurt sous mon archet. Ce n'est qu'à ce moment-là que je rouvre les yeux. Je dépose avec délicatesse mon violoncelle dans son étui et à peine l'ai-je fait que je sursaute en apercevant une silhouette devant moi. Je me redresse sans attendre. Sous son chapeau, l'homme m'observe. Je lève mon archet vers lui, comme si cela pouvait me servir d'arme. C'est idiot.

« Qui êtes-vous ? Que faites-vous ici ? Depuis combien de temps êtes-vous là ?
- Un petit moment. La musique était irrésistible, j'avais envie de voir qui jouait cette merveille. »

Je reste un instant silencieux, abaisse mon archet. Il y a quelque chose d'étrange dans sa voix doucereuse et presque caressante. Et son accent ne m'est pas étranger : français, si je ne me trompe pas.

« Vous avez vu maintenant. » je réponds toujours sur la défensive. « Je vais vous demander de partir, la boutique est fermée depuis un moment. »

Pour toute réponse, il me sourit.

« N'avez-vous pas entendu ? Je veux que vous partiez.
- Pas sans toi.
- Pardon ? »

Je n'ai pas le temps de me poser davantage de question que je suis soudain contraint de lâcher mon archet. Une main glacée est posée contre mon front me forçant à mettre la tête en arrière, découvrant ma gorge et l'autre main entoure ma taille et l'homme fait preuve d'une telle force qu'il m'est impossible de me débattre. Je sens soudain une terrible douleur dans le cou et me met à hurler. Je tente encore de me débattre, en vain et très vite, je sens mes forces me quitter. J'ignore ce qu'il se passe exactement, ce qu'il me fait mais une chose est certaine dans mon esprit qui s'embrume au fil des secondes : je me meurs. J'ignore à quel moment j'abandonne, à quel moment je choisis de le laisser faire, de me laisser aller mais je le fais si bien que mes mains jusque là accrochées au poignets de l'homme finissent par retomber mollement le long de mon corps. La mort s'approche doucement, elle vient me chercher et je vais l'accompagner sans faire d'esclandre. Je me retrouve bientôt allongé au sol, l'homme au-dessus de moi. Ma respiration se fait lente, très lente et j'ai du mal à garder les yeux ouverts mais j'y parviens. Je parviens à le voir, lui. Je vois son regard mais je vois surtout sa bouche, le sang qui s'en écoule : mon sang. Je vois aussi nettement ses dents et, doucement, je lève ma main (qui me semble peser une tonne) pour venir effleurer l'une de ses canines du bout du doigt. Ma bouche s'ouvre mais aucun son n'en sort. J'aimerais lui demander ce qu'il m'a fait exactement et pourquoi il n'a pas continué, pourquoi suis-je toujours en vie, mais rien, je me contente de refermer la bouche tandis que sa main vient prendre la mienne.

« Tu es au seuil de la mort. Tu te meurs.
- Je... sais... » je parviens finalement à lui répondre.

Si j'avais la force d'être surpris par mon propre calme face à tout ceci, je serais surpris mais je n'en ai pas la force non. En fait, je n'ai même plus la force de garder ma main en l'air, c'est un poids mort que l'homme maintient près de son visage.

« Ce n'est pas absolu, pas irréversible mon bel irlandais. »

Encore une fois, si j'avais la force, je lui demanderais comment il peut connaître mes origines. Il me fixe avec insistance mais j'ai du mal à garder les yeux ouverts : je me sens véritablement partir.

« Je peux te ramener à la vie, à une autre vie, bien différente de celle que tu as pu connaître. Une existence qui te permettra d'accomplir de grandes choses. »

Je cligne des yeux et fronce légèrement les sourcils. Je me rappelle les mots de mon père sur son lit de mot même si en cet instant cela me semble fort, fort lointain. Je m'en souviens : « tu es né pour faire de grandes choses » a-t-il dit alors qu'il était sur le point de mourir. C'est cela que mon bourreau me propose : de grandes choses. J'ignore de quoi il retourne exactement mais je sais que je ne veux pas que cela se termine de cette façon, je sais que je ne veux pas mourir maintenant, pas alors que lui me propose... Quoi ? Une autre existence, c'est cela qu'il a dit. Et, alors que je devrais refuser, alors que je devrais tout simplement accepter la mort, j'accepte sa proposition à lui. Je l'accepte, lui.

« Veux-tu ?
- Oui...
- Comment ?
- Oui... » je répète une seconde fois.

Il sourit, repose ma main au sol et je le vois porter son propre poignet à sa bouche. Il en arrache un morceau de peau et j'aperçois nettement le sang couler.

« Bois. » m'intime-t-il.

Je m'exécute. Je bois. J'attrape son poignet. Je bois. Je m'accroche à son poignet. Je bois.

Encore.
Et encore.
Et encore.

ᴧᴧᴧ


An 1854 ~ Nouvelle-Orléans (U.S.A)

« Tu restes près de la fenêtre et tu ne fais rien pour te faire remarquer : tu ne tapes pas à la fenêtre, tu ne va pas frapper à la porte, rien. Tu n'es pas là. Personne ne doit te voir. Quoiqu'il arrive, tu ne fais pas savoir ta présence.
- Oui. »

