Lena Alicja Kiszkaliuczkuva âge. 23 ans. date et lieu de naissance. Le 23 Mars 1987, à Kazan, en Russie. nationalité. Russe, naturalisée américaine depuis peu. état civil. Célibataire. lieu d'habitation. Galloway Boulevard, dans un minuscule studio pourri; c'est la seule habitation que je peux me payer. métier. Le métier de prostituée n'en est pas vraiment un... Disons, charmeuse d'homme, vendeuse de rêve à des mâles en manque, tout ça pour un salaire minable. Mais quand on vous tient, depuis votre petite enfance, dans les filets de la mafia,on y échappe pas, quel que soit le continent... Alors, on continue de payer son dû. étiquette qui vous est collé. L'étrangère. L'ennemie. La russe. Autant il y a pas mal d'étrangers dans ce coin, et je pensais être bien acceptée par les habitants humains. Pourtant, ils me détestent. Mon attitude, peut-être. Ma famille particulière. Mes liens avec la mafia... Mon métier ? Pourtant, ils ne sont pas sensés savoir. Mes les choses semblent aller plus que vite dans cette petite ville. Je ne suis pas autant méprisée que les vampires, ou les autres CESS, mais presque. Je suis loin d'être acceptée, que se soit par les communautés humains, vampires ou métamorphes. Et c'est lourd à porter... Tout en moi clame cette différence ; mon nom, imprononçable par des non slaves, mon accent, ma tête, et c'est ce tout qui fait que je ne peux pas être acceptée. Je sais que c'est ce qu'on pense de moi, je le ressens quand je rentre dans une pièce, je l'entend dans les discussions de supermarchés. Je ne suis que l'étrangère...

