Clarysse, une petite anglaise sans histoire qui n'était pas comme toutes les jeunes filles. A voir ce qu'elle ne devait pas voir, ne sachant s'amuser comme les autres enfants si innocents... C'est l'histoire d'une petite fille sachant trop tôt la cruauté de ce monde. Loin derrière elle les histoires de contes de fées ou d'homme déguisé en rouge déposant des cadeaux au pied du sapin. Clarysse n'a pas eu une enfance des plus heureuses. Incomprise par sa famille, vue comme une adulte à cause de cette intelligence qui fut plus un handicape qu'un atout. Déjà hors normes, la petite lisait du Sherlock Holmes ou les aventures d'Hercule Poirot pendant que les autres enfants lisaient les frères Grimm. La petite fille ne semblait heureuse qu'avec ses ''amis imaginaires'', mais étaient-ils si imaginaires que ça ? Très tôt, la mère de cette enfant comprit que le gène familiale avait fait encore une victime. La victime c'était Clarysse, sa mère voyait ça comme une malédiction familiale. Comment expliquer à un enfant ce qu'est la mort, alors qu'elle devient à peine de comprendre ce que signifie la vie ? Pourquoi certaines personnes que les autres ne voyaient lui racontaient des choses horribles sur ce qu'ils avaient vécu ? L'ayant elle-même rejetée ce don durant son adolescence, cette mère voulait que sa fille fasse de même. Mais même en grandissant, la petite devenue un peu plus grande aimait encore voir les seules personnes qui la comprenaient. Clarysse était une petite fille discrète, voir bizarre pour son entourage ou les élèves de sa classe. Le fait que ses parents acceptèrent qu'elle ne saute pas une, mais deux classes, n'arrangeait pas les choses...Vue comme la fille à ne pas approcher, comme la rejetée ou la tête d'ampoule, elle n'a eu que très peu d'amis. Cette rigidité dans cette éducation où les mots d'ordres ne sont que l'excellence et froideur, explique bien certains traits de caractères de Clarysse. Mais une personne illuminait sa vie et réchauffait son coeur, sa grand-mère. Sa grand-mère qui elle était fière de ce cadeau de la nature, de ce pouvoir qui pouvait aider les âmes en peines. C'est d'ailleurs elle qui comprit que la petite fille ne parlait pas avec un simple ami sorti de sa pensée, mais belle et bien d'outre tombe. Elle lui enseigna tout ce qu'elle devait savoir malgré le refus de sa mère. Pourquoi empêcher cette jolie fleure à être ce qu'elle devait être, un médium.

Lors de ses seize printemps, sa vie prit un nouveau tournant. Fraîchement diplômée du lycée avec deux ans d’avances, elle fit son entrée dans la meilleure école de médecine de Londres. Pourquoi médecine vous allez me demander, C’est simple, les parents de la belle étaient des chirurgiens renommés en Angleterre. Alors, nous allons dire que le choix était fait d’avance pour elle. Mais ce n’est pas ça qui marqua sa vie à jamais. L’être qu’elle aimait le plus au monde venait de disparaître. Sa grand-mère comme toutes les grands-mères n’étaient pas immortels et partaient dans la logique des choses avant leur petite fille. Clarysse mettra énormément de temps à se remettre de cette disparition. Elle espérait qu’une chose, qu’elle devienne sa nouvelle amie venu d’outre tombe. Mais tout bon médium qui se respecte ne doit-il pas savoir que seules les âmes ayant une tâche inachevée reste sur terre ? Grand’ma devait certainement avoir fini ce qu’elle devait faire dans cette vie.

Comme vous vous en doutez, les études de cette chère demoiselle allait au-delà de l’excellence et sa socialisation toujours aussi absente. Alors pas besoin de s'étendre sur le sujet. Ce qui est à retenir dans ce monde barbare et étrange qu’était l’université pour elle, c’est la découverte des morts au sens cadavérique de la chose. Clarysse avait pour le moment l’habitude de communiquer avec eux, mais pas de les découper. L’un des exercices pratiques étaient de disséquer des corps pour mieux comprendre son anatomie ainsi que son fonctionnement. Assez macabre comme exercice serte, mais elle aimait cela. La jeune fille discrète avait l’air d’avoir enfin trouver sa place dans cette école, aux côtés des morts une fois de plus.

