✤ Traits de caractères Maniaque du contrôle, de son corps et de sa vie, elle est d'une fierté incroyable et incapable de demander de l'aide, se refuse d'être ainsi débitrice de quiconque. Les contraintes, très peu pour elle. Érudite, elle s’intéresse et se passionne à beaucoup de choses. Son plus grand intérêt se concentre sur la psychologie, spécialisée dans la criminologie, elle recherche surtout la compréhension des esprits les plus mauvais qui soient. Battante, une fois qu'elle a un objectif en tête, elle n'en dévie pas et peut sacrifier beaucoup d'elle-même pour parvenir à son but.

Bonne vivante, attachante, elle ravit les cœurs et fait résonner les oreilles de ses rires. On pourrait croire que rien ne l’atteint, que rien n'entache la bonne humeur de cette femme. En vérité, elle a conscience d'être en vie et en remercie chaque jour le destin. Elle refuse de se laisser abattre, de broyer du noir, de se laisser couler par ses cauchemars. Souvent, de bons conseils, elle peut aussi se montrer très dur envers certaines personnes, les moins enclins à comprendre que la vie est précieuse et qu'il ne faut pas la gâcher. Dépressifs, suicidaires et compagnie, elle les gronderait aussi bien que des enfants capricieux.

Mais ne commençons pas à croire qu'elle est femme parfaite. Très secrète, elle n'évoque jamais son passé qui, pourtant, la hante malgré qu'elle le combat de toutes ses forces. En elle, gronde une profonde colère qu'elle ne s'avoue pas. Une rage qu'elle refoule au plus profond d'elle et l'évacue dans son besoin d'une perpétuelle recherche de justice. Elle a une facilité déconcertante pour se mettre à la place d'un tueur en série, cela l'inquiète et pense que le mal est en train de s'introduire en elle. Avalon combat des pulsions, dont elle a peur d'y mettre des mots, elle a peur de devenir comme eux, elle cache ses vices derrière sa gaieté. Elle se pense maudite, vouée à attirer les âmes sociopathes, sadiques, psychopathes, ou leurs victimes depuis son enfance.

✤ Occupation diurne Avalon accorde beaucoup de temps à son travail. Quand elle n'est pas sur une enquête, ce n'est pas rare de la trouver le nez plongé dans un livre d'histoire, de psycho, ou de criminologie, ou encore à observer intensément son entourage lorsque quelque chose attire son attention. Avalon n'est jamais rassasié d'informations. Elle s'intéresse plus particulièrement au surnaturel, en plus de sa formation donner par la BRIS à son entrée dans cette section, elle cherche tout ce qu'il faut savoir sur ce monde nouvellement dévoilé. Sportive, elle recherche perpétuellement à fuir l'inactivité, elle trouve dans le sport et particulièrement le sport de combat un exutoire et de fait, son corps est joliment sculpté sous une peau de pêche. En outre, quand elle ne doit pas se rendre d'urgence sur une affaire, elle s'arrange pour faire une demi-heure minimum de footing les matins. La cuisine est un moyen de décompresser, quand elle en a le temps et pour que sa fille ne mange pas la nourriture de la cafétéria de son université. Peu importe l'heure, elle concocte des petits plats à manger dans l'instant, ou le lendemain et elles s'accordent toujours quelques heures le dimanche pour préparer des pâtisseries entre mère et fille.

✤ Capacité Ses dons se sont déclarés vers ses 16 ans, lorsqu'elle était retenue captive. D'abord sous forme des rêves d'autrui, c'est à l’hôpital qu'elle a développé le don de voir les esprits. Elle a longtemps mis cela sur le compte de son traumatisme et a combattu ses choses étranges. Puis comme cela persistait, elle a pris le temps d'y accorder son attention, mais ce n'est qu'en entrant au FBI qu'elle a pleinement accepté ses dons qui se trouvaient fort utiles pour trouver les criminels. Avalon n'a toujours pas pleinement la maîtrise de ses dons, elle apprend encore. Là ou réside son meilleur élément est qu'elle parvient à garder cela secret aux yeux de tous pendant qu'un esprit lui parle en même temps.

