traits de caractère. Le principal trait de caractère qui défini Charlie? Son impulsivité. Si on devait la résumer à un seul détail de son caractère, ce serait bien celui-ci!
Mais, entre autres, elle est caractérielle, extrêmement rancunière aussi. Mais passons les défauts. Elle est aussi gentille et agréable à vivre. Souriante, drôle et joueuse. Les fous rires ne sont pas rares dans sa bouche.
C'est une jeune femme très déterminée, une fois qu'elle a une idée en tête, il en faut beaucoup pour l'y en déloger.
Que dire d'autre? Elle ne croit plus en l'amour. Vous trouverez ça dur, surement, mais elle a été amoureuse pendant de longues années avant que son petit ami ne la quitte pour une suceuse de sang. Déjà qu'elle ne les aimait pas, ça n'a pas du tout aidé. Bref, elle a déjà failli le descendre une fois, si il se repointe, elle le bute, c'est clair?
Je vous fait peur, nan? Vous inquiétez pas, elle est toute à fait charmante avec la plupart des gens, si l'on excepte les vampires, les marqués et toute autre personne qui fricote avec les sangsues.

occupation diurne. Encore heureux qu'elle ait un boulot, elle deviendrait insupportable sinon. Elle n'est pas hyperactive, mais pas loin, il faut bien l'avouer. Si elle ne faisait rien de ses journées, elle deviendrait folle. Comme un lion en cage. Euh non, une panthère excusez-moi.
Depuis quelques années maintenant, elle bosse comme exécutrice pour le B.I.A.S. Pourquoi? Parce qu'elle en veut aux vampires. Surtout les salauds qui se croient au-dessus des lois. Mais pas que. Cette pétasse qui lui a piqué son Jimmy aussi. Elle, peu importe si elle est dans les clous niveau légal, je crois qu'elle passera un mauvais quart d'heure quand elle la retrouvera.
Elle se fiche que sa vengeance puisse lui couter son job. Elle n'en a rien à fiche. Charlie, elle est comme ça, elle s'attache pas aux choses matérielles. Et sa vengeance, c'est quelque chose qu'elle a dans le crâne depuis longtemps.
Bref, sinon, en dehors de ce métier peu commun et de la poursuite de sa vengeance, Charlie est une jeune femme tout à fait normale, aux habitudes toutes à fait normales. Cinoche, shopping, sport, cuisine. Un peu de tir aussi.
Donc, la jeune femme tout ce qu'il y a de plus banal, n'est-ce pas?

manie, habitudes & goût.  Le matin, le réveil, prendre une douche, trainer dans la cuisine pour le petit déjeuner. Bref, un démarrage en douceur, c'est la clé d'un bon début de journée. Après, vient le nettoyage de son arme, primordial. Par la suite, enfilage des bottes, du blouson, glisser son revolver dans son holster dorsal, bien caché et puis partir au boulot. C'est la routine obligatoire du matin, en semaine. Sinon, si quelque chose dans tout ça n'est pas fait, ou pas comme il faut, il y a des chances qu'elle soit de mauvaise humeur pour le reste de la journée.
De même, elle refuse de manger un repas sans viande. La viande c'est capital. Elle est presque carnivore. Mais elle aime les pomme de terre et les pâtes aussi. Sans oublier les bonbons – surtout les sucettes – et puis quelques fruits frais de temps en temps. Bref, il n'y a que les légumes qui ne sont pas son truc.
Elle aime avoir sa solitude et qu'on respecte son espace vital, mais elle peut très bien cohabiter avec quelqu'un d'autre, du moment qu'on l'embête pas trop. Et puis les chouilles entre potes, y a que ça de vrai.
Une petite manie, quand elle commence à s'ennuyer. Soit se curer les dents avec ses ongles, soit commencer à jouer avec tout et n'importe quoi. Comme un chaton avec un lacet ou une feuille qui traine par là. Bref, vous voyez.
Le soir venu, elle se promène en t-shirt-culotte-chaussettes, re-nettoie son arme et vaque à ses occupation, traine devant la télé, les choses habituelles.
En ce qui concerne ses mutations, elle refuse catégoriquement que quelqu'un la surprenne pendant qu'elle se transforme. Et elle préfère aussi aller courir seule. Elle a aussi pris l'habitude de se transformer à peu près une fois par semaine, déjà parce que ça facilite son contrôle de soit le reste de la semaine et qu'elle se sent ainsi plus épanouie, mais principalement parce que plus elle le fait régulièrement, plus elle parvient à rendre ça moins douloureux, ne serait-ce que dans sa tête.