traits de caractère.
Lorsque l'on me voit,on se dit probablement que je suis une belle fille. Enfin, j'espère. Une belle fille au regard, au visage un peu vide, voir inexpressif. Et je suis exactement comme ça à l'intérieur. Mon principal trait de caractère, ce n'est pas, comme des tas d'autres femmes, la gentillesse, la beauté ou l'intelligence, non, moi, c'est l'inexpression. La neutralité. En fait, je n'ai pas l'impression d'avoir quelque chose de spécial. On m'a appris depuis toute petite à ne rien ressentir, à être sans sentiment, pour ne pas être honteuse, ou me sentir mal. Au final, ça marche. Mais pour tout. Je suis distante de tout, j'ai du mal à m'attacher, à me faire des amis. Lorsque je me dispute, avec des inconnus, ou des gens de mon quotidien, cela ne me fait presque rien. Je m'en fous. Je n'éprouve ni honte, ni colère, ni joie. Je suis un peu une poupée, une fière représentante du "sois belle et tais-toi".
Je ressens des tas d'émotions, en fait, mais j'ai simplement appris à les contrôler et les étouffer. C'est dur, douloureux, éprouvant et très lourd à supporter, mais il le faut bien. Quand on fait ce que je fais, il faut être forte. A vrai dire, je suis aussi paresseuse. Il faut l'être un peu pour préférer continuer dans la voie de la facilité, de l'argent facile, qu'est la prostitution plutôt que d'avoir l'envie de se relever et d'avoir une vie normale. C'est aussi une question de lâcheté et de peur. Jamais je n'oserai me rebeller contre la mafia qui régit ma vie. C'est une chose tellement inconcevable que je resterais enfermée dans ma bulle malsaine jusqu'à ma mort.
Néanmoins, j'ai quelques qualités, si on met de côté mes défauts que sont mon manque d'émotions, ma lâcheté, ma peur terrible de vivre et ma paresse. J'ai un très grand sang-froid. Je ne sais pas s'il s'applique dans toutes les situations, mais en tout cas, pour ce qui est des gens intimidants, je reste de marbre. Je ne suis pas drôle, mais certaines personnes aiment bien mon côté cynique. Je le suis un peu trop. Sinon, je suis une femme discrète, assez calme. Je ne sais pas trop me comporter en société, mais je suis sure que j'y prendrais goût si on m'apprenait. Je suis aussi quelqu'un rempli d'espoirs. J'aimerai que la vie me donne une seconde chance. Que je puisse me trouver une vie normale. Mais pour ça, il faudrait avoir des amis. Et dans cette ville de xénophobes, j'ai bien peur de ne pas m'en faire beaucoup. Ils doivent avoir un blocage puritain sur la prostitution...
occupation diurne.
Mon métier, si on peut appeler ça ainsi, se pratique à la nuit tombée, j'ai donc énormément de temps libre. Je lis, je fais du sport. Un jour, quelqu'un m'a dit qu'il fallait avoir "un mental de fer dans un corps d'enfer". J'ai donc fait du yoga pendant quelques temps, quand j'étais à New-York, mais j'ai arrêté les cours, même si je continue en amateur chez moi. Je cours aussi très régulièrement, tous les jours, pour m'entretenir. J'essaye de me cultiver plus. Je lis beaucoup de grands classiques russes, Dostoïevski, Tolstoï, Tourgueniev, mais également des maîtres de la littérature étrangère, comme Zola, Hugo, Austen, les sœurs Brontë, Dickens, Hardy. Je vais également beaucoup au cinéma. Dès que j'en ai l'occasion, en fait. Je suis une droguée du grand écran. Je regarde des films à la télé, je les télécharge. Quand j'étais petite, je rêvais d'être une actrice. Finalement, j'en suis pas si loin. Je me rappelle d'une citation que j'avais lue, sur les acteurs. Je ne m'en rappelle plus très bien,mais en gros, c'était "A Hollywood, on traite les acteurs comme des meubles dont la valeur est calculée sur l'argent qu'ils rapportent aux autres. Pour moi, c'est la meilleure définition de la prostitution." Je me prostitue, et je suis cliente des prostitués de luxe que sont les acteurs. Un échange de services, en fait.
manie, habitudes & goût. J'ai énormément de fâcheuses habitudes; j'aime que tout soit parallèle: les couverts et mon assiette, mon stylo, mon livre et ma lampe de chevet. J'aime l'ordre. Pourtant, pour moi, un bureau bien rangé n'en est pas un, alors le mien est impraticable. Je déteste aussi la saleté, et passe mon temps à aspirer, au moins trois fois par jour. Je déteste quand un homme parle trop près de moi, surtout s'il est séduisant. Une séquelle de la prostitution, probablement. Quand je ne travaille pas, j'ai peur et déteste les hommes. Je n'aime pas non plus avoir les cheveux gras, je me les lave donc tous les jours. Mais j'ai également quelques petites joies quotidiennes: faire craquer mes doigts, plonger ma main au plus profond d'un sac de grain, passer mes doigts dans mes cheveux, marcher dans la forêt, m'arrêter et écouter les bruits environnants. Mais un de mes rares plaisirs reste m'allonger sur une pelouse et regarder le ciel tourner. J'adore aussi écrire avec de beaux stylos sur du beau papier. Et chanter très fort (et très faux), quand personne ne peut m'entendre.
conviction. J'ai toujours été une enfant un peu rêveuse, à m'inventer des créatures, à croire en des univers parallèles. Alors imaginez ma joie, et mon incroyable étonnement, quand j'ai vu qu'elles existaient pour de vrai, mes chimères ! Pourtant, depuis, je me sens encore moins en sécurité. Trop paranoïaque, peut-être, je suis déjà effrayée par les hommes dangereux, ceux qu'on côtoie dans la mafia. Alors des vampires, êtres libertins et assoiffés de sang frais, cruellement puissants et affreusement rapides ? Et que penser des lycanthropes, ces êtres à la fois humains et animaux, qui peuvent dévorer les jeunes femmes sans défense ? Je me réjouissais donc, au départ. Mais quand on est obligé de vivre non loin d'eux, on craint pour sa vie. Et on a encore plus peur...
signes particuliers.
Je n'ai pas de tatouage, ni de piercing. En revanche, j'ai une cicatrice en dessous du sein, et une tâche de naissance sur le mollet. J'ai aussi un grain de beauté, une mouche comme on appelle ça. La Généreuse, plus précisément. A vous de savoir où se trouve ce grain de beauté...

histoire.

