Sujet: Un solitaire... qui ne peut jamais l'être ! 15/8/2014, 02:05
Prélude DATE & LIEU DE NAISSANCE ☞ 14 février 1748 à Paris ; AGE ☞ En apparence, on lui donne dans la trentaine, mais en réalité, le bonhomme a dépassé les 267 ans d'existence. ; ORIGINES ☞ Issu d'une bonne famille bourgeoise de province à l’époque du 18e siècle, il en reçut une éducation et un goût pour un confort, qui, minimum à ses yeux, représente souvent le luxe pour d'autres. ; CAMP ☞ N'appréciant pas être remarqué, il suit le courant et en l’occurrence, la sagesse conduit l'être intelligent qu'il est à suivre le maître... tant que cela lui est favorable, bien sûr ! Vous l'aurez compris, c'est un manipulateur, affabulateur et baratineur de première, seul son intérêt est d’une véritable importance à ses yeux ! ; NOM DU SIRE ☞ Aileas Mac Dowell, une bombe, dont il est encore amoureux, cet idiot !.. ; DATE DE L’ÉTREINTE ☞ le 21 septembre 1776 ; STATUT ☞ Nettoyeur pour le compte de l’ESSAIM, spécialisé dans le ‘cleanage’ d’existences. ; DISCIPLINE ☞ Chimérie _ Niveau 3 _ Apparition : Pouvoir des illusions, c'est un art d'invocation. Le vampire puise dans ses réserves intérieures pour donner vie à des fantasmes. Ces images illusoires peuvent tromper aussi bien les sens des mortels que les équipements de détection. Si le vampire est puissant il peut abuser les sens des autres hérésies. Ce pouvoir peut être utilisé pour séduire, duper ou asservir les mortels. Une illusion peut être détruite si elle est démasquée physiquement, par exemple une victime qui passerait à travers un mur illusoire, briserait aussitôt l'illusion. Le mouvement est désormais possible aux illusions ce qui permet de créer l'illusion d'un cours d'eau, de rideaux ondulants ou d'un feu crépitant, les illusions sont donc plus vivantes, plus crédibles et abusent plus facilement les victimes.; ÉTAT CIVIL ☞ Célibataire, par choix... LIEU D'HABITATION ☞ Vielle bâtisse vue de l'extérieur, si l'on fait exception des panneaux solaires et des aménagements ultramoderne à l'intérieur. Des verres chromés dissimulent des plaques de métal mis sur toutes les fenêtres. Assez proche d'un manoir dans son plan, il n'en possède pas les dimensions exubérantes. Bien évidemment deux niveaux de sous-sols aux accès verrouillés sont aménagés dans un confort contemporain non ostentatoire, pour ne pas dire quelconque. MÉTIER ☞ Agent de sécurité à l’Elyséum (à mi-temps), en plus de ses activités avec pour l'ESSAIM. ; CLASSE SOCIALE ☞ Classe moyenne aisée en apparence, extrêmement riche en réalité. (petit rappel, depuis la révélation les vampires payent des impôts ) UN(E) MARQUE ? ☞ Elle/Il sera pratiquement une associée tant elle/il connaîtra tout ses secrets, étant chargé de la gestion d'une partie de ses finances et la gestion de leur logement. ; ÉTIQUETTE ☞ « De quel côté il est celui-là ! »… Voilà ce qui circule dans les bas-fonds et même parmi ses employeurs, bien que ses derniers savent qu’il s’aime trop pour risquer sa vie dans un double jeu suicidaire.
# Le bonheur est un exercice solitaire. # JEAN ANOUILH
EuanTerrance Crowford
Feat Henry Cavill
✤ Traits de caractères Une bonne comparaison serait de rapprocher le caractère d'Euan à la surface d'une étendue d'eau. En tant normal, lisse et sans aspérités, l'eau reflète celui ou celle qui se regarde sans en altérer l'apparence. Qu'un incident isolé vienne à rompre temporairement cette surface plane et plus rien ne s'y vois en dehors de vagues successives de troubles. Et quand une tempête, voir un cyclone lance ses vents à cet élément, alors celui-ci se transforme en une arme plus destructrice que n'importe quelles autres armes créer par le cerveau humain. Pour faire simple, si on lui fiche la paix, il sera vous la rendre. Venez à troubler sa tranquillité et il déchainera sa colère d'avoir ainsi été déranger dans sa non vie.
Il ne faut pas y voir une asociabilité de la part du franco-écossais, simplement le peu de goût à partager des discussions le plus souvent stériles avec des créatures dont la brièveté de vie n'offre que peu de recule et d'expérience sur la fatalité et la destiné de chacun en ce monde. Peut-être s'agit-il des séquelles d'une profonde déception qui suivait une énorme espérance, fruit d'une promesse non tenue !.
Mais toute son intelligence, dont il a été généreusement gratifié, est entièrement dirigé sur l'observation méfiante de toute personne tentant de débuter une relation avec lui. Son vécu est sans-doute à l’origine de se détachement, qui pourrait même envoyer l’image d’un solitaire, un ermite totalement asocial, ce qui parait d’autant plus étrange, qu’il attire naturellement tout ceux qui le côtoient, même si ce n’est qu’un bref instant. Malgré tout, une qualité ressort de cette incapacité à vivre en société, une fidélité en amitié extrêmement rare chez un prédateur. Dure à gagner, elle devient difficile à perdre, seul un acte d'une trahison consciemment pensé, organisé et instauré pour nuire à Euan, le verra développer une rancœur qu'il ne pourra calmer que par la mort du félon individu.
✤ Occupation nocturne Agent de sécurité à l’Elyséum, service de nuit... Telle est l'occupation principale de ses nuits, car il faut bien les payer ses maudits impôts. En vérité, il s'agit d'un job à mi-temps qui mobilise ses trois premières nuits de la semaine, il a d'ailleurs veillé à choisir un créneau horaire lui offrant une marge de sécurité avec ce maudit soleil. Sans être passionné par ce travail, il lui permet par une formation interne afin de se tenir au courant des dernières nouveautés technologiques. Là, il s'agit d'une vraie passion, même s'il lui faut parfois beaucoup de temps pour faire siennes des connaissances et des usages qui semblent ordinaires pour les humains.
De même a-t-il découvert les loisirs et les passions humaines évolués pour atteindre un degré de superficialité dépassant même celle des aristocrates de son enfance humaine. Cherchant la discrétion la plus grande, il ne fréquente que peu les bars à vampire où tout le monde mémorise les visages. Illusoire protection puisque son employeur est au courant de sa nature, mais Euan est désireux d'observer des réactions les plus proches d'un naturel humain sans contrainte.
De toute façon, sa seconde occupation ne peut guère planer de doute sur sa nature, œuvrant comme nettoyeur au sein de l’essaim, il s’est spécialisé dans l’effaçage des existences ✤ Manies, habitudes & goûts Pour ce qui concerne ses manies, elles sont toutes plus ou moins liées à sa paranoïa, ce qui le pousse à suivre toujours les même étape. ✤ Discipline Avec une pratique régulière dans les premiers temps de sa non-vie, il maîtrisa rapidement ses capacités physiques, domestiquant la puissance et encadrant sa vitesse de déplacement hors norme. Par habitude ou routine, il poursuivit son travail physique pour entretenir un corps qu’il avait de son vivant cultivé bien au-delà de ce qui était convenable à l’époque où il vivait encore. Bien sûr, il adapta ses exercices en fonction de ses nouvelles aptitudes, en optant pour un équipement conçu et réaliser avec des poids dont la fonte fut remplacée par du plomb. Cela prit plus de temps, mais il gagna en aisance dans l’usage de la lecture télépathique, contrairement à ses dons d’hypnoses pour lesquels il possédait déjà de son vivant un regard des plus captivants.