Les ordres sont donnés et je ne peux pas aller à leur encontre, je n'y tiens pas. La seule et unique fois où j'ai tenté de désobéir aux ordres de mon Sire, je m'en souviendrai pour l'éternité qui est la mienne : cette douleur, je ne veux plus jamais la ressentir. Jamais, même si elle n'est rien comparée à la douleur que j'ai pu ressentir lorsque la vie a quitté mon corps : des heures interminables de torture que je n'oublierai sans aucun doute jamais. Je vais donc lui obéir même si je sais que la tentation va être grande, je vais lui obéir. D'un signe de la tête, il me fait signe de m'approcher et je m'exécute. Lorsque j'arrive à hauteur de la fenêtre, je regarde à l'intérieur. Un humain ne verrait sans doute pas très bien à travers les rideaux mais mes yeux de Vampire me permettent de bien voir et d'entendre aussi. Je la vois, elle. Si mon cœur pouvait battre il se mettrait à battre bien plus vite mais mon cœur ne bat plus depuis près de douze ans maintenant. Douze ans que j'ai bu le sang de Christian, douze ans que je suis devenu une créature de la nuit, de l'ombre, qui se nourrit du sang des humains pour survivre. Vampire. Moi. Un Vampire fort assoiffé mais Christian est à mes côtés et je sais qu'il me faudra du temps avant que cette soif ne se fasse moins pressante, moins lancinante même si elle fera toujours partie de moi. Abaigh a changé, elle a vieilli, mais elle est toujours aussi belle. Toujours aussi merveilleuse. Les larmes me montent aux yeux et, je plaque ma main contre ma bouche, laissant le sang tracer des lignes sur mes joues quand je vois un jeune homme s'approcher d'elle avec un sourire avant de déposer un baiser sur son front.

« Blodwyn. » je dis dans un murmure, mon premier fils. « Lugh. » j'ajoute rapidement en voyant mon second fils apparaître dans le salon. La dernière fois que j'ai vu mes fils, ils étaient si jeunes et aujourd'hui, ils ont respectivement seize et quatorze ans : presque des hommes déjà. J'esquisse un sourire en retirant ma main de ma bouche. L'envie est grande, très grande, mais j'ai les ordres de mon Sire en tête et je ne m'y oppose pas. Je reste là, je me contente de les observer, laissant mes larmes couler sans m'en soucier, souriant avec tendresse pour la première fois depuis douze ans. Puis, le sourire disparaît subitement lorsque je vois une autre silhouette pénétrer à l'intérieur du salon : un homme. Très vite, la rage m'envahit et elle m'aveugle soudain quand il dépose ses lèvres sur celles d'Abaigh : sur les lèvres de ma femme.

« Ne bouge pas ! » m'ordonne Christian et je suis son ordre même si tous mes muscles sont tendus et que je suis prêt à briser la fenêtre. Oh, je ne pourrai pas entrer puisque je n'ai pas été invité mais si je pouvais l'inciter à sortir, lui. Si seulement je pouvais... « On s'en va. Maintenant. »

Sur le chemin du retour, Christian me permet de me nourrir et je tue avec une rage qui ne m'est pas ordinaire car, même si ma soif a toujours pris le dessus, Christian m'a appris dès le départ à tuer avec nuance et une certaine délicatesse mais pas de délicatesse cette nuit, oh non, aucune délicatesse quand j'arrache la gorge de cet homme en imaginant lui arracher sa gorge à lui. Lorsque nous sommes de retour à la plantation, je me mets à tout briser, absolument tout. Ce n'est que lorsque Christian m'ordonne de m'arrêter que je cesse enfin pour finalement me tourner vers lui et lui lancer un regard assassin.

« Tu savais ! » je fulmine. « Tu savais ! » je répète en le pointant du doigt.

Il pose ses mains sur ses hanches.

« Oui mais il fallait que tu le voies par toi-même, tu ne m'aurais pas cru et tu ne cessais d'en parler, de parler d'elle, de tes enfants...
- Tu aurais dû me le dire !
- Ta réaction aurait été la même Doyle. »

Je pousse un hurlement, j'ai envie de briser autre chose mais l'ordre de Christian m'en empêche. Je fais les cents pas, reste silencieux avant de me retourner de nouveau vers lui.

« Je le veux.
- Non.
- Je le veux !
- J'ai dit non ! Qu'est-ce que cela t'apporterait ?
- Beaucoup de bien, il mérite de mourir.
- Pour quelle raison ? Pour s'être marié avec celle qui a été ta femme par le passé ? Dans ce cas-là elle aussi mérite de mourir.
- Christian...
- Elle avait besoin de quelqu'un dans sa vie et tes enfants avaient besoin d'un père.
- MAIS ILS ONT UN PÈRE ! »

Je hurle à présent. Les larmes me montent aux yeux. Christian me regarde avec, pour la première fois, de la compassion dans le regard. Il s'approche de moi doucement.

« Leur père est mort il y a douze ans.
- Parce que tu l'as tué... » je siffle entre mes dents avant de me détourner de lui.

Je vais m'asseoir sur le canapé, toujours extrêmement tendu, toujours en proie à un terrible désir d'écorcher vif cet homme qui a pris ma place dans leur vie à tous les trois. Je sens les mains de Christian se poser sur mes épaules.

« Non, je ne veux pas. Laisse-moi. » je souffle tout bas en secouant la tête.

Christian est cependant obstiné et il est mon Sire, je n'ai aucun ordre à lui donner. Alors qu'il se tient dans mon dos, ses mains glissent sur mon torse et je ferme les yeux quand il vient poser sa joue contre la mienne.

« Je t'ai offert le Don Obscur mon bel irlandais et je ne le regrette pas. Tu es ce que j'ai fait de plus beau dans ma longue existence. Tu sais à quel point je t'ai attendu...
- Je sais... » je dis dans un murmure.

Mes mains viennent se poser sur les siennes. Je le sais, oui, il me l'a dit. Je suis son premier infant, le tout premier et le seul pour le moment. Je suis encore une fois proie à une toute autre émotion que la rage, en proie à ce changement brusque, radical, comme c'est le cas depuis plus d'une décennie. Parce que je suis un nouveau-né, parce que je suis changeant, instable. Parce que je suis ce qu'il a fait de moi.

« Dis-moi que tu ne savoures pas chaque instant de cette existence Doyle... Dis-moi que ce plaisir que tu ressens à chaque fois que tu prends le sang d'un être humain ne te satisfait pas... Dis-moi que tu regrettes ce que j'ai offert... Dis-m... »

Je l'empêche de continuer en scellant nos bouches par un baiser. Qu'il se taise. Il a raison mais je ne veux pas le lui dire tout comme je ne veux pas lui mentir.

Mais il a raison : je suis né pour ça.

