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 Ezechiel Joyce | Oh coques errantes, enchaînées, traînées par leurs voiles trempées le long des clôtures du temps.

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MessageSujet: Ezechiel Joyce | Oh coques errantes, enchaînées, traînées par leurs voiles trempées le long des clôtures du temps.   Ezechiel Joyce | Oh coques errantes, enchaînées, traînées par leurs voiles trempées le long des clôtures du temps. Icon_minitime16/6/2011, 20:34

Je n'aime pas l'homme, j'aime ce qui le dévore.
Ezechiel Joyce


© me

Prélude

date et lieu de naissance. 1er Novembre 1994 à Thyr nationalité. Anglais nom de votre vampire. Sade Joyce. date de la marque. 1er Septembre 2012 état civil. Célibataire (L'état le plus sûr pour abuser sereinement de toute âme.) lieu d'habitation. Une cave insalubre dans le quartier de Stoner Hill. métier. Serveur au Croquemitaine. étiquette qui vous est collé. Le Benjamin Joyce est de ceux qu’on préfère ne pas connaître. Il y’a quelque chose de pitoyable à entendre son rire résonner de nulle part vers le néant lors des soirées qui s’éternisent et où l’alcool coule à flot. Mais ceux qui ont l’occasion de l’écouter involontairement savent qu’on ne se joue pas des êtres sanguins qui empruntent des sentiers en pure perte de leur âme. Créature obséquieuse dangereuse par l’absence de crainte en son esprit ; apte à se mouvoir dans toute situation puisqu’elle n’a rien à perdre. En temps que nouveau venu dans la cité, Zec n’est pas du genre à se construire un réseau sinon pour advenir à ses propres besoins ; quelques têtes aux oreilles desquelles soupirer de jouissance. Aussi s’est il forgé le peu de connaissance qu’il a par son job au croquemitaine. Autant dire que ses plus proche fréquentations ne sont pas pour être des plus recommandables. Zec c’est le candide visage que l’on aime abuser, du moins croit on en abuser… Être multiple, que l’on souhaiterai posséder devinant qu’il regorge d’indicibles secrets, énergumène qui s’enhardit d’imposer à votre conscience vos fantasmes latents les plus inavoués, qui se gorge de vous mener à la baguette lors même que vous êtes persuadé de le dominer. .


I. I want know who you are

traits de caractère.

