Ciguë - Pourquoi le poison, quand on peut tuer avec du miel?
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Sujet: Ciguë - Pourquoi le poison, quand on peut tuer avec du miel? 28/5/2013, 09:49
Ciguë Lousha Hatthaway
Feat Jessica Alba
PRELUDE
DATE & LIEU DE NAISSANCE Juin 1812, Londres ; ORIGINES Anglaise, Italienne ; CAMP suivez-vous le maître ou êtes vous un renégat? ; NOM DU SIRE écrire ici ; DATE DE L'ETREINTE 1837 ; STATUT à choisir ici ou bien, si la politique vous intéresse, observez ceci ; DISCIPLINE consultez la liste ici ; ETAT CIVIL célibataire, en couple ou marié? LIEU D'HABITATION type de lieu, quartier. METIER voir la liste. CLASSE SOCIALE pauvre, moyenne, riche. ETIQUETTE la réputation que vous avez en ville, on vous considère comme un menteur ou comme quelqu'un de gentil, serviable sur qui ont peut compter à moins que vous ne soyez le dingue de service.
INTRODUCTION AU GENRE
Traits de caractères Décrivez les traits de caractères qui définissent votre personnage, vos qualités, vos défauts, vos phobies, etc… 8 lignes minimum. Occupation nocturne Généralement les réanimateurs travaillent la nuit... D'ailleurs, avez-vous un emploi? A quoi occupez-vous vos nuits & vos journées plus simplement. Activité sportive, amis, cinéma, boulot… 6 lignes minimum. Manies, habitudes & goûts Listez vos manies, vos habitudes, ce que vous aimez faire, ce que vous n’aimez pas, bref une petite liste pour montrer votre personnage sous son vrai jour. 6 lignes minimum. Discipline Décrivez vos pouvoirs (voir la liste des disciplines) et votre contrôle de vos pouvoirs. Pour les maîtres vampires n'oubliez pas de préciser quel animal vous pouvez appeler. 6 lignes minimum. Convictions Que pensez-vous de la révélation ? Préférez-vous avant ou après la révélation ? En bref votre opinion sur la question. 6 lignes minimum. Signes particuliers Vous avez un tatouage ? Une cicatrice ? Peut-être qu’il n’y a pas que votre don qui vous rend différent, dites-nous donc ce que c’est. Facultatif.
VIDEODROME
PERSONNAGE INVENTE, SCENARIO OU PV? inventé ; PSEUDONYME So' ; DERRIERE L'ECRAN étudiante la semaine, travailleuse les weekends. je me connecte souvent et rp principalement la semaine. passionnée de littérature fantastique, un peu de graphisme et amoureuse de la nature. CODE DU REGLEMENT écrire ici ; COMMENT NOUS AVEZ VOUS DECOUVERT? PRD ; AVIS GENERAL SUR LE FORUM beaucoup de chose à lire ; AVATAR UTILISE Jessica Alba
Dernière édition par Ciguë L. Hatthaway le 28/5/2013, 20:28, édité 2 fois
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Sujet: Re: Ciguë - Pourquoi le poison, quand on peut tuer avec du miel? 28/5/2013, 09:50
« Darling, pourquoi la peau de cette enfant est-elle si foncée ? » Une semaine plus tôt Mme Hatthaway avait enfanté sa petite fille, Lousha. Une merveille aux yeux sombre qui extasiait toutes ces amies, mais sa peau imberbe était d'une teinte plus foncée et lever trop de questions auxquelles elle ne pouvait répondre. Épouse d'un américain, ces derniers ne portaient pas la caractéristique de la peau et des yeux clairs des britanniques, la société ne s'étonnait donc pas de la couleur de leurs cheveux et leurs yeux ténébreux de leurs enfants. Lousha avait hérité de la peau plus basanée de son père, un aristocrate italien, elle avait également ses yeux, mais la subtilité n'était visible que de sa génitrice en adoration devant sa tendre enfant. « Que racontes-tu là ? Sa peau est tout à fait normale, nous avons pris un peu de soleil. »
La fillette âgée de huit ans balançait des jambes, assise sur la balustrade sous le portique de leur demeure du Hampshire, son visage offert au soleil et un sourire aux lèvres. Il allait rentrer aujourd'hui, elle le savait, car elle avait écouté à la porte de sa préceptrice la discussion qu'elle avait eue avec sa mère. « Ne reste pas au soleil, tu sais que ce n'est pas bon pour ta peau, rentre immédiatement. » Lousha n'obéissait pas, elle aimait le soleil, l'astre la réchauffait alors qu'il faisait si froid à l'intérieur. La fillette d'un naturel optimiste n'autorisait pas qu'on la prive de ce qui la rendait heureuse. Peu importait les punitions qu'elle collectait régulièrement à cause de sa désobéissance. Aujourd'hui elle ne voulait pas quitter son emplacement, car son père allait rentrer, elle voulait être la première à lui souhaiter la bienvenue. « Jeune fille... » Cette dernière n'écoutait déjà plus sa préceptrice, la voiture tirée par les chevaux s'avançait dans l'allée de leur cour. Bondissant de sa rambarde la fillette accourus dès que la voiture s'arrêta devant le portique. Le domestique la saluait en s'inclinant et ouvrait à son maitre. « Daddy ! » A peine l'homme était-il descendu que la fillette se précipitait, mais cette fois il ne la prit pas dans ses bras comme il le faisait à chaque fois, le patriarche se contentait de l'observer d'un air froid et révulser. « Lucinda, je te prierais de mieux tenir ta progéniture. » Accrochée à sa jambe l'enfant souriait toujours, heureuse de retrouver son père, trop jeune encore pour comprendre que ce dernier l'avait complètement déshérité. « Mère est souffrante père, comme les jumeaux, Lucie et Lucien. » Loan, l'ainé de la fratrie, vint et porta la fillette dans ses bras pour l'éloigner de leur père d'un air grave. « Les médecins ont diagnostiqué le choléra, leur temps est compté. » Le regard d'ordinaire chaleureux de son père se fixa sur la fillette qui se sentit alors glacée et perdit son sourire, accrochée au cou de son frère. « Le diable devrait emporter l'enfant illégitime. » « Ce n'est qu'une enfant père, ne reportez pas la faute sur l'innocence. » Le secret que Lucinda avait si longuement tenté de cacher avait éclaté, Adrian savait désormais que sa merveille qu'il aimait pourtant de tout son coeur n'était pas de son sang. Sa femme l'avait trompée, un tel scandale aurait été néfaste pour ses affaires, il préservait donc le silence et prenait ses distances de l'enfant illégitime.
