Sujet: ARTHUR ▬ L'ours est fidèle, monogame et bisannuel dans ses devoirs conjugaux. (terminé) 16/1/2014, 07:23
ARTHUR MELCHIOR NEWMAN
Feat Sami Hinkka
PRELUDE
DATE & LIEU DE NAISSANCE ☞ 27 avril 1967, Shreveport ; AGE ☞ 47 ans ; NATIONALITE ☞ Américain ; CAMP ☞ Celui des fleurs et des abeilles. ; FORME ANIMALE ☞ Un énorme grizzly tout poilu qui a parfois plus des allures de nounours qu'autre chose. ; STATUT ☞ S'il lui arrive de passer par le pard, il n'y est aucunement placé. ; TYPE DE METAMORPHE ☞ Métamorphe, lointain descendant de la lignée nordique des Asbjörn. ; ETAT CIVIL ☞ Il a failli se marier. Et puis, finalement, non. Et depuis il est célibataire. LIEU D'HABITATION ☞ Une petite baraque en bordure de la forêt, au sud de Shreveport. Elle est plutôt vétuste et minuscule mais il la chéri et l'entretient avec amour. ; METIER ☞ Garde forestier. CLASSE SOCIALE ☞ Moyenne à tendances pauvres pour le commun des mortels même s'il considère qu'il vit très bien. ETIQUETTE ☞ Marginale écolo, on le prend un peu pour un babacool. Cependant, les gens sachant qu'il est métamorphe s'en méfie ; de nounours sympathique à ours enragé, Arthur pourrait vite devenir dangereux s'il le désirait. Et surtout, si on s'en prenait à quelque chose lui étant proche. Sinon il est le gars bien sympa à qui on peut toujours demander quelque chose et qui possède très souvent ce dont on a besoin, assez mystérieusement d'ailleurs.
INTRODUCTION AU GENRE
Traits de caractères Il y a chez ce gars quelque chose de profondément gentil ; suffit d'un coup d’œil au fond de ses pupilles céruléennes pour le remarquer. A côté du grain de folie qui vous étonnera toujours, persiste cet éclat de gentillesse débordante, celle qui fait d'Arthur quelqu'un d’exceptionnellement humain, des plus altruistes. Dévoué, il ne vous lâchera jamais, même s'il doit en pâtir lui-même car il n'a qu'une parole. De lui, vous ne devez craindre aucun mauvais coup - mise à part quelques blagues vaseuses qui peuvent vous laisser perplexe tandis qu'il se bidonnera à en attraper des crampes - seulement de grandes tapes amicales un peu rustres. Parce que c'est un fait, avec ses chemises à carreaux, ses poils mal rasés et sa force de bourrin, il est bien digne de sa forme d'ours. Et même si derrière ses traits de nounours attendrissant il a souvent l'air naïf - et ce n'est malheureusement pas qu'un air qu'il se donne -, Arthur tient à ses convictions comme personne. Il protège la faune et la flore avec ferveur et quiconque lui fera l'affront de détruire sa belle et précieuse nature se retrouvera avec un coup de patte ou de croc bien placé dans la gueule. Pourtant, il y a peu de choses qui lui font voir rouge mais je vous conseille grandement de ne pas en faire partie. Mais ne vous inquiétez pas ; il est plus qu'aisé de l'attendrir, voire de le manipuler. Très loin d'être méfiant, il n'est pas rare que quelque chose de gros comme une montagne lui tombe sur le coin de la gueule sans qu'il y ait la lucidité de le remarquer. En plus de cela, c'est un grand maladroit, passé expert dans le rattrapage au vol de la dizaine d'objet qui lui échappe des mains tandis qu'il cherche l'autre dizaine qu'il a égaré. Cependant, restant quelqu'un de battant, il ne se laisse pas facilement abattre et persiste encore et toujours contre les coups durs du destin, à grand renfort d'optimisme démesuré et de gentillesse sans limite. Il lui arrive de dire - généralement quand il est bourré - que son métier à lui, c'est de donner de l'amour aux gens qui en ont besoin (et ce n'est pas qu'une technique de drague ringarde, promis). Un sensible qui plus est, aux convictions pacifistes engagées. Occupation nocturne La plus grande occupation d'Arthur, celle à qui il se dévoue corps et âme, est de surveiller la forêt. Que ce soit en tant qu'homme, perché dans ses observatoires ou en cavalant lourdement dans sa fourrure d'ours ; il veille sur les bois avec une ferveur et une passion sans nom. C'est son père qui lui a inculqué cet amour sans limite pour la nature et ce dernier était l'homme que le métamorphe respectait le plus au monde ; ainsi, quand il protège ces