âge. 1234 ans - 34 ans en apparence date et lieu de naissance. 25 août 775 à Stockholm, Suède nationalité. il a pris la nationalité américaine nom du sire. Alastair date de l'étreinte. 5 mai 809 statut. Maître vampire discipline. obténébration niv5 état civil. célibataire lieu d'habitation. District métier. gérant du Croquemitaine, si possible étiquette qui vous est collé. Tout le monde sait que Marcus est un vampire des plus puissants et il est craint et respecté pour ça. Cependant, il apparaît aussi comme un vampire qui, bien que capable de fonder son propre clan, n’a que faire de s’encombrer de la paperasse et de s’occuper d’enfants. Il semble donc frivole et décadent, comme tout vampire se doit de l’être, mais aussi terriblement asocial dans ses heures perdues.
pseudonyme. Azraël âge. 20 ans en juillet code du règlement. Et bien, il ne manque plus que le thème musical de Dracula, prince des ténèbres, et je crois qu’on pourra commencer. avis général à propos du forum. Toujours pareil xD avatar utilisé. Alexander Skarsgård
Dernière édition par A. Marcus Leksvik le 22/6/2010, 13:40, édité 5 fois
Invité
Invité
Sujet: Re: A. Marcus Leksvik 18/6/2010, 10:55
Qui je suis
CES PETITS DETAILS QUI ME DEFINISSENT
traits de caractère. Il y a un mot qui me décrirait au mieux : libertin. Que ce soit d’esprit ou de moeurs, le libertinage me correspond comme nul autre pareil. Je remets en jeu chaque limite que l’on m’impose. Mais je le fais bien et avec finesse et raffinement. Je ne suis pas un gros bouseux qui débarque avec ses gros godillions plein de merde ! Et oui, je n’ai pas ma langue dans ma poche non plus ! La franchise fait partie de mes qualités. Pour certains, ça apparaît comme un défaut… mais c’est seulement qu’ils ont peur de voir la vérité en face ! On peut également me qualifier de coquin et débauché. Je lui suis, ça, il n’y a aucun toute, mais il ne faut pas oublier une chose cruciale : je suis toujours très cultivé et raffiné dans mes actes. Bon, je vous l’accorde, il m’arrive d’être brutal et violent… mais après plus de mille ans d’expérience, on ne peut pas toujours se contenir… Ce serait l’Enfer sur Terre. Sinon, il m’arrive aussi d’être sage et patient, mais ça n’arrive guère. En fait, pour la patience, je suis un roi dans ce domaine. J’ai appris, avec les années à l’être afin d’obtenir ce que je voulais. Dans ma jeunesse, j’ai bien trop payé le coût de mon impatience juvénile. Je voulais tout, tout de suite, et ce n’était pas le meilleur moyen d’arriver à mes fins, croyez-moi ! Au lieu d’y aller toute en finesse et de finir comblé, je fonçais dans le tas et étais souvent bien obligé d’achever vite fait bien fait ma victime. Bref. Je ne suis également pas un très grand bavard, surtout que je ne suis pas en “mode séduction”. De plus, je ne suis pas du genre à dévoiler mes émotions sur mon visage comme on les lirait dans un livre. La plupart du temps, j’ai un visage fermé, inexpressif. J’ai beau être heureux, triste, dépressif ou hilare, j’aurais toujours la même tronche. Sauf, encore une fois, lorsque je suis en “mode séduction”. Non, vraiment, lorsque je ne suis pas en quête d’une proie, je suis vraiment asocial comme type. Je ne parle pas, je ne bouge pas… et je suis du genre à bouffer sur l’espace vital des gens lorsque je ne me pose pas à des kilomètres d’eux. Très peu réceptif à l’humour sauf au mien, ça n’arrange pas les choses. D’autant plus que mes blagues datent de quelques siècles alors... Oh et puis, de temps en temps, il m’arrive de céder à une cruauté telle que je ferais peur à n’importe qui. Il n’y a bien que Lorenzo qui arrive à me calmer, aller savoir pourquoi. Ah, il y a aussi mon (ma) marqué(e) qui y parvient. Mais bon. Ce doit être les réminiscences de mes années d’humanité. Vous savez, à cette époque, c’était sauvage. Il m’arrive donc de l’être encore… Et si jamais vous me croiser dans ces moments-là… A vous de courir très vite vous réfugier dans un trou, sinon je ne garantis pas votre survie. occupation nocturne. Pendant la nuit, la plupart du temps, je me contente de tenir le Croquemitaine. Mais il m’arrive de ne pas faire que remplir des papiers… J’ai une sainte — sans jeu de mots — horreur de ça ! Pour tout dire, mon bureau est souvent habité par une jolie demoiselle qui vient s’asseoir sur mes genoux… ou devant. Il faut bien que je me laisse aller à mon art de temps en temps, n’est-ce pas ? Du moment que j’ai rempli et rendu les papiers à temps pour ne pas que le Maître me tombe sur le poil, tout va bien ! Alors pourquoi se prendre la tête ? manie, habitudes & goût. Les manies, habitudes et goûts varient tellement avec le temps. Il fut un temps où j’appréciais grandement les femmes blondes avec de jolies formes là où il fallait. Pas ces allumettes que l’on voyait sur les podiums aujourd’hui. Enfin, autrefois, il y a bien longtemps, je n’avais que ces sulfureuses blondes à me mettre sous la dent. Pensez-y, la Suède, terre des Vikings, il