Intrusion des songes : Pour commencer, les deux protagonistes doivent être endormis. Si elle se concentre suffisamment avant de s'endormir, elle peut s'introduire dans les songes de sa cible, tant qu'il n'est pas à des kilomètres et influencer son rêve ou son cauchemar pour obtenir les informations qu'elle désire. Le subconscient révèle bien plus de choses que la conscience, mais cela lui demande beaucoup d'énergie. En outre, son don peut frapper sans prévenir et elle se retrouve dans un songe qui n'est pas le sien, elle ne cherchera pas à interagir et restera témoin silencieuse.

Auras & esprits : Avant d'arriver à Shreveport, elle ne se faisait pas trop d'avis sur les couleurs qu'elle voyait se superposer à une personne, mais depuis son arrivée, elle s'est retrouvée submerger par les auras de ces créatures. Ce n'est qu'en observant ou au cours de ses enquêtes qu'elle a appris à les différencier. Quant aux esprits, ils n'étaient que des ombres à l'orée de sa vision, jusqu'à ce qu'elle commence à chercher des yeux la provenance de ses ombres et qu'ils prennent conscience qu'elle pouvait les voir.

✤ Convictions La révélation a provoqué énormément de chamboulement, autant dans l'organisation administrative et judiciaire, que dans les consciences humaines, elle y comprit. C'était inattendu, mais il était temps qu'ils le fassent. D'une certaine manière, ça lui a confirmé qu'elle n'est pas anormale, pas folle ou toujours victime du traumatisme de son passé. Voir les morts, leur parler ou encore s'introduire dans les rêves d'autrui, pourrait s'expliquer et ce fut le cas quand elle apprit être une médium. Pour ce qui est des conflits à la suite de ces révélations, en tout temps les hommes étaient sujets à déclarer la guerre, certes, cela reste affligeant pour les victimes innocentes, mais ça n'en faisait qu'une de plus et par conséquent cela produit plus de travail pour elle. Avant ou après, il reste toujours autant de criminel sur terre. Avalon en a vu suffisamment pour dire que l'homme peut être tout aussi cruel que ses êtres surnaturels, mais tout le monde ne peut pas le comprendre.

✤ Signes particuliers Elle ne porte aucun tatouage, aucun piercing, mais sa peau est marquée. De nombreuses cicatrices, dues aux nombreuses interventions chirurgicales qu'elle a dû subir, elles sont pas bien grandes, pas trop voyantes, mais en conséquence, elle dévoile rarement sa peau nue à des étrangers.

Qu'y a t-il comme solution pour une irlandaise vivant illégalement en Amérique, avec un bébé à sa charge, pour survivre ? Heureusement, sa fille avait reçu la nationalité en naissant sur ces terres d'un père américain, mais ce dernier l'avait quitté et ne versait qu'une somme dérisoire à son ex concubine afin de subvenir aux besoins de leurs filles. Sa mère avait fui l'Irlande, fuit un mari violent et alcoolique, elle était partie trouver un havre de paix en Amérique en faisant appel à un passeur qui lui avait pris toutes ses économies. Elle s'est prostituée pour nourrir sa fille, supporter les désirs vicieux de certains hommes, pour se nourrir elle. Les premiers souvenirs de l'enfant sont la nudité de sa mère, les billets dans ses mains et les hommes, différents chaque soir. Un peu plus tard, elle écoutait ses camarades parler de leur papa et maman et la petite fille se demandait bien si ces hommes étaient ses papas. Trop jeune pour comprendre les activités de sa mère. Une fois, elle avait osé poser la question à l'un d'eux qui s'éternisait chez elles: ''Tu es mon papa ?'' Pour toute réponse, des propos méprisants sur son état de bâtarde.

