SIGNALEMENT : Batard dégénéré destructeur d'innocence. HABILITIES : Nécromancie, traditions gitanes, vagabonds sujet à la possession. OFFICE : Nécromant, il a une petite clientèle et ne désire pas plus. Arrondis ses fins de mois en jouant au faussaire d'artéfacte et de grimoires. Il vent également son sang sur le marché noir. SERENADE : ULVER - Darling didn't we kill you? | Hellraiser main theme
INFORMATIONS CONFIDENTIELLES
SOBRIQUET : Eden Memories MISSIVES : 1920 ACTE DE PROPRIETE : Twixnfun; tumblr
Niklaus L. Bălan
FONDA Ϟ Pervers malsain psychotique.
Black Moon JE SUIS: CAPACITES: MEDISANCES:
Sujet: SCHIZOFRENIA IS COOL MY DEAR FRIEND [terminée] 10/1/2013, 22:31
➽ date et lieu de naissance. 1982, à Londres. ➽ nationalité. Anglais d’origine. ➽ camp. Roman a son propre camp, c’est le sien qu’il suit aveuglément, bien ou mal, tout cela n’est qu’une question de point vue, lui s’estime au-dessus de tout cela. ➽ classification. Dangereux, comme tous les membres de sa lignée il est considéré comme de la mauvaise graine mais la Blanche Confrérie a heureusement d’autres chat à fouetter. ➽ état civil. Célibataire, il a bien faillit se marier mais l’histoire s’est finit très brusquement, mettant fin à tout désir de sa part d’un jour se caser. ➽ lieu d'habitation. Les marécages, dès qu’il a vu cette petite cabane en bois au milieu des marécages, pas loin du camp gitan des métamorphes, il a aussitôt craqué. ➽ métier. Difficile pour lui de choisir un emploi, il aurait pu devenir un nécromancien payé mais c’est son éducation qui l’en empêche, par conséquent il a tout simplement cherché un emploi tout à fait ordinaire en fonction de ses connaissances, n’ayant pas le moindre diplôme, il s’est donc résolu à un petit boulot en attendant de trouver mieux. ➽ étiquette qui vous est collée. Cocktail de névroses plus ou moins importante, véritable cas psychiatrique, le bonhomme a pourtant l’air de rien. Avec sa gueule d’ange, on lui donnerait le bon dieu sans confession. Impossible de savoir d’ailleurs ce qu’il pense, tant il est capable de poser sur son visage un masque agréable.
I. I want to know who you are
traits de caractère.
Roman est quelqu’un d’assez complexe. C’est sans doute peu dire pour qualifier la personnalité divisée du bonhomme. Au début, il n’était qu’un. Un seul être, faible, plus fragile que son jumeau, timide et effacé, quelqu’un de très intelligent mais souffrant d’un vif sentiment d’infériorité, et sans le savoir d’un désir d’impuissance. Il contemplait son frère jumeau avec un mélange d’envie et de fascination. Zila, son frère était plus rapide, plus beau, plus intelligent. Aux yeux névrosés de Roman, son frère était meilleur en tout, à un tel point qu’il lui était difficile de percevoir en lui-même autre chose que des défauts. Bien sûr, il était apprécié mais ne le voyait pas, il avait ce sentiment d’infériorité sans cesse qui revenait. Et plus il grandissait plus les choses empiraient. A un moment ils furent deux. Difficile de préciser exactement quand, mais une voix commença à se manifester dans la tête de Roman, une voix néfaste, mauvaise, qui semblait vouloir du mal à tout le monde. Bien sûr, Roman avait très peur de cette voix et refusa de l’écouter durant des années jusqu’à ce qu’un jour elle se manifeste complètement et parfaitement. Il était alors rongé par la jalousie, l’envie, et la colère, l’incompréhension et la rage, et il a cédé à la voix. C’est alors qu’il a découvert l’existence de cette seconde personnalité bien plus vile mais plus puissante, aspirant au chaos, désirant se baiger dans le sang et les viscères, n’attachant aucune importance au reste. Cette personnalité aussi effrayante soit-elle cristallisait un besoin de puissance. Puis ils furent trois. Après qu’il eut tué son frère jumeau, sous l’impulsion de la personnalité la plus noir, se développa une troisième personnalité qu’il appela Zila. Elle ressemblait à son frère jumeau, mais ce n’était pas vraiment lui. Même s’il a eu l’impression à un moment d’être possédé par l’esprit de son jumeau, ce n’est pas le cas. Il a simplement rempli le vide qu’il a créer, remplacer ce qui manquait. Le problème c’est que les trois personnalités s’affrontant au rythme de ses regrets et combats intérieurs manqua de le plonger dans la folie complète. Du chaos nait l’anarchie. Finalement, ils furent un et trois à la fois. Tout cela est assez complexe à expliquer, mais les trois personnalités se sont mêlées ensemble. Le passage d’une dominante à une autre laisserait plus penser à des sautes d’humeur. Parfois il est charmeur et sait précisément ce qu’il veut, directif, appliqué mais pas sans défaut, d’autres fois il est comme étrange, soudainement il devient asocial, s’enferme dans sa bulle et son silence, adoptant une attitude des plus inquiétantes. Et parfois, il y a juste une insondable obscurité, un désir de tuer, de déchirer, de détruire et de punir, et le reste n’a plus aucune importance.
Comme si cela n’était pas suffisamment compliqué, Roman depuis tout petit a des souvenirs ne lui appartenant pas. Il voit des choses qui semblent appartenir à la vie de quelqu’un d’autre. Il a des visions d’un puissant nécromant marqué à un vampire russe, qui connaît la toute puissance avant que son maître ne soit tué. Les visions et souvenirs s’arrêtent à là, il ne connaît pas la suite mais il a toujours voulu comprendre qui c’était. Avec le temps, c’est devenu une partie de lui-même.
occupation nocturne.
