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 « Plus l'amour est parfait, plus la folie est grande et le bonheur sensible » - Elisabeth (uc)

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MessageSujet: « Plus l'amour est parfait, plus la folie est grande et le bonheur sensible » - Elisabeth (uc)   « Plus l'amour est parfait, plus la folie est grande et le bonheur sensible » - Elisabeth (uc) Icon_minitime13/6/2010, 15:28

Elisabeth Rachel Dare
âge. Deux cent soixante-huit ans réellement, mais la vingtaine en apparence.
date et lieu de naissance. Le vingt novembre 1842, à Prague dans ce qui est aujourd'hui la République Tchèque.
nationalité. Tchècoslovaque et anglaise de naissance, naturalisée américaine.
nom du sire. Lord Adam of Leeds, ancien comte de Leeds dans le Yorkshire en Angleterre. Il est aujourd'hui le compagnon d'Elisabeth.
date de l'étreinte. La vie mortelle d'Elisabeth se termina lors de l'été de l'année 1860, elle allait avoir dix-huit ans.
statut. Ancillas
discipline. Chimérie ; niveau 3
état civil. Dans une relation libre
lieu d'habitation. Une grande maison de style victorienne à Coven Garden.
métier. A voir.
étiquette qui vous est collé. la réputation que vous avez en ville, on vous considère comme un menteur ou comme quelqu'un de gentil, serviable sur qui ont peut compter à moins que vous ne soyez le dingue de service.
« Plus l'amour est parfait, plus la folie est grande et le bonheur sensible » - Elisabeth (uc) Dwb1vk10

Qui je suis
CES PETITS DETAILS QUI ME DEFINISSENT


traits de caractère. Décrivez les traits de caractères qui définissent votre personnage, vos qualités, vos défauts, vos phobies, etc…

occupation nocturne. Elisabeth a une vie assez rythmée. Elle n'aime pas vraiment fréquenté ses bars à vampires qui ont fleuri depuis la Révélation. Elle n'aime pas non plus les humains qui admirent et vénèrent les vampires. C'est amusant, mais ça l'était plus quand les humains les craignaient. Ainsi, le soir venu, elle aime faire le tour des quartiers animés à pieds, sans pour autant entrer dans les pubs et autres bars. La vampire a pris l'habitude de vivre comme une aristocrate. C'est en tant que telle qu'elle est née, et qu'elle a été élevé. Même son Sire, Lord Adam of Leeds, était un noble titré, avant sa propre transformation. De fait, Elisabeth se ressent comme la compagne d'Adam et la gardienne de leur maison et de leur " famille ". Miss Dare prend donc grand soin de leur maison : elle se fait douce et nettoie tout, prépare des petits plats qu'elle ne mangera jamais. Outre ceci, elle aimerait tenter une intégration en trouvant un métier. Lequel ? Elle n'a pas encore d'idées : servir une autre personne qu'Adam ne lui dit rien. Etre en contact avec les humains ? Ce serait comme passer ses nuits dans un rayon charcuterie pour un humain : assez désagréable au final.

manie, habitudes & goût.
♣️ Elle boit du thé, même si cela ne lui fait plus ni chaud ni froid, c'est une habitude qu'elle avait de son vivant et qu'elle garde encore.
♣️ Elle adore les enfants aussi, et entretient deux chambres de bambins sans qu'il n'y en est chez elle. Elle s'imagine mère, c'est ainsi depuis qu'elle a perdu Melody.
♣️ Elle se nourrit d'un humain par jour, et préfère pour cela un endroit calme : chez elle, par exemple. Elle emmène sa victime à Coven Garden et la place dans une chambre à usage spécial. Elle a l'habitude de marquer le cou de l'humain d'une croix, qu'elle fait avec ses ongles. Ensuite, elle plante ses crocs sur cette croix et se nourrit. Depuis la Révélation, elle les ramène après coup et nettoie tout de fond en comble.
♣️ Elle a un CD où il est enregistré Adam, qui fait du violon. Elle s'y est mise aussi mais ne se lasse jamais d'écouter son cher et tendre, en attendant de le revoir.
♣️ Elle fronce le nez lorsqu'elle est frustrée et a la manie de fixer les gens d'une manière étrange, sans s'en rendre compte.

régime alimentaire. Elisabeth se nourrit exclusivement de sang humain, le plus frais possible. Elle n'a aucune scrupule à tuer un mortel afin de se nourrir de son sang, elle prend ça comme le cycle de la vie. Un peu comme la lionne tuant un antilope afin de se nourrir. C'est la chaine alimentaire : les vampires sont tout en haut de cette chaine, les humains en bas. C'est comme ça, pas autrement. Quand à ce sang synthétique ou ce sang en cachet effervescent, Elisabeth n'y touchera jamais. Question de principes, peut-être. Elle ne s'abaissera jamais à boire ces immondices et de plus, elle ne veut pas lâcher une seule parcelle de sa puissance que lui donne sa condition d'immortelle vampire.

conviction. Horreur ! Les vampires existent. Elisabeth était en rage, lorsqu'elle a apprit la Révélation au grand jour des vampires. Pourquoi, mais pourquoi ? Tel était la question. Il n'y avait que des inconvénients à se dévoiler, de nouveau. Pendant des décennies, ils avaient réussi à se cacher, à vivre " normalement " leur vie de suceurs de sang. C'est très énervant, de savoir que désormais, tout le monde sait ce que vous êtes. Oh non, Elisabeth n'en a pas honte mais elle préférait voir de la terreur, de l'horreur dans les yeux de ses victimes plutôt que cette jubilation mélangée à de la fascination. Comble du comble, elle ne peut plus tuer ses victimes ! Non vraiment, la situation ne lui convient pas. Elle aurait déjà filé ailleurs si Adam ne lui avait pas demandé de l'attendre ici sagement.