ᴧᴧᴧ


An 1983 ~ Nouvelle-Orléans (U.S.A)

Mes canines sont enfoncées au creux de la cuisse de la jeune femme et je m'abreuve avec délectation. Mes doigts sont entrelacés aux doigts d'Ellis qui elle, boit à même le cou de la jeune femme. C'est une victime que nous partageons ensemble comme nous le faisons souvent depuis qu'elle est nos côtés, depuis que Christian a fait d'elle ma sœur dans le sang. Lorsque la vie quitte enfin la jeune femme, nous la reposons avec délicatesse sur le lit avant de nous enlacer, nous embrasser. Certes, nous n'en éprouvons aucun plaisir physique mais nous partageons encore le goût du sang de notre victime et l'intensité du moment fait que cette étreinte et ce baiser sont particulièrement exquis. J'en profite pleinement puisque c'est là nos derniers instants ensemble avant sans aucun doute un long moment. Nous nous retrouvons finalement allongés ensemble sur mon lit, enlacés. Je caresse ses cheveux du bout des doigts. Nous ignorons le corps qui se trouve juste à côté de nous.

« Tu es sûre de vouloir partir avec lui ?
- Oui, je n'ai pas envie de le quitter pour le moment. Peut-être plus tard. »

Je soupire. Elle se redresse et m'observe puis vient essuyer ma bouche du bout de son index qu'elle porte ensuite à ses lèvres. Elle esquisse un petit sourire en coin auquel je ne peux m'empêcher de répondre.

« Toi tu as eu beaucoup de temps avec lui, j'en veux au moins autant.
- Je sais, je sais mais tu vas me manquer.
- Toi aussi. »

Nos sourires se fanent et nos yeux se teintent tous deux de sang. Elle vient poser son front contre le mien et nous restons ainsi un long moment sans bouger, figés dans notre étreinte, figés dans notre amour. C'est la voix de Christian qui nous sort de notre torpeur et bientôt, Ellis a déjà quitté la maison et moi, je me retrouve seul sur le seuil de la maison avec Christian. Je ne cherche pas à retenir mes larmes, peu importe qu'elles souillent ce visage qu'il se plaît tant à regarder depuis plus d'un siècle maintenant. Il vient poser sa main sur ma joue dans un geste rempli de tendresse. Il m'adresse un sourire.

« Tu es tout ce que j'avais espéré te voir devenir.
- Mais tu t'en vas... »

Je vois pour la seconde fois en plus d'un siècle son regard se peindre de compassion à mon égard.

« Parce que tu es prêt, parce que tu en as besoin même si tu ne le sais pas encore.
- J'ai besoin de toi, de vous...
- Notre lien sera toujours là et nous nous reverrons, n'en doute pas. Poursuis ton chemin, il te mènera loin. »

Je reste muet. Puis un baiser, une étreinte et il s'en va.

Ils s'en vont.

ᴧᴧᴧ


An 2010 ~  Las Vegas (U.S.A)

Assis dans ma loge, je souris. Tout simplement, je souris. J'ai rarement été aussi heureux et comblé. Bien sûr, j'aimerais que Christian soit là, qu'Ellis soit là mais malgré tout, je suis heureux. Le rêve, ce vieux rêve, mon vieux rêve, il se réalise. J'ai joué dans une salle comble ce soir encore. Peut-être que certains viennent me voir parce que je suis un Vampire tandis que d'autres viennent parce qu'ils aiment véritablement ma musique, peut-être les deux en réalité mais le résultat est là : je vis chaque jour mon rêve de gosse qui est pourtant bien lointain. Je vis de la musique, de ma musique, on vient m'écouter, on vient m'applaudir et je profite de chaque instant que j'ai le plaisir de vivre. Enfin, vivre, le mot doit être employé avec prudence puisque je suis mort et que je ne l'oublie pas. Personne ne l'oublie, surtout pas les êtres humains qui sont maintenant au courant de l'existence des CESS. Quand j'y repense, cette grande révélation a tout de même été menée de main de maître. Certes, on ne retire plus la vie à présent sous peine de risquer un châtiment mais cela ne nous empêche pas de nous nourrir. Il faut simplement se maîtriser assez pour ne pas tuer la personne et ne pas lui retirer trop de sang, voilà tout. De toutes les façons, si certains nous détestent, d'autres nous vénèrent tellement qu'ils feraient la queue pour que l'on boive leur sang, ce qui est assez pratique, il faut bien l'avouer. On frappe soudain à la porte de ma loge et cela me sort de mes pensées.

« Oui ? »

La porte s'ouvre sur un de mes gardes du corps (j'ai été dans la nécessité d'engager des sorciers pour me protéger, faisant face à des menaces réelles de la part d’activistes de l'HA) et avec lui se trouvent deux jeunes femmes. Tous trois entrent à l'intérieur de ma loge et j'observe tour à tour les deux jeunes femmes puis, il me suffit d'un regard pour que le garde du corps en reprenne une avec lui et laisse l'autre seule avec moi. La porte se referme et nous voilà seuls. Les battements de son cœur me parviennent : peur et excitation doivent se mélanger. Je vois nettement sa veine palpiter dans son cou et aussitôt la soif qui jusque là était calme devient bien plus forte. Je lève doucement ma main pour l'inciter à s'approcher : pas besoin d'hypnose, aucunement. Elle s'avance doucement, vient poser sa main chaude dans la mienne et frissonne à mon contact. J'esquisse un sourire qui se veut charmeur et elle me répond timidement.

« Pourquoi m'avoir choisie ? » elle demande finalement tout bas.

Je glisse ma main sur sa joue puis sur sa clavicule où une clé de sol est tatouée sur sa peau.

« Pour ça. » je lui réponds avant de me pencher et de déposer un baiser sur le tatouage.

Elle soupire. Son cœur s'emballe davantage à l'image de ma soif. Je relève mon visage et lorsque mes canines apparaissent, elle a un léger sursaut.