Je suis de ces dépossédés qui dérivent sur des sentes aux odeurs absentes, de lassitude en habitude, vos turpitudes nous sont comme un bol d’opium et nos visages pleins d’illuminations reflètent d’autres émeraudes, d’autres rubis, trop bien cachés pour plaire, trop lumineux pour ne pas éblouir, trop malfaisant pour ne pas vous abandonner haletant. Et le cristal de vos jours sont à nos ongles de chair des trésors à nous approprier. L’horizon expire et clame notre vérité. Et comme tout ceux qui clament leur propre vérité, nous laissons le sol parsemé de cadavres. Je n'aime que l'irruption et l'effondrement des choses, le feu qui les suscite et celui qui les dévore. La durée du monde et des choses m'exaspère ; leur naissance et leur évanouissement m'enchantent. C’est une bien belle chose que ce contentement, que cette absence de douleur, que ces jours supportables et assoupis, où ni la souffrance ni le plaisir n’osent crier, où tout chuchote et glisse sur la pointe des pieds. Malheureusement, je suis ainsi fait que c’est précisément cette satisfaction que je supporte le moins; après une brève durée, elle me répugne et m’horripile inexprimablement, et je dois par désespoir me réfugier dans quelque autre climat si possible, par la voie des plaisirs, mais si nécessaire, par celle des douleurs. Je sens me brûler une soif sauvage de sensations violentes, une fureur contre cette existence neutre, plate, réglée et stérilisée, un désir forcené de saccager quelque chose, un grand magasin, ou une cathédrale, ou moi-même, de faire des sottises enragées, d’arracher leur perruque à quelques idoles respectées, d’aider des écoliers en révolte à s’embarquer sur un paquebot, de séduire une petite fille, ou de tordre le cou à un quelconque représentant de l’ordre bourgeois. Car c’est cela que je hais, que je maudis et que j’abomine : cette béatitude, cette santé, ce confort, cet optimisme soigné, ce gras et prospère élevage du moyen, du médiocre et de l’ordinaire. Vivre sous la fascination du soleil virginal et du soleil décrépit ; sauter les pulsations du temps pour en saisir l'originelle et l'ultime...L’envers des choses vole en éclat sous notre règne. La chasse de ces frissons nous séduit, enivrés par la tristesse de vos yeux, nous partiront vers ce passé futur, l’alcool de la nouvelle phase gît pour nous faire oublier le silence des anguilles sous nos épidermes de roche. Le grimoire de nos langues vous déshabille. Chaque âme ne fait que grossir la tourbe anonyme dans laquelle mon quotidien rampe, de divertissement triviaux en turpitudes malingres. Je suis l'apôtre volontaire de mes frustrations et la décadence tumescente qui m'imprègne se gorge de mon instinct devenu impur sous la conscience. Par-dessus tout j’aime le goût amer du Vjuice quand il s’écoule dans la gorge ; il contient ce truc essentiel que j'ai érigé en dogme depuis si longtemps : une part de spontanéité brute qui ne concède rien à la tendance ni aux calculs sur l’avenir. Cela apaise mes plaies. Voilà mon répit, je suis un monstre, c'est ainsi, la haine me soulage. Je lèche ces quelques minutes, débris de plaisirs. À cet instant, je suis apaisé. Puis cette pensée gueulante qui me tyrannise, me rappelle la saleté qui se prépare, s'entraine. Je sens alors que ça va reprendre, revenir lentement, l'incendie. L'horreur qui s'éternise, va. Et toujours ce mal qui me déchire plus violemment encore tel un cri vomissant de feu au fond de mon âme, manque à être, désir d'être deux. Mais puisque les dés sont jetés, roulent, s'immobilisent et repartent sans cesse, alors le temps et le Temps me prêtent réflexion. Demain est si loin, avec de la chance, il pleuvra. Hier est abandonné aux mémoires défaillantes de ceux qui ont trop espéré... je demeure désormais en tant qu'être pulsionnel. J'évolue dans un environnement purement organique, grouillant, moite, dégueulasse. Une représentation primale du monde originel, de la survie et des nécessités alimentaires. Mes besoins les plus fondamentaux se trouvent reliés aux phénomènes les plus complexes de l'absence de volonté et des aléas momentanés et violent qu'elle induit. Entre néant et trop plein. Mon génie ne sert que ce qui vous dépasse.

occupation diurne.

Zec travail en tant que serveur au Croquemitaine.
D'autre part, lorsqu'il se perd dans ses affres, consommant du VJuice à outrance, il lui arrive de recevoir et de vendre son corps à toute race et à tout sexe.

manie, habitudes & goût.

- Accro au VJuice
- Sur sa table de chevet ; du Gide, du Cioran, et Peter Pan... (zbaf) « D’après l’opinion générale, Peter se conduisait pour l’instant d’une façon correcte uniquement pour endormir les soupçons de Wendy, mais on sentait qu’il ne tarderait pas à changer d’attitude, dès que serait prêt le nouveau costume que la fillette lui taillait contre son gré dans les plus méchants habits de Crochet. Par la suite, la rumeur courut que la première nuit où il porta ce costume, il resta longtemps assis dans la cabine, le porte-cigare de Crochet aux lèvres, et tous les doigts d’une main repliés, à l’exception de l’index qu’il tenait recourbé en l’air de façon menaçante, comme un crochet. » Nerveuse, profonde, insolente... L'espièglerie puérile qui surpasse toute sénilité. L'ambiguïté du personnage ; attachant et antipathique, attitudes subordonnés à l'envie du moment présent... Lorsque Pan arbore le masque du pire des sans coeur et par là même surpasse un crochet mélancolique rongé par la bile du temps. Avouons que Zec éprouve une certaine affection pour l'oeuvre de Barrie justifiée par la singularité de son héros qui ne manque pas de familiarités avec notre Joyce... L'égocentrisme si ancré que l'on ne peut qu'en admirer la pureté, l'art du jeu érigé en credo au creux d'un monde dont on s'institue le héros intangible. N'oublions pas que Néron serait oublié depuis longtemps sans ses saillies de pitre sanguinaire ; les bourreaux ne survivent que dans la mesure où ils sont fervents de l'art du spectacle

relation avec votre marqué.

S’il est certain qu’un embryon de ressenti envers Sade a perduré de manière latente quelques temps après sa marque, les Joyce partagent une relation au delà du fraternel et du fusionnel. Nul doute que même torturé entre l’ambiguité de ces sentiments Zec aura prôné les retrouvailles tant espérées d’avantage que le sujet houleux de sa ‘transformation’. D’autre part il ne connaît pas les véritable raisons qui ont poussé son frère à agir ainsi, en revanche, notre grand gamin nourri inconsciemment une certaine fierté à partager un tel lien avec son aîné.

conviction.