lieux, il lui semble qu'il rend un petit hommage à son défunt paternel. Sinon, quand l'ours ne surveille pas les grands espaces verts, il aime passer du temps avec ses semblables, spécialement pour discuter car il est de ces hommes qui aime partager avec son entourage, ne supportant pas un temps infini la solitude. le meilleur endroit pour se retrouver est d'après lui un bar ou, mieux encore, une salle de concert. Avide de musique, il ne rechignera jamais une invitation, encore moins s'il s'agit de son bien lourd et détonnant comme le metal par exemple. Un peu brutal sur les bords - et c'est pourtant malgré lui -, il y décime souvent des pogos entiers et finira toujours par offrir un verre pour tenter d'apaiser le gars ayant reçu son poing dans le nez par inadvertance - ce qui arrive remarquablement souvent. Manies, habitudes & goûts Manger du saumon ▬ Tout ce qui est au miel est bon ▬ Il ne supporte absolument pas la violence (quand il frappe quelqu'un, c'est par maladresse) ▬ Remonter le moral des troupes, c'est un peu sa vocation ▬ Protéger la forêt. C'est plus qu'un métier, c'est une passion ▬ La peine des autres le touche inévitablement ▬ Les technologies et lui ça fait deux, voire dix ▬ Partager son amour ▬ Il supporte mal de se retrouver désemparé face à la haine des autres ▬ Recevoir des gens chez lui, il adore ça ▬ Jouer de la guitare au coin du feu, c'est aussi son tripe Transformation Arthur est un des lointains descendants de la lignée des Asbjörns, des métamorphes dont la forme animale principale est l'ours. Après plusieurs tentatives dans les différentes races que peut prendre cet animal, l'homme s'est définitivement transformé en grizzly, sans doute à cause de son obsession à protéger la forêt, son côté brutal malgré lui et la force dont il pouvait être capable. Son côte animal fait partie intégrante de lui, il le chérit, l'aime et ne s'en séparerait pour rien au monde ; l'ours en lui le définit, l'homme en fait de même avec la bête. Il a appris à accepter la douleur que lui inflige la transformation ; il la reçoit comme un échange. Arthur n'hésite pas à passer sa peau d'ours, il apprécie tant cet état qu'il est prêt à en payer le prix, même s'il s'est depuis longtemps habitué à cet écartèlement douloureux que lui procure le changement - d'autant plus que la taille de la bête lui inflige une souffrance plus conséquente qu'il pourrait y paraître. De ce fait, il n'attend pas forcément la pleine lune pour libérer l'animal, même s'il est particulièrement excité à chaque fois qu'un tel événement approche, ses instincts se retrouvant aux aguets et sont d'autant plus réceptifs à ce qui l'entoure. Convictions Arthur a sincèrement été effrayé par la révélation. La plus part de ses amis CESS ont dû longuement le rassurer avant qu'il ne recommence à sortir en ville, restant profondément enfoui dans sa précieuse forêt. Horrifié à l'idée ce que pouvait faire les hommes, ses craintes se sont justifiées quelques années plus tard. Il est totalement désarçonné face au comportement de certains d'entre eux et la recherche d'un vaccin anti-métamorphe lui a brisé le cœur quand il l'a appris. Il ne s'imagine pas sans sa part animale, le simple fait de l'imaginer le couvrant d'une peine sans nom. Il ne sait pas comment réagir face à tant de haine et préfère donc la combattre avec ce qu'il possède de plus puissant ; son optimisme et la gentillesse qu'il propage un peu partout avec ferveur. L'homme craint la haine de ce monde, il ignore ce qu'il pourrait advenir de lui, de ses proches. Il serait capable de faire beaucoup de choses afin de protéger ces derniers mais s'il doit un jour s'engager dans un quelconque mouvement de rébellion, il lui faudra une extrême bonne raison, pacifiste dans l’âme qu'il est. Signes particuliers Etre un ours hirsute, ça compte ? Il est poilu de partout, une crinière de lion et une barbe bien virile. On le reconnaît facilement de par ce fait mais notamment par son style vestimentaire visiblement comparable à celui d'un bûcheron ; chemise à carreau en flanelle, jeans troué par l'usure, il se trimbale parfois même la casquette et les bretelles.