y a de ça plusieurs siècles en arrière… on ne pouvait pas vraiment dire que mon peuple était des plus diversifié… Encore maintenant, d’ailleurs, mais bon. Que dire… Maintenant, j’aime tout autant ce genre de femmes. Mais j’ai découvert le feu piquant des brunes et la douce chaleur des rousses. Il y eut aussi quelques cheveux bleus et verts… mais c’était une drôle d’époque, je vous assure. Non, mes goûts ne se résument pas à une “classe” de femmes. Il y a ces petites choses qui, associées différemment, sur différentes toiles blanches, rendaient une femme séduisante. Je n’avais pas de genre particulier. Je fonctionnais un peu au feeling, comme on dit maintenant. Ah, j’oubliais. Car bien entendu, pour un homme, il est normal de parler de femmes. Mais elles ne sont pas tous… Oui oui, on me dira qu’elles engendrent, perpétuent la vie… Mais pas pour les vampires… Alors pourquoi ne pas s’adonner à ces plaisirs charnels avec d’autres hommes ? C’est délicieux également ! Pour ce qui est de mes autres goûts… que dire ? Franchement ? On ne demande pas à un vampire s’il préfère les pâtes bolognaises ou carbonara ! J’étais déjà mort quand on a inventé les pâtes… ou du moins lorsqu’elles se sont importées en Europe. Non… Que vous dire d’autres…? J’aime le noir, le blanc et le rouge sang. Logique. J’ai une certaine affinité avec le bleu sous toutes ses nuances également. Car il me rappelle toutes ces variétés présentes dans mon pays d’origine… du ciel jusqu’à la mer vous avez toute une palette des plus gracieuse. Mes manies. Je n’ai pas de manie. Ou peut-être une ou deux. Mais sans plus. J’ai cette manie de me refermer comme une huître lorsque je ne suis pas en passe de séduire quelqu’un. J’ai cette manie irrationnelle de vouloir toujours que mes cheveux soient bien coiffés. Vraiment terrible, n’est-ce pas, d’avoir un cheveux de travers ?! Affreux. Sinon, je ne peux m’empêcher d’afficher cet air royal et supérieur que je n’aime pas quelqu’un ou que je le juge inférieur… A vrai dire, avec moi, tout le monde l’est un peu, alors… Habitudes. J’ai l’habitude de toujours m’habiller avec grand soin et goût. Des costumes de créateurs. Des jeans griffés, des chemises marquées de grands noms. Disons qu’au fur et à mesure, dérobant des noms et des fortunes, je me suis formé un joli petit pécule que je dépense à ma guise. Quoi de mieux ? D’autant plus que je gagne encore de l’argent grâce au Croquemitaine. Il est étrange de travailler alors que je n’avais qu’à claquer des doigts pour obtenir tout ce que je souhaitais il y a quelques années de cela. Mais bon, il faut bien évoluer avec son temps… Surtout depuis la grande Révélation. Bref. Peu importe comme je m’habille, je suis toujours aussi charismatique et renversant… Même nu ! Ah la nudité, chose parfaite dans ce monde. On n’a pas besoin de s’alourdir de vêtements… Ma tenue préférée est encore bien celle-ci… Surtout en de charmante compagnie. régime alimentaire. Quelle question ! Je mange les humains évidemment ! Enfin, je bois leur sang, plus exactement. Avant la Révélation, je ne me cachais pas. Du moins, pas autant. On ne cherchait pas à savoir si un vampire avait tué ce pauvre homme, ou cette pauvre femme. Car nous étions encore qu’un mythe pour eux. Maintenant, il faut faire bien plus attention lorsque nous chassons. D’ailleurs, nous ne chassons presque plus. Ou plus de la même façon. Ce n’est plus de la chasse, c’est de la séduction, du charme et une sorte d’hypnose. Tout ça pour les convaincre de nous laisser boire leur sang. Donc je chasse, la plupart du temps, en séduisant mes victimes… Les femmes et hommes qui viennent au bar ont toujours envie qu’un vampire les morde alors… Sinon, dans mes instants de rage intense, je peux être un véritable animal… conviction. Ah… La grande révélation… Si j’aime ? Là est toute la question. Je ne sais pas vraiment. Avant, on pouvait faire tout ce que l’on voulait. Mais si on nous prenait, on se faisait tuer froidement et simplement. Coupé la tête ou brûlé vif… Chaque époque avait son idée là-dessus. Maintenant, on a droit à un procès en bonne et due forme. Est-ce que c’est mieux ? J’en sais rien… Mais une chose est sûre, malgré le regain d’envie et d’attraction de la part des humains pour notre communauté, nous avons perdu un peu de ce mystère obscur qui nous entourait… Et ça, ça me déplaît un chouya. Ouais, juste un chouya. signes particuliers. Un signe particulier ? A part que j’ai plus de mille ans et que je suis sujet à des crises de colère passagères ? Et bien non, rien de spécial, non vraiment. Je suis un vampire au trouble comportemental, avec une éducation viking et qui a vécu à travers plusieurs époques en en prenant toujours le meilleur, échappant aux Inquisiteurs et au bûcher.
Dernière édition par A. Marcus Leksvik le 19/6/2010, 21:23, édité 6 fois
Invité
Invité
Sujet: Re: A. Marcus Leksvik 18/6/2010, 10:56
Une histoire extraordinaire
TOUTES CES EPREUVES ONT FAIT CE QUE JE SUIS
histoire.