Difficile pour lui qui a été élevé par les gitans dans le secret de son don de l’utiliser pour gagner de l’argent. A ses yeux d’ailleurs il est vulgaire d’afficher ainsi ses dons à la vue de tous, pire encore de soustraire de l’argent aux humains en usant de ses dons de nécromancie. C’est d’une toute autre manière qu’il rempli son porte monnaie à vrai dire. En réalité, il enchaîne les petits boulots en tant qu’intérimaire, il peut se retrouver un jour à faire un déménagement et un autre à effectuer des livraisons. Il aime l’idée de ne pas dépendre d’un seul patron, de ne pas avoir de collègues, les clients qu’il peut croiser au cours de ses boulots ne sont que des numéros sur une fiche avec un entête, il aime la régularité mécanique de la chose. Il effectue ces boulots tel un robot, parfois quelqu’un qu’il va croiser va éveillé son intérêt, ou ses appétits, mais cela demeure assez rare. Le reste de son temps, il l’emploie soit à améliorer ses talents de nécromanciens ou à élargir son savoir en lisant mais aussi en testant. Il agit d’ailleurs avec une méthode très précise, il y a un petit cimetière non loin des marécages où il pense que la majeur partie des gens enterré ici pratiquaient la magie vaudou, que ce sont des anciens esclaves, il a donc pour manie de faire ses essais dans ce cimetière là, son but étant de se créer un zombie esclave à partir d’un ancien esclave, la plaisanterie l’amuse beaucoup naturellement. Il n’aime pas en revanche qu’on le perturbe pendant qu’il travaille sa magie, et a tendance à se montrer violent.
manie, habitudes & goût.
HABITUDES — Il dort assez peu. Pas qu’il n’aime pas dormir, bien que il ne soit jamais très à l’aise avec les rêves étant donné que les siens sont peuplés d’images sanglantes, mais c’est surtout que les boulots qu’il fait plus ses expériances devant se dérouler la nuit, il passe peu de temps à dormir, de toute façon le sommeil est à ses yeux inutile. — Il laisse la fenêtre ouverte lorsqu’il dors, même en plein hiver. — Il croit aux esprits, et ce sont sans doute les seuls êtres qu’il respecte. Pensant le monde des esprits est plus vaste encore que celui des vivants, il rêve d’ailleurs de pouvoir s’y projeté astralement. — Persuadé que la Lune a une influence névaste sur lui, il porte des lunettes de soleil les nuits de pleine lune, et refuse d’ailleurs de sortir de chez lui à ce moment là. — Il se shoot littéralement. Au début c'était des plantes, des petits joins qu'il consommait avec une pipe, et puis l'herbe n'a plus eut l'effet escompter, à savoir paralyser ses différentes personnalités et ses névroses, calmer les voix dans sa tête. Il a commencé à snifer mais n'a jamais réellement apprécier les drogues dites énergétique. Acide, champs, il a donné dans tout cela avant de taper dans l'opium qu'il peut mélanger à l'herbe. Et quand ça ne suffit par, il peut s'injecter une merde. La drogue est un palliatif, une manière de gérer ses crises, mais l'auto médication est plutôt mauvaise mère.
NE SUPPORTE PAS — Ayant des crises d’angoisse, des terreurs nocturnes et ces choses désagréables qui le prennent et le bloque complètement, il déteste que quelqu’un le voit dans cet état là. — Il déteste les gens qui font du bruit et ne montre aucun respect pour les autres, vous savez ces personnes qui parlent et rient très fort, qui sont exhubérantes et énervantes, en sont conscientes mais ne font rien pour y changer. Lorsqu’une personne comme cela l’énerve, il a tendance à mettre fin de manière violente à ses agissements insupportable. — Il déteste qu’on le dérange pendant qu’il effectue un rituel de réanimation. Evidemment le risque est grand pour lui à ce moment là s’il perd sa concentration, le zombie peut se retourner contre lui et le bouffer tout cru, cela lui est déjà arrivé il a des morsure au bras d’un accident, aussi il se montre très désagréable dans ces cas là.
APPRECIE BEAUCOUP. — Le silence, il aime le calme. C’est quelqu’un appréciant user de son cerveau en toute tranquilité. — Converser avec un esprit se montrant aussi intelligent que lui. — Les parties d’échec. — Ecouter de la musique classique le calme beaucoup et l’apaise. Il joue d’ailleurs du piano non sans un certain talent, mais il préfère jouer du jazz. — Il apprécie aussi grandement la peinture. Grand amateur d’art, il aime beaucoup passer du temps dans un musée mais aux heures où il n’y a jamais personne c’est pour cela qu’il affectionne les boulots de gardiens de nuit dans des musées. Il peint un peu mais s’estime peintre de piètre qualité. Il enrage d’ailleurs toujours de pas parvenir au résultat souhaité et finit par déchiré ses toiles dans des grands cris. — Il considère la nécromancie comme un art et se considère comme un grand artiste, mais depuis peu, il a découvert l’alchimie et se passionne pour cette discipline qu’il souhaiterait étudier un peu plus encore.