VIDEODROME
PERSONNAGE INVENTE, SCENARIO OU PV? Iventé ; PSEUDONYME Metalotroll ; DERRIERE L'ECRAN Je suis toujours égale à moi-même, pour le meilleur et pour le pire (comment ça, surtout le pire ? Namého, je vous tiens à l’œil :51: ) CODE DU REGLEMENT C'est une histoire de Dracula. Vous savez que je l'ai lu, hein. Vous le savez. Comment ça je suis une grosse flemmarde ? Ouais. C'est le blocus tout ça. Juré. Attendez... exercice de réflexion extrême... Il ne manque plus le thème de Dracula, le maître des ténèbres, et on pourra commencer. C'est un truc dans ces eaux-là, si, si, si. ; COMMENT NOUS AVEZ VOUS DECOUVERT? C'est un troll qui m'y a emmené. Un gros torturé de la vie. Franchement, faudrait qu'il se soigne. ; AVIS GENERAL SUR LE FORUM C'est mal. Parce que la drogue c'est mal. Comme nous l'aura fait remarqué Metallica avec leur film en 3D. :niancat: ; AVATAR UTILISE Sami Hinkka (l'est-il pas mignon ? :63: )
Dernière édition par Arthur M. Newman le 17/1/2014, 13:39, édité 8 fois
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Sujet: Re: ARTHUR ▬ L'ours est fidèle, monogame et bisannuel dans ses devoirs conjugaux. (terminé) 16/1/2014, 07:26
OCTOBRE 1972, DOMICILE DE NICOLAS ET ARTHUR « Hum, qu'est-ce que tu as trouvé ? » Levant mes yeux d'enfant vers ce qui me semble être un dieu vivant, je lui tends le petit oiseau que je tiens avec délicatesse mais fermeté entre mes mains. L'homme s'abaisse doucement, observant le fébrile animal haleter, apeuré et blessé. Un léger sourire s'esquisse sur le visage du paternel qui prend le relais en se saisissant avec précaution du petit être. Dans ses gigantesques mains, la pauvre bête disparaît presque complètement et je suis son ascension de la pointe des pieds, observant méticuleusement chaque geste expert de mon père qui m'explique qu'il s'est sûrement battu avec un chat. Il le soigne, paisiblement avec le calme qui le définit tant dans de pareilles situations. En-dehors de cela, mon père, Nicolas, se retrouve hélas trop souvent victime d'une impulsivité qui le caractérise absolument bien. C'est un ours polaire, naturellement agressif. Son pelage immaculé a toujours eu le don de me fasciner et je n'ai de cesse de passer par toutes les races d'ours sans jamais changer d'animal, n'arrivant en rien à imiter la prestance du patriarche. C'est que nous sommes les descendants lointain de redoutables ours vikings, d'après les histoires passionnantes que mon père me conte au coin du feu. Il est un peu bourru mais dans le fond, je sais qu'il est tendre. Du moins, il l'est avec son fils. Et les moineaux blessés.
C'est un peu triste que je regarde le corps sans vie de l'oiseau. Il n'a pas résisté. Alors, doucement, dans un silence respectueux, je vais poser le petit cadavre dehors avant de commencer à creuser un trou assez profond pour qu'aucune bête n'ait envie d'aller le déterrer. Mon père m'observe de l'intérieur, scrutant sa progéniture sur laquelle il veille perpétuellement. Quand je rentre, un peu tristounet, il a vite fait de m'attraper et de me hisser dans ses bras d'une force incomparable. Il soulève l'enfant d'à peine cinq années que je suis comme un simple grain de poussière. Il m'explique que c'est la vie. Que sans la mort, le monde serait déséquilibré. Avant de passer à quelque chose de moins sombre, me proposant agilement l'idée d'aller cueillir des pommes afin d'en faire une tarte. C'est spontanément qu'un engouement certain naît au fond de mon cœur puéril avant que mes minuscules bras ne tentent d'enserrer la carrure titanesque de mon père comblé de l'amour que je lui porte. C'est qu'il est fier de son gamin et qu'il l'aime plus que toute autre chose au monde.
AOÛT 1998, DOMICILE D'ARTHUR « Tu es un monstre ! Un monstre ! Un monstre ! » Et elle ne cesse de répéter ce mot qui, à chaque fois, me cause un peu plus de mal. Je tente vainement de la calmer mais elle se débat et vient jusqu'à me frapper au visage, ce qui me fait reculer incrédule. Voilà quelques mois que je partage ma vie avec Lucie, voire peut-être plusieurs années, je ne sais plus à l'instant... Elle me semble étrangère d'un seul coup. Elle me haït de tout son être. L'aurait-elle mieux accepté si je lui avais avoué cela depuis longtemps, dés le début ? « Non, pas un monstre, je... un ours, c'est tout. » Et soudain, en m'entendant, je me rends compte à quel point j'ai l'air stupide à essayer de la raisonner. C'est vrai, après tout, elle a raison. Je n'ai rien d'humain. Je suis bestial et poilu. Mais je ne suis tout de même pas un monstre. Mais la belle ne veut rien entendre. Elle me hurle dessus un nombre d'insanité incroyable qui me donne envie de partir en pleurant. Elle me fait mal. Ses mots sont acérés et corrosifs, attaquant agressivement mon pauvre cœur ballottant sans plus d'attache au fond de ma poitrine. C'est qu'il tombe en miettes. « Lucie, attends ! Reviens ! » Et elle disparaît. Elle a repris ses affaires dans un sac, emballant mes souvenirs et les arrachant cruellement à mon pauvre être désespéré qui court derrière sa voiture. Alors doucement, je ralentis avant de me rendre compte que ça ne sert à rien. Lucie est partie. Pourtant, je n'avais rien d'effrayant. Un ours, simplement. J'aurais pu être un... requin ? Un vautour ? Une araignée ? Je ne sais pas. Tout ce bouscule dans mon crâne et je me maudis de lui avoir avoué la vérité alors qu'avant je me haïssais de lui mentir sur ma véritable nature. Mon père m'avait prévenu, pourtant. Un de mes amis métamorphes – un macaque, j'aurais dû m'en méfier, peut-être – en apprenant ma décision m'avait rétorqué Toutes des salopes, tu vas te faire jarter. Toutes des salopes. Il n'avait pas eu totalement tort. Pourtant, mon cœur se fâche, cognant avec ferveur contre ma poitrine comme pour me faire réagir. Mais je reste là, immobile au milieu de la route. Avant de me faire klaxonner, ce qui me fait sursauter indéniablement avant de revenir en traînant des pieds vers chez moi. J'observe l'automobiliste énervé par ma présence disparaître, me disant que tellement peu de gens passent par cette route que cela en est louche.