Les jours qui suivirent furent interminables, la première à partir fut Lucie, suivis rapidement de Lucien. Dévasté le patriarche sombrait dans l'alcool. Lucinda semblait plus désireuse de combattre la maladie, elle demandait toujours après sa favorite dès qu'elle n'était plus engloutie dans les affres de ses fièvres hallucinatoires. Lousha lui rendait visite autant que possible, les fenêtres toujours grandes ouvertes et après avoir suivi des dizaines de précaution pour contrecarrer la maladie contagieuse. La fillette faisait la lecture à sa mère jusqu'à ce qu'elle s'endorme et Loan la faisait sortir où elle ne quittait pas la pièce. Lousha était présente le jour ou Lucinda lâcha son dernier souffle. Le jour même, l'enfant entra malencontreusement dans le patriarche au détour d'un couloir, ce dernier lui retourna une gifle qui laissa l'enfant sous le choc durant deux jours. Deux nuits plus tard elle allait retrouver la chambre du patriarche pour le roué de coup, ce dernier encore imbibé d'alcool rendit coup pour coup. Alertés par les cris, les domestiques furent témoin de la terrible scène de confrontation entre l'enfant et Adrian, jusqu'à ce que Loan intervienne et protège la fillette profondément meurtrie. La mésentente entre Lousha et Adrian n'était désormais plus un secret pour quiconque, si ce dernier l'ignorait superbement, elle cherchait quelquefois la confrontation incapable de lui pardonner les cicatrices qu'il lui avait laissées, ou fuyait la demeure pour passer son temps sur leur domaine. Les domestiques se souviennent d'une jeune fille enjouée, touche à tout et volontaire, très attentionnée envers les enfants, compréhensive. Ou au contraire d'une jeune fille taciturne, capricieuse et emportée, imprévisible. Lousha était incomprise. Seul Loan semblait lui apportait l'apaisement. Mais ce dernier était rarement à la demeure familiale depuis qu'il avait repris les affaires du patriarche, devenu un incapable alcoolique qui avait failli les laisser sur la paille. Le grand frère était encore intervenu lorsque son père avait tenté de vendre allègrement Lousha lors d'une partie de poker qu'il perdait. La famille était affreusement endettée. Trop jeune pour trouver un époux, Lousha n'avait d'autre choix que de demeurer avec son pire ennemi, celui qu'elle admirait pourtant sans concession auparavant. Reconnue comme l'une des plus belles femmes de la société elle était la plus convoitée, mais pas en tant qu'épouse, définie comme trop rebelle, trop peu ordinaire avec sa peau basanée et dépourvue de dot, son frère se battait encore pour remettre l'entreprise sur pied alors que le patriarche dilapidait le peu d'argent qu'ils économisaient. Cependant, les hommes voulaient bien d'elle comme maitresse. La jeune femme croyait en l'amour, optimiste, elle ne désespérait pas de trouver un époux. Et elle trouva le grand amour, il s'agissait du nouveau métayer que Loan venait d'engager pour leur domaine. Un écossais de son âge, au regard si vert qu'elle était tombée sous son charme avant même qu'ils aient été présentés. Il s'accommodait facilement de ses changements imprévisibles de comportement et lui apprenait tout ce qu'il savait sur le monde extérieur. Un monde qu'elle n'avait jamais eu l'occasion de visiter, hormis lors des saisons londoniennes, le reste du temps le patriarche la cachait dans la demeure familiale du Hampshire.
« Comme ta mère, tu n'es qu'une catin. » La jeune femme s'éveillait en sursaut, nue dans les bras de son amant et l'esprit encore embrumé elle observait l'homme au pied du tapis de paille de l'écurie. Les bras de Darren se resserrèrent autour d'elle pour la protéger, tous deux réveillé par la voix tonitruante du patriarche Thompson. « Je savais qu'il y avait quelque chose... Je savais... Tu es comme ta mère, incapable de résister à un hideux bellâtre. » La jeune femme n'eut rien le temps de rétorquer qu'il rabattait sa bouteille encore pleine de whisky dans sa direction, le regard vague et haineux. Terrifiée, choquée, elle restait interdite. Darren s'interposa entre elle et la bouteille, une douleur l'assaillit à la joue lorsqu'elle fut inondée du liquide ambré. Dans un état second des éclats de voix lui parvenaient, la main sur la joue elle observait ensuite l'éclat vermeil sur ses doigts tremblants. En relevant les yeux elle croisa les deux hommes pris dans un corps à corps brutal, malgré l'état d'ébriété du patriarche il parvenait à se défendre, le dos de son amant était ensanglanté. Lousha était scandalisé et s'emporta, le corps luisant de whisky elle attrapa le premier morceau de verre qui lui tombait sous la main et bondit. Ce ne fut que par chance qu'elle atterrit sur le dos de son patriarche, fou de rage ce dernier recula et son dos heurta violemment le mur. Elle n'avait voulu que le blesser, mais le morceau de verre qu'elle avait ramassé lui entama la gorge et il se retrouva à suffoquer au sol. Elle fut obnubilée par la quantité de sang qui s'échappait de sa gorge. « Lousha, mon coeur, regarde-moi, regarde-moi. » Elle sentit qu'on plaçait quelque chose sur ses épaules, des mains palpaient son corps et obligeait son visage à se détourner des gargouillements que provoquait Adrian Thompson. « Mon amour, tout va bien. » Darren tenait fermement son visage entre ses mains, le regard rivé au sien, la jeune femme le crut et souriait. L'homme qu'elle aimait lui disait que tout aller bien, alors il n'irait pas autrement.