signes particuliers. Elisabeth a une marque : un rond pourpre sur le talon droit. Elle l'a depuis sa naissance et a toujours trouvé cela très bizarre. Apparemment, ce n'est rien, ça ne signifie rien : c'est juste là, sur son talon.

pseudonyme. Heidi ou Atlante
âge. Quinze ans
code du règlement. Et bien, il ne manque plus que le thème musical de Dracula, prince des ténèbres, et je crois qu'on pourra commencer.
avis général à propos du forum. Hum, c'est le meilleur forum à thème vampires&co. que j'ai jamais vu *O*
avatar utilisé. Sandrah Hellberg heart


Dernière édition par R. Elisabeth Dare le 13/6/2010, 18:39, édité 3 fois
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MessageSujet: Re: « Plus l'amour est parfait, plus la folie est grande et le bonheur sensible » - Elisabeth (uc)   « Plus l'amour est parfait, plus la folie est grande et le bonheur sensible » - Elisabeth (uc) Icon_minitime13/6/2010, 15:28

Une histoire extraordinaire
TOUTES CES EPREUVES ONT FAIT CE QUE JE SUIS


histoire. racontez l'histoire de votre personnage jusqu'à la grande révélation. Entre 20 et 30 lignes, vous pouvez faire un résumé ou choisir une forme de rp, ou encore des extraits de journaux intimes, vous avez carte blanche. Essayez d'agrémenter votre récit d'images, et d'aéré.

test rp. Faites nous un rp de 15lignes minimum, vous pouvez choisir la situation que vous désirez mais vous avez une contrainte, ce rp doit se situer après la grande révélation afin que nous en sachions plus sur la situation actuelle de votre personnage.

famille. Elisabeth est la fille cadette d'Edmund Dare, bourgeois anglais du Devonshire, et de Vivika Chytilovà, héritière d'une fortune aristocrate tchècoslovaque. Elisabeth avait une soeur ainée : Dolores, ainsi que deux jeunes frères jumeaux : Isaac et James. Ses parents l'avaient promis à un Lord anglais, avec qui elle devait se marier le jour de ses dix-huit ans. Seulement, l'été précédent, elle rencontra Adam et celui-ci la transforma en vampire. Son Sire devint également son compagnon. Elisabeth se fit passer pour morte et dut rompre tout contact avec sa famille. Sans le vouloir, elle tua sa soeur ainée, qui l'avait retrouvée quelques jours après la transformation. Cent ans plus tard, Elisabeth supplia Adam de lui offrir un enfant comme compagnon. A cette époque et dans la région où ils se trouvaient, les vampires étaient peu régulés et il était aisé de transformer une âme humaine. Sous la pression de sa bien aimée, Adam finit par transformer une jeune enfant de neuf ans : Melody. Le plus grand bonheur d'Elisabeth. Cependant, trente ans plus tard, la gamine mourut.


Dernière édition par R. Elisabeth Dare le 13/6/2010, 18:51, édité 2 fois
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MessageSujet: Re: « Plus l'amour est parfait, plus la folie est grande et le bonheur sensible » - Elisabeth (uc)   « Plus l'amour est parfait, plus la folie est grande et le bonheur sensible » - Elisabeth (uc) Icon_minitime13/6/2010, 15:29

« Plus l'amour est parfait, plus la folie est grande et le bonheur sensible » - Elisabeth (uc) 214

    Courrier d'Edmund Dare à sa fille Elisabeth Rachel Dare, mai 1857.

    « Chère Elisabeth,

    mon enfant, sachez qu'ici le temps se porte bien. J'ai pris de l'avance dans mon travail, afin de me permettre le long voyage qui m'attend ! Venir vous chercher à Prague prendra du temps, sans compter le retour avec vous, ma chère, ainsi que votre mère et votre soeur. Isaac et James se portent bien eux aussi et m'ont chargé de vous envoyer un baiser pour tout l'amour qu'ils vous porte. Ils me semblent qu'ils sont impatients de vous revoir, vous les femmes de notre noble famille Dare. Mais le plus impatient reste Mr. Beckett, votre promis. Il est très grand, et fort bel homme, je pense qu'il vous conviendra parfaitement. Quand à son esprit, il me semble bien fait, justement cultivé. S'il n'était pas noble de naissance, j'aurais pu en faire un médecin ! De tout cas, je me ressens fort fier d'être son futur beau-père. Ce Charles Beckett me semble tout convenu pour vous, ma fille cadette.

    Il vous faudra de la patience, car je n'arriverais pas avant le mois prochain chez nous à Prague. A votre arrivée, le père de Mr. Beckett prévoit d'organiser une réception à votre honneur, afin que vous puissiez connaitre votre fiancé. Tout de même, vous ne pourrez pas l'épouser avant vos dix-huit ans, comme convenu dans le contrat qui lie nos deux familles. Il ne faudrait pas que vous soyez mariée avant votre soeur aînée, la pauvre Dolores ! Elle vous en voudrait, et vous vous en voudriez aussi, je le sais car tel est votre bon coeur ! Il vous faudra d'abord vous habituer au climat anglais, que vous ne connaissez que trop peu. Je ne sais même pas si vous vous souvenez de votre dernière visite, vous aviez alors cinq ans, il me semble. Voilà déjà dix ans que vous n'êtes pas venu dans notre demeure, c'est fort affligeant ! Mais je respecte l'attachement que porte votre mère à son pays et j'approuve cet état de fait qui vous fait autant anglaise que tchécoslovaque.