Toute la nuit, les larmes noient mes joues et c'est seulement quand mon père daigne fracasser ma porte d'entrée et de m'extirper du fauteuil où j'ai échoué que je cesse de pleurer sur mon sort. Son regard est dur sur moi et c'est ce qui me fait finalement réagir. Je n'aime pas le décevoir. Sa main rude qui se lève devant moi me fait fermer les yeux ; il a raison, une bonne gifle me remettrait les idées en place. Mais mon corps est attiré vers lui, docilement tandis que ses bras s'enroulent le plus délicatement possible autour de mon être. Sa dextre caresse affectueusement mon dos et ses lèvres murmurent quelques paroles rassurantes. Mon père avait beau savoir se montrer terriblement rustre, il restait celui qui m'avait élevé et me voir souffrir d'une telle manière le laisse tant perplexe que peiné. Il comprend, je le sais. Il déteste les hommes en général et c'est pour cette raison qu'il m'a arraché à ma mère, conscient qu'une humaine ne supporterait que trop mal l'idée d'avoir une telle progéniture. Il avait fait ce qui lui semblait être de meilleur pour mon être. Et c'était toujours ce à quoi il s'était évertué.
SEPTEMBRE 2011, CIMETIERE DE SHREVEPORT Je sens mon crâne vide qui tente de cogner à la porte de mon esprit qui tourne en rond tel un poisson dans son bocal. C'est difficile à dire. Il est mort. C'est un peu comme chercher à justifier l'existence de Dieu. Dieu est mort. Déception. La vie est injuste car la vie est mortelle. Curieux paradoxe qui me vient à l'esprit un jour de deuil. Mes narines frémissent un instant, signe de réflexion intense avant que je ne remarque qu'en vérité, elles ne faisaient qu'analyser l'odeur déjà rencontrée du propriétaire de la main qui vient de se déposer sur mon épaule. Ca va aller. Et si je n'étais pas si posé, c'est qu'il aurait mon poing dans la gueule. Mais la seule réponse qu'il reçoit est un manque total de réaction. J'en ai rien à foutre. Mais rien ne sort, juste un regard blasé qui se pose sur lui. A moins que... « Casse-toi. Ou je te fais ravaler tes dents. » Et c'est sûr que, dans le silence ambiant, tout le monde m'entend. Ce sont des regards indignés qui se posent sur mon être anéanti, tandis que quelques murmures se lèvent. Qu'est-ce qui m'arrive ? Rien de grave. Je suis mort de trouille et rongé par la tristesse, la peine profonde, la colère noire. Mon père est mort. Celui qui, depuis toujours, avait été à mes côtés, celui qui m'avait tout appris, celui qui avait cet exemple de valeurs et de bon sens, celui qui m'avait élevé à lui seul, avait disparu. Alors, non, je n'avais pas besoin des bonnes intentions d'un hypocrite venu par principe. Je ne voulais que personne ne vienne. Parce que personne n'avait aimé et connu mon père comme je l'avais fait. Alors enfin, il part, après avoir vainement essayé de comprendre. Je n'avais jamais aimé ce gars mais, jusqu'ici, ma volonté de me montrer bon envers l'entièreté du monde avait maintenu une muselière à mes plus sombres sentiments. Mais voilà que toutes mes barrières s'étaient écroulées, laissant l'ouragan déstabilisant de la rupture d'une vie balayer mes plus solides échafaudages. Et enfin je me rends compte de l'horrible et inavouable vérité, dans ce silence de mort. « Il est mort. » C'est de mes plus proches amis que je reçois le réconfort que je ne peux qu'accepter. Je sens leurs mains sur mon corps immobile, leurs bras sur mes épaules basses et leurs regards sur mes larmes. Je sens mon âme s'apaiser soudain, me murmurant qu'au fond, je m'en doutais qu'il finirait par partir. Désormais, il ne reste plus que mon être. Alors, lentement, je me redresse, conscient que ce n'est pas la plus honorable des façons de saluer le départ définitif de mon père. C'est vrai. L'absence est rude mais l'oubli est intolérable. Je n'égarerai son souvenir pour rien au monde ; il vit à travers moi, cet être qu'il a façonné par sa volonté.