Un mois plus tard Loan observait le corps amaigrie de sa soeur, il ne savait plus quoi faire pour la faire sortir de sa torpeur. Le scandale avait éclaté, les domestiques appâtés par l'argent avaient tout dévoilés. L'illégitimité de Lousha, les violentes confrontations entre elle et Adrian, sa relation avec un domestique, et le meurtre du patriarche Thompson. Darren avait porté toute la responsabilité de ce crime et serait exécuté à l'aube, Loan connaissait cependant la vérité et avait camouflé les meurtrissures de la paume de sa soeur. « Oh regarde ce lapin ! » Il relevait les yeux vers la fenêtre et ne s'étonna pas de ne rien voir, il désespérait de l'état de sa soeur adorée. Si elle n'était plus prise d'accès de démence incontrôlable, elle continuait de voir des choses qu'elle seule voyait. Elle refusait de manger, son corps maigrissait à vue d'oeil alors que son ventre s'arrondissait. « Mon ange, je t'ai trouvé un mari. » Elle posait sa main contre la vitre, son regard perdu dans le vague. « C'est un bon ami à moi, un bon parti. Il prendra bien soin de toi. » Ils n'avaient plus le choix désormais, les apparences pouvaient encore être sauvés si elle épousait l'ami qu'il avait soudoyé, sans cela le déshonneur s'abattrait sur leur lignée et sa soeur serait envoyée en maison psychiatrique en France. Le médecin s'était montré formel à ce sujet, Lousha souffrait de trouble psychologique encore indéfinis à l'heure actuelle, elle serait utilisée comme cobaye s'il ne trouvait pas une solution rapidement. « Mais Darren va revenir. » L'ainé s'approcha et s'installa sur le boudoir en face d'elle, il prit entre ses mains les siennes glaciales. « Cela me ferait très plaisir que tu acceptes cette union, lorsque Darren reviendra ton époux ne s'opposera pas à ce que vous soyez amants tant que vous restez discret. » Loan n'avait guère le courage d'annoncer à sa soeur que le métayer ne reviendrait plus, il réfléchirait aux conséquences de son mensonge plus tard, pour l'heure il était urgent de marier sa soeur ou il n'aurait plus de droit sur elle. « Oh d'accord. » Elle était à peine consciente d'être enceinte, encore moins d'avoir assassiné le patriarche, elle était encore moins consciente de donner son accord pour s'unir à un parfait inconnu et Loan se détestait d'abuser de sa faiblesse.
Après la naissance de l'enfant qu'elle portait l'état mental de Lousha s'améliorait, elle retrouvait gout à la vie grâce à son fils et lui faisait découvrir les merveilles de l'extérieur. Duncan était sa nouvelle raison de vivre, ses nuits étaient toujours hantées de son crime, Darren n'était jamais revenu et son frère avait longtemps gardé le secret. Elle avait épousé, dans un état second le comte Hatthaway, débauché notoire, désabusé et inconvenant, il avait besoin d'une femme pour conclure quelques affaires importantes de son club privé. Le scandale s'était tari, malgré son rang de comte son époux était rarement invité aux bals à cause de son inconvenance. En somme la vie convenait, autant que faire se peut, à la jeune femme. Mais elle était toujours hantée, son frère lui assurait qu'il ne s'agissait que d'hallucination et qu'avec le temps cela disparaîtrait, elle n'avait qu'à se concentrer sur son fils. Elle avait essayé. Le patriarche la suivait partout, au début ce n'était que dans les miroirs, lorsqu'elle avait ordonné aux domestiques de débarrasser la demeure de tout reflet, elle s'était sentie mieux. Il était revenu de manière épisodique, prenant de plus en plus de place dans la vie de la jeune femme, oppressée, menacée, elle avait à nouveau sombré dans les crises démentielles. La vie de Lousha était devenue un véritable calvaire, on l'avait prévenue qu'au moindre faux pas elle serait envoyée dans un de ces centres psychiatriques récemment ouverts en France. Lorsqu'elle réchappa de peu à s'attaquer à son propre enfant en le confondant avec le patriarche, elle s'enfuit. Elle avait tout abandonnée derrière elle, préférait une existence de vadrouille plutôt que patiente dépourvu de toute liberté. Sans abri, sans le sous, sans protection, complètement perdue dans un monde qu'elle n'avait pratiquement jamais fréquentée, la jeune femme a bien vite déchantée. Et son fils lui manquait tellement.
