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 Ada Z. Reed の Let the dead dance [en cours]

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MessageSujet: Ada Z. Reed の Let the dead dance [en cours]   Ada Z. Reed の Let the dead dance [en cours] Icon_minitime2/12/2012, 21:17

Ce qui est créé par l’esprit est plus vivant que la matière. ▬ Baudelaire
Ada Zola Reed


© weheartit


Prélude

date et lieu de naissance. Née le 21 novembre 1980 à Dallas nationalité. Américaine camp. Neutre, penchant vers le mal. De par son don, ses pratiques, son caractère, il est impossible qu'elle fasse partie des bons. classification. Considérée comme agressive. Elle pratique le vaudou et la magie noire de façon raisonnable. Cependant, cela s'accentue depuis qu'elle est à Shreveport et que ses pouvoirs ne cessent d'augmenter. Elle fricote également avec les vampires. état civil. Célibataire. lieu d'habitation. Stoner Hill métier. Manager du Lilith Castle, courtisane pour les chanceux et plus offrants, nécromancienne pour la mafia. étiquette qui vous est collée. La femme froide par excellence. Ada possède un coeur de glace, dénuée d’une quelconque pitié. Elle se contrefiche de tout, excepté du Lilith et de Lucian, et est insensible aux remarques qu'on pourrait lui faire.


I. I want to know who you are

traits de caractère.
Petite, Ada ne se mélangeait pas tellement aux autres. Elle était première de sa classe dans une école de banlieue, et en d'autres circonstances, elle aurait sûrement été le défouloir de tout le monde. Pourtant ce n'était pas le cas. Les autres élèves ne l'approchaient pas souvent, la trouvant trop étrange, trop décalée par rapport au reste. Déjà à cinq ans, elle avait un on ne sait quoi dans le regard qui les faisait rester éloignés d'elle. Quelque chose de froid, insensible et méprisant qui ne l'a jamais quitté. Elle devait certainement avoir héritée ca de son coté maternelle. Son père lui était une épave incapable de tout, c'était sa mère qui portait la culotte, elle qui possédait le fort caractère. Et Ada s'est construite selon sa mère. Même si elle la détestait de tout son coeur, elle savait qu'elle était le seul bon exemple à suivre. Elle a appris à avancer quoi qu'il arrive, peu importe les événements allant en sa défaveur. À ne pas se retourner sur le passé ; ce qui est fait est fait.
Un nombre infime de choses arrive à l'effrayer, à la faire reculer d'un pas en arrière. Elle n'a pas de phobies, pas de peurs. Et même si elle en avait, elle ne le dirait, ne le montrerait pas. Vous pouvez sortir vos crocs juste sous son nez, elle ne cillera pas une seule seconde. Évidemment, elle cherchera à se défendre, à vous éloigner, ou à vous tuer pourquoi pas. Comme toute personne censée ferait finalement. Mais vous ne lui ferez pas peur. Pourtant, au bout des ses trente quatre ans d'existence, elle a eu l'occasion de croiser pas mal de choses.. surprenantes. Également, rien ne semble pouvoir l'émouvoir. Elle a un cœur de glace, dénué d'une quelconque forme d'affection.
Constamment, Ada possède cette envie et ce besoin d'être supérieure aux autres. Elle refuse d'être une personne qui subit, quelqu'un de faible. Il faut toujours qu'elle soit celle donnant les ordres. Car ceux qu'on lui dictera, elle n'y fera pas attention, les oubliera dans la seconde. Sauf s'ils viennent de Lucian. C'est à ce jour l'unique personne qu'elle respecte et qu'elle estime à sa hauteur. Il doit être le seul à ne pas avoir droit à son regard emplit de mépris et à son petit reniflement hautain Avec peut être sa sœur aussi. Peu importe la situation, elle doit être la personne qui domine, qui contrôle, qui met à genoux. De toute manière, elle se fiche de vous, de votre vie ; elle ne veut pas en entendre un mot. N'allez pas vous plaindre devant elle. Elle se moque de tout excepté de Lucian et du Lilith. Osez leurs jouer un mauvais tours, leurs nuire : c'est comme si vous osiez vous attaquer à sa propre personne. Ada n'est pas tellement rancunière. Elle ne ressent pas le besoin de se venger. C'est une chose qui vous rend trop faible et stupide. Elle ne manigancera pas de petit complot ridicule contre vous. Par contre, elle ne se gênera pas pour vous enfoncer dans une situation délicate. Pour profiter d'une occasion de vous faire payer vos actes et vos paroles.
Ainsi, elle se montre être une personne autoritaire et intransigeante. Elle ne laissera rien passer, pas un seul faux pas, et n'admettra pas de juste milieu dans une décision. Parfois, elle se comporte comme une véritable garce sans raison apparente. N'essayez pas de vous creuser la tête à en chercher une, de raison. Si elle ne vous vient pas immédiatement à l'esprit, c'est qu'il n'y en a tout simplement pas. Malheureusement pour elle, et parfois pour vous, ce petit jeu l'ennuie rapidement. Alors elle a besoin de s'occuper autrement. En générale, elle devient sadique ou perverse. Ou les deux à la fois. Elle aime torturer, elle aime voir les autres souffrir, elle aime tout ce qui a rapport au sexe. Elle se considère comme l'une des femmes les plus séduisantes – si ce n'est La femme – et sait qu'elle peut tout obtenir avec son physique. Elle est l'image même de la femme fatale, toujours sur son 31, parfois en cuir noir...
occupation nocturne.
Travaille la nuit, dort les jour... Elle passe ses nuits à gérer ses filles et ses gigolos au Lilith. À gérer ceux qui ont de l'argent à donner, et parfois à s'occuper plus personnellement d'eux... Avec la révélation, et l'arrivée de Lucian dans sa vie, elle vend ses qualités de nécromancienne au plus offrant. Plus ou moins membre, elle est constamment protégée par la mafia. Elle ne s'inquiète donc pas des personnes trop.. exigeantes envers elle, qui n'acceptent pas de monter leur offre par exemple. Autrement, quand elle ne travaille pas, elle est en général chez elle. Ada n'est pas le genre de personne traînant dans les bars à attendre que le temps passe. Ou même à aller faire ses courses au supermarché du coin. Non, son temps est trop précieux pour ce genre de chose, elle préfère envoyer quelqu'un à sa place.