LES INSTANTS CRITIQUES — Il n'aime pas la foule, trop de monde et il se sent nerveux, nauséeux, jusqu'au moment où il manque d'exploser et où il doit se dépêcher de trouver un endroit totalement noir, où il peut s'isoler afin de se calmer et de s'apaiser. — Les engins à moteur lui pose problème. Imposez lui un voyage en voiture de plus d'une heure, c'est le meilleur moyen de le faire péter un câble. Curieusement, ça va plutôt bien avec les trains et les bateaux, mais les avions lui inspire une peur si grande qu'il prend des somnifères s'il doit prendre l'avion. — Impossible pour lui de dormir sur le canapé d'un ami, il lui faut absolument dormir chez lui. Si vous voulez vraiment le faire dormir chez vous, il vous faudra laver les draps juste devant ces yeux, et encore, pas sûr que ça marche. — Le pire ce sont les hôpitaux. En tant que nécromancien, il est aussi spirit, c'est à dire qu'il voit les esprits, et cela le rend sensible, en fait, dès qu'il sent la présence de plusieurs esprits il commence à se montrer très nerveux, voire il peut carrément se frapper, se blesser, se pincer, ou se labourer la peau avec les ongles, si cela perdure, il peut entrer en crise. LA CRISE. Instant vraiment très critique. Si vous tenez à votre peau, évitez de rester dans les parages. Généralement c'est la sortie de miser Hyde, une personnalité hyper violente, malsaine, perverse et sadique qui s'exprime que dans le sang et les larmes, d'ailleurs pas très porté sur les mots d'esprits. Mais ça peut être aussi un mélange de toutes ses personnalités, une perte totale du contrôle de son pouvoir, ce qui signifie généralement débarquement de zombies qu'il appelle bien malgré lui.
nécromancie & vaudou.
Chez les Balan on ne plaisante guère avec la nécromancie, un art délicat qui requiert énormément de concentration car contrairement à de la sorcelerie ordinaire, une erreur peut vous coûter très cher. Un oncle à Roman avait perdu un œil à cause d’un zombie qui l’avait attaqué, une partie de son corps était d’ailleurs marquée, constellée de morsures. Roman a d’ailleurs les siennes, son bras gauche est bouffé d’ailleurs car c’est celui là qu’il donne en pâture à ses zombies, convaincu que en leur offrant son sang il améliore le lien de domination qu’il a sur eux. Il cache ces cicatrices d’ailleurs. Tout ça pour dire qu’on a pas le droit à l’échec. Et Roman a eut une éducation très stricte. Pour lui la nécromancie est un art, et ne devrait pas être bradée comme le font ces entreprises qui proposent aux humains de s’offrir les services d’un réanimateur, nom qu’il déteste d’ailleurs.
Il s’y consacre entièrement à son art. Le vaudou est quelque chose qu’il a peu manipuler, car les siens étant des gitans n’ont que très peu de lien avec le vaudou, cette magie leur étant étrangère leur faisait peur. Il connaît bien plus de sort gitans d’ailleurs, comme le mauvais œil par exemple. Il sait pratiqué la voyance en lisant les lignes de la main ou ce genre de choses. Mais le vaudou l’intéresse énormément aussi il s’est plongé dans l’étude de cette magie afin de perfectionné ses talents de nécromancien. Il touche un peu à tout type de magie qui l’aidera à réaliser ses désirs, il a en effet quelques lubies comme de parvenir à attacher une âme à un zombie, ou empêcher un zombie de pourrir, ou encore de relever un vampire de plus de cinquante ans, chose qu’il n’a encore jamais tenté mais qu’il est persuadé de pouvoir réussir puisqu’il se voit le faire en rêve depuis ses douze ans.
conviction.
Il y a bien des choses qui l’agacent et qui l’énerve mais s’il y en a bien une qui le rend dingue c’est l’attitude des gens post-révélation. Primo, comment les humains peuvent-ils être stupide au point d’aduler les vampires qui ne sont ni plus ni moins qu’en train de la leur mettre bien profond, et d’un autre côté rejeté les lycans qui sont de pauvres petites choses, enfin disons qu’il apprécie plus les lycanthropes et métamorphes surtout depuis qu’il connaît l’existence du camp gitan de Micah. Il a envie de gerber quand il voit le quartier du District comme cette boîte de strip tease masculin ou les 7 pêchés capitaux, comment peut-on vendre ce genre de choses ? Il déteste la vulgarité du monde actuel, et préfère bien souvent le silence de ses marécages aux tumultes de la ville en pleine expansion.
signes particuliers.
Il a plusieurs tatouages, l’un complexe représente sa magie et sa lignée, le poids des traditions qu’il respecte, il est situé au creux de son poigné droit, un autre sur son dos représente les cornes d’un démon, c’est pour ce qu’il a fait à son frère. Mais ce qui marque le plus son corps et qu’il masque parfois, ce sont les traces de morsures et de griffures sur son bras gauche qui n’est plus qu’une chair en charpie puisqu’il offre son bras sans y réfléchir aux zombies qu’il relève.
III. That thing I want to tell you
➽ personnage inventé/scénarii/prédéfini ? inventé ➽ pseudonyme. Eden Memories ➽ âge. 25 balais ➽ code du règlement. fuck ➽ avis général à propos du forum. Hum j’en profite pour faire une petite mise au point donc. J’abandonne Valentin après de longues années de loyaux service mais il devenait compliqué de faire évolué encore plus ce personnage sans que cela ne devienne ridicule. Voici donc, une sorte de version 2.0 de Valentin. Un descendant de notre nécromant national qui en plus de souffrir de quelques petits soucis mentaux, est en quelque sorte « possédé » par son ancêtre… et oui Valentin n’a pas totalement disparu. ➽ avatar utilisé. Jim Sturgess
Dernière édition par Roman E. Z. Bălan le 17/10/2013, 22:55, édité 7 fois
DEAD LIKE ME
SIGNALEMENT : Batard dégénéré destructeur d'innocence. HABILITIES : Nécromancie, traditions gitanes, vagabonds sujet à la possession. OFFICE : Nécromant, il a une petite clientèle et ne désire pas plus. Arrondis ses fins de mois en jouant au faussaire d'artéfacte et de grimoires. Il vent également son sang sur le marché noir. SERENADE : ULVER - Darling didn't we kill you? | Hellraiser main theme
INFORMATIONS CONFIDENTIELLES
SOBRIQUET : Eden Memories MISSIVES : 1920 ACTE DE PROPRIETE : Twixnfun; tumblr
Niklaus L. Bălan
FONDA Ϟ Pervers malsain psychotique.