En revanche, l'internat auprès des patients ''vivants'', n'était pas une partie de plaisir. Ne parlons pas non plus du contacte avec la famille qui était pour elle une réelle angoisse. Les pleurs, les cris et autres sentiments, Clarysse ne savait pas comment réagir et la mettait très mal à l'aise. Elle ne sait même gérer ses émotions, alors celles des autres... Elle aimait un seul endroit, la morgue. Cet endroit calme, froid où parfois un esprit venait la voir. D'ailleurs un de ses rare ami travaillait en tant que médecin légiste. Un homme assez âgé qui aimait expliquer en long et en large ce métier captivant à sa jeune élève. Clarysse avait trouvé enfin quelqu'un comme elle qui aimait la compagnie des morts.

Une nouvelle page se tourne, la petite Clarysse est devenue une femme et une femme diplômée ! Son bout de papier dans la poche, elle n'avait envie que d'une chose, partir loin de ses parents. Ses parents qui n'acceptaient pas que leur fille ne soit qu'une légiste ! Vous vous en doutez, une étudiante de ce genre la ne passa pas inaperçue. Très vite, elle eut une offre d'emploie, mais aux Etats-Unis et dans la criminalité ! Mais pourquoi aussi loin ? Elle s'en fichait ça lui convenait totalement et les enquêtes, l' admiratrice du détective de Baker Street et celui à la moustache était ravie de disséquer pour des enquêtes. Plus rien ne la retenait dans ce pays. Oui, car la petite Clarysse n'avait jamais connue le grand amour, voir l'amour tout court. Ce sentiment qui nous fais chavirer ! Clarysse est de glace et personne n'a réussi à la faire fondre... Alors il ne reste qu'une seule chose à dire....WELCOME SHREVEPORT ?
C'est où ça déjà ?

Il était deux heures du matin. Clarysse était encore et sûrement la dernière à son travail. Ses lunettes sur le bout de son nez, la jeune légiste était sur le point de résoudre son affaire. Elle observait la plaie se trouvant sur la gorge de la victime. « Pauvre femme, tu n’avais certainement pas demandé de finir comme ça ! » Clarysse n’était pas du genre bavarde, mais elle aimait parler avec les morts même ceux qui ne lui répondaient pas. Elle aimait passer des heures dans sa pièce. Oui il s’agit bien de SA pièce ! Cette salle froide et si sombre était son jardin secret. Serte un peu lugubre, mais c’était le seul endroit où elle se sentait bien. Même son petit appartement n’avait cet effet la.

Ce meurtre obsédait la jeune femme. Plus tôt dans la journée, ce corps a été déposé dans son laboratoire. Elle n'était pas censée travailler ce jeudi, mais dans ce travail, les congés ne sont qu'utopies. Mais ça ne dérangeait pas la médium loin de là. Elle ne vivait que pour une chose, son métier. Au moment où elle fut réveillée par un appel d'urgence par son équipe, elle sauta dans un jean et enfila un gros pull pour rejoindre au plus vite ses coéquipiers qui étaient déjà dans son laboratoire avec le corps. Elle se précipita pour deux raisons. Parce qu'elle était pressée de les rejoindre afin de résoudre cette nouvelle enquête et surtout, elle avait peur que son équipe mette le bazar dans son antre.

En arrivant, elle semblait avoir couru un marathon et enfila essoufflé sa blouse. Ils étaient tous là dans la pièce. Clarysse n'aimait pas ce moment, où tout le monde la regardait examiner les corps des victimes en attendant qu'elle leur explique la cause du décès ou encore les différents indices qu'elle aurait pu découvrir. En touchant à peine le corps, la médium eu un flash ou plutôt une sorte d'impression. La légiste sentit une horrible douleur au cou. En découvrant la victime elle comprit directement. La pauvre femme avait la tête séparée du reste de son corps. La vision était fascinante pour Clarysse. Ce sourire qui se figea sur le visage de notre jeune médecin mis mal à l'aise le reste de son équipe. Il savait que la petite nouvelle était un peu étrange, mais surtout très douée et parfois sur sa planète. Elle avait beau ressembler à un ange, cet ange déchu aimait plus côtoyer les morts que les êtres vivants.


« C'est un lycanthrope, c'est certain ! Je ne vois pas d'autre explication. » Géralde avait l'art et la manière de trouver n'importe quelle excuse ou indice pour accuser un loup-garou. Cela avait le don d'énerver la jeune Clarysse. « La croyance en une origine surnaturelle du mal n'est pas nécessaire, les hommes sont à eux seuls capables des pires atrocités ..» Après ces bonnes paroles de la légiste, l'ambiance déjà macabre, fut encore plus glaciale. La belle, avait l'art et la manière de vous faire taire avec une simple réplique. C'est vrai qu'elle n'était pas du genre à faire de grands discours. Elle ne comprenait pas cette haine envers cette espèce. Clarysse ne voyait pas pourquoi ils seraient plus mauvais que les autres. A travers son métier, elle avait vu les plus horribles atrocités bien avant de savoir que les lycanthropes existaient.