En temps qu'humain Zec considérait la Revelation comme un formidable moyen de se divertir. Avouons, pour lui il n'existe ni bon, mauvais, s'il peut nourrir quelques intérêts suite à un évènements, nul doute qu'il en tirera partie, sans jugement de valeur quel qu'il soit. Pour ça entre autre qu'il ne fait pas bon lui faire confiance. Désormais, en tant que marqué, il lui semble que la Révelation a toujours existé. En résumé ; que du positif, la révélation ou comment élargir le champs des possibles de l'humanité!!! (youhou spot publicitaire Rolling Eyes )

signes particuliers.

Multiples tatouages.



III. That thing I want to tell you

Pseudo. Zec Age. 20 ans code du règlement. Et bien il ne manque plus que le thème musical de Dracula prince des ténèbres et je crois qu'on pourra commencer. avis général à propos du forum. Pour ne pas faire dans la singularité arborer un design "dark" c'est me prendre par les sentiments, j'avoue adherer totalement à la configuration du fo, aéré et du coup agréable. Du reste il me semble y'avoir une bonne petite équipe administrative apte à négocier à l'écoute et accueillante (broose dans le sens du poil c'est ças!). avatar utilisé. Ash Stymest




Dernière édition par Ezechiel Joyce le 23/6/2011, 04:06, édité 13 fois
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II. A true story


Option 2: la version anecdotique

[Intro]
Le mal ressemble à Peter Pan. Il possède le privilège horrible et horrifiant de l'éternelle jeunesse. - Mais, Peter, ne feras-tu jamais rien d'utile ? Et Peter de répondre : -Veux pas être utile ! Mais je serai de bonne compagnie pour les enfants morts. Avec ma gaieté, je viendrai chanter quand le glas sonnera ; ainsi ils n'auront pas peur. Je danserai auprès de leurs petites tombes. Ils m'applaudiront et crieront : "Encore ! Encore!", car ils savent que c'est drôle et parce que l'amusement est tout ce qu'ils aiment.

Nous n’étions pas de cire mais le froid nous cassait la gueule, si bien qu’il figeait nos sourires souverains façon Polaroïd. J’ai omis d’entretenir la mémoire de mes premières années, les miasmes contre nature qui se mêlent au sang de l’âge catalysent la décrépitude des veines du temps ; les souvenirs s’absorbent en ces parois qui génèrent un nouvel être. Néanmoins je me souviens de nos regards… Si nous n’avions rien eu à faire pour exister, n’aurions nous rien fait ? Nous courions sur la route jusqu’à nous sentir crever et pourquoi alors ne pas cracher un poumon pour que la terre respire, ou s’écorcher les membres à enjamber les murs avec l’expectative d’atteindre toujours l’inaccessible. Nous voulions sauter du cinquième étage dans des poubelles, suicider nos emmerdes puis nous recycler. Pour être des hommes nouveaux ne pas tendre à cet avenir de jeunes vieux que l’on constatait gagner nos semblables. Crier pour remplir le vide d’une vie rangée ou prédéterminée… Comme la folie continuait, on a laissé nos empreintes sur toutes les vitres du monde, pour vivre un peu partout à la fois, fait sonner des alarmes pour pouvoir nous enfuir comme des gamins. Prendre le temps de ne rien voir venir et de nous accommoder des singularités qui nous arrivaient en pleine tronche, apprendre à être empereur en érigeant nos instincts en ersatz à toute raison, nous savions faire, si bien que l’adolescence et ses affres nous ont accueilli en suprêmes ambassadeurs.


[Genèse]
Tu es bien trop inventif et affamé pour ce monde simple et indolent, qui se satisfait de si peu.
Il t’exècre et te crains: tu as pour lui une dimension de trop.