Une petite année après le départ de sa sire, un autre pouvoir fit son apparition. Sous le regard complaisant de certains de ses congénères plus âgés, il développa la ‘chimérie’. D’abord hésitant, il ne pouvait tromper qu’un seul sens et encore sur un court laps de temps, qui d’ailleurs se révélait plus ressembler à des sensations. Toutefois, Euan gagna en puissance sans vraiment pratiquer régulièrement, il constata qu’avec un apport de sang frais, les effets duraient plus longtemps, mais surtout la qualité de l’illusion s’améliorait à chacune de ses utilisations lorsque l’intervalle entre deux usages dépassait l’année.
Après sept longues années sans son guide, il gagna encore en puissance dans tous ses sens, mais également dans son don obscure. Désormais capable d’unir une illusion pour chaque sens en simultané, il demeure malgré tout incapable à mettre de la vie à ses illusions. Cependant, les odeurs et le son trompe la quasi-totalité de ses cibles. Car c’est dans la chasse qu’il utilise tous ces artifices pour guider ses crasses-croutes jusqu’à ses crocs. Étrangement, Euan ne sut insuffler du mouvement à ces ‘tromperies’ quand il avait dépassé les deux cents ans et encore, il ne s’agissait que d’une petite du mirage qu’il mettait en place, il devait donc bien réfléchir dans ses choix pour que cette limite ne fasse pas découvrir l’imposture. Sans le savoir, il avait atteint le niveau trois de cette magie qu’il ne s’expliquait pas, l’apparition et il n’eut de cesse d’augmenter et de tester la durée de celle-ci au cours des années qui suivirent... ✤ Convictions Sans y être favorable à un camp plutôt qu’un autre, il reconnait un certain confort quant à la préservation et la transmission du petit magot qu'il a engrangé au fil du temps sans user d’artifices d’héritages fictifs. Cependant, il déteste ce ' vampire irréfléchi ' qui en ait venu à se dévoiler et par la même occasion, révéler la réalité de leur état à tous. Il a aussi une certaine haine envers ce ‘fisc’ et se voir maintenant imposer comme tout en chacun, l’horripile au plus haut point ! Si se révéler à la face du monde en revient à perdre une partie de ses acquis laborieusement accumulés, surtout après avoir réussit à préserver ce trésor durant toutes les guerres et épidémies qu’il avait traversé. Ainsi que toutes ces paperasses qu'il a fallu payer pour faire enregistrer de faux héritages, non vraiment, il aurait préféré que cet idiot s'abstienne.
D'autant qu'il est persuadé qu'au final, cette révélation leur sera néfaste, là encore sa vision pessimiste des choses ôte tout optimisme sur ce que l'avenir réserverait à ses congénères et lui-même. Malheureusement, il est trop tard, pour poursuivre le jeu du chat et de la sourit, il ne peut plus se cacher comme dans le passé. Il le regrette, bien qu'il voie également tous les avantages apportés par la situation actuelle et les souplesses administratives qui en découlent.
✤ Signes particuliers Aucuns !..
Prélude CHOIX DANTESQUE ♆ Inventé. P'TI NOM ♆ Euan RUMEURS ♆ Je n’aime pas les curieux et je sais leur faire comprendre ! SESAME ♆ LE VENT D'EST ♆ Par ce biais ! DÉCLARATION ♆ Pour l’heure, il est bien trop tôt pour émettre une opinion sur le peu que j’en ai découvert et dans le cas où des choses me déplairaient, je ne l’étalerai pas sur la place public. TROMBINE ♆ Henry Cavill
Dernière édition par Euan Crowford le 29/8/2014, 08:47, édité 28 fois
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Sujet: Re: Un solitaire... qui ne peut jamais l'être ! 15/8/2014, 02:06
Ticket for Pandemonium
Désinvolte à son accoutumé, enfin depuis peu, Euan rentrait d’une nuit de chasse dans le 20e arrondissement où les immigrés clandestins se trouvaient à la pelle. Sans les complications à craindre quant à leur disparition, qui passerait totalement inaperçu, ils n’en demeuraient pas pour autant de frugaux repas, tant les leurs l’étaient également. Regardant sa montre comme un automatisme, acquis que très récemment, il se rendit compte que la nuit venait à peine de commencer. Filant au volant de sa Bentley-Gtz directement à son adresse de Neuilly, où l’attendait certainement avec angoisse la belle Irina, sa servante qui occupait plus un poste plus près d’une assistante personnelle que celui d’une boniche. Une assistante des plus particulières, la frontière entre relations intimes et professionnelles devenait de plus en plus floue au fil de leur relation.
Alors qu’il descendait vers son garage sous-terrain, il crut voir un corps allongé sur le sol dans une mare d’un liquide sombre. Après avoir garé et verrouillé sa voiture, il se rendit aussitôt proposer son aide, car il ne chassait jamais là où il résidait. Des yeux écarquillés constatent que cette silhouette n’appartenait par à n’importe qui, mais qu’il s’agissait de sa précieuse Irina. Etalée dans une mare de sang déjà brunâtre et sec. Une bouffée de haine remontait dans les trippes du vampire, attisant une colère qui bientôt ferait sauté la soupape.
** Qui … Qui a … Qui a osé faire ça ! **
« Je vais tuer le pourceau qui à oser me prendre mon aimée ! »
Comme un félin remontant la piste de son futur casse-croute, le fils de Caïn suivit la trace olfactive du meurtrier, et celle-ci avait un parfum des plus méprisables créatures qui existent sur terre, un Lycan. Cherchant ce qui avait pu conduire ce clébard à rompre la trêve jusque là observé par tous. Et les engrenages d’une réflexion éclair ramenèrent l’esprit clair et froid de l’écossais sur cette incompétence à toujours bien contrôler leur bête durant les pleines lunes. Secouant la tête, comme pour chasser une excuse qu’il ne voulait pas accepter. Sans aucune expérience de safari, le vampire retrouva sa proie, qui s’était évanoui dans la forêt de Rambouillet. Garant sa voiture un peu à l’écart, Euan se lança en quête d’une vengeance sans réfléchir aux conséquences pour la paix entre les espèces.
Très vite, il fit face au loup sans lui laisser la moindre seconde pour se préparer à un combat, la haine trancha en deux la bête sanguinaire. Les deux parties de ce corps, désormais sans vie, retombèrent derrière la sombre silhouette du vengeur sans éveiller la moindre compassion chez ce dernier. Les hurlements d’une meute annonçaient un combat dont il ne ressortirait pas sans y laisser des plumes. Reprenant une attitude calme et réfléchie, la vengeance obtenue, il se mit enfin à réfléchir aux conséquences de son acte. Il fallait préserver cette illusion de paix pour les autres, il ne devait pas penser qu’à lui. Déshonorante, mais plus intelligente, Euan fila en suivant le sens du vent dans l’espoir de masquer sa piste. Changeant plusieurs fois de directions, il s’arrêta non loin d’une gare et de nombreuses rues, avec le secret espoir que les loups y verraient la fin d’une traque. Une ville et ses multitudes d’odeurs, aidé par une finale de foot qui déverse son flot de spectateur bruyant et odorant.