    Je dois malheureusement déjà vous laisser,
    Tendres affections,
    votre père Edmund Dare. »

    **

    Le voyage avait été très long, éprouvant. Elisabeth était encore épuisée de son voyage entre Prague et Axminster, dans le Devonshire. C'était là que résidait son père, depuis sa tendre enfance. La jeune fille n'y était venue que deux fois : une alors qu'elle n'était qu'un bébé, pour que son père puisse la présenter à ses collègues et amis ; et une autre lorsqu'elle avait cinq ans, pour rendre visite à son père qu'elle voyait très peu mais qu'elle aimait tendrement.

    Lord Beckett senior, paternel de son fiancé Mr. Charles Beckett, avait bel et bien organisé une réception en son honneur, afin qu'elle puisse rencontrer son futur époux qu'on lui avait désigné. Elisabeth, alors âgée qu'une quinzaine d'années, était extrêmement nerveuse. Elle n'avait pas encore eu le temps de s'accoutumer à l'Angleterre, et les us et coutumes ici étaient très différentes de celles de Prague, ville où elle avait grandit. Elle avait peur de faire un faux pas, de déshonorer son père et sa famille. « Vous cherchez quelque chose, miss ? », demanda une voix masculine derrière son dos, alors qu'elle se promenait sur le devant de la terrasse de la salle de réception. Elisabeth se retourna lentement, retenant de ses mains sa robe et découvrit celui qu'elle identifia naturellement comme étant Mr. Charles Beckett. Elle fit une petite révérence maladroite et répondit d'une vois mal assurée : « Mr. Charles Beckett ? ». L'homme acquiesça avec un sourire amusé. Il devait avoir la vingtaine, et était habillé en parfait gentleman de l'époque. Il avait les cheveux châtains, les yeux très clairs. Son visage était régulier, harmonieux. Il avait un certain charme, même. Oui, Elisabeth Rachel le trouvait plutôt bel homme. « Miss Elisabeth Rachel Dare, donc. Charmante soirée pour une charmante rencontre, n'est-ce pas ? », répondit Beckett avec un vague sourire aux lèvres. Il regardait Elisabeth d'une drôle de façon : si cela avait existé à l'époque, elle se serait senti passer au radar. Elle se contenta d'acquiescer à son tour, de manière modérée. Un geste trop rapide n'était pas charmant, c'était ce qu'on lui avait appris. « Bien. Je suppose qu'Axminster doit beaucoup vous changer de Prague. », demanda-t-il sur un ton affirmatif. « C'est très différent, en effet. A commencer par le paysage, le climat. Puis la langue, les gens, la manière dont ils se comportent. ». Elle regarda Charles Beckett dans les yeux, et ne put s'empêcher de rougir et de détourner le regard. « J'imagine. Prague vous manque-t-il ? ». Elisabeth laissa un temps avant de formuler sa réponse, sur un ton hésitant : « Oui. Je crois que c'est normal. Je m'acclimaterais vite, soyez sans craintes. ». Beckett sourit de nouveau et but une gorgée du verre qu'il tenait à la main. « Je n'en doute pas, vous ferez tout les efforts possibles pour que notre union soit bénéfique à nos deux familles. Vous a-t-on prédisposé à ce qui vous attend ? ». La question parut brutale à Elisabeth, qui fut déstabilisée. L'évocation de leur mariage la gênait. « Eh bien. Des héritiers en bonne santé, je suppose. », dit-elle. « Exactement. Je suis fils unique, mon père est fils unique. La lignée Beckett a toujours tenu sur un mince fil. Mon père, Lord Beckett, compte sur nous pour assurer la pérennité de notre nom et nos biens. Quand à moi, je dois vous avouer une chose : ce mariage est pour moi un devoir et non un plaisir. Bonne soirée, miss. ». Sur ce, il la salua en multiples courbettes très sérieuses et tourna les talons, laissant là Elisabeth, le visage figé et impassible.

    **

    Juin 1860, Axminster.

    La vie d'Elisabeth ne lui permettait aucune illusion quand à sa vie future. Elle deviendrait en novembre Lady Elisabeth Beckett, partagerait le lit de Charles Beckett et aurait des enfants de lui. Mais elle ne recevrait jamais d'amour, jamais de tendresse. Elle aurait aimé être aimé, et aimé en retour. Mais tout cela n'était qu'enfantillages : à bientôt dix-huit ans, elle devait grandir et prendre ses responsabilités. Accomplir son devoir. Sa soeur Dolores s'était mariée un an plus tôt, et avait déjà donné naissance à une petite fille du nom d'Eleonore. Elisabeth était donc tante, et rêvait de pouponner à son tour. Elle ne se doutait pas, à cet instant, que sa vie allait prendre une tout autre tournure.