manie, habitudes & goût.
Elle aime :
- Torturer mentalement ses filles. Elle ne se permet pas d'attaquer leur jolie minois. Il faut qu'elles restent belles pour ceux qui veulent en abuser.
- Fumer. Sans en abuser, mais une cigarette de temps à autre, ca ne fait pas de mal.
- Son don. Elle croit en lui, en elle, plus que toute autre chose.
- Ce qui a attrait à la mort et à sa perversité. Comme les cimetières, orgies et autres.
- Utiliser son poignard. Le lancer, le planter, elle l'a toujours sur elle.

Elle n'aime pas :
- Parler. Elle déteste les longues conversations, surtout si c'est pour que vous parliez de votre vie ou que vous lui demandiez qu'elle raconte la sienne. Ca lui donne envie de vous couper la langue et de vous regarder vous étouffer avec votre sang.
- Les faibles. Quand les gens se mettent à pleurer, geindre ou se plaindre, ca la met hors d'elle.
- Les personnes trop gaies. Surtout quand elle n'est pas d'humeur à sourire.
- Qu'on se paie sa tête, de quelque façon que ce soit.
- Perdre le contrôle. Elle pourrait tuer pour ravoir le dessus.

Ses habitudes et manies :
- Reste souvent muette, parlant seulement quand cela s'avère utile. Elle préfère observer les gens, leur comportement, les effrayer sans avoir besoin de mot.
- Souvent, il lui arrive de partir dans une rage folle juste pour un léger détail qui ne lui plaît pas, pour quelque chose qui ne va pas pas comme elle le voudrait.
- Pour elle, les choses doivent être ordonnées, organisées, rangées.
- Être une véritable garce. Il faut se méfier lorsqu'elle se montre trop aimable.

nécromancie & vaudou.
Comment abordez-vous la réanimation, quelles sont vos limites, quels sont vos tarifs, et dans quelle mesure pratiquez-vous le vaudou ?

conviction.
La révélation... Elle ne m'a été utile qu'à partir du moment où j'ai rencontré Lucian et intégré sa mafia. Ainsi, j'ai pu pratiquer mon don contre de l'argent, chose rapportant gros. Autrement, je me fiche que des vampire, des loups garous ou je ne sais quelle autre créature soit dissimulée parmi nous. Et puis après tout, je fais partie de ces gens étranges dont la population ignorait l'existence, dont certains l'ignorant peut être toujours. Depuis que j'ai eu ce flashback de mon enfance, ce trou de mémoire qui m'est revenu en pleine face, j'ai tendance à me méfier des vampires. A part quelques exceptions, je ne leur attribue aucune confiance. Je sais de quoi ils sont capable, à quel point certains sont puissants, et je préfère par conséquent ne pas me mélanger à eux. Même si avec Lucian et les personnes m'entourant les trois quarts du temps, je n'ai pas d'autres choix que de les côtoyer.

signes particuliers.
Si l'on regarde bien, j'ai la peau qui est un peu plus rouge au niveau des poignets et des chevilles. Des cicatrices de l'enfance... Autrement rien d'autre, si ce n'est qu'un visage et un corps parfait.