Une respiration lente et étouffée se fond dans le silence lourd et étouffant d'une rue déserte. Oreilles aux aguets, un jeune homme au teint bleuâtre sous la lumière d'une pleine lune, qui ne montrait aucun signe de fatigue inclinait légèrement la tête pour localiser ses poursuivants. Des hurlements à la mort et les bruits des pattes d'une meute de loup se faisait de plus en plus clair laissait comprendre que la silhouette, qui se cachait derrière le mur d'une vieille ruine, avait d'excellentes raisons de le faire. Écoutant les échanges, d'abords incompréhensibles de canidés entre eux, il perçu ensuite des voix humaines prenant la relève sans que de nouveaux arrivants est fait le moindre bruit pour indiquer qu'ils se seraient joint à ces loups.
" Tu es sûr de n'avoir rien vu ? Son visage ? Une particularité physique ? "
" Non, je te jure.. Ils étaient déjà plus là quand je suis arrivé !.. et... et que j'ai vu le corps de mon bien aimé étendu sans vie."
" Calme-toi. On les trouvera et on les massacrera en les faisant souffrir très très longtemps… "
Se sachant contre le vent, Euan prit le risque de jeter un œil sur la scénette qui se jouait à quelques mètres de sa mort s'il venait à être découvert. Car huit autres créatures reprirent une apparence humaine après avoir accouru sous la forme d'énormes loups. Dépités, ces derniers repartirent sous les pleurs d’une femme dont le vampire avait tué le compagnon. Tout en attendant que ses poursuivants soient partis, les pensées du fils maudit par le sang s’égarèrent vers celle qui reposait sur le sol d’un garage. Le temps avait filé comme l’éclair, il lui fallait rentrer rapidement, le levé du soleil se rapprochait dangereusement. Récupérant son véhicule pour vite offrir un repos plus digne de sa compagne, il arriva avant que la police ne soit appelée pour vérifier la nature des traces laissées sur le sol. Heureusement, la plupart des occupants de l’immeuble avaient fuit la capital pour des vacances aux îles.
L’expérimenté vampire sortit son petit nécessaire pour nettoyer les scènes de crimes, ou de chasse selon l’intéressé. Enfilant une combinaison d’isolement, il vaporisa une mousse miracle qui dénature l’ADN tout en liquéfiant les marques organiques. Scrutant à droite et à gauche l’arrivée d’un importun à qui il faudra raconter une jolie histoire, il attendit que le polymère devienne de la poussière. Il prit alors un mini aspirateur, puis fit le ménage comme si la chose était la plus normal qui soit !.. Nettoyant suivant la même procédure les piliers avoisinant, Euan vérifie d’un regard circulaire en confirmant que sa petite toilette laissait des marques de propretés. Insatisfait, il retourna vers sa voiture pour prendre un balai avec lequel il ramena poussières et saletés sur l’ancienne mare de sang. Cela suffirait pour le moment affirmait la mine du technicien de surface hors normes. Un visage sombre indiquait qu’il allait rejoindre son appartement où il avait ramené le corps de sa compagne…
# Les illusions tombent l'une après l'autre, comme les écorces d'un fruit, et le fruit, c'est l'expérience. Sa saveur est amère. # GÉRARD LABRUNIE alias DE NERVAL
Une histoire de dingue
la 23e nuit du premier mois de l’année 1748,
Mon cher journal, j’ai réussi à trouver un serviteur en suivant une femme, dont l’avancement de sa grossesse rendait pratiquement impotente et qui m’aurait offert deux repas en un. Toutefois, j’y gagne au change, car le gaillard est plus que fringuant, surtout pour un simple humain. Et orgueilleux avec ça, il ne cesse pas de me répéter son nom, comme s’il avait la moindre importance, bâtard d’un comte de Truchis quelque chose. Comme si une telle chose revêtait une quelconque importance à mes yeux.
la 7e nuit d’aoust de cette même année,
Je viens de m’installer aux abords de Paris, dans un petit château non loin de Rambouillet. Une énorme frénésie m’a coûté tout mon personnel de service, cet idiot de Jean-François devait se montrer à la cour, non mais vraiment, quel inconscient. A son retour, il fût catastrophé par le spectacle qu’il découvrit, cependant il a toujours aussi peur de la mort. Il pense que j’ignore ses motivations, non franchement. Certes, je ne les fais pas, j’atteindrai bientôt mes trois siècles et demi d’existence.
le 4 mars 1754,
J’ai enfin rencontré l’épouse de mon serviteur, celle-ci semble très porté par les sciences occultes et n’a aucune affection pour son épouse. Au départ je m’interrogeais sur l’absence de jalousie, mais après notre nuit, aucune question ne restait sans réponse. Me voilà avec deux serviteurs, qui par divers jeux de passes-passes, ignorent l’un et l’autre qu’ils sont mes réserves de sang. Que la non-vie est drôle !
la 3e nuit de décembre de l’année 1761,
Un de ces maudits prêtres extrémistes semblent s’intéresser de plus en plus à notre maisonnée, ni voyant pour le moment que l’étalage d’une luxure propre au malin ! S’il savait cet idiot. Mais cela devient tout de même un souci de taille, comment vais-je me débarrasser de cet enquiquineur sans éveiller l’intérêt de sa hiérarchie. Il y a bien cette petite bonne très énergique en couche que je pourrais envoyer afin qu’elle dévoie cet importun et potentiel danger pour mon anonymat. C’est que j’y ai pris goût à ce train de vie.
la 18e nuit du premier mois de l’an 1762,
Que ce fut laborieux !.. Toutefois, les petites galipettes de ce défroqué de prêtre ont enfin été sanctionnées et suivant mes instructions, ma petite marie à avouer s’être fourvoyé, abusée de son ignorance et contrainte par les menaces de ‘mosieur le curée’ son guide spirituel. Dans l’histoire, j’y ai tout de même perdu cette habile servante, envoyée au couvent pour s’y purifier l’âme. Certes, ce ne fût que pour une brève période, je l’en ai vite fait retiré par mon serviteur, qui grâce à ses relations royales, possédait une aura suffisamment imposante pour que le clergé ne désire pas que l’affaire prenne trop d’ampleur. Mais tout de même ! Ah, les hommes sont tous les mêmes, peut importes leurs sermons, seul les apparences vis-à-vis de la société ont une réelle importance.
la 18e nuit d’avril de l’an 1768,
Par un curieux fruit du hasard ou une pirouette de la destiné, je suis retombé cette femme croisée voilà quelques années, encore enceinte, mais accompagné d’un affriolant gaillard qui transpire sa jeune virilité. En les suivant un peu, j’ai découvert qu’il n’était autre que celui qui occupait ce ventre lorsque j’avais croisé sa mère voici vingt ans. Comment pourrais-je faire comme si je ne percevais aucune volonté démoniaque à me mettre deux fois de suite un si plaisant casse-croute.