    Elisabeth avait eu besoin de prendre l'air, et avait pris la liberté de sortir dans la rue, devant la maison de son père, dans le centre d'Axminster. L'été venait de commencer, la jeune femme avait déjà chaud. Dans sa robe de coton léger, elle respirait enfin. Elle marchait doucement, levait bien haut la tête pour capter le léger souffle du vent. C'était si bon, la liberté. Elle n'aurait plu beaucoup l'occasion de faire ça, lorsqu'elle serait mariée. Tout était silencieux dans la ruelle. Elle aurait donc dû, normalement, entendre les pas de cet intrus qui s'avançait vers elle. Mais non, il était encore plus silencieux qu'un chat dans la nuit noire. « Bonsoir, Elisabeth. ». Voilà pourquoi la jeune femme sursauta, et se retourna vivement, oubliant les convenances. Ce qu'elle découvrit alors lui coupa le souffle. C'était un homme, qui devait avoir la vingtaine. Sa peau était blafarde, ses yeux semblaient rouges. Mais à côté de ça, il était magnifique : ses traits étaient parfaits, ses cheveux foncés étaient tirés en arrière dans une coiffure très distingué. Ses lèvres semblaient appelées celles d'Elisabeth. C'était la première fois qu'elle ressentait ça. L'homme en face d'elle était tellement beau qu'il semblait irréel. Elle se sentit obligé de le toucher. Elle approcha sa main, la posa sur le torse de l'inconnu. Un éclat de lucidité brilla dans ses yeux et elle retira sa main, gênée. « Veuillez m'excuser, je ne sais pas ce qui ... », commença-t-elle. Mais l'homme la coupa de sa voix envoutante : « Ne t'excuse pas, Elisabeth. J'attends depuis longtemps ta venue. ». Elisabeth haussa un sourcil, et demanda d'une voix méfiante : « Ah oui ? Comment connaissez-vous mon nom ? Pourquoi m'attendiez-vous ? ». Son interlocuteur, en guise de réponse, lui attrapa le poignet avec force. Elle tenta de se retirer et s'écria : « Mais que faites-vous ?! Je suis fiancée, monsieur ! Je vous demande de me lâcher ! ». L'homme se mit à rire, approcha son visage de celui d'Elisabeth et lui susurra : « En es-tu certaine, Elisabeth ? ». Après ça, il plongea son regard rougeâtre dans celui d'Elisabeth. Et le reste fut oubliée : l'esprit de la demoiselle fut embrouillée. C'était là que s'achevait sa vie de mortelle, de jouet du destin.


Dernière édition par R. Elisabeth Dare le 13/6/2010, 22:31, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: « Plus l'amour est parfait, plus la folie est grande et le bonheur sensible » - Elisabeth (uc)   « Plus l'amour est parfait, plus la folie est grande et le bonheur sensible » - Elisabeth (uc) Icon_minitime13/6/2010, 15:29

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    Elisabeth ouvrit les yeux d'un coup, et se redressa immédiatement, furieuse. Elle sortit ses crocs, ne pensa même pas que la sensation était étrange, et bondit dans la chambre dont les fenêtres étaient condamnés : elle percuta de plein fouet l'homme qu'elle avait vu avant ça, tout ça. Il lui hurla quelque chose, un ordre certainement, mais elle ne comprit pas, ne voulait pas comprendre. Elle se démenait pour trouver la gorge de son adversaire, le mordre et boire. J'ai faim. Le vampire qu'elle attaquait lui assena un violent coup sur la tête, mais cela ne lui fit que tourner la tête, un peu. Elle reprit vite ses esprits. Sauvage, Elisabeth détruisait le peu de meubles sur son passage : le lit, la commode, la table et la chaise : tout se brisa sous la force des coups. « Je suis Adam ! Ton Sire ! Ecoute moi ! Calme toi, je t'apporterais de quoi te nourrir ! », hurla le vampire. Mais cela ne calma pas Elisabeth pour autant. Elle était comme possédée, une lueur folle luisait dans son regard assoiffé de sang.

    A cet instant précis, la porte de la chambre s'ouvrit à la volée, laissant entrevoir Dolores, soeur aînée d'Elisabeth. L'humaine découvrit la scène : sa jeune soeur, accroupit dans une position subjective sur un homme, des crocs luisants dans la bouche. Dolores poussa un hurlement effrayant, cria le nom de sa soeur. Elisabeth s'était tournée vers elle. Elle ne reconnu pas sa soeur : elle n'y voyait qu'une poche de sang frais. J'ai faim. Elisabeth bondit sur sa soeur, qui hurla de plus belle, tandis que les crocs tout neufs de sa soeur cadette s'enfonçaient dans le creux de son cou. Adam profita de cet instant de répit pour refermer la porte derrière les deux soeurs. Il regarda Elisabeth se nourrir, heureux. C'était ce qu'il désirait : une compagne, pour l'éternité.