Black Moon JE SUIS: CAPACITES: MEDISANCES:
Sujet: Re: SCHIZOFRENIA IS COOL MY DEAR FRIEND [terminée] 10/1/2013, 22:32
« Zila ! Zila ! » criait maman en poussant un soupire. Zila bien sûr continua comme s’il n’entendait pas les cris de notre mère, et couru jusqu’aux limites du camp. Il stoppa alors, un pied juché sur la barrière en bois, la main tendue au-dessus prête à attraper la barrière, et il tourna la tête vers nous avec un air provocateur. « Je te préviens, si tu reviens pas tout de suite ! » gronda-t-elle de sa voix tonante. Moi j’aurais eu peur si maman m’avait menacé comme ça, mais pas Zila. Lui nous adressa un petit sourire que je cru destiné à moi plus qu’à maman, et il grimpa la barrière rapidement, d’un geste vif, il fut de l’autre côté en un battement de cil. Ensuite il éclata de rire, avec une expression qui disait « attrape-moi si tu le peux »[/color] avant de tourner les talons et courir au loin. Maman posa ses mains sur ses épaules en soupirant un peu plus d’exaspération et d’agacement : « Au moins, toi tu es gentil Roman. » Puis elle fit demi tour. Je l’entendis hurler le nom de papa dans tout le camp. Elle allait lui demander de ramener Zila, et papa allait comme toujours lui répondre qu’elle n ‘avait qu’à surveiller ce gosse. Ils se disputaient sans cesse à cause de Zila, pourtant, intimement, j’étais persuadé que malgré toutes les bêtises que commettait mon frère jumeau, il demeurait à jamais leur préféré.
Un hurlement s'échappa des lèvres ensanglantées. Du sang. De grosses gouttes rouges carmin s'écrasèrent au sol. Une quinte de toux les avait propulsé au sol à la vitesse de l'éclair. L'homme souffrait. Il aurait aimé qu'on mette fin à son supplice, qu'on l'achève ou qu'on le sauve. Dans sa tête il avait prié Dieu de lui venir en aide. Il regarda le monstre qui s'acharnait à lui transpercer le corps avec des bouts de métal brillant comme l'argent. Ce monstre qui regardait le sang comme si c'était la chose la plus précieuse au monde, cet homme au visage n'exprimant que le sadisme qui de son doigt fin et froid récupéra une goutte de sang et le lécha. L'homme ou la victime, qu'importe, ça revenait au même, leva les yeux vers ce jeune homme au visage parfait, dénué de toute expression, qui le regardait comme s'il était une poussière sur le bout de sa chaussure vernie. Dans son regard lassé et meurtris, il y avait toute la misère du monde. Mais le jeune homme au visage parfait, à l'allure élégante, n'eut aucune pitié pour lui. Il détourna le regard lorsque l'homme hurla: « pitié, sauvez moi! »[/color]
Je m’éveillais en sursaut. La sueur coulait sur mon front alors que la roulotte demeurait plongée dans le noir. Encore l’un de ces rêves horribles qui venaient me hanter certaines nuits. J’ai peur, comme toujours, mais je n’hurle pas. Si je le faisais, je réveillerais Zila, peloté contre moi, maman et papa dormant sur l’autre lit, et sans doute grand mère. J’ai toujours fait des cauchemars et il n’est pas rare que je réveille tout le monde en hurlant de terreur, mais depuis cette année maman me dit que je suis trop grand pour ça, et que je devrais arrêter de hurler comme ça à chaque nuit. C’est pas vrai, j’hurle pas à chaque nuit. Mais si je le faisais, oui, papa se fâcherait. Quand il hurle, il me fait très peur. Mon papa est grand, le genre de type pas commode comme dit grand mère, mais il inspire confiance parce que c’est un homme bon. C’est grand mère qui dit ça avec un sourire aux lèvres. Je sais pas ce que cela veut dire, mais mon papa est très aimé dans le camp. Quand il cri, il fait peur à tout le monde. Même Zila se bouche les oreilles, pourtant Zila il a peur de rien. Alors, j’empoigne la couverture que je serre. Elle est toute douce, et elle sent grand mère. J’hume son parfum ça me rassure. Zila pousse un léger soupire dans son sommeil. J’écoute le son des respirations, j’observe les lueurs des feux autour du camp, cela me rassure et me fait vite oublier mon mauvais rêve. Finalement, le glisse doucement dans le lit, m’enfonce dans les draps et m’endors bien vite.