Il existe de ces ruelles assassines, qui se craquent d’ennui puis dévorent vos rêves, s’épongent de vos récits puis s’emparent de vos trêves comme une vaine course après la vie. Les ténèbres y tirent les talons encore plus fort. C’est ici qu’en héphaistos contemporains nous nous sommes audacieusement forgé un nom. Joyce. Au delà de nos esprits stratèges aptes à échafauder un réseau en une arborescence assez disparate pour sécuriser notre rang prédominant, c’est notre intarissable soif de bousculer les ordres établis qui nous animait. Nous étions les festons destructeurs latents qui ne s’imposaient que par rumeurs indicibles, de proche en proche ; toujours l’on doutait de notre existence véritable, de nos identités mutuelles. Mais les faits s’amoncelaient comme l’assurance de la présence d’un virus inexpectorable dont il fallait s’accommoder. Jouissance de redéfinir un équilibre en premier lieu inébranlable, d’élever l’incertitude en dogme.
En notre compagnie les créatures de la nuit avaient un enfer. On notera l’absence de majuscules : les noms propres seuls y avait droit, et ces noms là étaient tout sauf propres. Sade. Ezechiel. Dans nos chasses le plaisir n’était pas uniquement dans la dernière seconde même si cela en constituait l’apogée. C’était dans le rituel qui précédait, la lente et méticuleuse quête qui s’opérait pour repérer la proie, la suivre à la trace, la manipuler a distance, l’enfermer. Là était le plaisir décuplé par l’adrénaline de savoir qu’en quelques secondes les canines surlesquelles nous avions jeté notre dévolu pouvaient se retrouver à pourfendre notre propre chair. Nous étions sans cesse funambules à emprunter la frontière ténue entre le chasseur et son comble. Une fois purgé de ses fluides vitaux, synthèse des âmes qu’elle avait pu parasiter, en nombre, on pouvait bien promettre à note proies qu’elle s’éteindrait paisiblement, le jurer sur nos tête respectives, qu’importait puisqu’effectivement elle crèverait. Mais ce serait dans la langueur de nos vices, condamner à être bêtes à traire jusqu’à la décrépitude..
Je nous revois, affairés à drainer les flux sanguins destinés à notre marché, je nous revois arracher les bandelettes qui cachaient leurs yeux tout au long du jour, et les yeux qui venaient avec, mais cela a n’avait strictement aucune importance pour eux d’être aveugle dans un monde sans lumière. Il fallait bel et bien leur arracher les globes oculaires pour ne pas qu’ils manquent cette vérité-là : leur lumière était morte assassinée – meurtre avec préméditation – poignardée par nos âmes génératrices de chaos. Notre suave descente aux enfers, le sien plus le mien, délectable charogne de pluriel ! Ma parenthèse de bonheur – c’est ainsi que l’on nomme les temps précédant l’égarement.


[De l'informe et du vide.]
En brumeuse sueur, l’éclat de hargne aux lèvres, violentant chaque geste comme étant le dernier, dans leur labeur insolite ils peignaient déjà les abords de mon existence d’un sombre insipide.

Les feuilles d’un grand arbre se déployaient en charognes, bruyantes par leur appel sur le sol gercé, et l’ombre de l’entrepôt, debout, immense et hostile, ombres excroissantes annonçaient notre fief. La zone inhabitée n’était fréquentée que par quelques hommes défoncés au crack s'insurgeant de la beauté des trottoirs, gueulant un peu de tout ce que nous distinguions mal… J’accélérais le pas. La prise de ce soir ferait date et nous imposerait à l’esprit de tous comme quelques génies effrontément audacieux. Sade m’avait devancé mais par chance j’avais remarqué son absence. J’avais mes idées sur ses motivations concernant sa volonté de m’éloigner un temps de notre affaire ; ce soir nous serions plus que jamais les cibles de la soif sanguinaire des grandes dents. Mais il ne me connaissait que trop bien et devait avoir intégré le fait que borné et tête brûlée que j’étais, je ne ferais pas d’état d’âme quant à être l’objet de tant d’attention.
Il régnait cette insécurité onirique, ce jaillissement du biotope qui m'entourait, d'autant plus énorme et turbulent du fait que j'étais seul avec moi même, poussière, tout comme le sable n’était que le résultat des affres du temps sur des roches que l’on eut cru inaltérables et indestructibles. Instinctivement mes membres empruntèrent une démarche souple et gracile. Je ne tardai pas à butter contre un corps. Les exhalaisons fétides de sa cavité buccale envahissaient l’atmosphère déjà si désagréablement moite. De violents spasmes, somatisation des mouvements de son âme, révulsèrent tout à coup ses vitreux globes oculaires. Les ongles encrassés de ses mains rugueuses reposaient à sa gorge, position que je devinais compulsive. La pression de son sang y était visible, presque audible, au travers du derme tendu et violacé de ses artères. Bouche ouverte à s’en décrocher la mâchoire, sans en laisser échapper de son. Ainsi je découvrais ses moignons dentaires, incroyable camaïeu d’ocre brun, parsemés sur un lit gingival en putréfaction. Je sentais les vapeurs venant de dehors qui insufflaient leur désespoir même entre les murs. Ma salive prit un goût terriblement âcre, et je restais planté là, sur le seuil de la porte des enfers dont j’avait maître et dont j’été soudainement hôte, à sentir la larve du mal éclore en moi comme une résignation. Mon regard terne se posa sur l’expression douloureuse du cadavre, exacerbée par des traits erratiques, comme disposés au hasard. Je reconnu Démitri, un client qui avait l’avantage d’être fidèle rongé par le manque. Immédiatement je regagnais l’impudeur des rues ne devinant que trop bien comment la scène avait pu dégénérer..