MARS 2014, DOMICILE D'ARTHUR « Et tu fais quoi pour occuper tes soirées ? » Un saucisson dans ma main suspendue devant mes lèvres, avachi dans le canapé, perdu dans la contemplation de mes pensées les plus profondes, je me tourne lentement vers la jeune fille qui me scrute comme le dernier animal en voie de disparition en date. J'avale doucement ce que j'ai en bouche avant de réfléchir un instant, les yeux plantés sur la demoiselle. « Tu dois t'emmerder comme un rat mort ici. » J'hausse les épaules parce que je ne vois pas exactement de quoi elle parle. Me redressant en position assise sur le fauteuil, je jette un œil aux alentours. Mon habitation est certes petite et assez rustique, elle me semble chaleureuse et accueillante. Et alors que j'allais lui exposer un semblant de réponse, la belle assise d'une façon nonchalante à l'extrême opposée de mon être pose un regard sur la télévision présente dans la pièce. « Ca marche encore cette antiquité ? » Mes paupières se ferment un instant, devant l’incompréhension de l'hostilité soudaine. Mais, si, comprends la Arthur, c'est le changement. Sa mère en prison, la découverte d'un faux père, faut bien comprendre. « Ouais... Y a plein de cassettes dans l'armoire si tu veux. » Désignant l'objet de mes paroles d'un signe de tête, je lui offris un sourire auquel elle répondit par une tête outrée, levant les yeux au ciel. Elle se lève, appuie sans conviction sur le bouton d’alimentation de l'écran éteint avant de soupirer en y découvrant un vide intersidérale. « Alors t'as vraiment pas le câble... Tu vis presque dans une grotte, ça craint. » Ca ne me déplairait peut-être pas, en fin de compte. Je reste stoïque, incapable de savoir quelle attitude adopter, ayant pourtant essayé, restant aimable et souriant comme il était coutume que je le fasse. Je songe un instant, à ce qui pourrait calmer la furie dans mon salon avant de tenter, avec précaution, une approche de la bête. « Si tu veux, demain, je te dépose en ville. Y a un cyber café dans le centre, j'y passe... parfois. » Et soudainement, il me semble que l'animal indomptable qui se trouve face à mon être s'apaise un instant. Elle ne sait pas quoi faire devant moi. « Hum... » Répond-elle, comme plongée dans une intense réflexion. « Pourquoi est-ce que tu penses que je suis pas ta fille ? » Elle m'achève. Je reste un long moment bouche bée, tétanisé par la question frappante qu'elle vient de me poser comme si de rien n'était. Cela est pourtant simple ; étant donné qu'elle ne s'est pas encore transformée en quelconque bête poilue, il me semble logique d'en déduire qu'il ne s'agissait pas de mon enfant. Cette nouvelle m'avait laissé coi et peiné, comprenant que la femme que j'avais un jour aimé s'étant en vérité toujours joué de moi. Mais je ne peux pas lui expliquer cela. J'improvise. Parce que la créativité de l'homme est ce qu'il y a de plus fort en lui. « On était plus vraiment ensemble quand ta mère est tombée enceinte. C'est une espèce d'intuition, tu vois... Ca me semble pas vraiment possible. » Et je vois comme une déception au fond de ses pupilles qui m'arrache une petite parcelle du cœur. « Mais t'inquiète pas hein, tu peux rester. Enfin, si t'arrives à survivre dans ma grotte et avec l'ours qui y vit. » Si elle savait à quel point mes paroles sont loin d'être vides de sens... Amy me reluque un instant avant de baisser les yeux et de pousser un petit rire qui m'indique que j'ai finalement réussi à approcher la bête sans me faire dévorer tout cru par celle-ci. Elle a changé d'attitude du tout au tout, la voilà comme rassurée. Alors elle se lève, s'en va dans l'armoire que je lui avais désigné peu avant et farfouille un long moment dedans. Elle revient, sans grande conviction, avant de me montrer sa trouvaille « T'as même ce vieux truc ? L'ours, je croyais que plus personne matait ça. » J'esquisse un sourire niais qui finit par abattre ses dernières barrières. Je sens que cette collocation va me réserver beaucoup de surprises. Un peu trop même peut-être.
DECEMBRE 2014, DOMICILE D'ARTHUR Un instant, je pense à Amy avant de me souvenir ce que je le gamin de mon pote macaque m'a dit « T'inquiète pas, je veille sur elle comme mon père sur sa bière. » Et ce ne ne sont pas des paroles à la légère. Patrick possède ce curieux instinct de repérer un dérobeur de boisson à la seconde même où il pose les yeux sur son verre. A croire que c'est naturel chez son espèce. Alors la faille d'inquiétude qui s'est glissée au creux de mes pupilles a vite fait de disparaître, esquissant un large sourire qui se révèle communicatif à voir les réponses de mes compagnons. C'est Noël ce soir et j'ai laissé la jeune humaine ayant élu domicile chez moi passer la soirée avec les nouveaux amis qu'elle s'est fait. Je n'ose toujours pas lui dire que je suis métamorphe, notamment à cause de la réaction que sa mère a eu. Sans doute cette dernière lui a-t-elle dit à quel point ces bêtes étaient affreuses, surtout après la révélation.