J’ai hurlé sans m’arrêté au moins dix bonnes minutes avant que le souffle ne me manque. Là devant moi, piaffant, Jules se tenait devant moi. Jules, notre chat, mort depuis trois jours, se tenait devant moi, le poil du moins ce qu’il en restait hérissé, le dos rond, montrant ses dents, il lui manquait d’ailleurs une canine. J’ai jamais eu aussi peur de ma vie. Enfin si peut-être la première fois que j’ai vu un esprit. J’avais quatre ou cinq ans, je marchait encore un peu maladroitement, je bafouillais plus que je ne parlais, et il y avait cette dame qui se tenait dans le séjour. Je m’avançais vers elle, joyeux, parce qu’elle me semblait très belle et très douce, et il y avait quelque chose d’infiniment triste en elle. Une porte a claquée, mon frère jumeau est entré. Zila m’a demandé pourquoi je venais pas jouer dehors. Quand je lui est répondu que je voulais aller voir la dame, il m’a demandé quelle dame. Evidemment, en tournant la tête, je réalisais qu’elle n’était plus là. J’étais encore jeune mais je compris qu’elle n’avait pu réellement s’en aller sans que nous nous en appercevions dans cette minuscule roulotte qu’on avait alors à l’époque. Zila s’était moqué de moi. Mais je me souvenais des histoires que grand mère nous racontait, les esprits, les fantômes, que notre famille pouvait percevoir, du lien avec les morts que nous possédions et même son histoire terrifiante à propos des morts que nous relevions. Ca je n’y croyais pas ! Pourtant, je devais changer d’avis. J’hurlais donc à m’époumoner lorsque la porte s’ouvrit. Ma mère apparue, son visage reflétait de la colère, mais lorsqu’elle posa les yeux sur la créature de l’enfer qui m’observait, elle changea totalement d’expression. Avec un manifeste dégoût elle s’empara de la bestiole, en ne disant rien, puis elle revint et se pencha vers moi en me caressant les cheveux. « Je suis fière de toi. » fit-elle avec un immense sourire. « Nous allons dire à grand’ma que tu as relevé Jules. » Je tournais vers elle des yeux pleins de terreur et d’incompréhension. De quoi parlait-elle ? Quelques minutes plus tard, nous étions Zila et moi assis l’un à côté de l’autre devant grand mère qui nous regardait avec un sourire plein de fierté. Elle nous expliqua ce que nous étions, nous tous, toute la famille, voire une bonne partie du camp, des nécromanciens. Notre nature répugnant les humains et même les sorciers, nous devions cacher nos capacités, et cependant certains seront capables de nous reconnaître et voudrons utiliser nos dons, nous devrons sans cesse nous méfier et demeurer toujours avec les nôtres. Notre famille avait ses rituels, cela nous devrions l’apprendre plus tard. Je n’avais naturellement aucun souvenir d’avoir appelé notre chat. Zila lui affirma qu’il savait que le chat allait revenir, il disait qu’il avait vu Jules revenir en rêve, et qu’il l’avait voulu. Maman et Papa l’entourèrent alors, et le félicitèrent. Je fus cruellement déçu et jaloux. Soudainement Zila occupait toute l’attention, on le traita comme un prince et je n’eus droit qu’à un petit mot de consolation de grand mère qui avait bien compris que j’étais un peu jaloux. Elle me dit que moi aussi mes pouvoirs se manifesteront.
Nous commençâmes alors notre apprentissage. Les nuits, et j’en étais bien heureux car dormir m’indisposait, je craignais toujours de refaire ce rêve avec les tâches de sang et l’homme mourrant qui me suppliait alors que je ne faisais rien pour l’aider, je détestais le sentiment de cruauté et de sadisme qui remplissait alors mon être. C’était les nuits que nous nous entraînions. Zila était celui qui avait le plus à faire, car ses dons s’étaient manifestés. Grand mère disait que nous devions user de nos dons régulièrement si nous ne voulions pas relever des morts sans le vouloir. La plupart du temps, c’était lui qui se tenait devant une tombe fraîche, trois jours après la mort, et qui mettait ses mains dans la terre. J’aidais Grand-mère à disposé le sang en cercle, à verser le reste du sang du poulet dans un bol, qui lui donnait les petits os que nous disposions aussi dans le cercle. Zila lui faisait le plus dur selon grand-mère. Et moi je restais debout en arrière à observer. Les premières fois, j’hurlais de peur devant le zombie. Imaginez un peu, à 8ans, vous tenir devant un mort se décomposant sous votre nez, avec cette odeur affreuse. Bien sûr que j’étais terrifié ! Je suis parti bien des fois en hurlant de terreur. Zila se moquait de moi quand il revenait pour se coucher. Il disait que j’étais un petit trouillard. Même quand il s’agissait de petits rituels vaudous qui n’avaient rien à voir avec la réanimation, Zila me dépassait, il était plus audacieux, plus malin, plus ambitieux aussi. Il me dépassait en tout, il était plus fort en tout, et moi je l’observais avec envie et frustration. Ces apprentissages s’avéraient en réalité plus douloureux qu’autre chose, car je voyais mon frère jumeau maîtrisé de plus en plus son don qui semblait inné alors que moi j’attendais désespérément que mes dons se manifestent.
La neige s’accumulait, mais je n’avais pas froid. Les taches de sang s’agrandissaient sur le sol blanc, mais je n’avais pas peur. Je plongeais mes mains dans une chair chaude et gélatineuse, je prenais ce cœur palpitant entre mes mains. Je ressentais la vie. Et je l’insufflais. La créature enfermée dans son cercueil m’attendais. De la vapeur s’échappait de mes lèvres qui plasmodiaient la même ritournelle. Jamais je ne m’étais senti aussi puissant. Une voix dans ma tête résonnait. J’étais un maître vaudou, et la créature qui se relevait, s’avançait vers moi, c’était un vampire.