II. A true story


21 NOVEMBRE 1980, DALLAS
Putain fut le premier mot que j'entendis sortir de la bouche de ma mère. Elle le gueula tellement fort pour enfin réussir à m'éjecter de son corps, qu'il dut résonner à travers tout l'hôpital. Quant à mon père, il n'avait pas été présent le jour de ma naissance. Certainement encore bien saoul dans un de ces bars miteux, à demander qu'on lui resserve un verre. C'était un chômeur qui ne savait que boire. Il vivait sur le dos de la société, et autant dire que hormis avoir contribué à me donner la vie, il ne servait strictement à rien. Contrairement à lui, ma mère enchaînait travail sur travail pour tenter de joindre les deux bouts, pendant qu'il allait parier notre peu d'argent au poker. En y repensant, je me demande comment on arrivait à avoir un toit. On vivait dans les quartiers pauvres – pour ne pas dire les banlieues malfamées de Dallas –, et dans l'appartement sans doute le plus pourri du monde. J'ai même vue une fois un rat traverser le salon et se faufiler dehors par la porte d'entrée. C'est pour dire !


13 JANVIER 1989, DALLAS
Sur le chemin de retour de l'école, un miaulement avait attiré mon attention. Je m'étais rendue dans l'impasse juste à ma droite, et avais trouvé un tout petit chat farfouillant dans les poubelles. Il était plutôt crade, ne sentait pas tellement la rose, mais je ne sais pourquoi je l'aimais bien. Je décidais de le ramener à la maison tout en sachant très bien que ma mère détestait les animaux. Soit j'étais inconsciente de mon acte, soit j'avais envie de la défier et de la mettre à bout... J'avais installé le chaton dans ma chambre aussi grande qu'un placard, juste suffisamment pour contenir un lit et une armoire. J'avais réussi à le garder caché durant quelques jours. Puis à un moment où j'étais sortie, il s'était faufilé entre mes jambes et s'était retrouvé nez à nez avec ma mère. Elle l'avait alors attrapé par la queue à bout de doigt comme un déchet, et m'avait dit : « Ada. Tu m'expliques ce que cette saleté fait chez nous ? » Dans son ton, j'avais senti qu'elle n'attendait pas vraiment de réponse. Alors j'étais restée devant elle sans ciller, à la regarder comme si je me foutais de ce qu'elle pourrait bien me dire. De son coté, ma mère fit de même, puis alla ouvrir la fenêtre et le jeta comme si de rien n'était. Je la fixais en serrant les dents et retenant mon envie de la pousser elle aussi par la fenêtre. Elle m'avait souri puis était retournée à son ménage. C'était le mien, elle n'avait pas le droit de décider si oui ou non je le gardais. J'attrapai mon manteau et descendis retrouver mon chaton. Avec ce saut imprévu du cinquième étage, même si un chat est censé toujours retomber sur ces pattes, ce ne fut pas une grande surprise de le retrouver mort. C'était toujours la même rengaine ; je ne pouvais pas avoir une seule petite chose rien qu'à moi. Fallait toujours qu'elle me la prenne si elle n'était pas d'accord, et ce peu importe de quelle manière elle me le retirait. S'en était suivi alors quelque chose de tout à fait imprévue, tandis que je ruminais contre ma pourriture de mère. Toujours assise devant mon chat mort – et je le redis encore, il était bel et bien mort –, je le vis se redresser sur ses quatre pattes et me regarder avec ses yeux qui me semblaient comme éteints. Surprise, j'avais eu un léger mouvement de recul. Mais je ne vous cache pas que je l'observais avec une certaine fascination. Il vint s'installer, se poser entre mes jambes, puis plus rien. Il ne respirait plus ; son petit cœur ne battait plus. Une part de moi croyait avoir hallucinée quelques secondes. Mais j'étais absolument sûre et certaine que ce qui venait de se passer était réel.