Pourtant, le lendemain, alors que je me lève paisiblement, je me prends une furie sur le dos. Elle parle, jacasse, déblatère sans cesse. Je n'ai même pas besoin de répondre. La demoiselle m'expose à quel point elle a trouvé classe que sa copine Judith sorte avec un méta renard. Sa passion est telle que j'en reste coi un long moment. Puis, alors que la demoiselle observe la nature par la fenêtre, je l'entends qu'elle se coupe en plein milieu de son flux de paroles incessant. « ARTHUR ! DES TRACES D'OURS ! » Sa remarque me fait presque rire mais je me retiens, très sérieux face à son air inquiet. « Tu crois qu'il est venu ? Il a l'air énorme. Tu crois qu'il est encore là ? Putain, y un a ours qui est venu. » Elle se cache derrière la tenture, continuant d'observer les empreintes avant que je ne lui lâche sobrement. « C'est moi. » Un instant, elle rit avant de se stopper net. Elle réfléchit. Comprend. Doute. Ses paupières se plissent, un air méfiant apparaît sur son visage. « Toi ? » Demande-t-elle en s'approchant lentement de mon être. Je perçois son pouls s'accélérer tandis que j'imagine à quel point ses pensées doivent s'entrechoquer. « Genre... t'es un ours-garou et tout ? » Sa réaction me rassure soudainement, ne voyant aucune peur s'immiscer en elle mais plutôt une curiosité presque enfantine. Et elle comprend. « Hen... C'est pour ça que... oh. Je suis pas ta fille. » Elle s'assied lourdement sur une des chaises de la cuisine, déçue. Amy soupire, pose son menton dans le creux de sa main et me scrute sans plus bouger d'un cil. Je ne sais pas quoi faire. J'avais imaginé la scène maintes et maintes fois mais jamais de cette façon. Et puis finalement, la jeune fille me lâche, naturellement. « Trop la classe. » Je ne pouvais espérer mieux.
Dernière édition par Arthur M. Newman le 18/1/2014, 12:35, édité 10 fois
★ OFFICIER DIEGO ★
SIGNALEMENT : Prince du Chaos ; Fils du Feu ; Lui-qui-attire-les-goules-dans-les-multis ; HABILITIES : Pouvoir de l'attardus debilitus ; OFFICE : Briseur de la vitrine d'Eoghan ; Cow-Boy qui fait du rodéo sur Poney-Sanford ; Némésis de MishMish ; Associé de l'Agent Oups, le chatccident ; SERENADE : /watch?v=D365SZuES18 /watch?v=PDsqAz4Io4o /watch?v=IBDJQF3EXpU
SOBRIQUET : Marmotte MISSIVES : 1103 ACTE DE PROPRIETE : avatar par Shadows
< I think that we need mythology. We need a bedrock of story and legend in order to live our lives coherently. > Alan Moore
Benjamin Rahkamo
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Black Moon JE SUIS: CAPACITES: MEDISANCES:
Sujet: Re: ARTHUR ▬ L'ours est fidèle, monogame et bisannuel dans ses devoirs conjugaux. (terminé) 16/1/2014, 09:56
/campe aussi dans le coin le temps que la fiche soit terminée. :66:
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Sujet: Re: ARTHUR ▬ L'ours est fidèle, monogame et bisannuel dans ses devoirs conjugaux. (terminé) 16/1/2014, 10:08
/les badigeonne de miel avant des les lécher amoureusement :13:
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Sujet: Re: ARTHUR ▬ L'ours est fidèle, monogame et bisannuel dans ses devoirs conjugaux. (terminé) 16/1/2014, 10:48
GNUGNUS Re !
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Sujet: Re: ARTHUR ▬ L'ours est fidèle, monogame et bisannuel dans ses devoirs conjugaux. (terminé) 16/1/2014, 11:31
DES POILS!
Bienvenue. :)
Bon courage pour la suite & fin d ela fiche.
★ OFFICIER DIEGO ★
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Je bois dans ta déchirure et j'étale tes jambes nues ; je les ouvre comme dans un livre où je lis ce qui me tue. - GB
Rhys V. Archos
ALIAS Rhysette ; l'amateur de pâté en croûte et de sérénades au clair de lune
Sujet: Re: ARTHUR ▬ L'ours est fidèle, monogame et bisannuel dans ses devoirs conjugaux. (terminé) 16/1/2014, 13:06
C'est tellement sexy et cool les ours *__*
SLOPPY LITTLE WEREBITCH.
SIGNALEMENT : † psychotique névrosée aux allures de chien écrasé. HABILITIES : † Lycanthrope (hybride/forme Lupus) et toutes les habilités qui s'y rattachent. OFFICE : † petite chieuse de renom; membre du Pard (squatte momentanément chez Teodor); impliquée dans le crime organisée (anciennement trafiquante de V-Juice pour le compte de Vladimir); recyclée dans cette capacité de ne ''rien faire''; enceinte jusqu'aux orteils.
THAT'S THE THING WITH WHISPERS; YOU PUT A THOUSAND OF THEM TOGETHER, AND YOU GET A HOWL.