la 6e nuit de septembre en cette même année,
En fait, ce que je voyais comme un casse-croute et au contraire affiche des qualités qui vont bien au-delà de cet état futur. Un brin téméraire, il accumule les relations avec les femmes mariées avec une prédilection pour de très puissant cocu. Bien que simple humain, il semble capable d’hypnotiser les femmes les plus sauvages pour arriver à ses fins. Et ce n’est pas son seul talent, il possède un don pour faire sien l’argent des autres.
la dernière nuit de novembre de l’an 1775,
Cher journal, voilà presque dix ans que j’observe ce jeune homme dont le nom affiche clairement ses origines, Euan Crowford. Sa famille commerçant les toiles et épices venant de l’île britannique est bien partie pour rejoindre les rangs de la noblesse au jeu des mariages et des vocations guidées de sa progéniture. Bien que marié, l’objet de ma convoitise n’a pas pour autant arrêter ses petites escapades nocturnes, ce qui, à la vue de son épouse se comprend aisément. J’ai entamé des avances et je crois l’avoir ferré suffisamment pour désormais le faire languir.
la 6e nuit du mois de juin de l’année 1776,
Voilà deux semaines que je m’offre aux gourmandes joutes nocturnes de l’ardent écossais, il faut dire que la mort de sa pondeuse de mère a facilité ce rapprochement. Surtout que sa légitime, qu’il honore très régulièrement, ne lui offre aucune descendance, seule raison d’une existence bien trop brève à leurs yeux. Rassuré sur sa capacité à engendrer la vie par la venue au monde de nombreux bastards, il peut se défausser de son adultère par l’incompétence de son épouse à lui donner ce qu’il est en droit d’attendre d’elle. Son détachement à tout sentiment et sa cruauté dans ses rapports avec celles qu’il aime me confirme de plus en plus sur son futur. Maintenant que son aisance financière est assurée par ses légales rapines, je vais faire une demande au conseil de Paris. J’espère seulement que le fait de mon inexpérience ne joue pas en ma défaveur, nous verrons bien.
la 18e nuit de septembre en cette même année,
Après lui avoir conseillé d’investir ses bénéfices dans des valeurs qui ne se dévaluent jamais, tel que les métaux rares et pierres précieuses sans pour autant en informer les siens. J’ai été très surprise d’avoir une si grande influence, car le lendemain il avait converti nombre de ses avoirs, cependant sa confiance a des limites. Il refuse de me dire où il a placé cette cagnotte, s’il savait à combien s’élève ma fortune !… Le plus important pour moi, c’est la missive du conseil qui valide mon choix et mon droit d’infanter, allant même jusqu’à me proposer une aide pour faciliter cette transformation. Il faut dire qu’avec ces foutus religieux et leur chasse aux démons, ils ont fait grand mal à notre engeance. Il faut que je me gave pour supporter sa première soif de sang…
la 21e nuit du même mois et an que dessus,
Que se fut éprouvant, j’ai dû m’y reprendre à deux fois, car la mort avait pris le pas sur le sang que je lui offris, sans-doute par manque en quantité. C’est que je craignais d’en manquer pour moi-même. J’ai eu un mal fou à l’arrêter une fois revenu à notre forme de vie, il but si goulument mon sang que je faillis défaillir. J’avoue l’avoir repoussé un tantinet violemment. Nous sommes ensuite vite sortis vers les environs des terres normandes de mon serviteur et nous sommes repus à plus soif. Inquiète de sa survie, j’en avais oublié mon devoir de contrôler sa frénésie pour ne pas attirer l’attention sur nous. Heureusement, il est intelligent et a vite compris qu’il fallait les traces de nos repas et revoir à la baisse son alimentation..
la 14e nuit du mois de mars de l’an 1778,
Cher journal, je regrette de ne point avoir couché ici quelques lignes des évènements passés, mais mon infant m’occupe plus que je ne me l’étais imaginé. Ceci étant dit, dorénavant le contrôle de sa faim et la maitrise de ses premiers pouvoirs s’améliorant, je vais pouvoir reprendre mes confessions. Je m’attache de plus en plus à mon premier infant et à la visite de l’un des membres du conseil de Paris m’a fait craindre le pire. C’est que tout ne s’était pas passé comme initialement prévu, mais en fait mon égo fut flatté de compliments sur la qualité de mon ‘infantement’. J’ai un cours moment ressentit ce que je rapprocherai de l’orgueil d’une mère. Une bien étrange mère en vérité, qui s’offre en objet de plaisirs charnels avec sa descendance, cela sort des normes et conventions morales humaines, ce qui ne me déplait pas en réalité.
la 26e nuit du mois de mai de l’année 1782,
Nos repas sont d’une qualité qui baisse de jour en jour, tant les gueux sont faméliques, voir mêmes anémiques pour certains. Seule la noblesse offre un sang réellement nourrissant de vitae, je m’interroge de plus et pense à chercher dans d’autres contrées de quoi me sustenter. Mais, il faudrait pour cela que je parte seule, car je sens bien que les progrès d’Euan stagnent ou s’avèrent si insignifiant que je pense en être la cause. Je vais aller prendre confirmation de mes craintes aux archives du conseil, je prendrai une décision ensuite.
la 11e nuit du mois octobre et même année que dessus,
Il parait de plus en plus évident que j’entrave sa progression, n’ayant pas à assumer seul ses actes, il compte un peu trop sur moi et ne progresse plus, pourtant je suis sûre et certaines qu’il a en lui les dons mystérieux, il est mon infant après tout ! La bibliothèque et les quelques anciens que j’y ai rencontré mon également rejoins sur ce sentiment, s’empressant que rien ne garantissait que mon infant hérite d’une ‘discipline’ bien que j’en dispose de deux. Choses rares, comme ils n’ont pas non plus hésité à me rappeler !..
la 18e nuit du mois de février de l’année 1783,
Cela fait des mois que je prépare ma fuite avec la complicité du conseil, avec pour unique but d’offrir une possibilité d’évoluer à mon infant. D’autant qu’il est dorénavant complètement autonome pour se nourrir, qu’il a appris toutes les règles et lois du monde auquel il appartient désormais. Et ce qui est également rare selon ce qui m’a été rapporté, il sait dominer sa bête et sa faim. Il va falloir me résoudre à l’abandonner alors que j’en suis tombée amoureuse, pourtant, je m'étais promise que cela n’arriverait jamais. Oui, il est vraiment temps que je parte.
la 5e nuit du mois mars et la même année ci-dessus,
J’ai le cœur brisé, mais ma décision est la seule qui soit juste et bienveillante au final. En ce qui me concerne, je vais faire route pour Munich, je vais y rejoindre mon sire pour vite chasser ses émotions et ses sentiments. Il me fera vite oublier ma sensibilité avec ses détestables manies et comportement, j’espère toutefois qu’il obéira aux ordres du conseil.
Je clos ce journal pour en ouvrir un autre et mettre celui-ci en sécurité aux archives du conseil de Paris, le plus sûr de tous..
Honorable et noble dame Aileas Mac Dowell, fille de la nuit et du sang...