Moi, ma vie, mon œuvre. Je n'ai rien de très intéressant à raconter. Enfin, rien que je ne trouve intéressant. Mon enfance n'a pas été celle d'une pauvre fille malheureuse, même si, à l'époque, on risquait de manquer de pain et de chaleur, mes parents se sont toujours débrouillés pour nous procurer, à ma sœur, mon frère et moi, une enfance aisée. Ils travaillaient dur, au rythme des usines, un travail bête et méchant, à la chaîne. Ça les a probablement rendus fous, de faire ce genre de truc, mais au moins, ils étaient fières de pouvoir nourrir leur famille. Nous vivions à Kazan, une grande ville de Russie. La demeure familiale était un fait un appartement un peu miteux, en centre ville. Bon, je dois dire que je suis méchante, la plupart de mes amies vivaient carrément dans la rue, ou sur leur lieu de travail. Car toutes n'avaient pas la chance d'avoir des parents encore en vie, et la plupart devaient me^me se débrouiller seules pour manger. Dans les premières années de mon existence, je suis allée à l'école sous un régime communiste très dur, où l'on nous enseignait des tas d'idées sur notre bien-aimé chef de l'état, dont je tairais le nom. Je suis russe, et tout bon russe qui se respecte ne parle jamais politique, même dans des non-dits. De plus, expliquer tout le contexte socio-politique de mon pays à cet époque serait assez compliqué. Enfin, j'ai finis par faire ma primaire puis mon collège de manière tout à fait normale. A vrai dire, c'est pendant le collège que ça a commencé à se dégrader...
Déjà, avec les débuts des affres de l'adolescence, je n'allais pas super bien. Je suis passée par ma phase dark, vous savez, celle où tout le monde balance des phrases pseudo-romantiques, kiffe le sang et adore les vampires? Ben ma phase elle a été atroce. Je me baladais en noir, et prêchais presque le diable. Donc, résultat, j'ai eu pas mal de problèmes. Mais ça, c'était en début de collège. Seconde année de secondaire, je suis devenue populaire. Très populaire, surtout auprès de la gente masculine. Ils avaient du sen rendre compte que j'étais belle, bien foutue, et terriblement attirante. Sans vouloir me vanter. C'était l'époque où mes parents commençaient un peu à manquer d'argent. Mon frère jumeau avait été envoyé à Moscou pour travailler, ma grande sœur avait quitté le foyer depuis quelques années déjà. J'étais capricieuse, et ce que m'offrait mes parents ne me suffisait plus. Je devais avoir 11/12 ans lorsque ça à commencé. C'était rien au départ. Un mec me faisait du rentre dedans, me proposait des... cadeaux plus ou moins chers selon son statut de fils de riches (nous étions à l'aube de la fin du communisme absolu, et les simples paysans commençaient à renflouer leurs caisses), on se retrouvait dans les toilettes, et je lui faisais plaisir assez rapidement, pour pouvoir toucher la récompense. Après avoir commencé aussi jeune, je me demande comment j'ai pu rester vierge jusqu'à 16 ans, tout de même...
Car j'ai continué. Vous pensez bien, nous vivions dans un pays relativement pauvre, qui commençait juste à s'ouvrir aux marques étrangères. Avec l'argent, j'allais à Moscou, voir jumeau, faire les boutiques. Je ramenais Chanel, Gucci, Prada. J'ai vite pris goût au luxe. Mais dans ma ville, cela ne passait pas inaperçu.