SOBRIQUET : † feunoyr. (pseudo), Capitaine HighLiner ou SodoMilliSeins pour les intimes. Chagasse est aussi acceptée; Milli. La Cruche. Grosse Bebite Poilue. Mildrew. Millou. Pâté en croûte. Chattoune. Millouchamour. Millouschnaps. Millouche. Minouscka. Millitrou. Mi-Nichon. Mi'Chat. Michon. Michouille. Millichon. Millouchat et cie. Je les collectionne. MISSIVES : 1448 ACTE DE PROPRIETE : † Katie McGrath. Avatar par feunoyr. et Gifs de faymcwrath tumblr.
WHO'S THE BADDEST BITCH IN TOWN?
Millicent Fitz
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Sujet: Re: ARTHUR ▬ L'ours est fidèle, monogame et bisannuel dans ses devoirs conjugaux. (terminé) 16/1/2014, 18:29
omg. Un ours. Trop bien ce choix :63: (Tu te transforme vraiment en teddy bear, genre, si j'ai peur la nuit et que j'fais des cauchemars? *OUT*). Bonne chance pour ta fichette en tout cas.
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Sujet: Re: ARTHUR ▬ L'ours est fidèle, monogame et bisannuel dans ses devoirs conjugaux. (terminé) 16/1/2014, 18:44
Ce nouveau perso est tellement... Bon voilà, j'ai jamais cru que je dirais ça un jour, mais voilà, on a envie de lui faire des câlins et des léchouilles et ... je m'arrête là, hein.
You must be ready to burn yourself in your own flame : how could you become new, if you had not first become ashes ? ~ Friedrich Nietzsche.
Vinzent G. Henkermann
MJ ; Gnomus Lubricus, Saint Empereur Germanique du Chalet
Black Moon JE SUIS: CAPACITES: MEDISANCES:
Sujet: Re: ARTHUR ▬ L'ours est fidèle, monogame et bisannuel dans ses devoirs conjugaux. (terminé) 16/1/2014, 19:01
Tu donneras l'autorisation à Fiona de te faire des gros câlins ? Hein ? Dis ? Parce que là avec les deux handicapés sentimentaux elle craque. Gnihi. :11:
Bon courage pour la rédaction !
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Sujet: Re: ARTHUR ▬ L'ours est fidèle, monogame et bisannuel dans ses devoirs conjugaux. (terminé) 16/1/2014, 19:09
Bon, alors on en a longuement discuté, pesé le pour et le contre, et finalement, on s'est décidés. Millicent et moi, on t'adopte.
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Sujet: Re: ARTHUR ▬ L'ours est fidèle, monogame et bisannuel dans ses devoirs conjugaux. (terminé) 16/1/2014, 19:13
L'handicapé il vous dit prout. *va boire sa bière fraiche*
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Sujet: Re: ARTHUR ▬ L'ours est fidèle, monogame et bisannuel dans ses devoirs conjugaux. (terminé) 16/1/2014, 20:36
C'est rien petit troll Lancelot, ils envient ton sens de l'humour. :05: *Fait des câlins à tout le monde* M'a... m'adopter ? :63: D'ACCORD ! :13: Oui, je chasserai tes cauchemars Mili, comme un vrai Teddy :46: Et Jules, je suis honoré de t'entendre dire ça de moi alors. Espèce de vilain Bambi. *Fait des câlins à Fiona après lui avoir offert des fleurs*
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Sujet: Re: ARTHUR ▬ L'ours est fidèle, monogame et bisannuel dans ses devoirs conjugaux. (terminé) 17/1/2014, 00:59
Bisannuel... tu viens de faire mourir la Stella en moi. Bravo !
Rebienvenue sur le forum & bonne continuation pour ta fiche déjà bien entamée :29: N'oublie pas de respecter le nombre minimal et maximal de mots et comme tu le sais déjà, tu peux flooder comme tu le veux En cas de problème, n'hésite pas à t'adresser à un membre du staff
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Sujet: Re: ARTHUR ▬ L'ours est fidèle, monogame et bisannuel dans ses devoirs conjugaux. (terminé) 17/1/2014, 12:54
~ Archi t'a d'ores et déjà adopté
Sincères condoléances
(Personnage très prometteur )
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Sujet: Re: ARTHUR ▬ L'ours est fidèle, monogame et bisannuel dans ses devoirs conjugaux. (terminé) 17/1/2014, 13:43
Merci :13: Je crois que je vais devoir me partager pour satisfaire tout le monde. Tu peux dire à Stella que je garde les deux fois par an pour elle. :05:
Fiche terminée
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SIGNALEMENT : le démon qui gouverne les ombres de cette ville. HABILITIES : Thaumaturgie - La main de destruction ; capacité à voir le monde des esprits, sentir la mort. OFFICE : Chef de la mafia Italienne avec sa soeur jumelle. SERENADE : I'm Shipping Up To Boston - Dropkick Murphys
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I’m gonna make him an offer he can’t refuse. LE PARRAIN
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Sujet: Re: ARTHUR ▬ L'ours est fidèle, monogame et bisannuel dans ses devoirs conjugaux. (terminé) 17/1/2014, 14:58
Bienvenue Winnie, enfin reuh quoi. Je loucherais sur ta fiche tantôt, là je dois retourner bosser, mais je voulais te faire une gratouille avant.