En grandissant la jeune fille trouvait la paix à l'école de son quartier, attentive, elle était une des meilleures élèves. Elle ne parlait jamais de sa mère et de ses activités nocturnes, ni de son père dont elle ignorait tout. Sa mère refusait obstinément d'en discuter, blessée dans son amour envers cet homme qui n'a cru qu'à des manipulations de sa part. Puis Mariposa a cru en l'amour à nouveau, certes l'un de ses clients, il s'est pourtant montré bon envers elle et sa fille. Mais il entendait que ses femmes lui obéissent sans discuter et pour cela, il n'avait aucun remords à les molester. Les deux femmes ont appris à subir ses injures et ses coups à la moindre contrariété, il n'avait aucun respect envers elles. Il laissait sa femme se prostituer pour ramener de l'argent et le dépenser dans les jeux de hasard du casino. Ce fut trop pour Mariposa, fuir l’Irlande, pour trouver un autre bourreau aux États-Unis, elle sombra peu à peu dans l'alcoolisme et la dépression.

Le pire restait pourtant à venir. Entre les dépenses en alcool de sa mère et les pertes d'argent au poker de ce père adoptif, ils sont tombés dans la pauvreté. Arrivée à l'âge de puberté, la jeune fille se métamorphosait, son corps prenait des courbes, des formes généreuses et était d'une innocente beauté. Le regard de son père adoptif changea, ses mains se firent de plus en plus baladeuses, son regard libidineux et Avalon en arrivait à être terrifiée. A l'idée qu'il abuse d'elle comme il abusait de sa mère, qu'il la mette sur le trottoir pour qu'à son tour, elle rapporte de l'argent. Elle aimait sa mère malgré tout, mais il était hors de question qu'elle subisse cela. Alors elle passait de moins en moins de temps chez eux. Préférant errer dans les rues, dormir sous les ponts, faire les poubelles pour se nourrir, elle prenait des douches dans les locaux d'assistance aux personnes démunis et poursuivait ses études. Avalon était devenue une fugueuse, une enfant des rues.

Mais son cas commençait à inquiéter ses professeurs, elle était bien maigre et souvent recouverte d'hématomes. Vivre dans les rues, c'était la loi du plus fort qui primait contre les autres fugueurs comme elle. Les bagarres explosaient pour une simple pomme à manger ou le simple fait qu'elle marchait sur le territoire d'une bande de petite terreur. Une femme, belle et énigmatique, était venu la trouver à l'école et lui posait des questions auxquelles l'adolescente refusait d'y répondre. Sa mère étant une exilée, sa fille ne souhaitait pas attirer l'attention sur elle. Hors, il ne fallut pas longtemps à cette femme des services sociaux pour retrouver Mariposa et son libidineux de mec. Sans pouvoir y faire grand chose, elle s'était retrouvée dans une famille d'accueil. Sympathique, généreux, patient, pour autant, elle n'y était pas restée. La rue et ce dont elle regorgeait malgré les petites frappes, était devenue sa famille.

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Elle n'avait rien vu venir, se souvenait seulement d'une piqûre dans la nuque et s'était réveillée dans un lien inconnu. Attachée et muselée. Avalon n'a jamais fait autant preuve d'imagination qu'en ces instants, tandis qu'elle attendait, terrifiée, que quelque chose se manifeste. Il n'avait pas tardé, il était là avec un sourire enchanteur et un regard purement terrifiant. Elle savait déjà, bien avant de souffrir, qu'elle allait vivre un calvaire. Sadique, ou juste inattentif, il lui laissait tout à loisir d'observer son matériel de torture et chaque jour, il passait à l'acte. Il lui disloquait les os, épaules, coudes, jambes. Impuissante, manipulée, violée. D'humaine, il a fait d'elle une marionnette, un simple pantin, une poupée gonflable. Souffrance, incompréhension. Pourquoi ? Pourquoi elle ? Pourquoi lui faire tant de mal ? Elle lui demandait lorsqu'il lui retirait son bâillon, ses propos étaient décousus, mais il voyait en elle la perfection pour ses jeux malsains. ''Elle a dit que tu serais parfaite.'' lui racontait-il. Il la déguisait, et la manipulait tel une marionnette grandeur nature, sur une scène de théâtre. Avalon n'avait aucune liberté, n'avait que son esprit, mais il la brisait petit à petit. L'espoir de pouvoir s'en sortir disparaissait au fil des jours qui défilait, une éternité. Son cauchemar ne cessait jamais, pas même lorsqu'elle avait un peu de répits et l'occasion de dormir. Elle le voyait lui faire les choses qu'il imaginait et le lendemain, bien éveillé, il passait à l'acte. Elle ignorait alors, qu'elle s'introduisait dans les rêves de son bourreau.