J'ai marché très lentement, restant le plus possible dans le quartier en souhaitant capter la présence de mon aîné, paumé dans le tourment et l'amertume de tous les hommes, de tous les lampadaires sur lesquels pissaient tous les chiens du dehors, qui se déplaçaient en glissant dans la pénombre et se collaient, furtifs, tentaculaires, emmitouflés dans la puanteur du chagrin. Comme drogué moi aussi, j'ai participé au recueillement de ces avariés, organes sujets à l'exérèse du monde, en me récitant les paroles de Sade que je ne pouvais imaginer sous le joug vampirique ; « Si pour une quelconque raison tout cela tournait mal, tu te tires. » Le ciel était d’un noir absolu et absorbait mon imagination fertile. J’avais la certitude qu’un Joyce présenterait d’avantage de potentiel pour le peuple de la nuit en étant des leurs que mort. La pluie tombait, elle frappait contre mes tempes, s’éclatait au sol comme des milliers de bombes. Je ne baissais pas la tête, au contraire, je regardais droit devant moi. J’essayais d’attraper du bout du regard l’extrémité de chaque rue, je ne les reconnaissais pas. Je me ramassais sur la gueule toute la puissance, toute la rage d’un dieu mort il y’a bien longtemps. Oui, c’était des baffes divines que je me prenais en pleine face ! Et j’adorais ça. Cette douleur…Je sentais quelque chose d’énorme monter en moi, comme une poussée d’adrénaline, une colère trop longtemps refoulée devant ces trop nombreuses situations qui s’imposant avec forces inhibaient mon libre arbitre. Droit comme une fusée crevant les étoiles, j’ai hurlé.


[Névroses sur la grève de l'absence.]
Notre vision holistique du monde vacille sur le fil de nos désespérances, dans les chaleurs humides j’accumule les raisons inutiles, auprès de ces courbes d’ivoire j’oublie… Le monde tourne, inexorablement…et je compte les jours.

Parfois on arrive au bord du rien et on se dit sereinement qu'on ne va pas tomber. J'ai pourtant toujours eu le vertige. J'ai toujours eu peur en arpentant certains chemins trop proches de la vérité, la révélation est phobique et je me terre dans l'impossibilité de me saisir, j'affronte mon ombre de dos, comme tout le monde. Après plusieurs mois à retourner les caves, à me risquer en désespoir de cause au plus près des vamp en espérant quelqu’information, j'avais l'impression de fermer une parenthèse d'errance qui s'était matérialisé dans le désespoir. J'avais enterré ce crachoir qu'était mon cœur, arraché les cils de mes paupières, cousu ma bouche et avais éteins la réalité. J'avais inventé des rêves qui précédaient même tout désir, j'avais appris la leçon et je me jettais vers ce qui me semblait incompréhensible, petit à petit je devins souverain des aberrations. Je retournais mon âme, et on en voiyait les coutures. Je m’enfonçais dans la brume du non-être, j’apprenais le goût de l'oubli de soi salvateur et la solitude acquerrait ainsi un goût différent,. Je m'acheminais vers l'inconnu et cela dans un état de douce panique. Je créais ce qui manquait à la vie. L’euphorie immorale.