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Sujet: Re: ARTHUR ▬ L'ours est fidèle, monogame et bisannuel dans ses devoirs conjugaux. (terminé) 17/1/2014, 16:13
/se laisse gratouiller et attend sagement :63:
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Sujet: Re: ARTHUR ▬ L'ours est fidèle, monogame et bisannuel dans ses devoirs conjugaux. (terminé) 17/1/2014, 23:20
Welcome
Je suis là pour te guider
Tout d'abord, je te souhaites la bienvenue sur Drag me to Hell de la part de toute l'équipe administrative. Ensuite, maintenant que ta fiche est achevée, je viens la modérer pour la validation.
Roh Winnie!!!! Trop mimi, j'ai adoré ta fiche toute pleine de miel et d'abeilleuh. Et euh rien d'autre à dire.
J'ai le bonheur de t'annoncer que tu es validé! Toutes mes félicitations!
Avant toute chose, laisse-moi un peu te guider pour faire tes premiers pas sur le forum en tant que membre validé! youhou! Première chose à faire, si tu ne l'as pas encore faite, c'est de finir de remplir correctement ton profil, et ta feuille de personnage même si tu n'as pas encore de relations, de toute façon, il te faudra sans doute l'éditer dans les temps futurs. Ce n'est pas grand chose, mais d'un c'est plus joli et de deux, on cerne plus vite ton personnage ainsi. Ensuite tant que tu es sur ton profil, pense à mettre dans ta signature un lien vers ta fiche de présentation. Comme ça c'est plus facile pour les autres joueurs de savoir à qui ils ont affaires! Deuxième étape et pas la moindre: remplir ta fiche de relations. C'est la manière la plus rapide pour t'intégrer complètement au forum, et bien évidemment cela va te permettre d'avoir un panel de joueurs avec qui faire un rp tout simplement. La suite logique étant de répertorier tes rp en cours ainsi que tes futurs rp ici, tu pourra bien évidement faire des demandes de rp via les topics des autres joueurs. Nous te conseillons vivement d'aller à A.N.P.E. pour bloquer le boulot de ton personnage, tu pourra aussi créer ta propre boîte si tu le désire. Ensuite, fort de ton salaire, tu pourras demander un logement, n'oublie pas que la colocation est aussi une bonne option! Quand tu auras fait tout cela, tu pourras aller jouer avec tes petits camarades. Pour mettre un peu de piment dans ton jeu n'hésite pas à faire un tour du côté des clans et meutes pour choisir ton clan mais aussi pour recenser ton CESS.. N'hésite pas à faire un tour dans le quartier des sujets multijoueurs pour animer ton jeu. Si tu te sens perdu, n'hésite pas à demander un parrain. De plus, bénéficie de quelques astuces en faisant un tour ici. Et puis, en attendant une réponse d'un joueur, tu peux toujours aller flooder avec nous jusqu'au bout de la nuit!
Il ne me reste plus qu'à te souhaiter un bon jeu sur Drag me to Hell. Amuse-toi bien, et rappelle toi, que si tu as la moindre question nous serons toujours là pour y répondre.
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Sujet: Re: ARTHUR ▬ L'ours est fidèle, monogame et bisannuel dans ses devoirs conjugaux. (terminé) 17/1/2014, 23:53
Rooo j'arrive trop tard x)
M'enfin ça m'empêche pas de te souhaiter la rebienvenue parmi nous quand même Oué ! Un Winnie l'ourson qui passera de temps en temps par le pard ! Promis je te laisserai un pot de miel comme les gamins laissent des gâteaux et un verre de lait pour le père Noël *sort* xD
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Sujet: Re: ARTHUR ▬ L'ours est fidèle, monogame et bisannuel dans ses devoirs conjugaux. (terminé) 18/1/2014, 04:28
Arthur M. Newman a écrit:
Merci :13: Je crois que je vais devoir me partager pour satisfaire tout le monde. Tu peux dire à Stella que je garde les deux fois par an pour elle. :05:
Fiche terminée
Pas possible deux fois. Il va en redemander
Bravo pour ta validation
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Sujet: Re: ARTHUR ▬ L'ours est fidèle, monogame et bisannuel dans ses devoirs conjugaux. (terminé) 18/1/2014, 10:10
Ah ah ah, elle va lui faire aimer ça, graouh.
Merci tout plein :13: Les persos mignons, ça faisait longtemps que j'avais plus tenté alors ça me fait encore plus plaisir de lire ça.
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Sujet: Re: ARTHUR ▬ L'ours est fidèle, monogame et bisannuel dans ses devoirs conjugaux. (terminé) 18/1/2014, 10:59
Je trouvais que ça manquait, justement, des persos mignons! Donc merci d'avoir fait notre peluche. *lui saute dessus et lui fait un calinou*