Combien de temps cela avait duré ? 2 semaines à subir les vices de cet homme dont la folie n'avait aucun égal aux yeux de la jeune fille. 2 semaines, autant dire une éternité, avant qu'elle ne soit libérée par des agents du FBI. Son bourreau fut tué en essayant de s'enfuir, pas assassiné, il s'est tué en sautant du toit, bêtement. Le calvaire d'Avalon n'était pour autant pas terminer, son bourreau avait beau être mort, son corps disloqué devait subir des interventions chirurgicales. Malheureusement, subir autant d'interventions en si peu de temps pourrait la tuer, alors ils l'ont ''réparé'' pendant des mois. Elle avait subi des interventions dans le but de rétablir l'ordre de ses os, ainsi que les muscles et ce qui s'ensuit. Pour autant, ils l'avaient prévenu, qu'après cela s’ensuivrait des semaines et des semaines de rééducation. Autrement dit, Avalon devait s'armer de patience et faire preuve d'une force de caractère impressionnante pour ne pas devenir folle d'impuissance.

Les mois passaient, clouée au lit et son ventre s'arrondissait. En elle grandissait un petit être, ultime cadeau d'adieu de son ravisseur. Le service hospitalier lui avait suggéré d'avorter, elle avait catégoriquement refusé. Elle ignorait la raison d'un tel attachement, elle savait seulement qu'elle ne pouvait s'y résoudre. Entre-temps, toujours mineur, son cas fut à nouveau dans l’œil d'une assistante sociale, qui n'était autre que cette même femme énigmatique trois ans plus tôt. Elle venait tous les jours et intriguait la jeune fille. Dans son lit d'hôpital, elle n'avait rien d'autre à faire qu'écumer les livres que le personnel hospitalier voulait bien lui apporter. Mais son assistante sociale l'avait inscrite à des cours par correspondance pour qu'elle termine et obtienne son BAC depuis l'hôpital. Puis elle était enfin parvenue à mettre la main sur son père biologique, qui avait accepté de la prendre en charge cette fois. La première qu'elle rencontrait son père, elle ne lut que de la pitié dans son regard. Pour autant, elle ne pouvait pas faire la fine bouche puisqu'il allait aussi s'occuper de son bébé.

Avalon dormait beaucoup, surtout après les interventions et se retrouvait bien souvent à faire des rêves les plus étranges, le lendemain, il n'était pas rare qu'elle entende les médecins de garde lui dire qu'ils avaient rêvé d'elle la nuit dernière. Les rêves qu'elle avait faits durant son incarcération lui revenait, les rêves de son bourreau qui venait réaliser le lendemain, ce que son subconscient lui avait dicté. Cela avait-il un lien ? Elle avait mis cela sur le compte de la folie, hors elle ne souhaitait pas être vue comme une victime, elle était vivante et voilà tout ce qui devait importer. Devoir subir le regard compatissant des autres par rapport à ce qu'elle avait vécu était une torture supplémentaire. Son psychologue ne cessait de lui répéter qu'elle devait parler de ses traumatismes, elle se refusait d'y repenser. Elle était vivante, basta. Elle devait concentrer sa force principalement  dans sa rééducation, ses études et surtout son bébé.