Ce matin là je m'attardais à brosser les dents d'un joli animal que, patiemment, j'apprivoisais. C'était un caméléon enhardi, qui me tenait tête. Et son audace ne pouvait laisser indifférent. J’en était encore à mes premiers pas, et facilement attendrit. Je devais plus tard apprendre à me détacher complètement et jouir avec force de détachement. Cette aimable bête fuma, comme à l'ordinaire. Eliza. Seuls ses contours étaient visibles à mes yeux brillants, acérés. La neutralité des lieux se contentait si bien de cette violence qu’instaurait ma seule silhouette. En ma compagnie elles étaient une petite armée à gerber soudainement toute l’innocence qui leur tapissait consciencieusement les entrailles. Accouchement douloureux qui m’était délectable. Je m’exerçais à les dresser en créatures rongées par leurs passions, consumées pas leurs désirs, pour leurs désirs. Il fallait de tout pour faire un monde, y compris des individus se contentant d’ignorer leur humanité, dénigrant la possibilité de faire acte de morale et préférant les instincts primaires salvateurs. Si je n’étais plus un acteur du commerce de Vjuice je conservais mon génie Joyce apte à se départir et à trouver quelques plans servant ses intérêts. J’avais pris pour habitude de conserver constamment une réserve personnelle, dont je n’hésitai pas à user pour me repaître sans heurts des corps de mes clientes immédiates.
Mes ongles lacérant long, tout, du torse à la nuque et jusqu'aux mollets. Tout contre le mur Eliza, recroquevillée comme un sale foetus plein d'asthme et de sueur ; Eliza, ses grognements sourds ; ses sifflements brefs, tranchants ; un coeur à ne plus savoir qu'en faire tellement ça battait fort, tellement ça bat sauvage, boum!, Et dans ce long chemin, une vie trois soupirs, quand Eliza feule je souris ; quand ses yeux se révulsent je souhaiterais comme eux pouvoir percer en elle. Et dans sa chair je capte une présence familière, dans la jouissance j’accède à l’espoir de retrouver un frère.


[Lenteur des âmes dans l'échos inhabité..]
C'est difficile de rester debout, grelottant par mégarde.
C'est difficile de briser la honte et la surprise, de nouer des mots dans la rancoeur.


Ses canines font encore écho en moi... là où le monde crie encore. La jungle peut être métaphorique. A l’instant la jungle c’est ma conscience immédiate des événements. Et cette jungle est d’une beauté noire, agressive, calquée sur l'agonie, avec ses cohortes de rires diffus, ses processions d'ombres agencées de façon précise et hypnotique, ses nœuds encore chauds de la langueur d'un pas. La splendeur y vibre en notes crades. Et les êtres sont sans âmes, attachés à inspirer l'air comme des asphyxiés sous un rayon de soleil, crucifiés avec divers alliage. Le cri plaintif, gémissement atéré de surprise, animal battu, vient de mes entrailles et grouille dans celle de Sade, qui fermement aspire ce qu’il restait de mesure. Marqué. Lourd. Le peu d'air stagne au niveau de l'irrespirable. Compressée. L'heure semble aiguiser les ifs. Jeu de l'étouffe.
Sade devenait le garant d’une nouvelle existence…à laquelle je répugnais déjà. Douloureux accouchement que de me retrouver à la solde de ceux que j’avais chassé. Sade, torturé par le sacrifice qu’il m’imposait et dont j’ignorais la justification. Sade en pâture à mon incompréhension hébété et au linceul de mon âme partagée entre l’euphorie de retrouver ce qui depuis si longtemps constituait un manque à être et le désir de le vouloir irraisolument impardonnable.
Si j’avais été apte à entendre que les fondements de son retour étaient réfléchis, j’aurais appris que son « initiatrice » pensant avoir sous son égide Ezéchiel Joyce réputé comme énergumène volatile et borné, en résumé une tête brûlée avec laquelle il y’aurait fort à faire, s’apprêtait à mener une action mûrement potassée ne laissant aucune possibilité de salut à l’aîné, ce puisqu’elle avait cru comprendre que le second serait tout aussi coriace. Sade ayant eu vent de ces potentielles intentions avait accouru afin de faire de son benjamin un marqué ; ce dernier serait ainsi moins vulnérable.


[Gout terreux de ces étreintes labourées à pleine dent.]
La faiblesse de nos organes, le défaut de réflexion, les préjugés qui nous environnent, les vaines terreurs de la religion ou des lois, voila ce qui arrête les sots dans la carrière du vice; mais tout individu rempli de force et de vigueur, doué d'une âme énergiquement organisée, qui se préférant, comme il le doit, aux autres, saura peser leurs intérêts dans la balance des siens, se moquer de Dieu et des hommes, braver la mort et mépriser les lois.