24 JANVIER 1989, DALLAS
Le samedi suivant, je m'étais rendue dans une bibliothèques à deux/trois pattés de maison de là où j'habitais. Et après plusieurs heures à chercher une réponse à mes questions dans les bouquins, j'étais tombée sur un livre étrange abordant la sorcellerie et le vaudou. Ce qui était dit dedans me semblait plus tiré par les cheveux qu'autre chose... Comme si quelqu'un pouvait être capable de relever les morts. Fallait pas non plus se foutre de la gueule du monde ! Il n'empêche que, l'idée que je puisse posséder ce genre de don me plaisait bien. « Qu'est-ce qu'une gamine comme toi vient s'intéresser à la magie ? » Je me retournais vivement, n'ayant pas entendu les bruits de pas s'approcher dans mon dos, et me retrouvais face à un homme grand et âgé d'environ trente ans. Je le fixais avec mon petit air déjà hautain, attendant qu'il dise autre chose. « Bien... Je peux t'apprendre quelques petites choses sur toi, si c'est ce que tu venais essayer de trouver. » Je me levai, rangeai le livre sur l'étagère, et fis un pas vers lui comme pour dire que je le suivais. A sa tête, je ne lui faisais pas du tout confiance. Mais je sentais qu'il pourrait m'aider, qu'il était un peu comme moi... Même si je n'avais pas encore la moindre idée de qui j'étais exactement. Il m'avait alors dirigé jusque chez lui, et avait commencé à m'expliquer tout ce que je souhaitais savoir. La nécromancie, mon don, mes capacités, je l'écoutais attentivement, mais j'avais un peu de mal à avaler ses paroles. Cela me paraissait si invraisemblable... Au fil des jours, à m'enseigner la pratique, à me raconter son histoire et à me dévoiler son don, je fus forcée de me rendre à l'évidence. Depuis, je le voyais souvent pour qu'il m'aide à me contrôler. Lui était un médium, il avait tout appris de son frère, mort il y a maintenant plusieurs années. Il m'initia également au vaudou ; cette magie me fascinait, j'avais constamment envie d'en savoir plus. Et cela est toujours le cas aujourd'hui.


5 AOUT 1991, DALLAS
Cela faisait à présent deux ans que je voyais ce type médium. A chaque fois, chaque instant où j'avais l'occasion de croiser son regard, j'y ressentais quelque chose de mauvais, de dérangé. Même si mes impressions sur lui étaient loin d'être bonnes, j'avais continué à le voir. Parce que malgré tout, il m'apprenait comment gérer la nécromancie. Et je n'avais personne d'autre pour cela. Cependant, maintenant que je me retrouvais attachée au beau milieu d'un hangar abandonné, je me disais que peut être, ca n'aurait pas été une mauvaise idée de chercher quelqu'un d'autre. Il ne m'avait pas laissé le choix ; avec mon peu de force il avait vite pris le dessus. Autour de moi, il avait établi une sorte de cercle, comme il avait pu me l'enseigner. Et il lisait des mots dans une langue que je ne connaissais pas. « Vous êtes fou. » Il s'interrompit et m'observa avec cet air bon pour l'asile. Il devait être surpris que je m'adresse à lui, tellement c'était rare. « Tais-toi ! » hurla-t-il, rompant le silence. Je restais impassible, l'écoutant reprendre sa folie, et cherchais un moyen de me libérer. Il avait serré ses cordes tellement forts qu'elles empêchaient mon sang de circuler correctement. Il aurait voulu me tuer, il lui aurait suffit de m'en mettre une autour du cou. Je me demandais ce qu'il attendait de moi, me posais de plus en plus de questions chacune sans réponse. Alors je le vis apparaître. Son frère. Un homme assez jeune, ressemblant énormément aux photos que j'avais pu voir de lui. Il était là, en face de moi, sans vraiment l'être aussi... Et j'aurais préféré que mon imagination me joue des tours. Mais ca, cette chose là, ca ne s'invente pas. Je comprenais soudain où mon tuteur complètement malade voulait en venir. Ce qu'il tentait de faire et ce qu'il avait sans doute pensé depuis un long moment. Fallait que je sorte d'ici, que je dégage de ce putain de cercle et que je me barre ! J'essayais de desserrer les liens ; je tirais dessus comme une dingue sans lâcher des yeux ce fantôme. Je me fichais que ca puisse m'arracher la chaire, j'allais pas laisser faire ce con de médium ce qu'il voulait de moi. J'allais pas rester là comme une imbécile à attendre un miracle ! La porte du hangar s'ouvrit alors, laissant le jour filtré et un homme apparaître.