Un jour, je fus contactée par deux hommes, à la sortie du collège. J'avais 14 ans, et ça faisait près de trois ans que je, excusez moi le terme, mais il n'y a rien d'autre, suçais pour gagner de l'argent, j'avais finis par me faire une petite réputation. Une réput' de péripatéticienne, certes, mais une réputation quand même. Alors un soir, après les cours, je me suis faite abordée. Ils étaient habillés sobrement, mais j'ai tout de suite senti une sorte de... mauvaise aura émaner d'eux. Comment aurais-je pu deviner leur appartenance à la mafia, moi ? J'étais jeune et innoce... jeune! Ils m'ont emmenée avec moi. Très gentils, hein. Très convaincants. Trop. Des filles comme moi, là où ils m'ont emmenée, il y en avait des tas. Des petites poufs, avides d'un bon poste plus tard, d'une belle vie. Des ambitieuses prêtes à tout pour ne pas vivre dans le malheur, jouir d'une abondance relative à la richesse. On nous a manipulées. Enfin, nous aurions pu refuser, ça aurait mal fini, très mal fini pour nous, mais au moins, nous n'aurions pas eu à vivre cet enfer. Ils nous ont violées. Forcées à faire plaisir. Je ne vous décrirais pas non plus l'horreur de la chose. J'aurai pu avoir la volonté d'arrêter. Mais à chaque fois, la récompense au bout de chaque heure de torture avec ces riches étrangers ou russes, pédophiles jusqu'au bout des doigts, qui ne souhaitaient que déflorer ces vierges qu'on leur offrait par dizaines. C'était horrible.
J'ai réussi, enfin, je ne crois pas que c'était de ma volonté propre, parce que sur le coup, de mes14 à mes 17 ans, ça m'a presque plu de faire ça, mais maintenant, quand je regarde en arrière, j'ai juste envie de tuer cette petite pute, qui vendait du rêve, sans jamais avoir à baisser sa jupe, j'ai réussi à préserver ma virginité jusqu'à mes 16 ans. A cet âge là, je me suis vendue aux enchères. De mon propre gré. Bien sur, je n'étais pas la seule. c'est une des choses qui me rassurent le plus. Je n'étais pas la seule folle à accepter de se rabaisser plus bas que terre pour du fric.
Le fait est que, même pas 6 mois après m'être vendue, avoir vendue le plus beau moment d'une femme contre une poignée de billets, je me suis cassée. Ma mère étant morte un an avant, mon père ne se préoccupait plus du tout ce que je faisait. Donc je suis partie. Emportant tout ce que j'avais. Je suis allée au USA. Avant les attentats du 11 Septembre, c'était beaucoup plus facile de rentrer sur le territoire américain. Ma vie a continuée à NY. Pourquoi cet état ? Il était tellement différent de ma chère Russie ! Je l'ai choisi au hasard, et finalement, l'acclimatation fut très dure. J'étais partie, inconsciemment parce que je voulais une nouvelle vie, consciemment pour les possibilités que m'offrait le capitalisme. Évidemment, ils n'avaient pas perdu ma trace. Comme toutes leurs "filles", ils m'ont retrouvées, et très vite, j'ai été contactée par la mafia locale. Des russes sur le continent de Washington. Dingue non ? J'ai travaillé quelques années à NY. A vrai dire, je viens juste d'emménager en Louisiane. Mais je suis encore suivie. Toujours pute, toujours folle, toujours prête à tout pour l'argent, prête à tout sacrifier sur l'autel de l'ambition. Mais jusqu'où je vais continuer comme ça ?