Ses années européennes, de 1783 à 1875 et de 1859 à 2004
- Et après, je deviens quoi, moi ?.. -
Dans la nuit du quatre au cinq mars de l’année mille sept cents quatre-vingt-trois, non loin de Rambouillet, un carrosse menait grand train pour échapper aux premiers rayons de soleil.
_En Réécriture _
- Etranger sur son continent... -
Au lendemain de la seconde guerre mondiale et avant la mousson de l’année 1959, la société humaine subissait tant de bouleversements et une révolution technologique comme jamais elle n’avait connue, que cela en désarçonna le vampire. Les mœurs et surtout la perte des croyances et des craintes qu’elle avait toujours supporté, se voyait transformé en une ‘chape de silence’ proche de celle qu’avait installé l’inquisition. Cependant, seules les idéologies s’affrontaient dans un combat d’influence, où chaque camp tente d’imposer sa vision du monde, avec une épée ‘nucléaire’ en remplacement de la justice divine. Les sciences progressaient aussi trop vite pour un prédateur encore dans l’apprentissage inconcevable d’une égalité naissance entre le sexe fort et celui dit faible. Des tenues à chaque génération plus indécentes remplaçaient une élégance qui hantait les souvenirs de l’écossais.
Quoique !.. Il imagina sa sire dans ces vêtements qui cachaient de moins en moins de choses, jusqu’à rendre ce que l’on voyait si banal que ce qui autrefois émoustillaient, ne captait même plus un bref instant l’attention de la gente masculine. Enfin, disons que cette apparent attitudes blasées n’était qu’une façade, bien vite rompu par des jeunes femmes, qui au fond, cherchaient toujours la même chose, le véritable amour. Pendant cette période de changements constant, Euan eut du mal à se fondre dans le monde humain, il commença à vivre de plus en plus en reclus. Incapable d’appréhender avec clairvoyance les changements, il se força à lier des relations avec des humains, toujours autant à la poursuite de l’immortalité. Choisissant ses serviteurs en fonction de ce qu’il pensait vital, il commit certaines erreurs, car à peine marqué, ceux qui devaient l’aider à comprendre ce nouveau monde étaient très vite dépasser par cette société qui ne ralentissait jamais.
En novembre 1984, l’écossais ne rata pas la plus importante évolution, ce qui deviendrait une source de migraine pour la majorité de ses congénères, l’ordinateur personnel. Peu intéressé par les frontières et les gouvernements humains, il suivait de très loin chaque vague, amusé par l’émancipation des femmes, qui ne gagnait au final que plus de travail pour presqu’aucune considération, que cela soit au niveau de la rémunération qu’à celui des mœurs. C’est pourtant une femme, atypique par sa passion des machines qui ouvrit les yeux de l’ancien soldat. Sans que son cœur se réactive pour s’enticher de la jolie brune, Euan accorda une confiance envers cette femme qu’il ne regretta jamais. Ils vécurent une dizaine d’années ensemble et comme toujours, mais le bonheur se refusait à l’homme d’affaires qu’Euan était devenu. Car il avait au moins toujours su faire fructifier son capital, il n’était pas fils de marchand pour rien, il avait ça dans le ‘sang’. Mais c’est en se rendant enregistré un testament, qu’elle eut un vulgaire et si banal accident de voiture, ouvrant un choix difficile sur le choix de sa ou son prochain ‘marqué’.
Comme en Asie, le vampire ne restait jamais très longtemps au même endroit, ses besoins un peu particuliers s’avéraient vite difficiles à cacher aux autorités humaines. Soucieux de son autonomie, il n’avait de cesse d’essayer de garder le contrôle de son existence civil et donc de dissimuler intelligemment ses casse-croutes prient sous le coudes. Désormais, la quantité de documents justifiant l’identité du citoyen lambda s’apparentait de plus en plus aux chroniques des rois. Bien que dès son retour d’Asie, il est mis en place un système lui permettant d’utiliser l’état-civil des enfants mort-nés, pour lesquels il veillait à ce que les décès ne soient jamais déclarés. Ainsi qu’à user de l’astuce de naître dans un pays différent pour chaque ‘nouveaux héritages’, ce qui lui permettait alors d’allonger la durée d’existence de cette identité. Cela commençait sérieusement à devenir épuisant de se tenir à l’écart de sa communauté et des commodités associées. En y réfléchissant bien, il était le premier européen au final !.. Chanceux dans ces marquages, il n’eut jamais à tuer ses serviteurs, si ce n’est pour en changer, bien évidemment !.. Il n’avait donc aucunes raisons pour quitter le vieux continent, jusqu’à ce qu’une colère incontrôlée ne lui fasse commettre une stupidité, indigne de son âge.
– Codex Ad Memoram –
{07-11.09.1995}
Après s’être définitivement assuré de placer la majeure partie de sa fortune dans des paradis fiscaux par le biais d’un séjour luxembourgeois entièrement orienté sur la visite des banques qui géraient son argent. Par de nombreuses manipulations, l’écossais s’attachait à consolider son existence administrative grâce à quelques pots de vins bien distribués et l’intervention de véritable artiste. Le plus restait ce climat très chaud et moite, que la cuvette géographique du duché rendait difficilement supportable. Heureusement, l’efficacité bancaire de cette enclave de libertés fiscales européennes offrait des compétences et des satisfactions que l’on ne s’attendrait pas arrivées à un tel niveau. Quatre jours suffirent à répartir des fons de natures très diverses un peu partout dans le monde offrant une liberté de mouvement désormais plus utile que jamais. C’est donc à la 7e nuit de septembre 1995, que la caïnite prit la route en direction de Paris, car il avait un petit service rémunéré à satisfaire.
Les humains avaient atteint un tel niveau technologique, que même ce passionné d’Euan suivait avec grand mal les évolutions successives et si proches les unes des autres. Pourtant, il y passait tout son temps, en parallèle bien sûr de s’offrir de nouvelles propriétés qui pourrait héberger l’une des échappées destinées à dissimuler le secret numéro un de la communauté, leurs existences. Vampire depuis près de deux siècles et demi, l’aîné de infants d’Aileas s’affirmait de plus en plus comme un solitaire endurcit, mais également comme l’un de ceux des plus tenaces à déterminer les origines des fils de la nuit. Les légendes d’une descendance maudite qui serait évoqué dans la bible, où le fils de la déesse du chaos en Asie qui aurait essaimé sa progéniture dans le monde entier, toutes ces hypothèses soulevaient plus d’interrogations que de réponses. Laissant le curieux Ancillas ressentir une frustration qui le poussa à se lancer dans une folie.
La nuit venait de tomber, quand une silhouette sortie de l’ombre pour se diriger vers une vieille bâtisse, qui de l’extérieur n’offrait que peu de prise à l’imagination, tant sa banalité fermait les portes à un quelconque secret ancestral. Générant une illusion pour masquer sa présence, Euan se lança dans l’escalade de la façade côté rue. Arrivé au troisième étage, seul des bruits d’une circulation automobile inexistante pouvaient interpeller un piéton plus observateur que la moyenne. Quelques minutes plus tard, une rue silencieuse réapparue sans que personne ne s’en aperçoive, ou plus vraisemblablement n’y prête intérêt. Seul le claquement d’une fenêtre dont un des petits carreaux de vitre manquait, seulement durant quelques secondes.