6 AOUT 1991, DALLAS
Et c'est le trou noir. Le vide complet jusqu'à ce que je me retrouve dans mon salon, mes parents morts à mes pieds. La police a alors débarqué, sûrement alertée par un des voisins passé devant l'appartement porte ouverte. Deux trois se sont dirigés vers les corps inertes, un s'est placé en face de moi. Il dû répéter au moins dix fois la même question. Ou ca résonnait comme tel à mes oreilles. Mais je me fichais de ce qu'il pouvait dire, demander. Je tentais pour l'instant de digérer les événements qui avaient du mal à passer. Comme ma garce de mère l'aurait fait. Il m'attrapa doucement la main, mais je me retirais d'un geste brusque et dirigeais alors mon regard vers lui. A sa réaction, il devait être inexpressif, légèrement glaciale et avec en prime l'envie forte qu'il déguerpisse de ma vue. Le policier retourna voir ses collègues tandis que je m'asseyais au sol. Je ne pleurais pas, les larmes sont pour les faibles disait ma mère. Après un moment, il m'emmenèrent au poste. Ils me posèrent des tonnes de questions, tour à tour, me firent passer entre les mains d'un médecin. Mais je ne les écoutais pas, m'en foutais. J'avais toujours cette même image en tête et cherchais à me souvenir de ce qui c'était passé avant cela. Mais rien. Je n'y arrivais pas. Les ignorant totalement, je reportais tout de même mon attention vers eux en entendant la question qui venait d'être prononcée. « D'où te viennent ces blessures aux poignets ? Que t'est-il arrivé ? » Je portais alors mon attention sur mes poignets. Ils n'étaient plus attachés. A la place, on les voyait lacérés, saignants. Je n'avais pas envie de me remémorer cette période de mon existence. Plutôt l'enfermer dans un tiroir à double tours, comme j'avais du le faire pour ce trou noir. Puis à force que je me rediffusai involontairement ce qui c'était passé, les choses devinrent floues jusqu'à ce que j'arrive à à douter de leur réalité. Il y eut alors du mouvement en face de moi ; les policiers se levèrent et s'adressèrent à une personne qui se trouvaient dans mon dos. Ils me laissèrent seule, avec un médecin chargé de me soigner.


15 OCTOBRE 1993, DALLAS
Suite à leurs recherches, ils avaient conclu que je n'avais pas de proche pouvant me prendre en charge. Par conséquent, ils m'avaient envoyé dans un orphelinat de Dallas qui paraissait partir en lambeau. Au moins, je n'étais pas dépaysée de mon quartier... Ici, c'était comme à l'école. Les autres enfants ne s'approchaient pas de moi, de peur que je morde peut être. Oui, cela était arrivé une fois. Déjà, quand j'étais arrivée, la police avait du dire dans mon dossier que j'avais quelques légers problèmes. Du fait que je n'avais pas prononcé un mot, que je n'avais pas lâché une larme, que j'avais eu les poignets et chevilles ensanglantés. Parce qu'on me forçait à parler à un psy. Mais bien entendu je restais muette à chaque séance. Et donc, quelques jours après que j'eus débarqué, une fille de mon âge je pense était venue à ma rencontre. Sans doute pour être gentille, m'intégrer, mais je m'en foutais. En plus elle souriait tout le temps et semblait exprimer une certaine pitié que je détestais. Alors je ne sais pas, peut être pour lui faire comprendre que je n'avais pas besoin ni envie de son aide, je lui mordis le bras. Et je ne l'ai pas lâché jusqu'à ce qu'on nous sépare, réussissant à la croquer jusqu'au sang. Elle avait crié, ce qui avait attiré les adultes, mais ca ne m'avait que donné l'envie de serrer plus. Depuis, ils m'ont fait voir doublement le psy, différents médecins, mais ne sont pas arriver à me comprendre. Alors ils ont fini par abandonner et un beau jour est arrivé où l'on m'a annoncé que j'allais vivre ailleurs. Qu'est-ce qui pourrait être pire qu'ici ou que chez moi de toute façon ?