A new life
Deux nuits plus tard elle se trouvait sur le chemin du retour, prête à sacrifier sa liberté pour revoir Duncan. Les chaussons qu'elle portait au pied était déchiré, elle grimaçait lorsqu'une brindille lui entamait la peau, sa robe sale et trainante faisait bruisser les feuilles mortes à son passage et elle était terrifiée de se trouver dans la forêt en pleine nuit, elle était perdue et tentait de retrouver le chemin de sa demeure. Elle se prit le pied dans une racine et tomba face contre terre avec un gémissement ténue, quelque chose de froid lui enserrait la cheville quand elle tenta de se relever. « Que fais-tu là mon enfant ? » Cette fois la jeune femme cria, surprise d'entendre cette voix féminine surgit de nulle part. La chose remontait lentement de sa cheville à son mollet, plus haut, la tirait en arrière. La seconde suivante la jeune femme n'était plus maîtresse de son corps et faisait face à une autre, une beauté renversante malgré la terre qui la maculait. « Tu m'as réveillée. » « Je suis navrée miss, tel n'était pas mon intention. » Terrifiée quelques instants auparavant elle ne trouvait plus de raisons valables de l'être, pourquoi aurait-elle peur de cette femme au regard divin ? « Que fais-tu là en plein milieu de la nuit ma fille ? » « Je me suis perdue. » « Suis moi, je t'aiderais à retrouver ton chemin à l'aube. »
La comtesse s'était exécuté, la femme maculée de terre vivait sur un domaine non loin et elles discutèrent toute la nuit, comme des amies de longues dates. Lousha ne se rendait pas compte de l'incongruité de la situation, elle était totalement charmée par son hôte. Lorsqu'elle lui révéla son meurtre, elle ne fit que faire remarquer qu'elle était en droit de se défendre, lorsqu'elle mentionna son fils qu'elle avait abandonné, elle fit remarquer que la vie de l'enfant serait mieux sans elle. A l'aube son hôte avait disparu et Lousha ne repartit pas à la recherche de sa demeure, elle l'attendit et ne réapparut qu'à la nuit tombée. Les choses semblaient si naturelle qu'elle resta chez Caroline, elle ne souffrait plus de crises et n'avait pas revus le patriarche depuis des semaines désormais. Son hôte était inconvenante, comme son époux, mais Lousha l'appréciait réellement. Et Caroline trouvait l'optimiste de sa nouvelle invitée rafraichissant.
« Lousha, ma chérie, je ferais de toi une femme merveilleuse, mais pas maintenant. » Cette nuit-là Caroline lui fit boire de son sang, un acte que Lousha aurait trouvé ignoble si elle n'était pas hypnotisée, quoiqu'elle s'emportait plus facilement lorsque les domestiques n'agissaient pas comme il fallait. La semaine suivante elles échangèrent le sang, les jours suivants elle rêvait de son amie, rêves érotique dont elle avait honte au réveil, mais se surprenait toujours à y repenser. « Ma fille, aimerais-tu vivre à mes côtés ? Pour toujours ? » « Bien sûr Caroline. » Elle n'ignorait plus que son amie était une vampire, créature nocturne et prédatrice, loin d'être terrorisée, elle était fascinée. Rapidement Lousha consentit à devenir sa marquée, prenant garde la journée qu'aucun domestique n'aille se promener dans les jardins de la propriété. Les invités de sa maitresse ne venaient qu'à la nuit tombée, d'autres vampires, accompagné de leur servant avec lesquels elle sympathisait facilement. La vie de la jeune femme n'avait jamais été aussi bon enfant.
« Lorsque tu tueras ton époux et ton frère je ferais de toi ce que je suis ma fille. » Cinq années s'étaient écoulées, la bonne entente entre les deux femmes était toujours présente, mais Caroline semblait s'impatienter. « Tu es promise à de grandes choses, auquel ton fils n'aura pas sa place, lui pourra rester en vie, c'est un présent que je suis prête à consentir pour toi, pas ces messieurs. » Elles avaient dû déménager lorsqu'une campagne de recherche avait été lancé par son frère Loan, lorsqu'elle avait voulu le prévenir qu'elle était toujours en vie et se portait bien Caroline l'avait sévèrement punie. Effectivement promise à devenir une créature de la nuit, Lousha devait couper tous les ponts avec son ancienne vie. Elle aspirait à devenir comme sa maitresse, serait-elle prête à payer le prix qu'elle réclamait ? « Tu devras faire attention à ne pas élever de soupçon, nous avons déjà déménagé une fois par ta faute, je ne tolèrerais pas une autre fuite. »
Lousha était mise à l’épreuve, Caroline avait déjà trop de fois entendue de ses congénères que sa protégée était trop fragile, qu’à cause de cela elle perdait énormément d’influence. Les traits de caractère qu’elle appréciait chez cette jeune femme, l’affaiblissait. Elle élaborait alors un plan machiavélique pour endurcir sa petite, il n’avait pas échappé à sa maitresse que sous ses airs délicate et mentalement dérangée, elle possédait un potentiel fourbe. Elle l’avait su dès leur première rencontre. Il suffisait de la pousser à bout pour faire surgir son côté rebelle.
« Laissez-moi tranquille Vincent. » Il retirait sa main lorsqu'elle y apposa une petite claque réprobatrice, pour mieux relever ses jupes. Lousha se retournait pour le gifler, pour qui la prenait-elle ce bougre de vampire ? Tous deux restèrent figés lorsque le claquement provoqué par la gifle se tut. « Que venez-vous de commettre effrontée ? » « Vous n'avez aucun droit de me molester. » Le regard du vampire flamboyait désormais de rage, Lousha tentait de prendre contact avec sa maitresse, en vain, elle ignorait quoi faire dans ce genre de situation. « J'en ai tous les droits. » « Faux. » Fou de rage il se jeta sur elle, contre un vampire elle n'avait aucune chance même avec les avantages que conférait son lien avec Caroline. Elle savait cependant comment se débarrasser d'un vampire, elle se prit une volée magistrale qui l'envoyait au sol. Elle se mordait alors violemment le poignet, cette morsure n'avait absolument rien de comparable à celle d'un vampire, celle-ci était atrocement douloureuse et nécessaire. Alors que le vampire la redressait et se préparait pour une nouvelle gifle elle enfonça son poignet ensanglanté entre sa bouche entrouverte.