J’ouvrais mes yeux doucement. Pour une fois, je n’éprouvais pas de peur, je n’hurlais pas, j’ouvrais mes yeux et je fixait avec fermeté l’intérieur de la roulette plongée dans l’obscurité. Je me levais doucement, sans faire un bruit, et je me glissais à l’extérieur. Mes pas me dirigèrent vers le poulailler. Sans aucune crainte, ni aucun doute, je saisissait une poule sans même scier et je me dirigeais vers la sortie du camp. Le cimetière était situé à deux kilomètres, que je franchis en peu de temps, sans même m’en rendre compte, c’est comme si mes pas étaient guidés par une volonté extérieure à la mienne. Arrivé devant la tombe en question, je m’agenouillais en plongeant mes mains dans la terre. La poule piaffait comme une folle dans sa petite cage. Je ne m’en souciais pas. Je respirait profondément en cherchant le corps en dessous. Ce n’était pas une tombe fraîche, elle était plus ancienne, mais c’était comme si j’avais toujours su que j’en étais capable. J’inspirait et plaçais toute ma volonté dans ce corps tout frippé. Je senti le corps bouger, le lien se tisser, je senti mon âme frémir au contact de cette mort s’animant sous mon impulsion. Un sentiment de toute puissance s’empara de moi lorsqu’une main jaillit de la terre. Ce que je n’avais pas prévu, c’était que je n’avais effectué ni le cercle, ni le sang n’était prêt. J’avais plongé immédiatement mes mains dans la terre, comme si j’allais chercher moi-même le zombie, mon zombie. Ce dernier s’avança vers moi, il n’avait pratiquement plus de chair sur ses os, c’était un vieux corps dont la décomposition était presque achevée. Il claquait des dents en s’avançant. Je compris ce qu’il voulait du sang. Une voix en moi savait ce qu’il voulait, du sang, et savait que je pouvait reprendre le contrôle, simplement en lui offrant mon sang. Je tirait ma manche d’un geste mécanique, et je saisissait le couteau dans ma poche, que je fis glisser contre mon bras. Le sang commença à couler et le squelette s’en approcha, s’en empara, il but goulûment mon sang, et sous mes yeux étonné commença à se recomposer. Je su alors que j’étais bien plus puissant que je ne le pensais, et que mon don était là, avait toujours été là. Peut-être même qu’un jour, je pourrais relever un vampire !
« Qu’est-ce que tu fous ici ? » demanda sèchement Zila en me repoussant. « Tu n’as rien à faire ici ! » Il avait alors 23 ans, et il était plutôt beau gosse. Mon frère jumeau a prit tout le charme, tout le charisme, toute la beauté et l’assurence qui nous avait été offert. En fait, par moment, j’avais l’impression qu’il avait absolument tout prit. Il vivait alors dans une petite maison, tout ce qu’il y a de plus charmant, il avait épousé la femme dont j’étais amoureux depuis mes 17ans et qui m’avait ignoré superbement pendant trois ans avant d’épouser mon frère jumeau. Je ne les avais plus vu après le mariage où mon comportement avait été déplorable, je l’avoue. Pas étonnant après ce que j’avais fait qu’il ne soit pas heureux de me voir. Mais tout de même, cela faisait trois ans, c’était long trois ans. « J’aurais préféré un accueil plus chaleureux. répondis-je d’un ton sombre. - Qu’est-ce que tu croyais, que j’allais t’offrir un café et qu’on allait parler comme si nous étions les meilleurs amis du monde.[/color] - Non… bien sûr que non… » Je savais plus. Mes yeux visé sur mes chaussures je ne savais plus où me mettre comme bien souvent, surtout avec Zila. Mon frère jumeau est le plus beau de nous deux mais aussi le plus talentueux, le plus courageux et le plus aimé et apprécié. Il a toujours rendu les parents fiers alors que moi j’étais le canard boiteux. Je crois bien que je l’ai toujours haï mais à cet instant j’en pris conscience. Et une voix résonna dans ma tête. Pourquoi ça serait toujours lui ? Pourquoi l’a tu laissé te voler ta femme ? Pourquoi l’a-tu laissé toutes ces années te rabaisser ? Il est plus fort, c’est vrai, mais parce que tu le laisses faire. Moi je suis plus fort que lui, moi je saurais comment le faire baisser les yeux devant toi, laisse moi faire et il te suppliera à genoux ! J’étais faible mais quelque chose à l’intérieur de moi était fort, bien plus fort que je ne l’eu jamais été, et ce quelque chose me proposait de l’aide, ce quelque chose avait beau me faire peur parfois à cet instant je lui cédait. Devant les yeux pleins de colère froide de mon frère, je lui cédais pour la première fois.
Le souvenir que j’en ais aujourd’hui est assez vague. Lorsque je repris conscience il y avait du sang sur mes mains, mêlé à de la terre, et il y avait une pelle à côté de moi, un tas de terre fraîchement retournée et la voiture de mon frère, le coffre ouvert. J’ai pas tout compris, je voulais pas comprendre, savoir les détails. J’avais tué mon frère et je l’avais enterré. Le plus curieux était que passé le choc, et la colère envers moi-même, je ne ressentis presque pas de peine. Je ne fus guère rongé par le remord en fait. J’ai même consolé la pauvre Anita qui pleurait son époux mort, et pensait que son jumeau devait bien s’en vouloir de ne pas avoir réussit à se réconcillier avec lui avant qu’il ne disparaisse car ce fut l’explication officielle. Pour la petite histoire, Anita a vécu avec moi pendant six mois, elle me consolait, me faisait à manger, et j’aurais pu croire à l’illusion produite, mais une nuit j’en eu assez. Ce fut la seconde fois qu’il jailli hors de moi, cependant cette fois je ne lui avait même pas cédé. Il s’empara de moi tout simplement et brusquement, sans prévenir, il la punit pour tout, il s’en prit à elle d’une manière si brutale et violente… j’en eu de vagues souvenirs. Encore une fois, j’eu affaire qu’à des indices. Il était évident que j’avais un problème de double personnalité, insidieuse, violente et sanguinaire qui prenait de plus en plus le dessus, tout particulièrement quand je me sentais nul et humilié. Une partie de moi voulait réglé le problème, une autre était heureuse d’avoir cette partie sombre en elle.