4 JUIN 1995, NEW YORK
Cette famille d'accueil. C'est sûrement l'endroit le plus pourri qu'il y ait eu dans ma vie. Ils se servaient clairement de nous pour se faire un minimum d'argent. En tout, ils abritaient cinq enfants sous leur toit. Du moins quand ils n'en foutaient pas un à la porte pour la moindre chose. Parfois, le père nous donnait des coups avec sa ceinture, laissant des marques rouges sur notre peau pendant plusieurs jours. Personnellement, c'est mon silence et par delà ma supposée insolence qui l'énervait. Moi ca m'amusait, même si après je devais en payer le prix. Dans la famille, il y avait un gars allant bientôt atteindre sa majorité et ainsi pouvoir déguerpir de ce taudis. Un jour, alors qu'il n'y avait pour une fois personne dans la maison, il était entré dans la chambre qu'on partageait avec les autres. Interloquée, je levais la tête de mes cours et observais cet air étrange et inhabituel qu'il avait sur le visage. Il ferma alors la porte et commença à s'approcher de moi, tandis que je ne bougeais pas du matelas où je me trouvais assise. A chacun de ses pas en ma direction, je comprenais peu à peu où il voulait en venir. On était pas si proche que ca, je lui avais à peine parlé, comme aux autres. Mais il était sans doute tout autant dérangé que moi. Il retira le livre que j'avais entre les mains, puis ma robe et le reste des tissus qui me couvraient le corps. Ce fut je crois la première fois que je me retrouvais aussi proche de quelqu'un. Ma première fois tout court aussi. Cependant je n'en étais pas satisfaite. Du fait que je n'avais pas été celle qui contrôlait les choses. Dominait. Alors j'étais retournée le voir le lendemain pour remédier à cela. S'en suivit une relation étrange entre nous. On ne pouvait pas dire qu'on s'aimait, cela me paraissait trop insensé. Mais on était proche tout en ne se préoccupant pas tellement de l'autre.


31 DECEMBRE 2000, NEW YORK
Une fois libérée de toute autorité de l’État sur ma personne, j'étais partie vivre chez ce gars avec qui j'avais continué à avoir des relations. Mais à ce jour, il est mort. Je ne sais pas exactement pourquoi je l'avais tué. Sans doute un tout qui m'avait mené à cette envie. Sa volonté de m'être supérieur, découvrir qu'il me volait de l'argent. Non je ne le supportais pas. Évidemment, je ne l'ai pas gâché. Je veut dire par là que je m'en suis servi pour sacrifice, dans l'un de mes rituels. Au moins, il n'était pas mort pour rien, si ? Peu importe, il n'est plus de ce monde à présent. Dès que j'ai pu, j'ai cherché du boulot. La seule réponse que j'ai eu fut un poste de serveuse. N'ayant que cela sous la main, j'acceptais. Mais c'était tellement mal payé que je cherchais rapidement autre chose. Je me dirigeais alors vers la prostitution. Ca faisait quelques nuits que je marchais dans les rues, interpellée par des hommes qui souhaitaient me payer juste pour coucher. Franchement, ca existe meilleur job !? Au bout de quelques semaines, un gars costard cravate vint m'aborder et me proposa de rejoindre sa maison close. Je ne voyais pas pourquoi je refuserais, il m'offrait une meilleure sécurité qu'à traîner dans les rues. Même si depuis longtemps, j'avais toujours un poignard sur moi. Et je savais me défendre. J'avais vite appris à me battre plus petite, quand les autres gosses osaient me chercher. Mais là, en hiver, des chambres chaudes ne feraient pas de mal. Pour le patron j'étais une affaire en or, les clients venant souvent me réclamer. Je devais être la courtisane qui lui rapportait le plus d'argent, et par conséquent celle qui en gagnais le plus.


1 SEPTEMBRE 2007, NEW YORK



EN CONSTRUCTION


III. That thing I want to tell you

personnage inventé/scénarii/prédéfini ? Scénarii pseudonyme. Jude, LadyJu, je n'en ai pas vraiment. âge. 17 ans code du règlement. Et bien, il ne manque plus que le thème de Dracula, Prince des Ténèbres, et je crois qu'on pourra commencer. avis général à propos du forum. J'espère arriver à m'intégrer vite sur le fow ! En tout cas, le design et les contextes sont vraiment biens ! avatar utilisé. Charlize Theron


Dernière édition par Ada Z. Reed le 12/12/2012, 21:45, édité 14 fois
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MessageSujet: Re: Ada Z. Reed の Let the dead dance [en cours]   Ada Z. Reed の Let the dead dance [en cours] Icon_minitime2/12/2012, 21:23

Lucian ne mérite vraiment pas autant de gâteries, mais puisque je trouve ce scenarii pour le moins séduisant/intéressant, je vais me permettre une galanterie hors normes, et vous souhaiter la bienvenue, dame de fer. daddyperv
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MessageSujet: Re: Ada Z. Reed の Let the dead dance [en cours]   Ada Z. Reed の Let the dead dance [en cours] Icon_minitime2/12/2012, 21:42