transformation. Charlie se transforme en panthère noire. Un animal qui l'avait toujours fascinée, étant petite. Et puis, après tout, sa mère se transformait en cet animal. Et puis c'est un très bel animal. Intelligent, rusé, chasseur et joueur. Quand on voit le caractère de Charlie, on ne doute plus qu'elle devait se changer en cet animal là.
Les transformations sont plutôt douloureuses, surtout quand Charlie n'en a pas envie, qu'elle rejette le processus mais de toute façon, l'animal fini toujours par surgir. Charlie a donc depuis longtemps appris à ne pas résister. Il lui faut juste trouver un endroit tranquille où elle pourra muter et aller jouer avec des petits animaux une fois transformée. Bien évidemment, sa mère l'a beaucoup soutenue et l'aide encore par moment. Plus Charlie accepte volontiers la transformation, moins elle ressent la douleur. Il lui arrive même parfois de souhaiter pouvoir se transformer à un moment tellement la pression animale lui pèse sur les épaules sans pour autant que ce soit la faute de la furie noire à l'intérieure d'elle. Seulement, son caractère est tellement proche de celui de la panthère, que des fois la forme animale lui convient mieux. C'est comme ça.
Cependant, depuis que Charlie ne vit plus chez ses parents, elle préfère se transformer et errer sous sa forme animale en étant seule. Ne pas être déranger, sauf si un jour elle découvre un autre métamorphe panthère noire dans le coin et qu'il est amical, là ça risque d'être la fête. Et pas que, si vous voyez où je veux en venir...

conviction. Reprenons les mots mêmes de Charlie, et je crois que je vais même la laisser s'exprimer sur le sujet :

« C'est une vraie saloperie, cette révélation de merde!! Nan mais c'est qui ces abruties de sangsues qui se la ramènent? Pour qui ils se prennent? Et nous, on passe pour quoi maintenant? Le minou à sa grand-mère ou la maladie contagieuse du coin. Et plus maintenant les humains sont dans leur trip ''WE LOVE VAMPS'' . Les vampires c'est des cadavres sur pattes qui vous attirent parce qu'ils ont des pouvoirs spéciaux sur vos cervelles de demeurés. Bande de débiles, vous aimez des morts quoi. Non mais.
Enfin bref, du moment qu'ils viennent pas foutre le feu chez moi ou me faire chier pendant ma pleine lune, j'en ai rien à foutre moi. Et puis j'ai aucune intention de montrer ma truffe aux infos.
Bref, la révélation, c'est de la connerie en barre moi j'dis. »

J'avais oublié de vous prévenir, le langage de Charlie, surtout quand elle parle d'un truc qu'elle n'aime pas, ça fait mal aux oreilles.

signes particuliers.  Un collier, qu'elle porte tout le temps, cadeau de sa mère lorsqu'elle quitta la maison. Et une vieille photo qui ne quitte jamais son porte feuille. Une photo d'elle avec Jimmy, le salop :75: .