Le vampire avait succombé au poison que représentait le sang d'un marqué. Le lendemain elle retrouvait la demeure où vivait son fils désormais âgé de 7ans, aucun domestique n'était conscient de la présence de leur ancienne maitresse de maison. Lorsque le comte rentra du travail elle le somma de contacter son frère, il s'agissait d'une question de vie ou de mort, il ne devrait pas connaitre le sujet de cette convocation. Après avoir fait ses adieux à son fils elle l'envoya auprès de la femme de Loan. Enfermée durant des années dans sa demeure du Hampshire, Lousha avait eu tout le temps nécessaire de s'éduquer à l'aide de livres. Alors que le comte se fichait pas mal de son retour, son frère fut plus que ravi de la revoir, quant à Lousha elle était dans un accès de démence. Elle relatait les évènements de ces dernières années, sans rien omettre, lorsque les deux hommes agonisaient, empoisonné par la racine de Ciguë. Elle venait de conclure sa part du marché, désormais Caroline ferait d'elle une vampire.
Confrontation of life and death
Paris, 1845 “Attaque” Lousha regardait par-dessus son épaule et ne vit rien d’autre que son ombre. Elle n’avait pourtant pas rêvé, à qui appartenait cette voix ? On aurait dit la sienne, hors elle était assez lucide pour savoir qu’elle ne venait pas de prononcer un seul mot. Elle reportait son attention vers son compagnon, un Français tombé sous le charme de la jeune Britannique malgré la cicatrice qui déformait la peau de sa joue. Elle avait l’intention d’en faire son calice. "Tue-le." A nouveau cette voix, ébranlée, la conversation qu’elle échangeait avec son compagnon fut écourté. Lousha avait faim, mais elle respectait trop l’être humain pour se servir sans un accord préalable. Cela pouvait attendre, elle s’était nourrie plus tôt dans la soirée, Mr Anderson ne semblait pas réfractaire aux rencontres clandestines, elle s’inventa une soudaine migraine et lui donna rendez-vous le lendemain. « Suis-je folle Caroline ? » demanda-t-elle cette même nuit. Alors que sa sire se nourrissait de son calice, son infante entrait dans la chambre qu'ils louaient à Paris. Repue elle délaissa l'humain et vint s'asseoir à ses côtés en s'essuyant les lèvres. L'odeur du sang obnubilée Lousha dont le regard était rivés sur le cou de l'homme, mais Caroline usa de son pouvoir sur elle pour la contraindre à ne pas s'attaquer à son calice. « Tu sais ma chérie, les femmes de la lignée des ténèbres ne sont pas des modèles de lucidité. » « Est-ce pour cela que vous m'avez choisie ? » Pour toute réponse sa sire sourit, Lousha compris. Depuis 5 ans qu'elle était désormais une créature de la nuit, il lui arrivait d'avoir des pertes de mémoires, elle ne se rappelait absolument pas de son réveil par exemple, mais Caroline lui avait dépeint un tableau peu joyeux de l'activité de cette nuit-là. Une machine à tuer avait-elle conclu avec un sourire empli de fierté. Elle ne pouvait regretter ce dont elle ne se souvenait pas, mais elle s'employait à respecter les humains pour expier ses fautes. « J'entends des voix » avoua-t-elle. « Et je dénombre tout ce que je vois ma chérie, en plus d'être complètement paranoïaque, je ne vis pas moins bien pour autant. Avec le temps tu apprendras à taire tes sentiments humains qui te rendent faible. » Elle retourna auprès de son calice, terminer ce que son infante avait interrompue, signe que la conversation était close.