Elle se sentait aussi concerné par le problème. Clarysse n'avait pas des poils qui poussaient au clair de lune, mais elle avait aussi certaines...spécialités. Cela était-il un problème de physique ? Elle savait bien que non. Le problème, c'était surtout leurs capacités sur-humaines, mais la légiste en avait bien elle aussi. Cette histoire l'avait persuadé d'une chose, en parler le moins possible. « Tu peux nous dire et surtout nous prouver que ce n'est pas un des c"est chiens galeux qui a fait cela à cette pauvre femme ? » Clarysse regarda son coéquipier et voyait que son aura était loin d'être blanche. « Je vous promets de me pencher sur la question... » En à rien de temps Clarysse se mis dos aux autres afin de leur faire comprendre qu'il était temps pour eux de la laisser tranquille. Ils avaient l'habitude, Clarysse n'aimait pas que l'on s'éternise dans son labo.

Elle était toujours là. Les heures passèrent, mais la jeune femme était une infatigable insomniaque. Il était quatre heures du matin. Elle en était certaine, ce n'était pas un lycanthrope qui avait fait ce meurtre et elle avait assez de preuves pour fermer le bec de ce vrai chien galeux de Gérald. Clarysse avait bien conscience que les loups et les vampires étaient loin d'être des espèces sans défense, mais elle n'aimait faire de généralité. Sinon, ça fait longtemps que nous aurions dû créer un vaccin contre l' espèce humaine.

Elle trouva aucune griffure sur le corps, pas la moindre petite entaille. De plus, la gorge avait été tranchée d'une manière si chirurgicale que le loup se saurait donner bien du mal. De plus, la lividité cadavérique avait prouvé que la mort remontait à la matinée de mercredi dernier. Il était rare que les loups tuaient pour le petit déjeuner. Mais surtout, elle avait trouvé un cheveu. Un cheveu ne venant pas de la victime. Elle attendait qu'une chose, le résultat du laboratoire scientifique.

« Nous avons vos résultats d'ADN melle Rosenberg ! » Il était six heures et la jeune femme commença quand même à s'assoupir sur son bureau. « Heu...oui, merci ! » Clarysse vit après avoir répondu qu'une feuille était collée sur son front. En enlevant la feuille elle prit les résultats de l'experte. Elle ouvrit l'enveloppe à toute vitesse. Un sourire s'éclaira sur son visage, elle avait raison. Il ne s'agissait pas d'un homme-loup, mais belle et bien d'un simple homme. Le meurtrier était d'ailleurs connu de la police.

« Alors, avez-vous trouvez notre homme ou bien notre...chien ? » Clarysse regarda l'homme avec le regard le plus sombre qu'elle pouvait avoir. Gérald arrêta aussitôt de sourire bêtement de sa mauvaise blague. « J'ai votre ''homme'', monsieur Jhonson ! Il s'agit de Rupert Anderson, sorti de prison il y a trois mois. » Elle lança le résultat à son coéquipier. Celui-ci resta de glace face à cette réponse et surtout par l'impudence que montrait pour la première fois Clarysse. « Et oui, l'homme est une espèce qui connaît bien l'art de tuer même si cela va contre l'humanité elle même... » L'étrange et si discrète jeune femme pouvait parfois se montrer courageuse et vaincre cette timidité ainsi que cette retenue qui l'empêche parfois de dire ce qu'elle pense. Elle prit son manteau et parti prendre un café avant de se remettre à la tâche, vous ne pensiez quand même pas qu'elle allait rentrer chez elle ?

Comme vous l'avez certainement compris, elle ne montre que peu d'attache à sa famille. En réalité, c'est tout l'inverse. La seule personne qu'elle aimait plus que tout est partie pour un monde sûrement bien meilleure que le notre...

➽ personnage inventé/scénarii/prédéfini ? inventé ➽ pseudonyme. Rosamé ➽ âge. 22 ans ➽ code du règlement. Et bien, il ne manque plus que le thème musical de Dracula, Prince des ténèbres, et je crois qu’on pourra commencer. ➽ avis général à propos du forum. ENFIN un réel forum RPG sur des vrais suceurs de sang ou loups et non à la Twilight !! Même si j'aime bien cette saga x) ! Forum qui a vachement de potentiel très bien structuré et qui met en place des rubriques qui vous aident à créer des personnages de folies ! Même si je n'ai pas encore eu le temps de vraiment discuter avec vous, (partiels obligent) il y a l'air d'avoir une super bonne ambiance et des joueurs motivés ! Alors...WHAT ELSE ??? ! ➽ avatar utilisé. astrid berges-frisbey