Bienvenue parmi nous :dédé:
Bon courage pour la suite de ta fiche ! ^^
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MessageSujet: Re: Ada Z. Reed の Let the dead dance [en cours]   Ada Z. Reed の Let the dead dance [en cours] Icon_minitime2/12/2012, 22:46

Lucian est un pauvre type =D Il vaut pas un clou, m'arrive pas à la cheville, mais bon...Il faut bien qu'il ai un ou deux atouts, sinon c'est trop déséquilibré Rolling Eyes
Bienvenue parmi nous!
Bonne chance pour ta fiche suce
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MessageSujet: Re: Ada Z. Reed の Let the dead dance [en cours]   Ada Z. Reed の Let the dead dance [en cours] Icon_minitime2/12/2012, 23:14

Bienvenue madame " Je réveille les morts avec mon physique à tomber par terre " :69:
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MessageSujet: Re: Ada Z. Reed の Let the dead dance [en cours]   Ada Z. Reed の Let the dead dance [en cours] Icon_minitime2/12/2012, 23:17

Merci pour vos bienvenus et encouragements ! heart
(même si cela vient de certains qui n'ont pas l'air d'apprécier Lucian...) arrow

Noah : Pouahah j'adore !! Laughing Et je suis tout à fait d'accord.
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MessageSujet: Re: Ada Z. Reed の Let the dead dance [en cours]   Ada Z. Reed の Let the dead dance [en cours] Icon_minitime2/12/2012, 23:25

Tant mieux si ça e plait au plaisir d'avoir un lien de la mort ( aha) avec toi !
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MessageSujet: Re: Ada Z. Reed の Let the dead dance [en cours]   Ada Z. Reed の Let the dead dance [en cours] Icon_minitime3/12/2012, 00:24

O___O
Superbe choix d'avatar pour un tel scenar ! J'adhère et j'approuve totalement.
Bonne continuation pour la fiche. vraiment hâte de voir ce que ça va donner. nimuqueuse
j'aime les garces yeah
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MessageSujet: Re: Ada Z. Reed の Let the dead dance [en cours]   Ada Z. Reed の Let the dead dance [en cours] Icon_minitime3/12/2012, 00:55

Elle pas l'air commode, la madame OO

Bienvenue coucou
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MessageSujet: Re: Ada Z. Reed の Let the dead dance [en cours]   Ada Z. Reed の Let the dead dance [en cours] Icon_minitime3/12/2012, 02:04

C'est parce qu'elle ne l'est pas Mini-Dard, méfie toi.
Bref bienvenue, forcément c'est une excellent choix de scénario et bon courage dans ta petite rédaction =)
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MessageSujet: Re: Ada Z. Reed の Let the dead dance [en cours]   Ada Z. Reed の Let the dead dance [en cours] Icon_minitime3/12/2012, 02:39

Non mais... qu'entend-je? *chope toto pour frapper Alek avec*

Bienvenue ma belle heart
Bon courage pour ta fiche.
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MessageSujet: Re: Ada Z. Reed の Let the dead dance [en cours]   Ada Z. Reed の Let the dead dance [en cours] Icon_minitime3/12/2012, 08:44

Bienvenue Madame =)
Bon courage pour la fichette ^^
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Laughlin S. Valentine
 
BIATCH PLEAZ'

HABILITIES : Mémoire décuplée ~ Arme psychique ~ Invocatrice
OFFICE : Institutrice maternelle // Accepte de faire pas mal de choses pour quelques billets verts ...
SERENADE : I'm a bitch ~ Alanis Morisette

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INFORMATIONS CONFIDENTIELLES
SOBRIQUET : Sac à doala
MISSIVES : 1996
ACTE DE PROPRIETE : As' ♥ ~ Mish' ♥²

I wanna feel passion. I wanna feel pain. Don't make me laugh. Or don't make me cry. Just make me feel. Alive.
 
Laughlin S. Valentine
MARRAINE ; Grande prêtresse du harcèlement par MP & du détournement publicitaire sauvage


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MessageSujet: Re: Ada Z. Reed の Let the dead dance [en cours]   Ada Z. Reed の Let the dead dance [en cours] Icon_minitime3/12/2012, 09:27

Nimue Schimmel a écrit:

j'aime les garces yeah

++

yeah

~ Je signe la pétition "I'm in love et j'assume" coucou

Bon amusement pour la fichenette :05:
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MessageSujet: Re: Ada Z. Reed の Let the dead dance [en cours]   Ada Z. Reed の Let the dead dance [en cours] Icon_minitime3/12/2012, 19:20

Quel accueil !! Merci tout le monde, je sens que ma fichette va être looongue à faire !