Sans le laisser entrapercevoir, mon frère s’enhardissait à me faire découvrir les multiples possibles qui s’offraient désormais à moi, donnant ainsi contenance à sa culpabilité. C’est ainsi qu’il me présenta une Fey qu’il avait prit soin d’assimiler par la chair. Petit à petit mon admiration vis à vis de mon aîné catalysait l’acceptation de ma nouvelle condition. Ma nature à consommer l’instant et mon insatiabilité se trouvait démultipliée.
Je me rappelle ces embryons de nos vices retrouvés qui gesticulaient fort dans l’air, étreignaient l’atmosphère orange et drue. Nos yeux étaient comme on peut imaginer les yeux d’un pareil soir, étincelants, un peu jaunes, un peu éloignés. Nous savions les blessures à venir pour la Fey : les heures de terribles délectations, tenues là dans nos corps comme tant d’heures expiatrices, infinies, se répondant en sortes d’échos tacites. Noeuds de folie, de démence. La lune était carrée, ce soir-là, et elle éclairait l'indicible. Les dieux et autres forces protectrices avaient désertés les lieux. Ils n'étaient qu'épouvantails factices et cette soirée se chargerait d'imposer leur absence comme ultime dogme. Crépuscule où mûrissait la torpeur alléchante de nos gènes conjugués crépuscule auquel les embryons d'humanité ne s'acclimataient pas, tensions funestes…nos langues dégustaient, cartésiennes léchaient, olfactives et fugaces connaissaient le chemin pour mener à l’extase…Dès lors la jouissance me flattait, était en moi. L’effet du crime ne m’affectait pas, était hors de moi. Quel homme raisonnable ne préfère pas ce qui le délecte à ce qui lui est étranger et ne consent pas à commettre cette chose étrangère dont il ne ressent rien de fâcheux, pour se procurer celle dont il est agréablement ému ? La joie est-elle d’une fluidité inexorable ? Non, elle est étincelles d’instants, elle est pétillante et se laisse contempler dans l’acte d’être au coeur même de la chair. Elle est allégresse verticale, unité indissociable à la nature humaine, une force volante comme l’est l’oiseau par sa propre nature. Dans l’intimité de la chair, la totalité de l’être et la violence extatique ressentie viscéralement produisent un embrasement suave.


[Où hier demeure aujourd'hui, dans l'attente.]
A nouveau l’absence. Soupçonnée lorsque le regard s’impose des excuses.

M. Jacar était gros. Non pas vraiment gros, enfin ce n’était pas qu’une question d’embonpoint. J’aurais plutôt dit qu’il était flasque. Ça débordait de partout : des oreilles, son cou coulait le long du col de sa chemise, la peau de son visage semblait s’étirer et former des sortes de bas-joues de hamster. Bref, il semblait plus soumis à la gravité que d’autres. Il avait les mains moites, et lors de ses caresses hésitantes, elles laissaient des traces humides et blanches. Le crâne dégarni comme un terrain de golf, la barbe mal rasée : courte parsemée de petites touffes me faisait penser à des moutons broutant tranquillement dans un pré. Son nez, parlons-en de son nez. Pâteux, comme le reste de son corps, sauf que lui semblait plus habité que sa boite crânienne. À sa main droite, le bougre avait une alliance, il l’hôte à chaque fois qu’il rentre dans la chambre...
Je me gorge de leur malaise sous mon regard sans concession, leur malaise lorsque leurs yeux se posent sur mes cernes et leurs contours ridés, noirs du manque de VJuice. Ils entendent craquer mon sourire face à leurs airs honteux, coupable comme ceux qui n'assument qu'à moitié leurs affres. Quelque prestations pour arrondir mes fins de mois, bien que ce ne soit qu’un prétexte pour oublier, noyé dans les spasmes charnels, maintenant que mon revenu est assuré par Le Croquemitaine.
Le sang de mon frère porté absent à nouveau vient à manquer, le manque ronge.

Il n'y a pas de fatalité, pas d’originalité, pas d’histoire exceptionnelle, comme il n'y a que des photos que l'on froisse, avant de les déchirer, lassé de les regarder. Surtout parce qu'elles ne sont que de pâles copies, en noir et blanc, de cette intangibilité qu'on ne peut saisir. C'est bien pour ça qu'au faîte des cieux, même les dieux sont devenus aveugles; mais leurs yeux grèges se remplissent de larmes qui sanctifieront quelques unes de nos terres. Celles que nos pas auraient dû fouler, peut-être. Il n'y a qu'un épouvantail qui rit, de son timbre ironique et cruel. Il veille sur nos friches infécondes, ricanant à ton souvenir qui s'étiole.