    Lorsqu'Elisabeth eut vidé entièrement le corps de sa soeur aînée, elle y voyait déjà plus clair. Entre temps, Adam était sorti et avait ramené deux autres humains, qu'il avait envouté. Elisabeth les vida de leur sang, eux aussi. Après cela, elle essuya le sang qui coulait de sa bouche d'un revers de manche et regarda son Sire. Elle était à présent tout à fait disposée à converser avec lui. « Bienvenue en enfer, Elisabeth ! Ecoute moi maintenant. Tu es vampire, immortelle. Ta force, ta beauté, tout tes sens se sont décuplés. Tu as gagné beaucoup, le seul inconvénient pour un vampire est qu'on ne peut être confronté au soleil : ça nous tuerait. Et il nous faut du sang frais, pour nous nourrir. Tu me dois obéissance, est-ce compris ? », annonça Adam sur un ton d'enseignant. Elisabeth leva les yeux vers lui, puis regarda le corps de sa soeur, inerte et morbide. Elle hurla, hurla et hurla. Un cri aigu, retentissant. « Dolores ! Oh mon Dieu Dolores ! Qu'ai-je fait ?! Dolores ! ». Elisabeth s'était agenouillée et secouait le corps de sa soeur aînée comme un prunier. Adam soupira, et expliqua calmement : « Tu ne pouvais pas te contrôler. Tu avais faim, elle est arrivée. Je n'ai pas pu te retenir. ». Elisabeth continuait de pleurnicher sur le corps vidée de Dolores. Elle pleurait, mais les larmes ne coulaient pas. « Mais je l'ai tué ! C'est moi qui l'ai tué ! Que va dire notre père ?! Oh, notre père qui êtes au cieux, pardonnez moi ! Pardonnez moi ! », hurla-t-elle. Adam se mit à rire. « Dieu n'existe pas pour les vampires ! Nous sommes des damnés. Plus rien n'a d'importance maintenant, Elisabeth. Il faut que tu le comprennes. ». Elisabeth se releva brusquement et attrapa son Sire à la gorge. « Pourquoi ? Pourquoi as-tu fait ça ? Pourquoi ??! ». Adam attrapa l'avant-bras d'Elisabeth et le serra fort. « Je voulais une compagne. Elisabeth, je t'offre une vie d'immortelle. Toi et moi, ensemble. Pour l'éternité. Aimer et être aimé en retour, n'était-ce pas ce que tu souhaitais ? », répondit-il sérieusement. Elisabeth fronça le nez, lâcha la gorge d'Adam. Ce dernier l'attrapa par la taille et l'amena tout contre lui. Il jeta un coup d'oeil au lit, en ruines. « On fera sans. », murmura-t-il avec un sourire amusé. Il pressa ses lèvres contre celles d'Elisabeth. Elle se laissa emporter, se laissa glisser contre lui, au sol. Ses pulsions se réveillaient, elle avait soif d'autre chose, maintenant. Adam déchira ses vêtements, elle en fit de même avec les siens. Et là, sur le parquet en bois, ils firent l'amour, pour la première fois.

    **

    Le temps semblait long à Elisabeth. Elle aimait Adam plus que tout au monde, il était sa seule raison de vivre. Elle le craignait autant qu'elle l'aimait. Il la traitait toujours d'un amour violent, qui lui laissait de multiples blessures. Mais rien d'important, pour une vampire. Elle avait dû renoncer à sa vie d'avant, couper le cordon avec sa famille. Celle-ci la croyait morte, ce qui était en soit, vrai. Un soir, quatre ans après sa transformation, Adam l'avait emmené dans le cimetière d'Axminster : une tombe portait son nom. " A la mémoire d'Elisabeth Rachel Dare, 1842 - 1860 ". La tombe était fleurie. Elisabeth n'avait pas souhaité s'éterniser dans le cimetière et ils étaient repartis, main dans la main.

    L'immortalité avait ses défauts : les années passaient comme des gouttes d'eau, rapides, brèves. Cinquante longues années passèrent, sans que le visage d'Elisabeth ne change. Pas une ride, toujours aussi fraiche, belle. Son corps étant mort, elle ne pouvait pas avoir d'enfants. C'était pourtant son désir le plus cher. Elle avait pris un bébé humain, après avoir tué ses parents. Mais il était mort quelques mois après : Elisabeth n'avait pas pu se retenir, elle avait gouté son sang. Le bébé était mort. Mais elle n'avait pas pour autant abandonner. Puisqu'elle ne pourrait pas se contenter d'un enfant humain, il fallait qu'elle se fasse un enfant vampire. Mais elle n'en avait pas la force. Le seul qui pouvait le faire était Adam, et il s'y refusait. « Non, Elisabeth. On ne peut pas transformer un enfant, c'est dangereux. Il y a des règles à respecter. », avait-il dit sur un ton autoritaire. « Mais mon chéri, mon amour, mon aimé. Rendez-moi heureuse ! Faites moi un enfant, immortel, beau comme nous le sommes ! Oh, Adam, je t'en prie ! Fais-le pour moi ! », avait-elle répondu en lui prenant la main. « Non ! », avait-il crié en se retirant, en détournant sa tête. « Personne ne nous en voudra ! Nous sommes seuls, ici. Il n'y a pas d'autres immortels que nous, ils sont tous attirés par la France et ses agitations ! Nous sommes seuls. Fais-moi un enfant, Adam ! », s'était-elle exclamée, en proie à la colère. Adam s'était retourné pour regarder Elisabeth dans les yeux et il avait répondu : « Soit, tu auras ton enfant. »