Je suis né, il y a bien longtemps, en Suède. Mais ça, on s’en fout. Il faut juste savoir que, à cette époque, il n’était pas notion d’enfance dorée ou de cuillère en argent dans la bouche. Non, même un fils de chef de clan tel que moi n’avait droit qu’à une éducation stricte pour être apte au commandement une fois arrivé l’âge adulte. Depuis tout petit, je suis entraîné à bien diriger, à me battre et à être le meilleur. Je savais à peine marcher que je tenais déjà un poignard pour égorger les poulets. Je me faisais la main sur des petits animaux. Parfois, après sa journée, mon père s’amusait avec moi, fier comme un paon que son fils soit si prometteur. Je n’y pouvais rien à cette époque. Je faisais ce qu’on me disait, et je ne connaissais que ça. Je ne pouvais me rebeller. Oh, je voyais bien certains de mes amis s’amuser dans la boue après un jour de pluie, pendant que j’étais en train d’étudier nos lois dans un vieux bouquin qui sentait le moisi. Mais je savais également que, plus tard, ce serait moi qui leur donnerais des ordres, qui les guiderais lors des épreuves. Et ils le savaient aussi. Ça ne me confortait que plus dans la solitude de l’apprentissage. Certes, je ne dis pas que je n’ai jamais pensé à “sécher” ces cours pour aller gambader dans un champ d’orge. Mais j’ai toujours su que je devais le faire. Si je ne le faisais pas, qui le faisait ?
A mon adolescence, j’étais le meilleur guerrier de tout le clan. Je pouvais établir des stratégies, des plans de bataille mieux que quiconque. Si bien que, lors des batailles avec les autres clans, mon père faisait souvent appel à moi pour le conseiller. Oh, il ne m’envoyait jamais sur le terrain, par peur de perdre son seul héritier, sûrement, mais je passais mon temps à combattre avec mes camarades. Les fils des plus proches Vikings de mon père. Ce n’était pas vraiment des amis. On le savait tous. Depuis ma naissance, on leur rabâchait, et on me rabâchait, que j’étais destiné à les commander et à être leur chef. Il y avait donc toujours eu une certaine distance entre eux et moi. J’étais mieux éduqué, mieux nourri, mieux logé. J’étais le fils du chef. Je passais mes journées à m’entraîner à l’épée et à mettre au point des stratégies diverses.
Plusieurs années plus tard, mon père mourut. J’avais vingt ans un peu passé… ou quelque chose comme ça. Il n’y avait pas vraiment de registres à l’époque. Je ne sais pas vraiment à quel moment il est passé de vie à trépas. Tout ce que je me rappelle, c’est que cet instant que je suis devenu chef du clan. Moi, jeune crétin — bien très bien éduqué —, j’allais diriger tout un clan, dont plus de la moitié étaient plus vieux que moi. Pour encore arranger les choses, une guerre n’allait pas tarder à approcher. Elle n’était pas encore là, mais d’après les rapports des éclaireurs envoyés à travers tout le pays, les autres clans remuaient bien trop pour une simple manoeuvre pour aller se réfugier dans les montagnes pour l’hiver. Je n’aimais pas du tout ça. Pourtant, on fêta comme il le fallait mon mariage avec la fille d’un ancien ami de mon père. Elle était sublime. Ses longs cheveux blonds cascadaient dans son dos comme une rivière de miel. Ses grands yeux bleus illuminaient l’obscurité lorsqu’elle me regardait au réveil. Elle était vraiment divine. Ses hanches étaient bien pleines, parfaites pour porter des enfants. C’était une journée merveilleuse. Tout le village était en fête, tous buvaient à foison, dansaient, s’embrassaient. Quant à moi… J’ai passé la nuit avec ma femme. Sans vraiment avoir de dieu qui nous interdisait d’avoir des relations sexuelles avant le mariage, c’était un peu comme une tradition chez nous. Il était vrai que, si un homme n’était pas marié en allant à la guerre, il se pouvait qu’il profite de la victoire sur un autre clan pour assouvir cette pulsion primaire. Ce n’était pas mon cas, vu que mon père avait toujours veillé à ce que je reste en retrait. J’ai donc découvert les joies de la douce chaleur d’une femme ce soir-là.
Elle me donna trois enfants. Un fils, deux filles. Evidemment, mon fils eut la même éducation que celle que j’avais eu. Sauf que je jouais bien plus avec lui que mon père ne l’avait fait avec moi. Je jouais avec mes trois enfants comme si j’en étais moi-même un. Je faisais voltiger mes petites filles et les autorisais à assister aux leçons de mon garçon. Pourquoi, alors que les femmes étaient cantonnées à la maison dans mon peuple ? Parce que j’aimais les femmes au fort caractère comme ma femme. Et, si elles pouvaient lire et écrire en plus de ça, ça ne pouvait être que mieux. Les Anciens ne le voyaient pas d’un bon oeil mais, en chef viking, j’étais assez cruel et autoritaire pour faire taire toute revendication. Et la guerre arriva. Cette guerre qui menaçait plusieurs clans avec lesquels nous étions alliés. Ils s’étaient tous rassemblés sous notre bannière. Toute l’issue de la guerre reposait sur mes épaules. J’avais trente-quatre ans. Il y eut de nombreux conseils de guerre, réunissant tous les chefs et les conseillers de nos alliés. Le temps que nous nous organisions et nos ennemis étaient à nos portes. Enfin, façon de parler. Car la bataille se déroula sur un lac gelé. Je portais un lourd manteau en peau sur mon torse nu. Nous nous étions ornés de peintures, de motifs vikings sur le visage et la moindre partie de peau à l’air libre. Nous avons combattu durant des heures. J’ai encaissé tout autant de coups que mes soldats. Mais finalement, à mon grand malheur, les miens tombaient comme des mouches. Lorsque je vis le chef de la délégation ennemie, toute la terreur du monde s’abattit sur moi. J’étais peut-être l’un des plus grands de mon clan, l’un des plus forts et rapides, mais cet homme, là, c’était un monstre. En regardant ses prunelles d’un brun presque maléfique, c’était comme si je voyais la mort en face. J’étais paralysé de peur. Et il m’embrocha de son arme mon coeur trépidant.