Durant presque deux ans je suis resté enfermé chez moi, enfin chez mon frère. Cet idiot m’avait tout légué. Enfin, je suis resté donc enfermé. La raison ? Un soucis d’ordre de personnalités. J’ai souffert de crises plus ou moins fortes qui m’obligeaient à rester enfermer. Nous les gitans, on règle nos problèmes entre nous alors il était hors de question que j’aille voir un asile, de plus expliquer à un inconnu ce que j’avais fait à mon frère et à ma belle-sœur était impossible. Non, je me suis moi-même soigné. J’ai relevé mon frère et ma belle-sœur, et durant deux ans je leur est parlé. Je ne crois pas m’être excusé pour ce que j’avais fait, cela était impossible à vrai dire. Personne ne m’a rendu visite, enfin si, mon oncle qui s’inquiétait. Sa tête a ornée ma commode durant une période. J’étais pas quelqu’un de très visitable ni de très aimable à vrai dire. J’ai vite rempli le petit jardin de la maison, de jolies tombes, c’était pratique j’avais de la matière a relevé. Cette période étant plutôt sombre, je vais éviter de m’étendre dessus. Seul détail important c’est que j’avais plus de deux personnalités, j’avais aussi celle de mon frère, Zila, enfin ce n’était pas complètement lui, pas vraiment lui à dire vrai, mais ça y ressemblait drôlement. Durant ces deux années, les rêves étranges ont continués sauf que je ne voyais plus moi devenant de plus en plus puissant, relevant des vampires, m’enfonçant dans la magie noire, mais je voyais les images d’un massacre sans nom, je voyais des vampires massacrant d’autres vampires, et je sentais une sensation bizarre, d’une perte, d’un cœur battant à nouveau. C’était des plus étranges.
Aujourd’hui, je vais mieux. Beaucoup mieux. J’ai changé, il faut dire. Il semble que j’ai réglé pas mal de mes problèmes même si j’ai pas tout réglé. On peut dire que je suis d’humeur changeante. Parfois je suis charmant, serviable, le genre de personne inspirant le respect, à qui on s’attache, à qui on fait confiance. Parfois je suis détestable, d’un sarcasme sans fond, comme si je cherchais à détruire l’autre, pas physiquement même si les meurtres violents j’en pratique encore, mais au moins, maintenant je peux me contrôler. Et d’autres fois, je suis rongé par les regrets, les remords, une part de ce que j’étais avant, de l’enfant, du frère, qui se recroqueville sur lui-même et pleure, évidemment, je déteste cette partie de moi-même.
Dernière édition par Roman E. Z. Bălan le 10/1/2013, 23:10, édité 1 fois
Invité
Invité
Sujet: Re: SCHIZOFRENIA IS COOL MY DEAR FRIEND [terminée] 10/1/2013, 22:37
Non mais tu n'y échapperas pas. Il faut que le monde entier sache à quel point tu es un troll … :
Spoiler:
EHEHEHEHEHEH. Tu m'inviteras dans ta cabane, dis ?
Dernière édition par Teodor V. Glinski le 10/1/2013, 23:51, édité 1 fois
SECRET DE CONFESSION
SIGNALEMENT : le démon qui gouverne les ombres de cette ville. HABILITIES : Thaumaturgie - La main de destruction ; capacité à voir le monde des esprits, sentir la mort. OFFICE : Chef de la mafia Italienne avec sa soeur jumelle. SERENADE : I'm Shipping Up To Boston - Dropkick Murphys
INFORMATIONS CONFIDENTIELLES
SOBRIQUET : Eden Memories ; Flan coco ; Pâte à choux ; La drag-queen MISSIVES : 8449 ACTE DE PROPRIETE : Eden Memoires; tumblr
I’m gonna make him an offer he can’t refuse. LE PARRAIN
Lucian A. Corleone
BIG BAD BOSS Ϟ Je suis... La Drag-Queen.
Black Moon JE SUIS: CAPACITES: MEDISANCES:
Sujet: Re: SCHIZOFRENIA IS COOL MY DEAR FRIEND [terminée] 10/1/2013, 23:01
Bien sûr que je t'y invitera! Mais si tu tente de me croquer, je relève tout mon jardin!
DEAD LIKE ME
SIGNALEMENT : Batard dégénéré destructeur d'innocence. HABILITIES : Nécromancie, traditions gitanes, vagabonds sujet à la possession. OFFICE : Nécromant, il a une petite clientèle et ne désire pas plus. Arrondis ses fins de mois en jouant au faussaire d'artéfacte et de grimoires. Il vent également son sang sur le marché noir. SERENADE : ULVER - Darling didn't we kill you? | Hellraiser main theme
INFORMATIONS CONFIDENTIELLES
SOBRIQUET : Eden Memories MISSIVES : 1920 ACTE DE PROPRIETE : Twixnfun; tumblr
Niklaus L. Bălan
FONDA Ϟ Pervers malsain psychotique.
Black Moon JE SUIS: CAPACITES: MEDISANCES:
Sujet: Re: SCHIZOFRENIA IS COOL MY DEAR FRIEND [terminée] 10/1/2013, 23:43
Pour tout ceux qui se posent la question, oui j'abandonne Valentin au profit de Roman. Du coup, c'est plutôt hop on s'enfonce directement et définitivement dans la névrose!