    **

    Elisabeth n'avait pas eu de mal à trouver un enfant. Elle avait voulu une fille, jolie et jeune. Elle s'était rendue dans un orphelinat de nuit et avait enlevé cette petite fille, Melody, qui avait neuf ans, disait-elle. La petite n'avait même pas eu peur, elle semblait même heureuse qu'on la sorte de l'enfer de l'orphelinat. Elle ne cessait de poser des questions, et Elisabeth la trouvait parfaite. Elle deviendrait son enfant, à elle, à Adam. Leur fille. « N'ai pas peur, jolie Melody. », répétait Elisabeth d'une voix calme et sereine. La petite lui serrait la main fort, mais la vampire ne ressentait qu'un léger contact chaud dans le creux de sa paume glacée. Elisabeth l'avait emmené dans leur maison, à Axminster. Après plusieurs années d'absence, ils y étaient revenus, certains que personne ne les reconnaitraient. Elisabeth ordonna gentiment à Melody de se coucher dans le lit qu'elle lui offrait. « Je vais te présenter mon mari », lui dit-elle avec un sourire aimable. Melody s'exécuta. Adam entra quelques minutes plus tard, le visage crispé. Elisabeth voulut l'enlacer mais Adam la repoussa violemment : elle s'écrasa au sol et se releva aussitôt, le nez froncé. « Qu'est-ce qui a ? », cria Melody en se redressant sous ses couvertures. « Oh rien ma chérie ! », s'empressa de répondre Elisabeth avec un sourire rassurant. Adam ne disait toujours rien. Il se contenta d'approcher de la petite. Il s'assit au bord du lit, et posa Melody sur ses genoux, lui caressa les cheveux sous le regard attentif d'Elisabeth. Melody ne disait rien. Soudain, Adam attrapa le cou de la petite et y planta ses crocs. Melody hurla, et Elisabeth s'approcha pour lui tenir la main, la rassurer. « Là, là ... Ne t'inquiète pas, ça va passer ma chérie ! », lui disait-elle. Lorsqu'Adam la lâcha, il se mordit lui-même le poignet et approcha sa blessure de la bouche de la petite. « Bois ma chérie, bois et la douleur s'en ira. Je te le promets. », continua Elisabeth. Lorsqu'Adam retira son poignet, Melody commença à convulser. Elisabeth voulut l'enlacer mais Adam la repoussa en criant : « Non ! Recule, laisse là. ». La vampire s'exécuta, et regarda le corps de Melody mourir. Plusieurs minutes s'écoulèrent, lorsqu'enfin les convulsions cessèrent. Melody se redressa et regarda autour d'elle d'un air ébahie, comme si elle découvrait le monde pour la première fois. Du sang tâchait le tour de sa bouche et ses canines brillantes lui donnaient un air démoniaque. « J'en veux d'autre. », dit-elle simplement. Elle voulait du sang. Adam hocha la tête et répondit : « Je vais te chercher ça, jeune fille. Reste avec ... ta mère. ». Elisabeth lui sourit, le remercia par un regard reconnaissant et le regarda quitter la pièce. « Tu vois Melody, tu ne souffriras plus jamais. Il ne t'arrivera plus rien, jamais. Je suis ta mère, Adam est ton père. Nous sommes une famille. Ma petite Melody ... », s'exclama Elisabeth avec une pointe d'émotion dans la voix. Elle vint enlacer sa fille, qui lui rendit son étreinte. Le bonheur parfait.

    **

    Trente ans plus tard, à quelques jours près. Melody allait avoir quarante ans, mais elle paraissait toujours être une enfant de neuf ans, une petite poupée fragile, innocente. Elisabeth avait réussit à construire sa famille, aussi étrange soit-elle. Après avoir perdu ses bébés humains, elle avait enfin le sien. Son bébé vampire, qui resterait à jamais son petit bébé. Adam ne prenait pas son rôle de " père " à la charge. Il laissait à sa compagne tout le loisir d'occuper l'enfant immortel comme elle le souhaitait. Melody était devenue capricieuse, hautaine et particulièrement sadique. Elle aimait tuer, et Elisabeth trouvait moyen de s'en réjouir. Aucune tâche à l'horizon : l'avenir semblait prometteur. Mais Elisabeth désirait quitter l'Angleterre, une bonne fois pour toute. De plus, en cette année 1940, la guerre était déclarée. On ne se battait plus avec des épées ou des revolvers, mais avec des véritables mitraillettes, tank et autres armes monstrueuses. Les combats étaient encore plus sanglants, et même les civiles mourraient. Un certain Hitler était à l'origine de tout ça. Mais la mort, le sang, la douleur et l'effroi : c'était bénéfique pour les vampires. La plupart des immortels étaient en Allemagne, en France, là où ils délivraient les victimes d'Hitler pour les tuer ensuite, et se nourrir de leur sang. Elisabeth ne pouvait déplorer ces pratiques : elle était vampire elle-même. La seule chose qu'elle ne supportait pas, c'était qu'on touche aux enfants : elle refusait de voir mourir des enfants, même pour la nourrir. Les enfants sont beaux dans leur innocence, et mérite la vie plus que quiconque.

    Adam décida qu'il était temps pour leur famille de quitter le Vieux monde pour aller en Amérique. Il se passait des choses intéressantes, là-bas, disait-on. Adam voulait vérifier de lui-même, et Elisabeth ne pouvait que suivre. Donc Melody aussi. Ils quittèrent l'Angleterre par bâteau une nuit de février 1940 afin de se rendre à New-York. Lorsqu'ils y arrivèrent, ils prirent un appartement miteux dans les quartiers délabrés, en attendant mieux.