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Au bout de 3 ans, Avalon pouvait enfin quitter la clinique de soin. À 19 ans, elle était maman d'une petite fille, prénommée Hope. Certains se demandaient si elle ne voyait pas son ravisseur en sa fille, mais Avalon y voyait son espoir, c'était en sa fille qu'elle trouvait la force pour survivre, se battre contre ses cauchemars et recommencer une nouvelle vie, loin des histoires qui se racontaient sur elles. Elles avaient emménagé en Californie, chez son père biologique qui se montrait, cette fois, à la hauteur de son rôle et s'occupait d'elles, mais cette lueur de pitié perdurait et Avalon le supportait de moins en moins. Elle s'était inscrite à l'université pour suivre des études en psychologie et criminologie, elle souhaitait ardemment suivre les traces de ces hommes qui l'avaient sauvé, mais surtout comprendre le comportement des criminels. Assidue et déterminée, elle obtenait d'excellents résultats et ses doctorats 7 ans plus tard. Après quoi, elle avait déménagé en Virginie avec Hope et entamer la formation pour entrer au FBI, elle fut engagée par le département des sciences du comportement et c'est ainsi qu'elle était tombée sur l'un de ses sauveurs à la tête de l'équipe qu'elle rejoignait. S'il l'avait pistonné, elle l'ignorait, mais elle s'était promis de ne pas lui faire regretter son embauche.

Ça n'a pas était évident tous les jours à cause de sa fille, mais elle ne pouvait sacrifier ni Hope, ni son choix de carrière. Alors, elle s'est battue pour réussir, aussi bien sur le plan maternel et professionnel, sacrifiant beaucoup d'elle-même. Avalon avait une facilité déconcertante à se mettre dans la peau d'un criminel, elle excellait dans son domaine, du moins c'est ainsi que la qualifiait ses collègues. Certes, elle était douée et cela la terrifiait par moment d'entrer si facilement dans la tête d'un tueur en série, de le comprendre, mais les honneurs devaient surtout revenir aux victimes. Seulement, elle ne pouvait pas raconter qu'elle pouvait communiquer avec les morts. Elle-même avait du mal à comprendre comment ce pouvait être possible, c'était comme se retrouver dans les rêves d'un autre, c’était inexplicable et elle ne pouvait en parler à personne ou elle finirait dans un centre psychiatrique. Tout ce qu'elle avait pu en apprendre, c'était en écumant les bibliothèques et ce n'était pas grand chose, elle avait fini par apprendre à vivre avec. L'accepter, parce qu'elle n'y pouvait rien et ses dons lui étaient, finalement, bien utile dans son métier.

Puis la révélation avait explosé, dans les locaux du FBI ou durant les enquêtes en cours, ils avaient tous suivis cette histoire de procès en 2007. La suite, tout le monde la connaît. C'est lors de la vague de violence en 2012 qu'elle avait pris la décision de travailler au sein de la BRIS. Elle avait demandé sa mutation, fut regretté par son département, mais elle devait en apprendre d'avantage sur les CESS et si elle faisait partie de l'une de ces communautés, mettre un nom à ses dons hors du commun qu'elle était parvenue à garder secret. Elle avait renvoyé Hope chez son grand-père, hors de question de l'emmener en plein milieu d'une guerre et déménager à Shreveport. Toujours avec son assiduité, elle avait suivi la formation préalable à son entrée et était devenue inspectrice. Ce métier lui permettait de comprendre un autre aspect du crime, d'étudier la psychologie des CESS et lui permettait sans cesse de défier ses connaissances, son intelligence. Elle était bien loin de la psychologie humaine qu'elle connaissait presque sur le bout des doigts et pour être honnête cette facilité la terrifiait un peu. 1 an plus tard, envers et contre tout, sa fille l'avait rejoint.