Au dessous de moi, je sentais le lac gelé. Je pouvais à peine bouger. Juste respirer et remuer quelques doigts, bien qu’ils soient terriblement engourdis. A chacune de mes inspirations, je sentais mon manteau se tendre, collé par le froid sur l’eau gelée. Au dessus de moi, les étoiles et un ciel noir d’encre avaient remplacé le ciel limpide sous lequel nous avions combattu. Les étoiles se teintaient de rouge. Je savais, pourtant, qu’elles étaient blanches, ou jaunes. Mais jamais rouges. Je ne pus froncer les sourcils. Je sentais le sang qui s’écoulait toujours sur mon torse par le trou béant qui s’y trouvait. Il se figeait sur les bords, à cause du froid. Mes mamelons avaient durci, aussi à cause du froid. Mon souffle se faisait saccadé. Je sentais le sang envahir mes poumons depuis plusieurs minutes déjà. Tout était calme. Il n’y avait plus ce raffut causé par les lames s’entrechoquant. Plus que le silence de la mort. Ici et là, je pouvais percevoir la respiration faible de mes compagnons et de mes ennemis qui n’étaient pas encore morts mais que, avec un peu de chance, le froid allait achever. Un cri. D’horreur et de douleur. Un cri qui s’étouffa dans un gargouillis peu ragoûtant. Malgré la paralysie de la mort et du froid, je me mis à frissonner. Il y avait là, une ombre qui se déplaçait dans l’obscurité en silence, un silence pire que celui de la mort. Seuls mes yeux bougeaient de tout côté pour me renseigner sur la créature qui faisait hurler mes compagnons d’infortune. Mes doigts engourdis par la mort cherchèrent mon arme. Un grand bruit, une chute m’empêcha de m’en saisir. Un corps mort était tombé à demi sur moi. Je ne pus m’empêcher de pousser un petit gémissement. Alors, l’ombre se pencha vers moi. Son regard, vert émeraude, s’ancra au mien, luisant d’interrogation et intrigué. Il m’adressa un sourire et malgré son corps bien plus frêle que le mien, il me hissa sur son épaule, me tirant un gémissement de douleur.
De cette nuit-là, je ne me souvenais plus grand chose. Je m’étais évanoui et quand je m’étais réveillé, je me trouvais dans une grotte. Etrangement, je me sentais bien mieux que lorsque l’inconnu m’avait enlevé du monceau de cadavres dans lequel je baignais. Je me sentais vigoureux, fort, rapide, habile et vivant. J’aurais du être mort. Je me vidais de mon sang dans le froid il y avait, me paraissait-il, à peine quelques heures. Mais j’étais bien vivant, là, dans cette caverne qui m’abritait de la pluie du dehors. Les étoiles me parurent plus brillantes que jamais lorsque je me suis levé pour m’approcher de l’ouverture béante. Tout semblait terriblement plus beau dehors. Je décelais des détails que j’aurais été incapable de deviner un peu plus tôt. Un lapin passa en galopant dans les fourrés. J’ai voulu me jeter en avant pour le poursuivre mais, dans un relent d’humanité, je m’étais arrêté de moi-même. Cette soif de sang qui venait de me saisir à la gorge… Ce n’était pas normal. Une main se posa sur mon épaule et je voulus la saisir pour faire une clé de bras à celui qui me surprenait dans ma bizarrerie. Mais il fut plus rapide que moi et s’éloigna d’un ou deux pas alors que je le dévisageais. J’eus une série de flashes de souvenirs. C’était celui qui m’avait porté sur son épaule avant que je ne sombre dans l’inconscience. Là, face à face, il était bien plus petit que moi. Il m’arrivait juste à la hauteur des pectoraux. Ses cheveux bruns foncés, aussi sombres que son regard, trahissaient une origine tout autre que la mienne. Il m’adressait un sourire amical avant de prononcer quelques mots d’une voix qui paraissait si jeune face à l’éternité que je voyais dans son regard. Comment vas-tu ? Tu dois avoir soif, n’est-ce pas ? Puis il s’écarta légèrement et me désigna une paire de cadavres. J’allais me tourner vers lui avec un coup d’oeil interrogateur quand je vis les deux poitrines se soulever dans un souffle. Je les ai gardés en vie pour toi, dit-il. Les garder pour moi ? Mais pour quoi donc ? Je l’ai regardé se mouvoir avec plus de grâce qu’une femme vers les deux hommes allongés. D’un coup d’ongle, il traça un sillon sanglant sur la gorge du premier. Aussitôt, l’odeur du sang envahit tout mon être et je fis un pas malgré moi avant de me figer. Approche mon enfant, c’est dont tu as envie et dont tu as besoin. Ne lutte pas contre ta nature.