    Leur départ vers la Louisiane était prévue pour dans un mois. Adam avait besoin de régler une affaire avec un autre vampire, et une semaine entière, il disparut. Elisabeth resta avec Melody, peu inquiète. Adam partait souvent voir d'autres immortels, régler quelques obscures affaires. Elisabeth ne s'y intéressait pas, et de toute façon, Adam ne la laissa pas s'y intéresser. Elle ne sut jamais ce qui se passa durant cette semaine, à part qu'Adam fut amené à commettre le plus grand des crimes : il assassina un autre immortel. Elisabeth ne savait pas qui, ni comment, ni pourquoi. Elle sut juste que ce vampire mort avait des amis, qui voulaient obtenir vengeance. « Une vie d'immortel contre une vie d'immortel », avait dit le vampire à Elisabeth, avait de l'enfermer dans son cercueil et d'emmener Melody, impuissante face aux cinq vampires. Elisabeth resta enfermée dans son cercueil scellé un mois, avant qu'Adam ne vienne la libérer. « Où est Melody ??! », avait-elle hurlé, en proie à une désespérante folie. Alors Adam lui avait pris la main et lui avait répondu : « Poussière. Elle n'est plus que cendres. Ils lui ont infligé le supplice du soleil. Elle est morte, mon amour. ». Ce fut la première fois, depuis son éternité à elle, qu'Elisabeth pleura. Elle versa une multitude de larmes, et pleura la morte de Melody pendant presque un mois. Elle ne cessait jamais de pleurer réellement, mais les larmes ne coulaient plus, comme si le stock d'eau salé avait été épuisé jusqu'à la dernière goutte. La douleur était immense. Melody, son bébé, son amour, l'enfant qu'elle ne retrouverait jamais, était mort. Immortelle mais pas invincible. Le fardeau de son éternité sembla peser encore plus lourd, après ça. Peu à peu, Elisabeth sombra dans la démence. Elle croyait revoir Melody partout : dans chaque coin de rue, chaque sculpture, tableau, façade de bâtiments. Elle était partout, et nulle part en même temps. Elisabeth s'imaginait qu'elle avait des enfants, elle leur parlait parfois, se comportait comme une mère alors qu'il n'y avait pas d'enfants. Adam l'appuyait dans sa démence, tentait de la faire revenir : son Elisabeth, redoutablement intelligente, prédatrice de choix, soumise à lui à jamais. Mais le caractère de la vampire s'était fait plus violent depuis, elle hurlait pour un rien, cassait tout, tuait pour rien. Et Adam devait nettoyer derrière. Ce fut une période de désolation, où l'esprit d'Elisabeth s'était égaré.


Dernière édition par R. Elisabeth Dare le 14/6/2010, 17:44, édité 3 fois
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MessageSujet: Re: « Plus l'amour est parfait, plus la folie est grande et le bonheur sensible » - Elisabeth (uc)   « Plus l'amour est parfait, plus la folie est grande et le bonheur sensible » - Elisabeth (uc) Icon_minitime13/6/2010, 15:29

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Juin 2008, Shreveport, Louisiane.

« Voilà Elisabeth. Nous habiterons ici, toi et moi. », commença Adam, en serrant le poignet de sa compagne. « Et les enfants ! », ajouta Elisabeth en hochant la tête. « Et les enfants », répéta Adam comme pour confirmer. Elisabeth n'avait toujours pas digéré la mort de Melody. Elle s'était calmée, ne délirait plus autant qu'avant, mais le mal la rongeait encore, et certainement pour toujours.

uc


Dernière édition par R. Elisabeth Dare le 14/6/2010, 18:04, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: « Plus l'amour est parfait, plus la folie est grande et le bonheur sensible » - Elisabeth (uc)   « Plus l'amour est parfait, plus la folie est grande et le bonheur sensible » - Elisabeth (uc) Icon_minitime13/6/2010, 15:43

Bienvenue toi !!!! :006/:
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MessageSujet: Re: « Plus l'amour est parfait, plus la folie est grande et le bonheur sensible » - Elisabeth (uc)   « Plus l'amour est parfait, plus la folie est grande et le bonheur sensible » - Elisabeth (uc) Icon_minitime13/6/2010, 16:53

Bienvenuuue :56: et bon courage pour ta fiche ! ^^ J'aime bien ton avatar :006/:
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MessageSujet: Re: « Plus l'amour est parfait, plus la folie est grande et le bonheur sensible » - Elisabeth (uc)   « Plus l'amour est parfait, plus la folie est grande et le bonheur sensible » - Elisabeth (uc) Icon_minitime13/6/2010, 19:20



    Bienvenue & bon courage pour ta fiche ! ^^.
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MessageSujet: Re: « Plus l'amour est parfait, plus la folie est grande et le bonheur sensible » - Elisabeth (uc)   « Plus l'amour est parfait, plus la folie est grande et le bonheur sensible » - Elisabeth (uc) Icon_minitime13/6/2010, 20:53

Merci beaucoup :005/:
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MessageSujet: Re: « Plus l'amour est parfait, plus la folie est grande et le bonheur sensible » - Elisabeth (uc)   « Plus l'amour est parfait, plus la folie est grande et le bonheur sensible » - Elisabeth (uc) Icon_minitime13/6/2010, 21:10

Bienvenue à toi !
Je me disais, aussi, que Rachel Elizabeth Dare ne m'était pas inconnue Razz Fan de Percy Jackson and the Olympians ?
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MessageSujet: Re: « Plus l'amour est parfait, plus la folie est grande et le bonheur sensible » - Elisabeth (uc)   « Plus l'amour est parfait, plus la folie est grande et le bonheur sensible » - Elisabeth (uc) Icon_minitime13/6/2010, 21:13