Les heures passèrent sans qu’aucuns nouveaux troubles ne viennent chambouler la tranquillité, pour ne pas dire l’ennuyeux vide de toute l’inactivité de cette rue si vivante durant la journée. Alors que l’aube n’allait pas tarder à remplacer le rideau de ténèbres d’une nuit en apparence ordinaire. Mais la fenêtre un bref instant amputé d’un carreau de verre s’ouvrit pour laisser sortir une forme humanoïde entièrement couverte de la tête au pied de vêtements noirs. Celle-ci après avoir pris soin de refermer la fenêtre derrière elle, sauta dans le vide, pour s’évanouir sous des lumières abandonnant leurs tonalités bleuté pour de chaleureuses couleurs orangées. Le bruit d’une plaque d’égout remis en place, permettait de déterminer le point de fuite de cet anonyme visiteur. Que pouvait donc être la cible de ce qui apparaissait de plus en plus comme un cambriolage ?
La nuit suivante, on retrouve l’indésirable visiteur, mais on peut cette fois voir ses traits et pourquoi Euan a donc risqué de se faire prendre pour effraction alors que ce n’est pas dans sa nature de violer les règles et les lois. Et lorsqu’il descend dans un bar particulier du 20e arrondissement, où la clientèle au teint bien pâle, presque maladif, se tourne vers le nouveau venu dans une méfiance que les regards rendaient palpable. Scrutant d’un panoramique la population de ce café bien peu conventionnel. Satisfait de sa prospection, il se focalisa sur un homme dont l’aura ne laissait aucun doute qu’il était le plus âgé des clients, mais aussi le plus discret. D’un geste de la main, l’apprenti voleur se voit invité à s’assoir à sa table, ce qu’il fit sans jamais quitter du regard le dangereux hôte soucieux de converser sans que les oreilles voisines ne puissent pas s’inviter à leur discussion.
" Alors ? Avez-vous réussi ? Vous avez le manuscrit que je cherche depuis plus d’un siècle ? "
" Malheureusement non.. J’ai eu beau cherché, je n’ai rien vu qui correspondait à votre demande !.. Etes-vous seulement sûr de son existence ? Ou même, qu’il soit conservé en ce lieu ?.."
" Disons que cela demeurait ma meilleur piste et que je suis maintenant bloqué… "
_ Murmuré plus pour lui-même que pour son invité _
" Comment vais-je le retrouvé désormais… "
Conscient que son attitude avait fait froncer les sourcils d’Euan, cependant, il donnait l’impression de douter de l’honnêteté de son voleur, sans pour autant avoir les arguments pour étayer ceux-ci. Pour essayer de baisser les défenses et la retenue qu’il avait perçue, le très vieux vampire se lança dans une confession qui semblait tout aussi douteuse que les propos de l’écossais.
- Pour la guerre, pratique la paix –
{10-13.10.2004}
Comment avaient-ils osés ces clébards !.. Sans-doute était-ce la pensée qui tournait en cycle dans la tête d’Euan. Debout, face au corps sans vie, pas même un simple souffle qui lui aurait permis de transformer sa servante. Vu l’étendue des blessures et le fait que son sang qui parcourait la jeune femme, elle aurait dû échapper à la mort. Une seule chose obsédait le fils maudit des ténèbres, il voulait prendre la vie du salopard qui lui avait ôté la précieuse compagnie de sa remontée vers une vie plus sociable. La belle Irina lui avait fait temporairement oublier ce qui avait été son unique amour, pour la première fois des sentiments, qu’il avait crus disparu pour toujours de sa palette émotionnelle, ressurgissaient dans une âme plongée dans la plus profonde des mélancolies.
_En Réécriture _
- Imprévus universitaires –
{20-26.05.2006}
Lorsque les obligations se heurtent aux archaïsmes administratifs de certains états, la vie d’un nettoyeur de l’ESSAIM se rapproche d’une sinécure, ou du moins de l’idée que l’on s’en fait. Une frénésie mal contrôlée et voilà Euan en partance pour Albuquerque, qui avait à ses yeux tout pour être perçu une nouvelle ‘Brenne’, en langue vulgaire, « le trou du cul du monde ». L’expédition se devait d’être préparer, il fallait calculer le temps de trajet pour se rendre jusqu’à la propriété loué près de l’université du Nouveau-Mexique pour sa cave bien à l’abri du soleil. Si l’on prenait la durée pour se rendre jusqu’à la Nouvelle-Orléans, durant la journée dans un véhicule de location conduite par sa servante pour ne pas être trop juste, sans oublier de prendre en compte les trois heures et demie de vol entre la capitale du jazz et Albuquerque, et enfin la route jusqu’au point de chute proche de la cible, une fin de journée et une nuit entière.
Non, vraiment, s’il tenait cet imbécile qui se décharge si facilement de ses obligations sur la communauté, il lui ferait bien sa fête. Mais, le voyage se passa sans problème notable et il goûta avec un certain déplaisir à ce True-Blood. Le visage de l’écossais affichait clairement comme une impression d’insatisfaction des plus évidentes, cependant il n’avait guère le choix et la possibilité d’être exigent. L’urgence qui fût le siège de l’organisation de ce voyage n’offrait que peu de solution pour conserver une certaine discrétion. Les responsables tenaient à ne pas ébruiter l'ampleur du désordre qu’un simple ‘néonat’ avait généré avant d’être supprimé. Passant toute une journée a encaissé ce déplacement impromptu, le nettoyeur se rendit aussitôt aux archives de l’université où un faux dossier avait été créé par le passé pour cet ex-vampire devenu cendres.
PC-Portable, nécessaires pour effractions, tous les plans de la cité universitaire et de l’Université du Nouveau-Mexique même préparés pour palier à tout imprévu, le fils maudit des ténèbres s’enfonce dans une nuit naissante, sans aucune difficulté tant les moyens de protections sont d’un commun. Par contre, Euan perd beaucoup de temps dans le bazar et l’étrange méthode de rangement des dossiers des anciens étudiants au service des archives. Profitant de l’aubaine, au lieu de supprimer ce dossier, il le modifie pour se créer une identité de secours pour l’avenir. Une fois les documents papiers changés avec ses propres créations, il s’occupa des traces numériques pour en changer les dates, juste au cas où ! Certes, il ne pourrait pas s’approprier cette fausse identité dans l’immédiat pour une cohérence d’apparence, mais il n’avait qu’une maigre confiance en ses congénères, alors il préférait prendre en main sa destiné plutôt que de trop compter sur le Conseil.
Les choses avaient été plus simples à résoudre qu’il ne l’avait craint, les dossiers en papiers modifiés, tout comme les données informatiques, il ne restait plus qu’à vérifier que la mise à jour de la sauvegarde allait bien écraser le précédent enregistrement et effacer ainsi toutes traces de ce qui fut une erreur de choix pour l’étreinte. Tranquillement et méthodiquement, le nouveau ‘cleaner’ rangeait ses ‘tites n’affaires’ pour ne laisser aucun preuve de son passage. Il poussa sa méticulosité jusqu’à ‘vaporiser de la poussière’. Un peu excessif lorsque l’on sait que pratiquement tous le monde s’en fout des archives administratives d’une université, à moins qu’il s’agisse d’Oxford ou Havard, et encore !.. A l’image d’un chat, il se faufila sans bruit dans les couloirs de cette partie du bâtiment, lorsqu’il entendit les pas muni de talons assurément ceux d’une femme, hésitants, comme si la démarche s’entravait d’un autre effort mal gérer.