Noah : Rencontre avec l'autorité... Je t'attends sur ma future fiche ! daddyperv

Nimue : C'est bon de jouer les garces. La célébrité a été parfaitement choisie, oui ! ♥️

Grayson & Lyam : En effet, pas tout à fait commode... beccy

Laughlin : J'aurais été une toute autre personne dans une toute autre vie, je t'aurais peut être dit que tu es trooop mimi.... Mais présentement je n'en pense pas un mot. arrow ♥️
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MessageSujet: Re: Ada Z. Reed の Let the dead dance [en cours]   Ada Z. Reed の Let the dead dance [en cours] Icon_minitime3/12/2012, 19:39

Bienvenue ma chère :)

Bonne chance avec la fichette
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MessageSujet: Re: Ada Z. Reed の Let the dead dance [en cours]   Ada Z. Reed の Let the dead dance [en cours] Icon_minitime4/12/2012, 07:23

Bonjour mademoiselle, vous venez souvent par ici? Vous habitez encore chez vos parents? Tu travailles ou t'étudies?

...

Bon merde. Chez toi ou chez moi?

















Ah yes...Welcoooomeuuuh! yeah :dédé:
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MessageSujet: Re: Ada Z. Reed の Let the dead dance [en cours]   Ada Z. Reed の Let the dead dance [en cours] Icon_minitime4/12/2012, 13:22

*Pousse Gigi*

Madame,

*lui fait un baise main :54: *

Laissons donc ces rustres à leurs jeux de gueux et acceptez mon offre à dîner je vous prie.
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MessageSujet: Re: Ada Z. Reed の Let the dead dance [en cours]   Ada Z. Reed の Let the dead dance [en cours] Icon_minitime4/12/2012, 14:52

Vos bottes... elles ne sont pas un peu trop... hum grandes ?

Mais bienvenue quand même, hein :D
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MessageSujet: Re: Ada Z. Reed の Let the dead dance [en cours]   Ada Z. Reed の Let the dead dance [en cours] Icon_minitime4/12/2012, 15:15

bon courage pour ta fiche et bienvenue en ntre compagnie :)
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MessageSujet: Re: Ada Z. Reed の Let the dead dance [en cours]   Ada Z. Reed の Let the dead dance [en cours] Icon_minitime4/12/2012, 23:10

Julian : Tenteriez-vous de communiquer ? Personnellement, je perds mon temps.

Lyle : Un dîner ? Pourquoi s'embêter d'un dîner ?

Merci tout le moooooonde ! heart
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MessageSujet: Re: Ada Z. Reed の Let the dead dance [en cours]   Ada Z. Reed の Let the dead dance [en cours] Icon_minitime4/12/2012, 23:19

Parce qu'il faut savoir pendre le temps de savourer les choses pucelle
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MessageSujet: Re: Ada Z. Reed の Let the dead dance [en cours]   Ada Z. Reed の Let the dead dance [en cours] Icon_minitime5/12/2012, 06:51

Justement. Le luxe, c''est d'avoir du temps à perdre cocotte. Ce sont les looseurs qui sont toujours stressés et qui le perdent. Cool
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MessageSujet: Re: Ada Z. Reed の Let the dead dance [en cours]   Ada Z. Reed の Let the dead dance [en cours] Icon_minitime5/12/2012, 11:36

Lyle : Si je m'ennuie, je m'en vais. Vous êtes prévenu.

Julian : Allez donc jouer ailleurs...
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MessageSujet: Re: Ada Z. Reed の Let the dead dance [en cours]   Ada Z. Reed の Let the dead dance [en cours] Icon_minitime5/12/2012, 12:38

*s'installe impudemment sur le canapé, prend ses aises, et attend de voir la suite des évènements*
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MessageSujet: Re: Ada Z. Reed の Let the dead dance [en cours]   Ada Z. Reed の Let the dead dance [en cours] Icon_minitime6/12/2012, 12:09



/s'installe à côté de Toto

Elle me plaît elle, elle sait comment traiter un Gigi :11:



Bienvenue :dédé:
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MessageSujet: Re: Ada Z. Reed の Let the dead dance [en cours]   Ada Z. Reed の Let the dead dance [en cours] Icon_minitime

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