« Tu n'auras pas mal... je lui dis à mi-voix.
- Je n'ai pas peur...
- Menteuse... »

Sur ce dernier mot, je fonds dans son cou, plante mes canines en la serrant contre moi. Elle s’agrippe à mes cheveux et laisse échapper un gémissement. Je ne regrette pas de l'avoir choisie car son goût est particulièrement divin. J'en voudrais plus, j'en voudrais tellement plus. Je voudrais la vider toute entière mais je me retiens, comme à chaque fois. J'arrête quand il faut, avant qu'elle ne soit trop affaiblie. Lorsque j'ai terminé, je plante ma canine dans mon index et vient déposer mon sang sur les entailles que j'ai laissées dans son cou, entailles qui disparaissent en quelques secondes. Je croise son regard et réalise qu'elle me dévore du regard, avec envie. J'hésite : est-ce que je lui fais ce plaisir ?

Oui, elle s'est offerte volontairement à moi alors je peux bien lui faire ce plaisir. Je peux bien lui faire l'amour contre cette porte.

ᴧᴧᴧ


An 2016 ~ Shreveport

« Alors tu n'as toujours pas été lui parler ? Je n'en reviens pas.
- Ellis...
- Depuis tout ce temps, tu aurais dû aller la voir !
- Je n'y arrive pas ! Et puis avec tout ce qu'il se passe...
- Oui, bon, je n'ai pas dit que c'était simple mais...
- Tais-toi s'il te plaît... »

Ellis est revenue depuis quelques heures seulement, ça a été une véritable surprise. Nous étions en contact mais je ne m'attendais pas à la voir débarquer comme ça. Je suis heureux de la voir, heureux à l'idée de pouvoir de nouveau partager mon existence avec elle mais voilà qu'elle me lance sur un sujet délicat : ma descendance. J'ai retrouvé leur trace depuis longtemps déjà mais je me suis contenté de les observer sans jamais aller les trouver et c'est bien cela que me reproche Ellis. Dans un sens elle n'a pas tort, je devrais aller les voir mais lui, il est marqué et est je ne sais où avec sa Vampire, et elle, elle a été mordue par une saleté de loup-garou alors oui, c'est compliqué... Tout ceci est très, très compliqué alors je regarde, de loin, je me contente de cela alors que je voudrais plus.

« Bon ! Tu m'emmènes au Croquemitaine ? J'ai vraiment envie de voir comment c'est là-bas.
- Maintenant ?
- Non, dans mille ans ! Bouge-toi Doyle ! »

Je secoue la tête mais esquisse un sourire : j'ai toujours aimé la fougue d'Ellis et elle a toujours été ma meilleure compagne de jeu, enfin, si l'on peut dire. Au moins, elle est de nouveau à mes côtés et le reste... Ma foi, pour le reste nous verrons bien. Quoi qu'il se passe, elle sera avec moi pour faire face alors les choses devraient bien se passer.

En théorie.
En pratique par contre...



En bref.

An 1811 : Naissance à Drogheda, Irlande
An 1825 : Déménagement pour Dublin
An 1835 : Migration en Amérique, à New-York
An 1836 : Déménagement pour la Louisiane
An 1837 : Doyle épouse Abaigh Barnes, une irlandaise exilée elle aussi
An 1838 : Naissance de son premier enfant, un garçon, Blodwyn
An 1840 : Naissance de son deuxième enfant, un garçon, Lugh
An 1842 : Naissance de son troisième enfant, un garçon, Maellan qui décède quelques semaines plus tard
An 1842 (fin d'année) : Rencontre avec Christian, son Sire, et étreinte
An 1857 : Récupération (vol) de son violoncelle
An 1902 : Retour en Europe en compagnie de Christian
Années 1914-1918 : Voyage à travers l'Europe
An 1920 : Installation dans le manoir de Christian sur les rives de la Maine (Maine et Loire, France)
Années 1939-1945 : Voyage à travers l'Europe
An 1947 : Christian infante un second Vampire, une jeune femme prénommée Ellis
An 1955 : Retrouvailles des traces de la descendance de Doyle
An 1956 : Installation dans une vieille plantation de la Nouvelle-Orléans
An 1960 : Doyle reprend son travail de luthier
An 1975 : Doyle devient pianiste dans un bar
An 1983 : Départ de Christian en compagnie d'Ellis
An 1985 : Déménagement dans une battisse plus modeste
An 1990 : Déménagement à Shreveport
Années 1990-2000 : Doyle est pianiste régulier dans un bar
An 2007 : Utilisation de la Révélation pour devenir violoncelliste professionnel
An 2009 : Premier concert classique dans un vieux théâtre très connu de New-York : succès
An 2010 : Tournée américaine mouvementée (attaques des membres de l'HA)
An 2010 (fin d'année) : Retour précipité à Shreveport après l'attentat du Croquemitaine
An 2011 : Annulation de la tournée, devient compositeur pour le cinéma


Dernière édition par Doyle O Reilly le 7/9/2015, 21:10, édité 9 fois
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Benjamin Rahkamo
 
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SIGNALEMENT : malfaisant, nocturne, voleur, difficile à attraper...un troll quoi.
HABILITIES : Médium + passe-murailles + tatouages envoûtés et perspicacité augmentée (mais magie aléatoire et carrément vicieuse)
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< I think that we need mythology. We need a bedrock of story and legend in order to live our lives coherently. > Alan Moore
 
Benjamin Rahkamo
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Black Moon
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MessageSujet: Re: Croyez-vous que je pense à un sacré violon, quand l'esprit me parle et que j'écris ce qu'il me dicte ? (L.Van Beethoven) || Doyle   Croyez-vous que je pense à un sacré violon, quand l'esprit me parle et que j'écris ce qu'il me dicte ? (L.Van Beethoven) || Doyle Icon_minitime22/8/2015, 22:39