Le descendant de guerriers pictes entrapercevait une jeune femme blonde, que l’on confondrait facilement avec une pile de livre muni de longues jambes. Pas désagréable à ‘reluquer’ pour ce solitaire, elle n’en demeurait pas moins une source d’ennuis en puissance. Apparemment, l’étudiante se dirigeait vers la bibliothèque du centre hospitalier universitaire, voisine des archives. La galère !.. Euan était coincé, car il avait bien prévu plusieurs chemins d’évasions, seulement ils étaient tous situés après ce couloir. Il regarda dans toutes les directions en quêtes d’une inspiration divine, jusqu’à ce que son odorat soit troublé par la nature animale de la senteur qui perçait derrière une eau de toilette bon marché. Plus le choix, il n’avait vraiment aucun choix, en dehors de baratiner la donzelle dans un jeu de séduction grossier qui n’aurait que peu de chance de succès, à ce qu’il s’imaginait bien sûr. Se redressant avec une arrogance pour dissimuler avec habileté son injustifiable présence en un lieu, où quasiment jamais les étudiants ne se perdaient. Il fit mine de chercher une direction qu’il connaissait que trop bien.
" Eh beauté !.. Je me suis un peu pommé, je cherche la sortie..."
Sans vraiment savoir s’il pourrait un jour utiliser l’identité qu’il venait de créer, il avait pu remplir sa mission vis-à-vis du Maître, cependant il garda le silence sur ce qui advint de son escorte universitaire...
les années orientales, de 1876 à 1958
- L’abandonné sur la route de Marco Polo... -
Texte Texte Texte
_En Réécriture _
En bref.
14.02.1748 _ Sa première venu au monde et ça ne s'invente pas, durant la nuit du 13 au 14 février 1748 à Paris, non loin du palais du Louvre.
21.09.1776 _ Sa seconde naissance dont il se souvient bien mieux. Lorsque dans la nuit du 20 au 21 septembre, l'honorable dame Aileas McDowell l'étreignit dans un petit castel aux environs de Paris, propriété de son serviteur de l'époque (qui ne devint jamais vampire).
05.03.1783 _ La nuit du 4 au 5 mars de l’année maudite par l’écossais fût le théâtre de la perte d'un repère qu’il croyait éternel. Profitant de l'avoir envoyé chercher une cassette pleine de florins d'or et de pierres précieuses, sa sire s’esquiva d'une relation dont elle avait fait le tour à ses yeux, tout en lui faisant un joli cadeau de rupture. De ce jour, il rentra dans une torpeur qui dura un vingtaine de journées..
26.03.1783 - 13.09.1876 _ Errances européennes. Vampire à part entière et doté d’un capital généreux, il peut non-vivre en respectant les règles partout en Europe, il décide alors d’explorer son continent de renaissance.
Du 10.1876 - 06.1949 _ Recherches des origines. Intrigué par le périple de Marco Polo, le caïnite s’en va à l’exploration du Moyen-orient, puis de l’Orient)
De 06.1949 - 13.10.2004 _ Retour en Europe
09.09.1995 ( date non définitive & narrer en RP ) _ Copie secrètement un manuscrit du 18e siècle.
10.10.2004 _ Petite vendetta (Pandemonium)
13.10.2004 _ Immigre au USA.
24.05.2006 ( date non définitive encore en ) _ Rencontre métamorphique à l'Université d'Albuquerque.
Dernière édition par Euan Crowford le 25/8/2014, 02:12, édité 68 fois
Invité
Invité
Sujet: Re: Un solitaire... qui ne peut jamais l'être ! 15/8/2014, 02:07
EDIT:
Comme on me l'a suggéré, j'ai raccourci l'histoire...
Dernière édition par Euan Crowford le 24/8/2014, 23:46, édité 61 fois
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SIGNALEMENT : ton pire cauchemar « Plains ceux qui ont peur car ils créent leurs propres terreurs. » ; -La ligne verte- ; Stephen King
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Black Moon JE SUIS: CAPACITES: MEDISANCES:
Sujet: Re: Un solitaire... qui ne peut jamais l'être ! 15/8/2014, 02:46
Gwen et Euan sont contraires. Elle veut pas être seule, mais elle a pas le choix
Bienvenue sur le forum & bonne continuation pour ta fiche ! :29: En cas de besoin, n'hésite pas à t'adresser à un membre du staff
Invité
Invité
Sujet: Re: Un solitaire... qui ne peut jamais l'être ! 15/8/2014, 02:54
Merci pour le chaleureux accueil, et je n'hésiterai pas à faire appel pour éclairer mes 'tites cellules grises qui commencent déjà à fondre sous les informations contradictoires et la masse considérable des annexes et topics d'informations. Pour les pouvoirs, c'est bien UNE discipline à choisir ? :choked:
And we are doomed to play
♦ Life is full of chapter. Just because you have one that`s bad doesn`t mean the book`s finished ♦
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SOBRIQUET : Gedauphin MISSIVES : 6790 ACTE DE PROPRIETE : Ziamsboy ♦ lordbryndenrivers ♦ The Meteors
« Mais évidemment, si les cochons avaient des ailes, le bacon volerait. » ♦ Dôme tome 2 ♦ Stephen King
Stella Montgomery
ADMIN ♦ Le jambon galactique, autrement appelé le distributeur Durex.
Black Moon JE SUIS: CAPACITES: MEDISANCES:
Sujet: Re: Un solitaire... qui ne peut jamais l'être ! 15/8/2014, 03:37
De rien Oui, c'en fait à lire. Courage ! Yep, il y a un pouvoir à choisir dans la liste des disciplines. Sans oublier les autres pouvoirs des vampires (vitesse, hypnose, guérison, lire dans les pensées, etc) qu'il peut contrôler de différentes manières. Il peut très bien se débrouiller avec la vitesse, mais avoir du mal à lire dans les pensées par exemple. Certains vampires n'y arrivent même pas. Ensuite, tu peux juste mettre Chimérie niveau trois dans le prélude et l'expliquer ensuite dans discipline.
Invité
Invité
Sujet: Re: Un solitaire... qui ne peut jamais l'être ! 15/8/2014, 04:51
Merci beaucoup, charmante enfant..
Effectivement, cet éclairage me donne une vision plus clair du problème et de sa solution.
Dernière édition par Euan Crowford le 15/8/2014, 11:10, édité 1 fois
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Sujet: Re: Un solitaire... qui ne peut jamais l'être ! 15/8/2014, 04:59
De rien
Tant mieux si j'ai pu t'éclairer ! Si tu as d'autres questions, n'hésite pas, on devrait te répondre plus tard. Moi je vais au lit.
Invité
Invité
Sujet: Re: Un solitaire... qui ne peut jamais l'être ! 15/8/2014, 11:08
You must be ready to burn yourself in your own flame : how could you become new, if you had not first become ashes ? ~ Friedrich Nietzsche.