Et je m’étais approché, je m’étais penché sur ce corps mourant pour l’achever en buvant son sang. J’avais pensé que c’était écoeurant, dégoûtant… mais ça avait bien meilleur goût que le plus divin des hydromel de notre clan. C’était doux, chaud et revigorant comme une boisson des dieux. Je n’avais jamais goûté rien d’aussi bon. Mon Sire, comme on appelle son créateur de nos jours, Alastair, m’avait même fait chasser une biche et un lapin, pour me prouver que le sang de ceux qui furent les miens autrefois était le meilleur. Et je le crus bien volontiers. Il m’avait tout de même assuré que, si les temps devenaient durs pour nous, il faudrait nous rabattre sur les animaux. Notre existence, bien que dénuée de toute limite, devait rester secrète pour que notre petite équipée et les autres survivent à travers les âges. Alastair resta auprès de moi durant de longues années pour m’apprendre tout ce qu’un vampire — car c’était bien ce que j’étais devenu, même si le mot n’avait pas encore été inventé — se devait de savoir. Il était, pour moi, à la fois un père, un frère, un fils et même un amant, moi qui n’avais jamais goûté aux plaisirs charnels avec des hommes.
Et puis un jour, il est parti. Je me suis réveillé dans notre lit, dans le château que nous habitions à l’époque, seul. Je l’ai cherché, choquant nos servantes par ma nudité, cherché dans tout le bâtiment sans pour autant le trouver. Avait-il estimé que je n’avais plus besoin de ses conseils, des ses caresses et de ses baisers, ou s’était-il seulement lassé de moi ? Il m’avait transformé, m’avait-il appris car il se sentait seul. Maintenant, c’était lui qui était parti, et moi qui me sentais terriblement seul. Je me suis habillé. Et je suis parti. Laissant tout le reste derrière moi, je suis parti, je me suis détourné de ce palace que nous avions partagé, de ce plaisir, de cette luxure intense pour m’enfuir au loin. J’ai alors connu les premiers pas de la Chine — qui en fait été déjà bien plus évoluée que l’Europe — et du Japon. J’ai même été me réfugier dans ces temples aux formes bizarres dans la montagne qu’on appelle maintenant le Mont Everest. J’y suis resté longtemps, apprenant la sagesse et la tempérance, la patience et le calme, remplaçant la colère, la sauvagerie et l’impulsivité qui m’avaient gagné au départ d’Alastair. Et puis, une fois que je fus en accord avec moi-même, et après m’être nourri de lamas et de quelques prêtres bouddhistes, je suis retourné en Europe. Malheureusement pour moi, je suis arrivé en pleine Inquisition espagnole. Je me suis alors dissimulé aux yeux des hommes. Je ne me nourrissais que de rats et de petits mammifères comme les chats, les chiens. Alastair m’avait parlé de ces coups durs à passer. Celui-ci en était un énorme.
Un jour, ça s’est calmé. J’ai pu sortir de nouveau, arpenter les rues et les bars pour trouver de nouvelles proies. Avec cette nouvelle époque venait le libertinage de moeurs et d’esprit. C’était vraiment une magnifique époque. J’ai multiplié les conquêtes d’un soir, ne me nourrissant forcément de tous, ou ne les tuant pas tous. Après tout, qui les croiraient ? Tout comme moi, ils étaient déjà coupables de libertinage… alors s’ils venaient à raconter qu’un homme les avait violemment mordus pendant l’acte, qui s’en soucierait ? Les moeurs des libertins étaient parfois un peu douteuses. Et puis ils aimaient ça. Que ce soit les hommes ou les femmes, la douleur de ma morsure se mêlait au plaisir du sexe comme de luxueux amants. Oh oui, ils aimaient tous que je les morde. Ce ne fut pas une période très dur pour moi. Mon lit et ma gorge étaient remplis chaque nuit, et au petit matin, j’avais toujours une crypte où aller m’endormir pour la journée.
La France. Ce fut toujours un pays que j’ai adoré. Je ne suis jamais vraiment pourquoi mais j’y étais resté pendant de longues années et voilà que j’y revenais à nouveau. On était maintenant au XVIIIème siècle ou quelque chose comme ça. Je n’étais pourtant pas très fan des tenues que portaient les hommes à cette époque, même si on me disait que j’étais le plus beaux des hommes ainsi vêtu. J’étais toujours tiré à quatre épingles, sauf quand cela faisait un peu trop de temps que j’errais dans un café. C’était d’ailleurs dans l’un d’eux, à Paris, que je rencontrais l’un des mieux. Oh, ce n’était pas la première fois depuis ma longue existence, mais celui-ci me marqua plus que les autres. Je l’avais senti entre deux donzelles sur mes genoux. Il sentait le sang et la mort, pour tout odorat aussi fin que le mien. Je le suivais des yeux, la plupart des femmes aussi. Mais, au-delà de ce qu’elles pouvaient bien voir chez lui — un superbe brun ténébreux aux yeux aussi bleus que les miens —, je décelais de la peine à vous en fendre le coeur. D’une fessée sur les fesses, je chassais celles qui me tournaient autour pour aller m’attabler avec le nouvel arrivant. Là, directement, je plantais mon regard dans le sien. Il avait vraiment l’air perdu. Là, dans ce café, nous avons commencé à discuter. Oh, il n’était pas bien bavard au début, réticent à confier ses petits secrets à un inconnu. Mais j’étais comme Alastair à l’époque où il m’avait transformé. Cela faisait de longues années que j’errais à travers le monde, seul, et la solitude se faisait ressentir. J’ai été patient, habile dans mes mots, pour lui faire avouer son chagrin. Ça ne fut pas une chose facile. Mais une fois accomplie, j’ai enfin pu le soutenir un peu. Je l’ai emmené dans des endroits où il oublierait, du moins pour un temps, la mort de son aimée, assassinée par son Sire. C’était tragique. Alastair n’avait fait que me cueillir, à moitié mort, sur le champ de bataille. Il n’avait pas touché à ma femme et à mes enfants. Là, la Sire de Lorenzo — car tel était son nom — avait tué celle qu’il aimait, comme jalouse d’une humaine.
La jalousie avait toujours été un concept que j’avais eu du mal à saisir. Je n’avais jamais été jaloux. Lorsqu’Alastair et moi ramenions une proie à la maison, nous la partagions toujours équitablement, aucun de nous deux n’avait droit à plus que l’autre. Et, une fois celui-ci parti, j’avais tellement vu de femmes et d’hommes dans mon lit que je ne pouvais pas être jaloux. Mais je pouvais parfaitement comprendre la douleur de Lorenzo. J’essayais par tous les moyens de le détourner de son chagrin. Les femmes, même des hommes parfois, ma connaissance sur les époques passées… Il semblait friand de toute information que je possédais. Il désirait que je lui raconte comme était-ce, là-bas, dans mon pays d’origine. Je n’aurais pu lui répondre avec des mots, alors je l’y ai emmené. Je lui fais visiter presque chaque ville, chaque province que j’avais foulé de mes pas un jour ou l’autre. Et son chagrin s’atténuait peu à peu. Lorsque celui-ci ne fut plus si handicapant, il décida de me quitter. Mais au moins, lui, il me prévint. Je le laissais partir. Je n’avais aucun droit de le retenir auprès de moi.
Après son départ, j’ai décidé d’aller en Grèce. Ce n’était pas facile d’y vivre, il y faisait souvent très chaud et l’été était terrible pour un vampire que moi. Mais leurs dieux, presque aussi nombreux que les miens, étaient tout aussi fascinants. J’aimais me plonger dans cette mythologie, arpentant les panthéons de nuit, contemplant les étoiles en y cherchant Hercule. Depuis plusieurs siècles, je m’étais pris de passion pour la mythologie. Après être resté un bon siècle en Grèce, je partis pour l’Italie avant de m’arrêter longtemps en Turquie. Babylone. J’aurais aimé l’avoir vue sur pieds, magnifique et fière. J’étais un grand fan d’histoire antique. On aurait pu croire que quelqu’un ayant vécu plusieurs époques se fichait pas mal de l’Histoire mais non. Ce n’était pas mon cas. J’aimais parcourir les pays pour me plonger dans leurs récits tous plus passionnants que les autres. Je m’étais même installé un moment en Egypte. Et puis j’ai décidé d’aller visiter ce Nouveau Monde, comme les hommes l’appelaient. Là-bas aussi, il y avait des peuples ancestraux. Malheureusement, les colombs avaient tout réduit à néant lors de leur découverte.
Et puis il y eut la grande Révélation. Les vampires dévoilés au grand jour. Non ! Où allait donc passer notre mystère ? Du Canada où j’avais élu domicile, j’avais entendu que Lorenzo était devenu Maître de la ville, dans une petite bourgade de Louisiane. J’ai alors opté pour le rejoindre. Il me connaissait, je le connaissais, nous nous connaissions et faisions confiance. Malgré le fait que j’étais bien plus âgé que lui, il savait que je ne convoiterais pas son statut. Malgré le rôle de grand frère que j’avais joué à ces côtés, j’avais toujours été plus frivole que lui... test rp. J’étais tranquillement installé dans mon office au Croquemitaine. Les pieds croisés sur le bureau, je regardais une jeune femme, assise dans un fauteuil en face de moi. Elle était jolie. Blonde comme les blés, ni trop grande, ni trop petite. Des jolis et grands yeux marrons à faire fondre n’importe qui. Je détaillais vite fait ses courbes pour ce que je pouvais en voir. Sur le bureau était ouvert son dossier contenant lettre de motivation, CV et toutes sortes d’autres choses qui m’étaient plus ou moins inutiles. Elle avait déjà été danseuse dans d’autres établissement. Savait-elle que les humains embauchés pour servir des vampires finissaient pour la plupart par se faire croquer ? Oh, ils ne les tuaient pas, c’était mauvais pour le business — celui qui osait aller trop loin de faisait éjecter à grand coup dans le derrière — mais ça ne les empêchait pas de prendre quelques gorgées. La demoiselle devant moi ne ressemblait pas à une mordue. Elle n’était pas vêtue de noir gothique, et ne portait pas un maquillage outrageusement noir. Pourquoi tout le monde pensait donc que les vampires étaient fan de toute cette fumisterie gothique ? Non, moi je ne portais que peu de noir. Aujourd’hui, par exemple, j’affichais un superbe costume gris anthracite. Ma chemise était peut-être sombre mais si on avait l’oeil affûté, on pouvait deviner qu’elle était bleue et non noire. J’ai décroisé mes longues jambes pour les glisser sous le bureau. Penché légèrement en avant, les coudes sur le dossier que j’avais à peine survolé, je la regardai. J’ose imaginer que tu as de l’expérience dans le domaine ? Car, vois-tu, et tu dois sûrement le savoir, sinon tu serais une sombre idiote, mes clients sont des vampires. Ils ont parfois des siècles derrière eux… alors je peux te dire qu’ils s’y connaissent en danse. Si tu n’es pas à la hauteur, tu ne feras pas long feu ici. Je lui adressai un sourire carnassier, dévoilant à peine la pointe de mes canines aiguisées. J’étais moi-même vieux de plusieurs siècles et j’avais visité tant de pays que je connaissais la danse comme si elle avait été la plus douce des compagnes. Je lui ai alors intimé de se lever et de me faire une petite démonstration. Me calant dans mon siège, les mains croisées sur mon ventre, je la regardais se déhancher.
Elle se déplaça langoureusement jusque derrière le bureau et allait se vautrer sur mes genoux, prenant appui sur les accoudoirs de mon fauteuil, penchée sur mes lèvres, quand on frappa à la porte. Deux secondes après, un vampire pénétra dans la pièce et je le fusillai du regard. Je sentis la demoiselle qui voulait se relever. Plongeant mon regard dans le sien, je lui murmurai 3 mots. Ne bouge pas. Elle se figea comme si, par mes simples paroles, je l’avais changée en statue de cire. Désolé de vous déranger, Monsieur, mais il y a là une dame qui exige de vous voir. Maintenant. Je lui lançai un regard blasé avant de caresser doucement les cheveux de la danseuse. Et bien elle attendra, je n’ai pas encore fini avec la demoiselle ici présente. Il allait protester mais je le réduisis au silence d’un regard. Une fois l’intrus sortit de mon bureau, je fis signe à la blondinette de poursuivre. Elle se frotta alors contre moi, collant son entrejambe contre la mienne, mordillant mes lèvres, le lobe de mes oreilles avant de se laisser tomber lentement, très lentement, au sol. Malgré ses vêtements qui ne saillaient pas vraiment pour l’occasion, j’avais bien senti toutes les courbes de son corps. Elle se redressa et s’appuya contre le bureau, tendant une jambe nue — qu’avait-elle fait de son pantalon ? — sur mon torse. Avec un sourire charismatique, je me redressai à mon tour pour la plaquer contre le bureau. Je laissai mes mains parcourir son corps comme la caresse d’une plume, penchant mon visage vers son cou si frêle. Je lui tirai un gémissement d’envie. Un sourire fleurit sur mon visage alors que je remontai jusqu’à son oreille. Vous êtes engagée, Miss Andrews. famille. Ma famille, je veux dire ceux qui furent mon sang et ma chair, a disparu depuis bien longtemps. Je fus transformé à 34 ans. Ma femme, mes enfants, ont du mourir des années plus tard. Mais ils sont morts maintenant. Je ne sais pas si ma lignée s’est poursuivie jusqu’à aujourd’hui, et si elle s’est exportée aux Etats-Unis, ou si elle s’est éteinte. Je n’en sais rien. Et, à vrai dire, je m’en fiche. Ma vraie famille, maintenant, c’est Lorenzo et les quelques autres vampires à son service. Lorenzo est comme un petit frère pour moi.
Dernière édition par A. Marcus Leksvik le 22/6/2010, 13:39, édité 21 fois
Invité
Invité
Sujet: Re: A. Marcus Leksvik 18/6/2010, 10:58
+1 just in case ><
Invité
Invité
Sujet: Re: A. Marcus Leksvik 18/6/2010, 11:06
Bienvenue Mr. Le Vampire ! Bon choix d'avatar & bonne continuation pour ta fiche.
:035/:
Invité
Invité
Sujet: Re: A. Marcus Leksvik 18/6/2010, 11:07
Merci Trésor :014/:
Invité
Invité
Sujet: Re: A. Marcus Leksvik 18/6/2010, 11:13
(re)Bienvenue et (re)bon courage pour ta fiche :56: Bon choix d'avatar :036/:
Invité
Invité
Sujet: Re: A. Marcus Leksvik 18/6/2010, 11:14
Merci Miss Rydgeway
Invité
Invité
Sujet: Re: A. Marcus Leksvik 18/6/2010, 11:21
LIAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAM :025/:
humh... (Re)Bienvenue ^^
Invité
Invité
Sujet: Re: A. Marcus Leksvik 18/6/2010, 12:25
Nikola Benson a écrit:
LIAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAM :025/:
humh... (Re)Bienvenue ^^
*a failli avoir la même réaction ûu *
Rebienvenue
Essaie d'être sage, ici, hein? xD
Invité
Invité
Sujet: Re: A. Marcus Leksvik 18/6/2010, 13:08
Kseniya Alexandrovna a écrit:
Nikola Benson a écrit:
LIAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAM :025/:
humh... (Re)Bienvenue ^^
*a failli avoir la même réaction ûu *
Rebienvenue
Essaie d'être sage, ici, hein? xD
:013/: Lui, sage? tu crois que c'est possible? :024/: :lol!:
Invité
Invité
Sujet: Re: A. Marcus Leksvik 18/6/2010, 13:15
Libertin comme je suis, je ne risque pas vraiment d'être sage, mon ange :014/:
Invité
Invité
Sujet: Re: A. Marcus Leksvik 18/6/2010, 14:07
Utaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaah *_* BIENVENUE <3
Invité
Invité
Sujet: Re: A. Marcus Leksvik 18/6/2010, 14:12
Nikola Benson a écrit:
Kseniya Alexandrovna a écrit:
Nikola Benson a écrit:
LIAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAM :025/:
humh... (Re)Bienvenue ^^
*a failli avoir la même réaction ûu *
Rebienvenue
Essaie d'être sage, ici, hein? xD
:013/: Lui, sage? tu crois que c'est possible? :024/: :lol!:
Nian ûu Mais... Juste à titre d'info!