Prague, 1857 La vampire guettait, imperméable aux conditions climatiques de la nuit. La pluie battante n'entravaient pas sa vue, ni son odorat c'était le principal, quant au froid ce n'était pas comme si elle pouvait en ressentir les effets. Sur le toit d'un immeuble elle surveillait sa proie, il était dans ce club réservé aux membres masculins. La nuit dernière il avait tenté de s'attaquer à Lousha, elle s'était aisément enfuie. Mais les choses n'en resteraient pas là. L'aube s'approchait, les clients rentraient petit à petit chez eux. Elle n'avait plus de temps à perdre. Elle sauta du toit et s'avançait vers l'entrée, un des employés tenta illico de l'arrêter, elle le vida de son sang. Il en fut de même de la plupart des employés, alors qu'elle hypnotisait les derniers clients pour les entraînaient dans une rixe qui ne manquerait pas de détruire tout le mobilier luxueux du club de jeu. « Loup, petit loup, où te caches-tu ? » Elle chantait gaiement, nul besoin d'élever la voix il l'entendrait. « Sangsue. » Grogna le propriétaire des lieux en atterrissant devant elle, le regard luisant. « Tu as été très vilain louveteau, s'en prendre à une innocente ? tss tss. » Lousha était incapable de faire du mal à une mouche, elle ne faisait rien de mal avec son calice, ils avaient trouvé une ruelle tranquille pour qu'elle se repaisse lorsque cet avorton lui était tombé dessus. Résultat le calice avait succombé et Lousha s'était enfuie pour sauver sa peau. « Comment oses-tu t'aventurer sur mon territoire ? » « J'ai une affaire à régler avec toi. » La vampire feinta un duo d'humain, trop obnubilé à se foutre sur la gueule, elle était comme invisible. « Tu n'es qu'une lâche, il t'a fallu 24heures pour oser venir m'affronter. » Un sourire étira les lèvres de la vampire, Lousha était trop lâche pour oser la confrontation, mais pas elle, pas Ciguë. « Tu as rencontré la mauvaise personne. » Elle passa ensuite à l'attaque. « Mère, tu aurais pu me dire que le sang d’un poilus était dégueulasse ! » « Je me demande encore où tu as pu apprendre un langage aussi florissant Ciguë. » Marmonna sa sire en retour. « Regarde-moi ça j’ai encore des poils coincés entre les dents. » Caroline était l’une des seules à avoir le privilège de connaitre la double personnalité de son infant, les autres n’y survivaient pas. Quand elle avait vu un énorme potentiel en Lousha elle ne s’était pas imaginé qu’elle créerait une telle créature. Elles étaient facilement différenciable, Lousha était toujours respectueuse et la vouvoyer, quand Ciguë la prenait pour sa mère et la tutoyer. « Tu mets du sang et de la terre partout, va donc te nettoyer. » La vampire s’exécutait en essayant de dénicher les derniers poils entre ses dents avec ses ongles, elle avait dû passer la journée sous terre, l’aube trop proche pour arriver à temps auprès de sa sire. « Tu as camouflé ton passage ? » Demanda Caroline à son retour. « Oui. Une rixe et j’ai enterré le loup. » « Les humains que tu as exsangue ? » « Je leur aie coupé la tête, abandonner sur place. » La tête coupé, les autorités ne pourraient découvrir les marques laissé par ses crocs. « Bien. Je m’en vais. » La vampire clignait des yeux, il était rare de pouvoir la prendre de cours. « Tu veux dire… » « Il est temps pour moi de rejoindre ma sire et la place qu’elle me réserve. Quant à toi il est temps de voler de tes propres ailes. Tu prends bien soin de ma bien aimée Lousha. » Un sourire triste étirait ses lèvres, elle aurait préférait faire ses adieux à sa favorite, mais son temps lui était compté. « Je veux t’accompagner. » « Oui. Le jour où tes ambitions prendront le pas sur ton impulsivité, ce jour-là tu me rejoindras auprès du conseil. Tu rejoindras le maitre de Prague, dès demain. »
1863 Lousha se réveilla à la nuit tombée, un battement régulier résonnait dans la pièce. « Je t'ai laissé un cadeau » Ciguë. Son autre elle. Lousha fouilla dans sa mémoire, son dernier souvenir remontait au 15 janvier. « Quelle date sommes-nous ? » « Le 18. » Elle avait pris possession de son corps durant deux nuits donc et comme d'habitude ne se souvenait de rien. La vampire se redressa de son lit alerté par l'odeur de sang envahissant l'espace, devant elle un humain. Il s'ouvrait les veines de ses poignées, le regard hagard. « Volontaire ? » « Suicidaire, ça revient au même. » Elle la prenait de cours, encore une fois. Captivée par l'odeur et l'éclat rouge s'écrasant au sol avec un plocplocploc Lousha ne put y résister et allait se repaitre de l'humain que lui avait ramené Ciguë. Elle résista cependant à le vider entièrement de son sang, elle ne tuait pas les humains, ni personne, plus jamais. « Fait pas ta mijaurée, il va se suicider dans tous les cas. » s'indignait Ciguë dans sa tête. Quelle insupportable mégère. Pour prouver le contraire Lousha hypnotisa ensuite le pauvre homme pour lui faire oublier cette rencontre, ainsi que son envie de mettre fin à ses jours et le renvoya chez lui. Depuis le départ de sa sire Lousha se sentait seule. Caroline n'était pas seulement sa sire, c'était sa maitresse, elles partageaient leur couche depuis si longtemps que retrouver une couche vide était devenu une épreuve pour elle. A cause de cela elle s'était un peu plus ouverte à la voix de sa tête, Ciguë. Il ne s'était pas écoulé une semaine que Lousha haïssait son double, hors cette dernière ne semblait pas décidée à la laisser tranquille. Elle envahissait tout son espace, commenter tout ce qu'elle faisait et lui déplaisait, il lui arrivait même de lui relater ce qu'elle avait fait de son corps lorsque Lousha n'en avait pas le contrôle. Ciguë était invivable et Lousha s'échinait à trouver une solution pour la museler. « Sois moins réfractaire à ta nature et je disparaîtrais. »