Vinzent G. Henkermann
MJ ; Gnomus Lubricus, Saint Empereur Germanique du Chalet
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Sujet: Re: Un solitaire... qui ne peut jamais l'être ! 15/8/2014, 11:40
Euan Crowford a écrit:
Merci pour le chaleureux accueil, et je n'hésiterai pas à faire appel pour éclairer mes 'tites cellules grises qui commencent déjà à fondre sous les informations contradictoires
Ça fera plaisir aux staffeuses qui ont rédigé les infos ça :11: *sort*
Bienvenue et bonne rédaction !
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Black Moon JE SUIS: CAPACITES: MEDISANCES:
Sujet: Re: Un solitaire... qui ne peut jamais l'être ! 15/8/2014, 12:14
Bienvenu parmi nous, bonne continuation pour ta fiche !
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Sujet: Re: Un solitaire... qui ne peut jamais l'être ! 15/8/2014, 12:16
@Vinzent => Qui pourrait en vouloir aux 'laborieuses' ouvrières, seuls ceux qui ne font rien sont à blâmer. Disons que ma lecture de toutes les infos en une seule fois, les a rendu brouillonnes au final.
Merci à vous deux pour les encouragements et la bienvenue, ne me reste plus qu'à... :couronne:
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Sujet: Re: Un solitaire... qui ne peut jamais l'être ! 15/8/2014, 12:19
Euan Crowford a écrit:
Disons que ma lecture de toutes les infos en une seule fois, les a rendu brouillonnes au final.
Trop de lecture tue la lecture :21:
Invité
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Sujet: Re: Un solitaire... qui ne peut jamais l'être ! 15/8/2014, 12:51
Bienvenue :05:
Informations contradictoires ? Hm, si tu as l'occasion d'en apercevoir de nouveau, fais suivre :05: Le forum n'est pas tout jeune, plusieurs mains se succèdent aussi dessus, donc ça ne m'étonnerait pas... Mais si on peut corriger au passage, c'est pas plus mal pour les suivants !
Euan a écrit:
Il a aussi une certaine haine envers le fisc et se voir maintenant imposer comme tout en chacun, l’horripile au plus haut point !
J'ai bien rit en lisant ça !
Invité
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Sujet: Re: Un solitaire... qui ne peut jamais l'être ! 15/8/2014, 14:21
@Sharon : Il faudrait donc s'efforcer d'être plus sélectif dans l'ignorance des 'importances' ? :choked:
@Shamina : Pour l'instant, permettez-moi de d'abord finir mon pavé et de vérifier mes propres propos pour ne pas être la cible de remarques identiques sur mes écrits.
Shamina Ingelstone a écrit:
...
Euan a écrit:
Il a aussi une certaine haine envers le fisc et se voir maintenant imposer comme tout en chacun, l’horripile au plus haut point !
J'ai bien rit en lisant ça ! <= Content !
Avouez qu'ils sont gonflés ces mortels, tous les moyens pour se faire du fric sont bons.. Jusqu'à taxé les morts !
Et merci à vous deux pour l'accueil.
Dernière édition par Euan Crowford le 21/8/2014, 01:43, édité 3 fois
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Sujet: Re: Un solitaire... qui ne peut jamais l'être ! 15/8/2014, 16:58
Euan Crowford a écrit:
@Sharon : Il faudrait donc s'efforcer d'être plus sélectif dans l'ignorance des 'importances' ? :choked:
Invité
Invité
Sujet: Re: Un solitaire... qui ne peut jamais l'être ! 15/8/2014, 17:11
...juste sur les bords !
★ OFFICIER DIEGO ★
SIGNALEMENT : Prince du Chaos ; Fils du Feu ; Lui-qui-attire-les-goules-dans-les-multis ; HABILITIES : Pouvoir de l'attardus debilitus ; OFFICE : Briseur de la vitrine d'Eoghan ; Cow-Boy qui fait du rodéo sur Poney-Sanford ; Némésis de MishMish ; Associé de l'Agent Oups, le chatccident ; SERENADE : /watch?v=D365SZuES18 /watch?v=PDsqAz4Io4o /watch?v=IBDJQF3EXpU
Je bois dans ta déchirure et j'étale tes jambes nues ; je les ouvre comme dans un livre où je lis ce qui me tue. - GB
Rhys V. Archos
ALIAS Rhysette ; l'amateur de pâté en croûte et de sérénades au clair de lune
Sujet: Re: Un solitaire... qui ne peut jamais l'être ! 15/8/2014, 19:34
BIENVENUE MONSIEUR LE MORT
Il paraît que la chair froide ça fripe comme la pulpe des doigts quand on reste trop longtemps dans l'eau, c'est vrai ?
Bon courage pour ta fiche en tout cas :05:
Why So Serious ?
Met un peu de couleur dans ta vie !
SIGNALEMENT : Nobody said it was easy It's such a shame for us to part Nobody said it was easy No one ever said it would be this hard Oh, take me back to the start. HABILITIES : Infecté par la gêne Lycanthrope Amadeo a perdu ses dons de Necromanciens qu'il a cédé à l’horrible Betty dans un mariage funeste. Lycanthrope faible. OFFICE : Voleur de renommé, travaillant occasionnellement pour la MB. Charlatant, Escrocs. Consultant thanatopracteur. SERENADE : Young - Hollywood Undead / Scientist - Coldplay
As long as you don’t choose, everything remains possible.
Amadeo H. Goldfarb
ALIAS ; J'étais musclé, puis ça m'a saoulé.
Black Moon JE SUIS: CAPACITES: MEDISANCES:
Sujet: Re: Un solitaire... qui ne peut jamais l'être ! 15/8/2014, 21:30
Cool encore un jouet tout mort
Bienvenue ! Bon courage pour la rédaction de ta fiche x3
Invité
Invité
Sujet: Re: Un solitaire... qui ne peut jamais l'être ! 17/8/2014, 03:44
@ Rhys : "Asticotus antichritus", j'adorrrrreee ! Pour la peau, je ne crains rien grâce à la crème NIVEA, la reine des crèmes pour protéger les peau les plus fragiles..
@ Amedeo : Oh non ! Encore un de ces nécrophiles !..
Merci à vous deux ! Pour la fiche, ça avance lentement, mais surement !
Dernière édition par Euan Crowford le 17/8/2014, 20:50, édité 1 fois
Chaton à apprivoiser
SIGNALEMENT : petit chaton du Pard HABILITIES : métamorphe once OFFICE : trapèziste - acrobate
Les chats tout comme les roses ne griffent que ceux qui ne savent pas les prendre. # Inconnu
Cillian Ó Connor
PARRAIN ; Chat-volant
Black Moon JE SUIS: CAPACITES: MEDISANCES:
Sujet: Re: Un solitaire... qui ne peut jamais l'être ! 17/8/2014, 21:41
pas besoin d'être aussi près du parquet pour en sentir l'effluve désagréable et entêtante de la cire ^^ Personnellement, Yulia doit plus sniffer la poussière et la vieux papier que la cire avec ses collections mdr
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Sujet: Re: Un solitaire... qui ne peut jamais l'être !