Bienvenue officielle dans le coin après celle de l'atelier! Bon courage pour cette fiche. Je valide le code. Et puis un membre loyal de l'Essaim très bien, tu trouveras facilement où mettre ton perso!
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MessageSujet: Re: Croyez-vous que je pense à un sacré violon, quand l'esprit me parle et que j'écris ce qu'il me dicte ? (L.Van Beethoven) || Doyle   Croyez-vous que je pense à un sacré violon, quand l'esprit me parle et que j'écris ce qu'il me dicte ? (L.Van Beethoven) || Doyle Icon_minitime22/8/2015, 23:53

Moi aussi je suis amoureuse de Lestat. Et de Louis. Et d'Armand. hum

Bienvenue sur le forum et bonne continuation pour ta fiche superman yeah
J'ai aussi validé ton code Laughing
N'hésites pas à poser des questions et je vais répondre à ton mp de ce pas !
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MessageSujet: Re: Croyez-vous que je pense à un sacré violon, quand l'esprit me parle et que j'écris ce qu'il me dicte ? (L.Van Beethoven) || Doyle   Croyez-vous que je pense à un sacré violon, quand l'esprit me parle et que j'écris ce qu'il me dicte ? (L.Van Beethoven) || Doyle Icon_minitime23/8/2015, 00:24

Merci à vous bizaro

Et Theodora, MP répondu aussi :cachotier: Et j'adore Armand mais Louis me fatiguait autant qu'il fatiguait Lestat AH AH AH ! Il était émouvant mais trop pleurnichard : SOIS UN BON VAMPIRE ET TAIS TOI ! SAVOURE QUOI ! What a Face
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Eoghan Underwood
 
SSVF (Sorcier Sans Vagin Fixe).
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SIGNALEMENT : Sorcier venimeux ondulé de la toiture. Gosse du bayou.
HABILITIES : Pratique à haut niveau de la Magie rouge.
OFFICE : Vendeur de reptiles.
SERENADE : I'm a man ¤ Black Strobe / Vengeance ¤ Zack Hemsey

Trust in me ♪
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SOBRIQUET : Le Tueur de Fun
MISSIVES : 2141
ACTE DE PROPRIETE : Aurélie (ava') / Emi Burton (signa') / Biscotte Cynique (crackship)

No sleep until I am done with finding the answer. Won't stop before I find a cure for this cancer. Sometimes, I feel like going down and so disconnected. Somehow, I know that I'm haunted to be wanted. They say that I must learn to kill before I can feel safe. But I, I'd rather kill myself than turn into their slave. Sometimes, I feel that I should go and play with the thunder. Somehow, I just don't wanna stay and wait for a wonder.
 
Eoghan Underwood
MJ; Tragédie featuring Oedipe ; Est-ce que tu m'entends, Eo ?


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* Vient de tomber sur la chronologie.*
* Meurt. *

Hem, sinon bon courage à toi pour ta fiche Cool
Un grand bienvenue !
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Cillian Ó Connor
 
Chaton à apprivoiser

SIGNALEMENT : petit chaton du Pard
HABILITIES : métamorphe once
OFFICE : trapèziste - acrobate
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SOBRIQUET : Calli Attha
MISSIVES : 6688
ACTE DE PROPRIETE : avengedinchains & Tumblr

Les chats tout comme les roses ne griffent que ceux qui ne savent pas les prendre. # Inconnu
 
Cillian Ó Connor
PARRAIN ; Chat-volant


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Bienvenue et courage avec ta fichette
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MessageSujet: Re: Croyez-vous que je pense à un sacré violon, quand l'esprit me parle et que j'écris ce qu'il me dicte ? (L.Van Beethoven) || Doyle   Croyez-vous que je pense à un sacré violon, quand l'esprit me parle et que j'écris ce qu'il me dicte ? (L.Van Beethoven) || Doyle Icon_minitime23/8/2015, 10:09

Thank you guys What a Face

Et pourquoi t'es mort en tombant sur la chronologie Eoghan ? fuck
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Bill Gisborne
 

Do not go gentle
into that good night.


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SIGNALEMENT : Apôtre de la pensée sauvage. Fabuliste des temps modernes.
SERENADE : My Violent Heart – N.I.N. || Bad Moon Rising – Mourning Ritual || Evil Ways – Blues Saraceno || No Comment – Gainsbourg || Nevermind – Leonard Cohen.

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Rage, rage against
the dying of the light.

SOBRIQUET : Pathos.
MISSIVES : 1062
ACTE DE PROPRIETE : Babine (avatar), tumblr (gifs), Lou Bee (compo image de guedin), Nuru Kane (citation signature), Dylan Thomas (citation profil).

« He in his madness prays for storms, and dreams that storms will bring him peace. » L. Tolstoy.
 
Bill Gisborne
ALIAS ; Billoute-le-Cravacheur,
il fait Führer !


Black Moon
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J'te le dis tout de suite, il va falloir raccourcir ta chrono.
Sinon Stella va te mettre dans un carton à trous et te laisser admirer l'aube. Milli Rage
(tu pourras faire comme moi et t'étendre dans ta fiche de liens :cachotier:)

Bienvenue officiellement Berechoute, avec ce personnage de guedin. coucou Ça fait plaiz de voir l'Essaim s'accroître (même si Bill grogne dans son coin, mais Bill grogne tout le temps, c'est inhérent golmut) ! Que la plume soit avec toi le bégé.   pleaseuh
J'te dis pas courage pour supporter le harcèlement sexuel de ta sœur.
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MessageSujet: Re: Croyez-vous que je pense à un sacré violon, quand l'esprit me parle et que j'écris ce qu'il me dicte ? (L.Van Beethoven) || Doyle   Croyez-vous que je pense à un sacré violon, quand l'esprit me parle et que j'écris ce qu'il me dicte ? (L.Van Beethoven) || Doyle Icon_minitime23/8/2015, 12:38

Merciiiiiii What a Face

Boooon je vais raccourcir, je vais mettre que des mots pas des phrases partout ! :cachotier:

Et finalement il y aura pas de harcèlement enfin elle sera pas sa soeur : je me suis décidée pour une autre lignée AH AH AH AH disco

Edit : Chrono éditée, je dépasse plus que de 21 mots... STELLA NE ME MET PAS DANS UNE BOITE AVEC DES TROUS TE PLAIIIIIIIIIIIIIIIT :63:
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Vinzent G. Henkermann
 
DER GNOM

Here it is, the splendor of our failure : your name lingers on my lips that speak no more of love.
SSVF Bro. #2
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ACTE DE PROPRIETE : AVATAR ; Erik Danielsson (edit). SIGN ; acidbrain + tumblr + edit.