1880 « Où est Renard ? » « Qui ? » « Renard, où est-il ? » « Tu veux dire Renaud ? » Lousha lançait un regard venimeux, mais somnolent, au vampire. Les idées se bousculaient dans sa tête, sans parler du retour de sa voix intérieure. « C'est au moins le septième cadavre que tu nous laisses sur les bras. » répondait-il. « Qui l'a tué ? » Sa voix était si tranchante que le vampire recula d'un pas, s'ils avaient bien appris une chose de cette vampire c'est qu'elle était incontrôlable. Et complètement folle. Le voyant reculer Lousha s'avançait, elle voulait son calice et immédiatement, à peine consciente qu'il était mort. « C'est toi. » Du plus loin qu'elle s'en souvienne, c'est-à-dire 5 minutes auparavant, depuis qu'elle cherchait son calice, elle n'avait tué personne. Comment ce vampire osait-il la traitait d'assassin ? « Va me chercher Renard ! » « Bordel mais t'es sourde ou quoi ? Je te dis que tu l'as tué ton Renaud ! Exsangue jusqu'à la moelle. » Les deux vampires se figèrent 5 secondes, alors que la rage envahissait Lousha, elle fixait son correspondant qui reculait prudemment en direction du hall. Il était fait, songeait-il. Elle avait beau être imbibée d'opium, elle restait un novice incontrôlable et parfaitement capable de l'exécuter sur place par caprice, il prit la fuite en espérant trouver le maitre avant qu'elle ne lui arrache la tête. Ce fut le murmure onctueux dans sa tête qui lança Lousha à le traquer. « Que se passe-t-il ici ? » Finalement elle ne l'avait pas tué, pas encore, bientôt. Elle riait alors que son souffre-douleur hurlait. A l'entrée du maître vampire de Prague elle souleva le bras arraché du vampire pour le saluer, ce dernier observait la scène d'un oeil torve. « Qu'à-t-il fait pour mériter ton courroux ? » « Il me dit que René est mort. » Le maitre pinçait des lèvres, plus que lassé de cette gourgandine, il devait intervenir avant qu'elle ne cause plus de dégât et remette en cause son autorité dans sa propre ville. « C'est vrai. Renaud est mort, il l'a tué. Maintenant débarrasse toi de lui et rejoins moi dans mes appartements, on va te trouver un autre calice. » Sans une once d'émotion dans les yeux elle arrachait la tête du vampire à ses pieds et suivis son maitre. Ce qu'elle ignorait c'est qu'il s'agissait d'un piège. Ils lui tombèrent dessus pour la maitriser et l'enfermer dans un cercueil bardé d'argent. Seul moyen de la contrôler le temps que le maitre trouve le moyen de joindre sa sire, Caroline.
Cinq ans plus tard elle fut libérée, Ciguë avait pris le contrôle et bien retenu la leçon. Après avoir réalisé un véritable carnage, la frénésie était incontrôlable malgré tous les efforts du maître à lui fournir des humains, il avait fallu des mois supplémentaires d'emprisonnement dans une cellule pour la sustenter et irradier sa haine. Lousha avait trouvé le moyen de l'éradiquer elle, mais pas sans conséquence, l'opium qu'elle ingérait par l'intermédiaire de ces calices l'avait rendue complètement incontrôlable. Ces cinq années d'enfermement, consciente d'être piégée et affamée, l'aurait tuée. Ciguë était bien plus forte et prête à tout surmonter. Il était temps de faire comprendre à Lousha qu'elles allaient devoir cohabiter ensemble, pour l'éternité, jusqu'à la mort. Les négociations étaient ouvertes, Ciguë garderait le contrôle de ce corps tant qu'elles n'auront pas trouvé de terrain d'entente.
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Dernière édition par Ciguë L. Hatthaway le 31/5/2013, 12:12, édité 8 fois
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Sujet: Re: Ciguë - Pourquoi le poison, quand on peut tuer avec du miel? 28/5/2013, 10:21
~ J'avais lu "poisson" ...
Donc j'ai relu une deuxième et troisième fois ... j'ai relu "poisson" aux deux reprises
Ouèlcome petit bout de Nemo
Invité
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Sujet: Re: Ciguë - Pourquoi le poison, quand on peut tuer avec du miel? 28/5/2013, 13:46
Mais faut pas tuer, c'est pas bien ! *envoie Iza prendre la température de Laughlin*
Bienvenue sur le forum Bonne continuation pour ta fiche ! :29:
Invité
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Sujet: Re: Ciguë - Pourquoi le poison, quand on peut tuer avec du miel? 28/5/2013, 14:34
Laughlin S. Valentine a écrit:
~ J'avais lu "poisson" ...
Donc j'ai relu une deuxième et troisième fois ... j'ai relu "poisson" aux deux reprises
Haha, la même xD Sauf qu'à la 2ème relecture j'ai bien lu "poison" cette fois
Bienvenue parmi nous Bon courage pour la suite de ta fiche et, à la moindre question, n'hésite pas à nous embêter autant que tu veux !
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Sujet: Re: Ciguë - Pourquoi le poison, quand on peut tuer avec du miel? 28/5/2013, 14:47
Feriez-vous une fixation sur le poisson?
Merci à vous tous ^^ j'ai déjà embêter Alessandro j'attends que sa réponse :11: thanks don juan
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Louve blanche et Alpha, lupa de la Meute.
En octobre elle devient la compagne officielle de Jeremiah A.C Kellog alors Ulfric de la Leute de Shevreport. Elle attend son enfant.
Février 2014, alors enceinte de 5 mois, Melinda découvre le corps de JEremiah, éviscéré, en pleine nuit.
Début Mars 2014, après avoir été pourchassée avec Duncan dans la forêt, puis sauvée par HAnsfried, celui ci se hisse au poste d'Ulfric.