Dernière édition par Ezechiel Joyce le 23/6/2011, 11:17, édité 8 fois
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Bienvenue donc, officiellement du moins, parmi nous!
Si tu as la moindre question n'hésite pas mais je pense que tout a été réglé avec Eden ^^

Bonne continuation ♥
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MessageSujet: Re: Ezechiel Joyce | Oh coques errantes, enchaînées, traînées par leurs voiles trempées le long des clôtures du temps.   Ezechiel Joyce | Oh coques errantes, enchaînées, traînées par leurs voiles trempées le long des clôtures du temps. Icon_minitime19/6/2011, 16:55

J'invoquerai sans doute quelques questions afin de solliciter ce candide galbe qui semble cacher bien d'avantage chère VDD What a Face Thanks du reste Rolling Eyes
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DP ; Terminé.
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Je transmets aux admins, bonne chance pour la validation heart
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Welcome
JE SUIS LA POUR TE GUIDER

Tout d'abord, je te souhaites la bienvenue sur Drag me to Hell de la part de toute l'équipe administrative.
Ensuite, maintenant que ta fiche est achevée, je viens la modérer pour la validation.


Ta fiche est excellente, je n'ai rien à redire. À part que j'en veux encore XD J'aime beaucoup la relation qu'entretiennent les frères Joyce, c'est intéressant et comme j'ai hâte de voir tout ça se développer plus longtemps, je suis heureuse de pouvoir te valider. Tu écris merveilleusement bien, c'est très agréable de te lire. Et en plus tu cites Peter Pan, t'es un bon, c'est certain ! XD

Ezechiel Joyce | Oh coques errantes, enchaînées, traînées par leurs voiles trempées le long des clôtures du temps. 20j09sn
J'ai le bonheur de t'annoncer que tu es validé!
Toutes mes félicitations!


Avant toute chose, laisse-moi un peu te guider pour faire tes premiers pas sur le forum en tant que membre validé! youhou! Première chose à faire, si tu ne l'as pas encore faite, c'est de finir de remplir correctement ton profil, et ta feuille de personnage même si tu n'as pas encore de relations, de toute façon, il te faudra sans doute l'éditer dans les temps futurs. Ce n'est pas grand chose, mais d'un c'est plus joli et de deux, on cerne plus vite ton personnage ainsi. Ensuite tant que tu es sur ton profil, pense à mettre dans ta signature un lien vers ta fiche de présentation. Comme ça c'est plus facile pour les autres joueurs de savoir à qui ils ont affaires! Deuxième étape et pas la moindre: remplir ta fiche de relations. C'est la manière la plus rapide pour t'intégrer complètement au forum, et bien évidemment cela va te permettre d'avoir un panel de joueurs avec qui faire un rp tout simplement. La suite logique étant de répertorier tes rp en cours ainsi que tes futurs rp ici, tu pourra bien évidement faire des demandes de rp via les topics des autres joueurs. Nous te conseillons vivement d'aller à A.N.P.E. pour bloquer le boulot de ton personnage, tu pourra aussi créer ta propre boîte si tu le désire. Ensuite, fort de ton salaire, tu pourras demander un logement, n'oublie pas que la colocation est aussi une bonne option!
Quand tu auras fait tout cela, tu pourras aller jouer avec tes petits camarades. Pour mettre un peu de piment dans ton jeu n'hésite pas à faire un tour du côté des challenges ou bien dans l'animation. Et puis, en attendant une réponse d'un joueur, tu peux toujours aller flooder avec nous jusqu'au bout de la nuit!

Il ne me reste plus qu'à te souhaiter un bon jeu sur Drag me to Hell.
Amuse-toi bien, et rappelle toi, que si tu as la moindre question nous serons toujours là pour y répondre.
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Faut citer la petite sirène, elle adore Razz
Félicitation pour ta validation! =)
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Tu mérites des baffes toi...
T'as de la chance d'être plus vieux, tiens !
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Uhm désolé si au final vous n'avez qu'un aperçu de cette relation au delà des carcans familiers habituels, je suis resté évasif faute de temps (pression du désir de rp). Jamais lu la petite sirène... Rolling Eyes Mon voisin aveugle et en fauteuil roulant faute d'avoir trop nagé me suffit Rolling Eyes Mais j'avoue Andersen mérite amplement que l'on se replonge en son oeuvre. And thanks dear ça fait assez champagne et cotillons ton Félicitation, genre examen de passae selectif... What a Face
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