You must be ready to burn yourself in your own flame : how could you become new, if you had not first become ashes ? ~ Friedrich Nietzsche.
 
Vinzent G. Henkermann
MJ ; Gnomus Lubricus, Saint Empereur Germanique du Chalet


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MessageSujet: Re: Croyez-vous que je pense à un sacré violon, quand l'esprit me parle et que j'écris ce qu'il me dicte ? (L.Van Beethoven) || Doyle   Croyez-vous que je pense à un sacré violon, quand l'esprit me parle et que j'écris ce qu'il me dicte ? (L.Van Beethoven) || Doyle Icon_minitime23/8/2015, 13:25

En tant que faible joueuse je me suis arrêtée à la photo de couverture du prélude. Avec une furieuse envie de mordre.
Mon personnage me méprise mais bienvenue officielle tout de même coucou En espérant une validation rapide de ta fiche afin que la Larve puisse vite trouver un plan B en remplacement de l'inceste (elle a besoin).
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SLOPPY LITTLE WEREBITCH.
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SIGNALEMENT : † psychotique névrosée aux allures de chien écrasé.
HABILITIES : † Lycanthrope (hybride/forme Lupus) et toutes les habilités qui s'y rattachent.
OFFICE : † petite chieuse de renom; membre du Pard (squatte momentanément chez Teodor); impliquée dans le crime organisée (anciennement trafiquante de V-Juice pour le compte de Vladimir); recyclée dans cette capacité de ne ''rien faire''; enceinte jusqu'aux orteils.
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THAT'S THE THING WITH WHISPERS; YOU PUT A THOUSAND OF THEM TOGETHER, AND YOU GET A HOWL.
SOBRIQUET : † feunoyr. (pseudo), Capitaine HighLiner ou SodoMilliSeins pour les intimes. Chagasse est aussi acceptée; Milli. La Cruche. Grosse Bebite Poilue. Mildrew. Millou. Pâté en croûte. Chattoune. Millouchamour. Millouschnaps. Millouche. Minouscka. Millitrou. Mi-Nichon. Mi'Chat. Michon. Michouille. Millichon. Millouchat et cie. Je les collectionne.
MISSIVES : 1448
ACTE DE PROPRIETE : † Katie McGrath. Avatar par feunoyr. et Gifs de faymcwrath tumblr.

WHO'S THE BADDEST BITCH IN TOWN?
 
Millicent Fitz
ALIAS ☾ SodoMilliseins: chagasse de service


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MessageSujet: Re: Croyez-vous que je pense à un sacré violon, quand l'esprit me parle et que j'écris ce qu'il me dicte ? (L.Van Beethoven) || Doyle   Croyez-vous que je pense à un sacré violon, quand l'esprit me parle et que j'écris ce qu'il me dicte ? (L.Van Beethoven) || Doyle Icon_minitime23/8/2015, 14:02

Hannnnn.:63:
... Sam... :67:

Bienvenue sur le Forum!
Impatiente de lire la suite de la fiche. :cachotier:
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MessageSujet: Re: Croyez-vous que je pense à un sacré violon, quand l'esprit me parle et que j'écris ce qu'il me dicte ? (L.Van Beethoven) || Doyle   Croyez-vous que je pense à un sacré violon, quand l'esprit me parle et que j'écris ce qu'il me dicte ? (L.Van Beethoven) || Doyle Icon_minitime23/8/2015, 16:46

Vinzent Je te rassure, moi aussi je suis faible. Quand j'ai vu cette photo, il a été IMPOSSIBLE que je ne la récupère pas pour Doyle. C'est... Hum... Oui, on croquerait bien par là hein ? What a Face
Merci en tout cas Milli Rage

Millicent :bingo: Je sais, je sais, il est choupinet ce Sam :cachotier: Merci et j'espère que la suite te plaira !

J'ai avancé. Un peu. J'ai fait le caractère What a Face
Finalement j'aurai pas fini ce soir mais bon, vaut mieux y aller doucement mais sûrement et pas passer à côté BWAHAHAHAHAHA disco
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Stella Montgomery
 
And we are doomed to play

♦ Life is full of chapter. Just because you have one that`s bad doesn`t mean the book`s finished ♦
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SOBRIQUET : Gedauphin
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ACTE DE PROPRIETE : Ziamsboy ♦ lordbryndenrivers ♦ The Meteors

« Mais évidemment, si les cochons avaient des ailes, le bacon volerait. » ♦ Dôme tome 2 ♦ Stephen King
 
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ADMIN ♦ Le jambon galactique, autrement appelé le distributeur Durex.


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MessageSujet: Re: Croyez-vous que je pense à un sacré violon, quand l'esprit me parle et que j'écris ce qu'il me dicte ? (L.Van Beethoven) || Doyle   Croyez-vous que je pense à un sacré violon, quand l'esprit me parle et que j'écris ce qu'il me dicte ? (L.Van Beethoven) || Doyle Icon_minitime23/8/2015, 17:37

*fous Bill dans une boîte avec des trous pour qu'il regarde l'aube*
On décide pas de ce que je vais faire !

Une vingtaine de mots ça va ! Mais plus, je te mets avec Bill dans la boîte daddyperv
(Je garde Louis pour mouah alors coucou)
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MessageSujet: Re: Croyez-vous que je pense à un sacré violon, quand l'esprit me parle et que j'écris ce qu'il me dicte ? (L.Van Beethoven) || Doyle   Croyez-vous que je pense à un sacré violon, quand l'esprit me parle et que j'écris ce qu'il me dicte ? (L.Van Beethoven) || Doyle Icon_minitime23/8/2015, 17:44

Alors avant que j'édite ça faisait 540... J'ai échappé au pire AH AH AH AH What a Face
(j'te laisse Louis vui)
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Barbra Landgraf
 
FAN(G)TASIES

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Outstare the stars. Infinite foretime and infinite aftertime: above your head. They close like giant wings, and you are dead.





SIGNALEMENT : Princesse True Blood
HABILITIES : Vicissitude, niveau 2
OFFICE : PDG du Louisiana Boardwalk
SERENADE : Santigold -- Creator

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DEAD IS THE NEW ALIVE
SOBRIQUET : Atomique / Rolling Sto'
MISSIVES : 358
ACTE DE PROPRIETE : Liloo-59 (avatar) & Beylin (code signature)

Wer mit Ungeheuern kämpft, mag zusehn, dass er nicht dabei zum Ungeheuer wird. Und wenn du lange in einen Abgrund blickst, blickt der Abgrund auch in dich hinein. ☨ Nietzsche
 
Barbra Landgraf
MJ ✴ WUNDERBAR'BRA ✴ Miss Chalet 2015


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MessageSujet: Re: Croyez-vous que je pense à un sacré violon, quand l'esprit me parle et que j'écris ce qu'il me dicte ? (L.Van Beethoven) || Doyle   Croyez-vous que je pense à un sacré violon, quand l'esprit me parle et que j'écris ce qu'il me dicte ? (L.Van Beethoven) || Doyle Icon_minitime23/8/2015, 18:28

Bienvenue officiellement dans le coin. :63:
Sam est vraiment un bon choix. :bingo:

N'hésite pas si tu as des questions encore, ou si tu cherches une marraine ! :05:
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Vladimir Zaganov
 
SIX FEET UNDER

SIGNALEMENT : Haters gonna hate.
HABILITIES : Funèbre marionnettiste.
OFFICE : Thanatopracteur, dealer de V-Juice et Camerlingue.
SERENADE : Joy, success, happiness — Ghinzu

Croyez-vous que je pense à un sacré violon, quand l'esprit me parle et que j'écris ce qu'il me dicte ? (L.Van Beethoven) || Doyle 06.29
BEYOND DEATH
SOBRIQUET : Scrabs.
MISSIVES : 692
ACTE DE PROPRIETE : Pathos (avatar) ; SWAN (code signature) ; Michaux & Ghinzu (citations)

« J'ai laissé grandir en moi mon ennemi. »
 
Vladimir Zaganov
ALIAS ; I-gorr, le hot and spicy full package, special Christmas


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MessageSujet: Re: Croyez-vous que je pense à un sacré violon, quand l'esprit me parle et que j'écris ce qu'il me dicte ? (L.Van Beethoven) || Doyle   Croyez-vous que je pense à un sacré violon, quand l'esprit me parle et que j'écris ce qu'il me dicte ? (L.Van Beethoven) || Doyle Icon_minitime23/8/2015, 19:42

Oh Gosh un artiste brisé.
*Tombe en amour*

Bienvenue parmi nous et bonne fin de rédaction !
*Envoie Yago chourer le violoncelle pour pouvoir l'admirer dans son salon* heart
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MessageSujet: Re: Croyez-vous que je pense à un sacré violon, quand l'esprit me parle et que j'écris ce qu'il me dicte ? (L.Van Beethoven) || Doyle   Croyez-vous que je pense à un sacré violon, quand l'esprit me parle et que j'écris ce qu'il me dicte ? (L.Van Beethoven) || Doyle Icon_minitime23/8/2015, 21:36

Merci Barbra ma toute belle :52:

Vladimir moi je suis tombée en amour devant le choix d'avatar et le choix du prénom de ton personnage bizaro ET NON ON NE TOUCHE PAS LE VIOLONCELLE SINON DOYLE IL MORD (déjà qu'il mord à la base :cachotier: )
Et merci pour la bienvenue What a Face
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Jürgen Landgraf
 
THE TRAVELLER
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HABILITIES : Vicissitude niveau 4
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SOBRIQUET : Marmotte
MISSIVES : 1215
ACTE DE PROPRIETE : Avatar Moose sur Pub Rpg Design

 
Jürgen Landgraf
ADMIN — Humanissimi Lamia. Juju la Vigie - Fait beau là-haut ?!


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MessageSujet: Re: Croyez-vous que je pense à un sacré violon, quand l'esprit me parle et que j'écris ce qu'il me dicte ? (L.Van Beethoven) || Doyle   Croyez-vous que je pense à un sacré violon, quand l'esprit me parle et que j'écris ce qu'il me dicte ? (L.Van Beethoven) || Doyle Icon_minitime23/8/2015, 21:39

Encore quelqu'un qui mord quand on touche son violoncelle.... hum
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Bill Gisborne
 

Do not go gentle
into that good night.


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SIGNALEMENT : Apôtre de la pensée sauvage. Fabuliste des temps modernes.
SERENADE : My Violent Heart – N.I.N. || Bad Moon Rising – Mourning Ritual || Evil Ways – Blues Saraceno || No Comment – Gainsbourg || Nevermind – Leonard Cohen.

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Rage, rage against
the dying of the light.

SOBRIQUET : Pathos.
MISSIVES : 1062
ACTE DE PROPRIETE : Babine (avatar), tumblr (gifs), Lou Bee (compo image de guedin), Nuru Kane (citation signature), Dylan Thomas (citation profil).

« He in his madness prays for storms, and dreams that storms will bring him peace. » L. Tolstoy.
 
Bill Gisborne
ALIAS ; Billoute-le-Cravacheur,
il fait Führer !