Depuis, que le calme est revenu dans la Meute, Melinda s'enfonce dans une dépression dont personne ne parvint à l'en sortir. Pas même Conrad qui a réussit tout de même à lui redonner le sourire.
le 30 avril 2014, Melinda, torturée par Cinead en pleine forêt,accouche et oublie son enfant. Tisha qui la retrouve près du Pard la raccompagnera à la Meute, où Iza les rejoindra avec le bébé mort entre les bras... SOBRIQUET : Arwana / Arwy MISSIVES : 2817 ACTE DE PROPRIETE : Bazzart
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Sujet: Re: Ciguë - Pourquoi le poison, quand on peut tuer avec du miel? 28/5/2013, 20:21
Bienvenueeeeeeeeeeeeee jolie skyzo !! je crois que je vais te faire un tit coucou avec Jacob XD
Amuse toi bien avec la rédaction de ta fifiche :D
lance des pétalles de roses*
Invité
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Sujet: Re: Ciguë - Pourquoi le poison, quand on peut tuer avec du miel? 28/5/2013, 20:25
Merci radieuse Melinda :11: Bonne fête de futur maman en retard lol
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Début Mars 2014, après avoir été pourchassée avec Duncan dans la forêt, puis sauvée par HAnsfried, celui ci se hisse au poste d'Ulfric.
Depuis, que le calme est revenu dans la Meute, Melinda s'enfonce dans une dépression dont personne ne parvint à l'en sortir. Pas même Conrad qui a réussit tout de même à lui redonner le sourire.
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Sujet: Re: Ciguë - Pourquoi le poison, quand on peut tuer avec du miel? 28/5/2013, 20:44
Euh..... IRP c'est pas gay tout ça ! xD Et le bébé va mourir donc bon ...
Mais merki que même !! :D
Invité
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Sujet: Re: Ciguë - Pourquoi le poison, quand on peut tuer avec du miel? 28/5/2013, 20:46
Arf...Effectivement c'est pas gay
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Début Mars 2014, après avoir été pourchassée avec Duncan dans la forêt, puis sauvée par HAnsfried, celui ci se hisse au poste d'Ulfric.
Depuis, que le calme est revenu dans la Meute, Melinda s'enfonce dans une dépression dont personne ne parvint à l'en sortir. Pas même Conrad qui a réussit tout de même à lui redonner le sourire.
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Sujet: Re: Ciguë - Pourquoi le poison, quand on peut tuer avec du miel? 28/5/2013, 21:03
*vient de percuter que Cigue c'est Jessica Alba* Magnifique choix de vava =)
Invité
Invité
Sujet: Re: Ciguë - Pourquoi le poison, quand on peut tuer avec du miel? 28/5/2013, 22:37
+1 avec Mel Et ravi de voir que tu n'as retenu que le côté "Don Juan" de mon rang :54: *sort* xD
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Sujet: Re: Ciguë - Pourquoi le poison, quand on peut tuer avec du miel? 29/5/2013, 09:03
Bienvenue parmi nous vampirette!
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Sujet: Re: Ciguë - Pourquoi le poison, quand on peut tuer avec du miel? 29/5/2013, 13:52
Merciiii j'ai longuement hésité pour le choix d'avatar :11: contente que ça plaise
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Invité
Sujet: Re: Ciguë - Pourquoi le poison, quand on peut tuer avec du miel? 29/5/2013, 15:55
Melinda Warren a écrit:
Euh..... IRP c'est pas gay tout ça ! xD
… leul. Indeed. Sympathique prénom … tu devrais te prendre un chat du nom de Socrate et la boucle serait bouclée. X') Quitte à le faire gémir tous les saints jours de sa malheureuse existence. Bienvenue parmi nous ! ^ ^
Invité
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Sujet: Re: Ciguë - Pourquoi le poison, quand on peut tuer avec du miel? 29/5/2013, 16:10
Vampire...poison... plante toxique comme prénom. Hey bien que de choses accueillante , et schyzo en plus ^^. Ca promets un perso haut en couleur. Bienvenue à toi et bonne chance pour la suite de ta fiche ^^
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Sujet: Re: Ciguë - Pourquoi le poison, quand on peut tuer avec du miel? 29/5/2013, 18:50
Un chat mourrait trop rapidement, ou alors un métamorphe félin oui serait beaucoup plus tentant :51:
Merci Hansfried et Eileen
Invité
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Sujet: Re: Ciguë - Pourquoi le poison, quand on peut tuer avec du miel? 29/5/2013, 19:14
Qui parle d'un métamorphe félin ?... *va se frotter à Ciguë puis va s'asseoir dans un coin et lèche sa patte avant*
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Sujet: Re: Ciguë - Pourquoi le poison, quand on peut tuer avec du miel? 29/5/2013, 19:21
Hansfried me conseille de domestiquer un chat pour le nommer Socrate et le faire gémir du coup je me demande si c'est un pervers sexuel ou juste sadique :11:
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Sujet: Re: Ciguë - Pourquoi le poison, quand on peut tuer avec du miel? 29/5/2013, 19:24
Hum... Les 2 *s'enfuit au cas où* xD
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Sujet: Re: Ciguë - Pourquoi le poison, quand on peut tuer avec du miel? 29/5/2013, 19:26
Roh tu pouvait rester je suis pas vilaine
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Sujet: Re: Ciguë - Pourquoi le poison, quand on peut tuer avec du miel? 29/5/2013, 19:36
Hum moi aussi j'ai lu poisson ... Rolala
Bienvenue en tout cas !
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Sujet: Re: Ciguë - Pourquoi le poison, quand on peut tuer avec du miel? 31/5/2013, 16:31
Bienvenue :11:
Invité
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Sujet: Re: Ciguë - Pourquoi le poison, quand on peut tuer avec du miel? 31/5/2013, 17:55
Merci Sunlight et Anja (pense à changer mon titre de sujet )
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Sujet: Re: Ciguë - Pourquoi le poison, quand on peut tuer avec du miel? 4/6/2013, 12:50
Fiche abandonnée
Changement de personnage en cours !
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Sujet: Re: Ciguë - Pourquoi le poison, quand on peut tuer avec du miel?
Ciguë - Pourquoi le poison, quand on peut tuer avec du miel?