histoire. 
Je ne vais pas vous mentir, je ne me souviens pas très bien de mon enfance. Mis à part quelques moments spéciaux. Les week ends avec quand papa était là. Il était policier, et par conséquent pas souvent là. Nous habitions un petit bled pas loin de Shreveport, où Maman habite toujours d'ailleurs. On jouait comme des fous tous les trois. Et puis Maman, comme elle me l'avait dit, s'était longuement demandé ce qui aurait été le mieux, avoir un enfant métamorphe ou non. Oh, ce n'était pas une question d'en aimer un plus que l'autre, non, juste qu'elle devait se préparer à élever différemment un enfant métamorphe. Il fallait lui enseigner comment supporter et contrôler un minimum les mutations. Enfin bref, Maman ne travaillait pas, ou bien travaillait à la maison, je n'ai jamais vraiment su faire la différence en étant petite, et maintenant qu'elle a atteint l'âge de la retraire, ça n'a plus vraiment d'importance. Elle a été une mère exemplaire, et encore aujourd'hui, quand j'ai besoin d'un conseil, je n'hésite pas à aller la voir.
J'ai eu mes premiers symptômes de "métamorphisme" quand j'ai eu mes premières règles je crois... et depuis, les pleines lunes coïncident à chaque fois avec ma "mauvaise semaine du mois"...
Il n'y a que à partir du lycée que j'ai commencé à quitter la maison pour la journée entière, parce que mon établissement était à Shreveport. Au collège encore, je rentrais pour manger à midi. J'étais une assez bonne élève, je pense. Enfin, je n'ai jamais redoublé et mes notes étaient toujours un peu plus élevées que la moyenne. Mais j'étais surtout super douée en sport. Je ne m'en suis jamais vraiment étonnée. J'avais juste du mal avec les courses d'endurance : les félins sont meilleurs en course de vitesse. C'est aussi au milieu du collège que j'ai pris ma forme définitive. Sans aucune surprise, je suis devenue panthère noire comme ma mère, animal qui était déjà mon favoris quand j'ai commencé à me transformer.

Mais je crois que les moments qui m'ont le plus marqué et qui ont ensuite beaucoup influencé ma vie, c'est la découverte de Jimmy. J'étais en seconde. Le second trimestre. Un jour je l'ai aperçu avec ses copains. Je ne sais pas pourquoi – après tout l'amour ça ne se commande pas – je suis restée scotchée toute la récrée, même mes amies n'ont pas réussi à en détourner mon regard avant la sonnerie, quand elle m'ont trainée jusque dans la salle de classe.
Voilà, j'étais tombée amoureuse. Je ne sais pas comment c'est possible si vite, mais ça a été le cas. C'était étonnant. Si j'avais été une fille du genre à tenir un journal intime, j'aurais griffoné son nom partout. Comment j'avais découvert son nom? Je ne sais plus. En retenue peut être... Ah oui, je ne vous avais pas dit, j'avais beau être une bonne élève, des fois je faisais des bêtises.
Jimmy m'a seulement remarquée en première, encore une heure de retenue, une des premières, je crois. Mais c'était pas notre faute cette fois! Depuis, on ne s'est plus quitté d'une semelle. Même ma mère l'aimait bien. Et je suis sûre que papa l'aurait aimé aussi. Même si les pères sont toujours un peu plus réticents, bien sûr. Aaah... c'était une belle histoire.
Nous étions super liés. On faisait les quatre cents coups ensemble. Même quelques bêtises parfois, mais il faut les faire quand on est jeune.

You were someone special...

Aaah... Je ne vous raconterez pas tout, ce serait trop long. J'ai perdu ma virginité avec lui, sur la banquette arrière de la voiture de son père. La trouille que j'ai eu ce jour-là! Enfin bon, ce serait drôle à raconter maintenant. Ou pas. Enfin bref.

Je suis rentrée à l'école de police un an après le lycée. Je le voyais moins souvent, mais c'était toujours aussi fort entre nous. L'amour fou. Oh oui, je vous entend rire. Moi aussi j'en rit maintenant. Un rire jaune pour tout vous dire. Enfin bref.

Ça faisait déjà presqu'un an que je sentait cette odeur immonde sur ses vêtements, puis sur sa peau, partout. Et puis le voilà, la tête en pâte, il débarque comme ça, après six ans de vie de couple, il me balance qu'il veut partir avec quelqu'un d'autre.

Sorry, Baby

Une pétasse blonde ou je ne sais quoi. Je ne veux même pas savoir. En plus elle puait la salope. Mais qu'est-ce qu'elle puait. Je sais pas ce qui pouvait sentir aussi mauvais, mais ce devait pas être humain. Quoi? Ouais, je sais, la révélation n'avait pas été encore faite, mais quand on est métamorphe, on se doute qu'on doit pas être les seuls êtres bizarres de la terre, non?
Est-ce qu'il se doutait au moins du mal qu'il me faisait à m'annoncer ça comme ça?? Après SIX ANS. SIX!! Mais il avait quoi dans la tête. J'étais pas une fille à faire de grands projets d'avenir, mais au bout de six ans, on peut s'attendre à un minimum, comme commencer à emménager ensemble, ou quelque chose du genre.

...

J'étais ravagée, complètement. Je crois que j'ai même du perdre la boule à un moment. Mais qui n'aurait pas perdu la boule à ma place? Et il a de la chance que je contrôle un minimum ma furie noire. En fait, je pense que je n'ai pas ressenti le besoin de me transformer pour le déchiqueter sur place à cause de la colère ou de la détresse, tout simplement parce que ces sentiments étaient simplement les sentiments de ma partie humaine, ces choses là ne touchaient aucunement mon psychisme animal. Jimmy n'était pas le mâle que ma panthère avait choisi, elle le permettait, c'est tout.
Et puis mon arme de service – car je n'en avais pas d'autre – s'est retrouvée dans ma main comme enchantement. J'étais comme possédée, mais pas par mon animal. Juste par la violence de mes sentiments humains.

Je voulais lui faire mal, lui faire aussi mal qu'il me faisait mal. Il s'est retrouvé à genoux.

You did that to me!!

J'ai pleuré, j'ai crié, j'ai failli appuyer sur la gâchette. Je n'ai que des flashs de souvenirs de ce moment là. Je ne sais même pas comment j'ai réussi à le laisser partir sans lui trouer la peau...

Depuis cet ''accident'', j'ai bossé comme une dingue pour oublier tout ça. Oublier c'est bien. Mais je suis super rancunière (enfin, qui ne l'aurait pas été dans mon cas), et je crois que la pilule ne marchera jamais vraiment. Bref, je suis montée d'un grade et j'ai eu une augmentation durant les deux ou trois ans qui on suivi.
Et puis voilà que cette connerie monumentale passe aux infos. J'm'en rappelle bien, j'étais en convalescence à l'hosto parce que j'avais pris une balle dans l'épaule. J'étais confortablement installée dans mon pieu aux draps blancs en train de causer potins avec mon coéquipier quand ils ont interrompu mon programme pour un flash spécial. Des vampires. Nan mais ils auraient pu me trouver n'importe quoi d'autre mais pas ça. J'ai failli m'étouffer avec l'eau que j'étais en train de boire.
Après on m'a demandé si je voulais rejoindre le B.I.A.S, un bureau spécial pour la gestion des trucs surnaturels je crois. Me demandez pas ce que veulent dire les initiales, je sais plus du tout. Enfin bref, j'ai accepté, je sais pas pourquoi, mais il se révéla vite que ça pourrait peut être m'être utile pour ma petite vengeance personnelle. Ouep, la puanteur de la copine de Jimmy était bien celle d'un suceur de sang, et si elle ou lui se repointaient à Shreveport, peu importe que je doive pointer au chômage après, je crois que je fais un carton.


test rp. 
Je cours dans une ruelle sombre, j'y vois plutôt bien, l'arme au point je fonce en toute agilité alors que je sème mes collègues derrière moi. Je n'entends qu'une seule respiration derrière moi, je crois que ce type là est le seul de l'équipe à pouvoir me suivre de près après l'heure de l'apéro. Devant, un jeune débile. Un jeune vampire débile. Apparemment, il a bravé la loi, en quoi? Je ne sais pas. Mais mon boulot à moi, c'est de le poursuivre et de l'attraper. Après, si effectivement il est coupable, je me ferais un plaisir de mettre fin à son existence de sangsue.

¤ Few years ago... ¤

J'étais à l'hôpital, je me remettais doucement de ma blessure par balle à l'épaule. J'étais flic à l'époque. Et les gilets par-balles, ça a pas de manches et en plus ils sont pas toujours bien adapté à une femme. Surtout quand c'est une femme pas trop grande. En l'occurrence : moi.
Enfin bref, j'avais l'avantage de guérir plus vite que les humains, mais je souhaitais au fond de moi que ça ne se voit pas trop. Après tout, personne ne savait.
Mon coéquipier était avec moi et dégustait son mon nez un donut géant plein de sucre alors que je devais me contenter de ma ration d'hôpital. Mais bon, je dévorais mon repas quand même, il me fallait un minimum de protéines tout de même. Souvent les mecs me demandaient où j'arrivais à cacher tout ce que je mangeais dans un corps si petit. Il y en avait toujours pour répondre avec un grand sourire que c'était dans les seins ou les fesses, quoi que dixit : dans les fesses c'est plus probable! Ils se prenaient une claque amicale derrière la tête et on allait se prendre une bière (après le service, bien sûr).
Soudain, le programme diffusé par la télé s'interrompit et une journaliste apparu sur l'écran. Ça parlait d'un procès, une histoire de vampire, que sais-je encore? J'hurlais de rire et vérifiais la date. Non, ce n'était pas Halloween, ce n'était pas le premier Avril non plus... C'était une blague non? Je jetais un coup d'œil à mon coéquipier.


« Ouais, nan, c'est sérieux Charlie, ils en parlaient d'jà hier quand t'étais encore dans les vappes. »

Alors, là, c'était du problème de taille.

Depuis ce jour-là, j'avais redoublé de prudence pour cacher mon côté surnaturel. Je n'avais pas envie de devenir une bête de foire.
Quelques mois plus tard, je me faisais recruter par la nouvelle cellule spécialisée surnaturel : le B.I.A.S. Je ne demandais rien de mieux. J'avais découvert récemment ce qu'était réellement la piqueuse de petit ami, et maintenant on m'offrait un job où je pourrais traquer ses semblables qui violaient la loi en toute impunité. Bref, c'était tout benef'.
Et celui de devant devait avoir revendu trop de son sang parce qu'il trébucha là où il ne fallait et je lui tombais sur le poil. Enfin, façon de parler hein. Avec une joie non dissimulée, je lui passais les menottes avant de le confier à celui qui avait réussi à me suivre sans trop perdre son souffle.
Qu'est-ce que j'aimais ces petites courses poursuites à la nuit tombante...Ça me libérait complètement et ça faisait drôlement plaisir à ma petite panthère chérie même si ce n'était pas ses propres papattes qu'elle dégourdissaient. Mais bientôt, ce serait la pleine lune, à la fin de la semaine à vrai dire. Et la pleine lune c'était le top du top pour elle. C'est la semaine du mois où mon moi humain est le moins présent une fois transformée et là, ça lui plait. Le seul inconvénient : y a plein de monde qui se transforme ce jour-là. Si on est pas les premiers arrivés, on a pas le droit à son endroit tranquille pour effectuer sa mutation...

famille. 

Papa... Ce doit être la seule photo de toi que j'ai. Tu es mort depuis si longtemps. J'avais quoi dix ans? Policier, tu étais parti à Chicago pour un stage, mais il y a eu une fusillade sur ton trajet, une balle t'a eu... Je ne t'ai pas beaucoup connu, mais tu as une grande place dans ma vie.

Hum... Qu'est-ce que j'ai fait de la photo de maman? Merde! Merde merde merde! Zut. Va falloir que je retourne tout mon sac et toute ma chambre maintenant. Maman est métamorphe, comme moi une panthère noire. C'est elle qui m'a tout appris. Accepter mon don. Mon animal. En Inde, la plupart des animaux sont sacrés. Des gens comme nous ont des dons, ces gens là sont précieusement gardés, ils sont importants. Grâce à elle je n'ai ni peur ni honte de ce que je suis. J'aime même bien mon état, même si parfois c'est difficile.

Bienvenue !