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MessageSujet: Re: Croyez-vous que je pense à un sacré violon, quand l'esprit me parle et que j'écris ce qu'il me dicte ? (L.Van Beethoven) || Doyle   Croyez-vous que je pense à un sacré violon, quand l'esprit me parle et que j'écris ce qu'il me dicte ? (L.Van Beethoven) || Doyle Icon_minitime24/8/2015, 18:38

Stella Montgomery a écrit:
*fous Bill dans une boîte avec des trous pour qu'il regarde l'aube*

/grignote le carton en geignant.
cry

profil de Danny Doyle a écrit:
~ Il déteste la cruauté envers les animaux

Ouais ouais. Faut être une baleine blanche échouée pour susciter ta pitié, c'est ça ? grumpy
Tous des malotrus, ces vampires. :mono:

/repart dans son fond de carton.
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Pheodora Lipov
 
FUCK OFF

SIGNALEMENT : PETITE TEIGNE armée d'un fusil à pompe, future procréatrice pour le bien de sa lignée.
HABILITIES : MALÉDICTION : LYCANTHROPIE / sens développés, transformation douloureuse en gros machin poilu, guérison accrue, grossesse quasi-mortelle, vie de merde
OFFICE : GARDE-CHASSE / contrebandière de la Black Wolf Mob
SERENADE : Hurricane • Ms Mr || She-Wolf (Falling to Pieces) • David Guetta (ft. Sia) || Northern Lights • Jaymes Good

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COULEUR DE DIALOGUE :
#F5F6CE : Dora
#A9BCF5 : Aleksei
#243B0B : Moses

◊ ◊ ◊
SOBRIQUET : Arté / Agathe
MISSIVES : 188
ACTE DE PROPRIETE : ©Bill le nazi (avatar & signature)

 
Pheodora Lipov
ALIAS ; L'héritière des cons sanguins


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MessageSujet: Re: Croyez-vous que je pense à un sacré violon, quand l'esprit me parle et que j'écris ce qu'il me dicte ? (L.Van Beethoven) || Doyle   Croyez-vous que je pense à un sacré violon, quand l'esprit me parle et que j'écris ce qu'il me dicte ? (L.Van Beethoven) || Doyle Icon_minitime24/8/2015, 18:58

/ouvre le carton où est coincé Bill
Faut arrêter de manger autant, après t'es coincé dans des trucs trop étroits coucou


MERCI DOYLE, TU M'PERMETS DE TROLLER BILLOUTE, T'ES CHOUETTE !
Bon, t'es un sale vampire, mais ça ira pour cette fois nimuqueuse

Bienvenue officiellement, Heughan est TOP.
TU M'JOUERAS DU VIOLONCEEEEELLE ? yeah
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Melinda Warren
 
Maman louve léthargique

SIGNALEMENT : Une maman poule
HABILITIES : Rapidité, force, guérison rapide
OFFICE : Chômage - Ancienne Directrice en chef du Daily Comet
SERENADE : Just give me a reason - Pink & Nate Nuss

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Louve blanche et Alpha, lupa de la Meute.
En octobre elle devient la compagne officielle de Jeremiah A.C Kellog alors Ulfric de la Leute de Shevreport. Elle attend son enfant.
Février 2014, alors enceinte de 5 mois, Melinda découvre le corps de JEremiah, éviscéré, en pleine nuit.
Début Mars 2014, après avoir été pourchassée avec Duncan dans la forêt, puis sauvée par HAnsfried, celui ci se hisse au poste d'Ulfric.
Depuis, que le calme est revenu dans la Meute, Melinda s'enfonce dans une dépression dont personne ne parvint à l'en sortir. Pas même Conrad qui a réussit tout de même à lui redonner le sourire.
le 30 avril 2014, Melinda, torturée par Cinead en pleine forêt,accouche et oublie son enfant. Tisha qui la retrouve près du Pard la raccompagnera à la Meute, où Iza les rejoindra avec le bébé mort entre les bras... SOBRIQUET : Arwana / Arwy
MISSIVES : 2817
ACTE DE PROPRIETE : Bazzart

 
Melinda Warren
ADMIN ♥ Gangbang Melou ♥


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*se frotte les mains* un homme à corrompre miam !!

Bienvenueee ^^

Greenpeace?? va falloir qu'on cause toutes les deux !!

Jolie plume en tout cas !!
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Jürgen Bah quoi, c'est mal de mordre pour ça ? Milli Rage

Bill, faut pas nécessairement être une baleine... Toi je veux bien être sympa parce que t'es beau et que je te veux dans mon lit :bingo:

Thank U Pheodora What a Face On verra pour le violoncelle, si t'es sage wtf

Melinda... BETHANY EN AVATAR ! JOTEM !!! cry OTH, j'ai l'impression de rajeunir, ça fait du bien nimuqueuse Et vui, Greenpeace, why ? Et heureuse que ma plume te plaise :63: love04

J'suis trop décalquée pour écrire ce soir, j'vais essayer de terminer tout ça demain NIARK :09:
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Yago Mustaphaï
 
SANDS OF TIME

SIGNALEMENT : #BornToBeAVictim
HABILITIES : Chimérie III.
OFFICE : Horloger & Première Dame du Chaos.
SERENADE : Hagia Sophia - Irfan

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WELCOME TO THE MACHINE
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ACTE DE PROPRIETE : Michaux & Rimbaud (citations) ; Shiya (avatar) ; SWAN (code signature) ; Biscotte (crackship)

« J'ai appelé les bourreaux pour, en périssant, mordre la crosse de leurs fusils. J'ai appelé les fléaux, pour m'étouffer avec le sable, le sang. Le malheur a été mon dieu. Je me suis allongé dans la boue. Je me suis séché à l'air du crime. Et j'ai joué de bons tours à la folie. »
 
Yago Mustaphaï
ALIAS ; Le juif pedofourbe en papillote. Tu veux des bonbons ?


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Mais moi j'aime bien être mordu. dildo
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AAAAAAAAAAAAAAAAHHHHHHHHHHHHHHHHHH FINALEMENT JE VEUX BIEN QUE TU VOLES MON VIOLONCELLE POUR ME DONNER UNE EXCUSE POUR TE MORDRE !!!! Milli Rage

Sauf si y'a pas besoin d'excuse : je peux te mordre faire l'amour sauvagement ? :bingo:
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