INTERDICTION DE FAIRE ELEVAGE DE HAMSTERS ICI
Just sayin' ûu
*en mode K. Lorella*
Bienvenuuuuuuuuuuuuue :014/:
Invité
Invité
Sujet: Re: A. Marcus Leksvik 18/6/2010, 14:14
Merci Miss Blackwood =)
Miss Murphy... je ne risque pas d'élever des hamsters ici... Je ne m'appelle pas Campbell :89:
Invité
Invité
Sujet: Re: A. Marcus Leksvik 18/6/2010, 14:21
A. Marcus Leksvik a écrit:
Merci Miss Blackwood =)
Miss Murphy... je ne risque pas d'élever des hamsters ici... Je ne m'appelle pas Campbell :89:
Sait-on jamais, l'instinct peut parfois être plus fort que tout
Invité
Invité
Sujet: Re: A. Marcus Leksvik 18/6/2010, 14:23
Non non xD Je me contenterai d'un harem :89:
Invité
Invité
Sujet: Re: A. Marcus Leksvik 18/6/2010, 14:25
:93:
Invité
Invité
Sujet: Re: A. Marcus Leksvik 18/6/2010, 14:27
Te voilà enfin, ma chère ! Tu t'es faite attendre !!! :024/: Quand je serais validé, faudra que je me trouve un ou une marqué(e) :69:
Invité
Invité
Sujet: Re: A. Marcus Leksvik 18/6/2010, 14:37
Excusez moi très cher mais j'ai eu un léger contre temps En tout cas, ça fait plaisir de voir ça bouille par ici *-* orgaaaamisque !! xD
:006/:
Invité
Invité
Sujet: Re: A. Marcus Leksvik 18/6/2010, 14:45
Bienvenue et bon courage pour ta fiche !
DEAD LIKE ME
SIGNALEMENT : Batard dégénéré destructeur d'innocence. HABILITIES : Nécromancie, traditions gitanes, vagabonds sujet à la possession. OFFICE : Nécromant, il a une petite clientèle et ne désire pas plus. Arrondis ses fins de mois en jouant au faussaire d'artéfacte et de grimoires. Il vent également son sang sur le marché noir. SERENADE : ULVER - Darling didn't we kill you? | Hellraiser main theme
INFORMATIONS CONFIDENTIELLES
SOBRIQUET : Eden Memories MISSIVES : 1920 ACTE DE PROPRIETE : Twixnfun; tumblr
Niklaus L. Bălan
FONDA Ϟ Pervers malsain psychotique.
Black Moon JE SUIS: CAPACITES: MEDISANCES:
Sujet: Re: A. Marcus Leksvik 18/6/2010, 16:28
Re-Bienvenue Bon courage pour ta fiche.
Pour le statut de Gérant du Croquemitaine, ce sera sans problème. Seulement il y a une condition. En effet le Croquemitaine appartient au maître de la ville, Lorenzo (on attend toujours que ce scénar soit pris... *soupire*) qui est lui aussi un maître vampire. N'ayant pas le temps de gérer le bar, il serait donc logique qu'il ai transmit la gérance à un vampire de confiance. Il faudra donc que notre cher Marcus soit en bon terme avec Lorenzo (si tu veux il y a moyens qu'on voit ensemble un lien entre lui et Lorenzo que j'ajouterais au scénar). D'un autre côté pour accepter la présence d'un autre maître vampire dans sa ville, il a bien fallu qu'ils s'entendent ces deux là. Enfin bref, ça serait pas mal que tu intègre le fait que Marcus s'entende bien avec le maître de la ville dans ta fiche. Voilou.
Invité
Invité
Sujet: Re: A. Marcus Leksvik 18/6/2010, 16:30
jolies petites fesses Marcus. (re)Bienvenue
Invité
Invité
Sujet: Re: A. Marcus Leksvik 18/6/2010, 17:52
L. Vitaly Nolan a écrit:
Re-Bienvenue Bon courage pour ta fiche.
Pour le statut de Gérant du Croquemitaine, ce sera sans problème. Seulement il y a une condition. En effet le Croquemitaine appartient au maître de la ville, Lorenzo (on attend toujours que ce scénar soit pris... *soupire*) qui est lui aussi un maître vampire. N'ayant pas le temps de gérer le bar, il serait donc logique qu'il ai transmit la gérance à un vampire de confiance. Il faudra donc que notre cher Marcus soit en bon terme avec Lorenzo (si tu veux il y a moyens qu'on voit ensemble un lien entre lui et Lorenzo que j'ajouterais au scénar). D'un autre côté pour accepter la présence d'un autre maître vampire dans sa ville, il a bien fallu qu'ils s'entendent ces deux là. Enfin bref, ça serait pas mal que tu intègre le fait que Marcus s'entende bien avec le maître de la ville dans ta fiche. Voilou.
Bien sûr que je l'aime ce Lorenzo !!! Et puis de toute façon, sans être totalement soumis à son autorité, je suis ses ordres, et je lui rends les comptes qu'il faut pour le bar donc je pense qu'il n'y a pas de soucis Mais je parlerais de cette entente avec Lorenzo dans ma fiche, c'est noté mon mignon Pour ce qui en de discuter pour un lien entre moi et lui, pourquoi pas ? On aurait pu être compagnon de voyage pendant un moment... Avant que je ne le rejoigne à Shreveport
Merci Miss Manchester
Invité
Invité
Sujet: Re: A. Marcus Leksvik 18/6/2010, 18:32
Bienvenue à toi Liamounet *sors* Attention, pas de bêtises dans mon église surtout !