Invité
Invité
Sujet: Re: SCHIZOFRENIA IS COOL MY DEAR FRIEND [terminée] 11/1/2013, 21:45
Tu pues du cul. *donne ses cachets au gros rôt*
Invité
Invité
Sujet: Re: SCHIZOFRENIA IS COOL MY DEAR FRIEND [terminée] 11/1/2013, 21:47
Haha, re bienvenue chez toi donc
Invité
Invité
Sujet: Re: SCHIZOFRENIA IS COOL MY DEAR FRIEND [terminée] 12/1/2013, 12:26
Dois-je te dire re bienvenue sur ton propre forum?
Allez courage pour le reste de ta fiche <3
Invité
Invité
Sujet: Re: SCHIZOFRENIA IS COOL MY DEAR FRIEND [terminée] 12/1/2013, 12:56
Que trois personnalités ? C'est petit bras, ça *ZBAF* Ah que coucou, quoi. :11:
DEAD LIKE ME
SIGNALEMENT : Batard dégénéré destructeur d'innocence. HABILITIES : Nécromancie, traditions gitanes, vagabonds sujet à la possession. OFFICE : Nécromant, il a une petite clientèle et ne désire pas plus. Arrondis ses fins de mois en jouant au faussaire d'artéfacte et de grimoires. Il vent également son sang sur le marché noir. SERENADE : ULVER - Darling didn't we kill you? | Hellraiser main theme
INFORMATIONS CONFIDENTIELLES
SOBRIQUET : Eden Memories MISSIVES : 1920 ACTE DE PROPRIETE : Twixnfun; tumblr
Niklaus L. Bălan
FONDA Ϟ Pervers malsain psychotique.
Black Moon JE SUIS: CAPACITES: MEDISANCES:
Sujet: Re: SCHIZOFRENIA IS COOL MY DEAR FRIEND [terminée] 12/1/2013, 14:48
A que salut toi. Bah voui mais déjà je m'y paume un peu, enfin en même temps vu que lui-même est complètement paumé, ça le fera^^.
Je crois que je suis partie pour un roman... encore une fois.
Invité
Invité
Sujet: Re: SCHIZOFRENIA IS COOL MY DEAR FRIEND [terminée] 12/1/2013, 17:27
Welcome
Je suis là pour te guider
Tout d'abord, je te souhaites la bienvenue sur Drag me to Hell de la part de toute l'équipe administrative. Ensuite, maintenant que ta fiche est achevée, je viens la modérer pour la validation.
Waaah comment t'es trop taré J'aime beaucoup la fiche, rien à redire ^^ Donc officiellement je te valide, même si c'est une formalité!
J'ai le bonheur de t'annoncer que tu es validé! Toutes mes félicitations!
Avant toute chose, laisse-moi un peu te guider pour faire tes premiers pas sur le forum en tant que membre validé! youhou! Première chose à faire, si tu ne l'as pas encore faite, c'est de finir de remplir correctement ton profil, et ta feuille de personnage même si tu n'as pas encore de relations, de toute façon, il te faudra sans doute l'éditer dans les temps futurs. Ce n'est pas grand chose, mais d'un c'est plus joli et de deux, on cerne plus vite ton personnage ainsi. Ensuite tant que tu es sur ton profil, pense à mettre dans ta signature un lien vers ta fiche de présentation. Comme ça c'est plus facile pour les autres joueurs de savoir à qui ils ont affaires! Deuxième étape et pas la moindre: remplir ta fiche de relations. C'est la manière la plus rapide pour t'intégrer complètement au forum, et bien évidemment cela va te permettre d'avoir un panel de joueurs avec qui faire un rp tout simplement. La suite logique étant de répertorier tes rp en cours ainsi que tes futurs rp ici, tu pourra bien évidement faire des demandes de rp via les topics des autres joueurs. Nous te conseillons vivement d'aller à A.N.P.E. pour bloquer le boulot de ton personnage, tu pourra aussi créer ta propre boîte si tu le désire. Ensuite, fort de ton salaire, tu pourras demander un logement, n'oublie pas que la colocation est aussi une bonne option! Quand tu auras fait tout cela, tu pourras aller jouer avec tes petits camarades. Pour mettre un peu de piment dans ton jeu n'hésite pas à faire un tour du côté des clans et meutes pour choisir ton clan. N'hésite pas à faire un tour dans le quartier des sujets multijoueurs pour animer ton jeu. Et puis, en attendant une réponse d'un joueur, tu peux toujours aller flooder avec nous jusqu'au bout de la nuit!
Il ne me reste plus qu'à te souhaiter un bon jeu sur Drag me to Hell. Amuse-toi bien, et rappelle toi, que si tu as la moindre question nous serons toujours là pour y répondre.
DEAD LIKE ME
SIGNALEMENT : Batard dégénéré destructeur d'innocence. HABILITIES : Nécromancie, traditions gitanes, vagabonds sujet à la possession. OFFICE : Nécromant, il a une petite clientèle et ne désire pas plus. Arrondis ses fins de mois en jouant au faussaire d'artéfacte et de grimoires. Il vent également son sang sur le marché noir. SERENADE : ULVER - Darling didn't we kill you? | Hellraiser main theme
INFORMATIONS CONFIDENTIELLES
SOBRIQUET : Eden Memories MISSIVES : 1920 ACTE DE PROPRIETE : Twixnfun; tumblr
Niklaus L. Bălan
FONDA Ϟ Pervers malsain psychotique.
Black Moon JE SUIS: CAPACITES: MEDISANCES:
Sujet: Re: SCHIZOFRENIA IS COOL MY DEAR FRIEND [terminée] 12/1/2013, 18:16
MDR je plaide coupable.
Contenu sponsorisé
Sujet: Re: SCHIZOFRENIA IS COOL MY DEAR FRIEND [terminée]