Héhé Razz. Des livres seulement ! Le film est ... merdique :D
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MessageSujet: Re: « Plus l'amour est parfait, plus la folie est grande et le bonheur sensible » - Elisabeth (uc)   « Plus l'amour est parfait, plus la folie est grande et le bonheur sensible » - Elisabeth (uc) Icon_minitime13/6/2010, 21:26

Tout à fait... même si j'admets bien volontiers que Logan Lerman, Brandon T. Jackson et Jake Abel sont plutôt mignons dans leur genre Razz Ma scène préférée : quand Grover danse au casino :031/: +ZBAAF+
J'attends la sortie du cinquième et dernier avec impatience >< Si ça n'avait tenu qu'à moi, je l'aurai commandé en anglais depuis longtemps... Mais ya Niko et un collègue à ma mère qui les lisent aussi... et ils lisent pas en anglais Razz
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MessageSujet: Re: « Plus l'amour est parfait, plus la folie est grande et le bonheur sensible » - Elisabeth (uc)   « Plus l'amour est parfait, plus la folie est grande et le bonheur sensible » - Elisabeth (uc) Icon_minitime14/6/2010, 01:13

Encore une sangsue >< Niuh ... Mais bienvenue et bon courage pour ta fiche quand même ^^
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Lucian A. Corleone
 
SECRET DE CONFESSION
« Plus l'amour est parfait, plus la folie est grande et le bonheur sensible » - Elisabeth (uc) Tumblr_lxp2oqgn0n1qggrzno3_250

SIGNALEMENT : le démon qui gouverne les ombres de cette ville.
HABILITIES : Thaumaturgie - La main de destruction ; capacité à voir le monde des esprits, sentir la mort.
OFFICE : Chef de la mafia Italienne avec sa soeur jumelle.
SERENADE : I'm Shipping Up To Boston - Dropkick Murphys

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INFORMATIONS CONFIDENTIELLES
SOBRIQUET : Eden Memories ; Flan coco ; Pâte à choux ; La drag-queen
MISSIVES : 8449
ACTE DE PROPRIETE : Eden Memoires; tumblr

I’m gonna make him an offer he can’t refuse. LE PARRAIN
 
Lucian A. Corleone
BIG BAD BOSS Ϟ Je suis... La Drag-Queen.


Black Moon
JE SUIS:
CAPACITES:
MEDISANCES:
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MessageSujet: Re: « Plus l'amour est parfait, plus la folie est grande et le bonheur sensible » - Elisabeth (uc)   « Plus l'amour est parfait, plus la folie est grande et le bonheur sensible » - Elisabeth (uc) Icon_minitime14/6/2010, 02:00

Bienvenue heart
Joli début de fiche
Bon courage.
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MessageSujet: Re: « Plus l'amour est parfait, plus la folie est grande et le bonheur sensible » - Elisabeth (uc)   « Plus l'amour est parfait, plus la folie est grande et le bonheur sensible » - Elisabeth (uc) Icon_minitime14/6/2010, 03:43

Bienvenue ma chère ! :013/:
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MessageSujet: Re: « Plus l'amour est parfait, plus la folie est grande et le bonheur sensible » - Elisabeth (uc)   « Plus l'amour est parfait, plus la folie est grande et le bonheur sensible » - Elisabeth (uc) Icon_minitime14/6/2010, 08:52

Bienvenue, et bon courage pour la suite de ta fiche, j'aime le début en tout cas :014/:
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MessageSujet: Re: « Plus l'amour est parfait, plus la folie est grande et le bonheur sensible » - Elisabeth (uc)   « Plus l'amour est parfait, plus la folie est grande et le bonheur sensible » - Elisabeth (uc) Icon_minitime14/6/2010, 14:47

Merci ! Oui, encore une " sangsue " mais j'avais mon personnage bien en tête donc bon ... :X
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MessageSujet: Re: « Plus l'amour est parfait, plus la folie est grande et le bonheur sensible » - Elisabeth (uc)   « Plus l'amour est parfait, plus la folie est grande et le bonheur sensible » - Elisabeth (uc) Icon_minitime14/6/2010, 16:54

Bienvenue ici !
Très bel avatar. <3 Bon courage pour la fiche. ^^
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MessageSujet: Re: « Plus l'amour est parfait, plus la folie est grande et le bonheur sensible » - Elisabeth (uc)   « Plus l'amour est parfait, plus la folie est grande et le bonheur sensible » - Elisabeth (uc) Icon_minitime14/6/2010, 18:19

Je me joins aux autres pour accueillir (enfin :D) un nouveau vampire dans nos rangs.

(Ça mérite un câlin :015/: ) *SBAAAAAF*

Et pour te dire que j'aime ton vava et ce que tu as déjà écrit <3
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MessageSujet: Re: « Plus l'amour est parfait, plus la folie est grande et le bonheur sensible » - Elisabeth (uc)   « Plus l'amour est parfait, plus la folie est grande et le bonheur sensible » - Elisabeth (uc) Icon_minitime14/6/2010, 18:23

Camille Léandres a écrit:
Je me joins aux autres pour accueillir (enfin :D) un nouveau vampire dans nos rangs.

(Ça mérite un câlin :015/: ) *SBAAAAAF*

Et pour te dire que j'aime ton vava et ce que tu as déjà écrit <3
Ne t'en fais pas... Peut-être qu'un nouveau arrivera bientôt... ou pas xDDD What a Face

:sort:
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Bienvenue parmi nous =)
Enfin une collègue vampire parmi toutes ces fey xD
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