test rp.


famille.

C'est dingue. Y a très peu de temps, j'ai fouillé dans les albums photos que j'ai emmené avec moi en Amérique, et je suis tombée sur de vieilles photographies de mes parents. Attendez, je vous les montre. La première photo, c'est mon père, Kristov Kiszkaliuczkuva. L'homme de ma vie ! Because my heart belongs to my Dad (; Il travaillait dans une usine de chaussures, à l'époque où la photo a été prise, je pense. Je n'étais pas très proche de lui, mais de mes deux parents, c'est celui avec qui je m'entendais le mieux. Évidemment, une fille, c'est toujours, ou du moins la plupart du temps, le joyau d'un père. Il ne s'intéressait pas spécialement à ma vie, et j'étais reconnaissante de sa discrétion. Là, il devait avoir une trentaine d'années. Ma mère devait décéder dix ans plus tard. D'ailleurs, c'est une photo d'elle ici.

Elle s'appelait Oksana, née Oksana Volkova. Elle a rencontré mon ère très jeune, et ils se sont mariés presque immédiatement. Ils ne m'ont jamais raconté comment ils avaient fait connaissance, et à l'époque, ça m'intéressait carrément pas. Mais maintenant, j'aimerai bien savoir... Enfin, c'est du passé! On ne s'entendait pas très bien. Ma mère refusait que je sorte. D'un côté, elle avait vraiment raison, vu que je sortais rejoindre des hommes, mais, j'étais jeune, écervelée, et avide d'argent, donc je lui en voulais. On n'est pas restées en très bon termes, malheureusement, et ce n'est que lorsqu'elle est morte que je me suis rendue compte à quel point j'étais attachée à elle. Enfin... C'était ma mère !Elle avait environ vingt-cinq ans sur cette photo, l'époque où elle attendait ma sœur.

Tenez, la voilà elle ! Evdokiya. Elle est belle, hein ? C'est ma sœur ! Excusez les yeux rouges, mais que voulez-vous, photo prise lors d'une soirée, la qualité peut pas y être... D'ailleurs, ma sœur passe pas mal de temps dans ce genre de fête. Elle adore être entourée. On a une dizaine d'années d'écart, donc elle est partie assez rapidement de la maison, mais chaque fois qu'elle revenait, c'était la fête. Elle ramenait des cadeaux, on s'amusait bien. C'était un peu ma déesse. Enfin, notre déesse, à mon frère et moi. Maintenant, on a perdu le contact. En même temps, je suis partie sans laisser d'adresse à personne, sauf à Sergei.

Et enfin, mon Sergei. Mon jumeau. Mon double. Mon âme sœur. On a grandi ensemble, vécu ensemble. Il n'a jamais été au courant de mes activités, croyant probablement que je sortais souvent faire la bringue en cachette... Enfin, j'espère qu'il ne sait rien. Il serait tellement déçu... Sergei est la seule personne que je refuse de décevoir. Les autres peuvent me mépriser comme bon leur semble, je m'en contre-fous. Mais mon Sergei, non. En arrivant à NY, je lui ai envoyé mon adresse, en lui faisant promettre de ne la donner à personne d'autres. Nous nous parlons via Internet, maintenant, mais avant, nous nous échangions des lettres. Je refuse qu'il croit que je l'ai abandonné, même si les premiers mois de séparation furent durs... Jamais je ne cesserai de lui parler. Il est la seule personne à qui je tiens vraiment... Bon, je crois qu'on a fait le tour !

Superbe avatar miss et nom très...Prononçable XD J'ai beau essayer ça donne pas trop ce que ça devrait donner Oo
Bref! Bienvenue à toi & bonne chance pour la fin de ta fiche

Lena Kiszkaliuczkuva a écrit:

@Freyja: Tout va bien, mais je commence tout juste à lever le pieds de mes devoirs ! Je vais continuer ma fiche sous peu, mais je risque d'être un peu lente >w<

Freyja I. Mandrake a écrit:

Lena Kiszkaliuczkuva a écrit:

@Freyja: Tout va bien, mais je commence tout juste à lever le pieds de mes devoirs ! Je vais continuer ma fiche sous peu, mais je risque d'être un peu lente >w<

Bien, le principal est qu'on soit prévenu Bon courage ma belle :006/: