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 Mikhaïl - I'm not living, I'm just killing time.

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MessageSujet: Mikhaïl - I'm not living, I'm just killing time.   Mikhaïl - I'm not living, I'm just killing time. Icon_minitime14/8/2014, 01:29


Prélude
DATE & LIEU DE NAISSANCE 21 juillet 1985 - Sacramento ; AGE 30 ans ; NATIONALITE américaine et russe ; CAMP neutre, proche du gouvernement ; ETAT CIVIL célibataire LIEU D'HABITATION Coven Garden, maison coloniale ; METIER PDG d’Orwell Security, comme son nom l’indique, c’est une entreprise de service. Proposant des services de sécurité, embauchant humain ou CESS selon les besoins. Mais également des installations à la pointe de la technologie, à la pointe de l’innovation. Depuis peu sous contrat avec le gouvernement ils ont l’autorisation d’user de leur technologie pour la construction d’armes. Ne se prononçant pas vraiment, l’entreprise se voulant résolument moderne et ouverte d’esprit, elle embauche et vends indifféremment à l’un ou à l’autre CLASSE SOCIALE riche. ETIQUETTE Mikhail est apprécié, depuis qu’il a repris l’entreprise, les propositions d’embauches sont plus régulières, il investit son argent dans la ville et même si son passé de scandales le suit à la trace, il est généralement perçu comme la preuve que les gens peuvent changer. Personnalité public, on le voit plus souvent dans les journaux et à la télé que dans la rue. Sa relative jeunesse et son caractère qui se veut affable en font quelqu’un qu’on a envie de fréquenter.

J'aime douter de tout : cette disposition d'esprit n'empêche pas la fermeté de caractère, au contraire ; en ce qui me concerne, je vais toujours plus bravement de l'avant quand je ne sais pas ce qui m'attend. Puisque rien de pire que la mort ne peut arriver, et qu'on ne peut échapper à la mort !
# Mikhaïl Lermontov – un héros de notre temps

Mikhaïl Bartholomew Orwell
Feat Danila Kozlovsky


✤ Traits de caractères Par bien des aspects, Mikhail pourrait se revendiquer nihiliste, mais se serait se revendiquer de quelque chose et il ne le fait jamais. Pour lui tout est non-sens. Il a abandonné toute notion de moralité, pour lui elle n’a pas de raison d’être dans un monde aussi absurde. Parler de moral est hypocrite, chacun à la sienne, donc personne ne respecte totalement celle des autres. Définir le bien et le mal, y apposer une barrière alors que souvent, ça n’a pas de sens. Pour la plupart des gens, leur définition de la morale se heurte au moindre exemple. Tuer c’est mal, sauf si c’est pour se défendre. Voler c’est mal, sauf si on a faim. Frapper quelqu’un c’est mal, sauf s’il l’a vraiment cherché. L’absurdité même du concept le fait doucement sourire, comme celui de valeur. Les personnes chez qui elles sont trop marqués, et qui tenterait de lui faire comprendre leur bien fondé, ne recevrait que du sarcasme et moquerie peut être du mépris selon leur degrés d’implication.
Il n’est pas médisant, narquois certes, mais pas cruel. Il s’exprime le plus souvent d’un ton léger, comme si rien n’était vraiment sérieux. Cette attitude peut agacer ou séduire, le plus souvent il agace les gens qui se sentent importants. Il traite tout le monde de la même façon, du concierge, au gouverneur. La différence sociale est pour lui une plaisanterie de mauvais goût.
Mais quand il s’agit de l’entreprise, c’est tout autre chose, parce qu’il est jeune, parce que son passé est ce qu’il est, il n’a pas le droit à l’erreur, même s’il passe pour un excentrique, il est respecté, et il tend bien à ce que ça continue. Il se prête volontiers en des jeux sociaux auxquels il ne croit pourtant pas. Mais qui s’avère, à son sens, utile et divertissant.

La notion de divertissement est très importante chez lui, il ne sait pas s’ennuyer, pourtant c’est important de savoir s’ennuyer. C’est ce que sa mère lui a toujours dit, sans grand succès. Un ennui prolongé, lui fait irrémédiablement prendre de mauvaises décisions, si en général il est un homme plutôt réfléchi, il n’est pas à l’abri de jugements hâtifs, de décision prise dans l’impulsion. Surtout lorsque l’ennui le prends, il serait bien capable de planter un marché juste avoir de quoi s’occuper par la suite. Sa réussite a été trop rapide, trop facile, il se moque bien de la gloire, de toute façon peut-on en parler lorsqu’il n’y a eu nulle combat. Mais ce n’est pas l’ego qui l’étouffe comme le reste il trouve que parler d’ego est stupide, que ce sont des complications que l’on s’impose. S’il n’était pas si ambitieux, s’il éprouvait de l’empathie sans essayer de relativiser chaque chose, alors il pourrait sans doute être quelqu’un de bien. Mais il ne l’est pas, pas vraiment, trop logique, trop peu sentimentale, la compassion n’est pas ce qui le caractérise le plus. Son rationalisme tiens du cynisme, qu’il pense pourtant avoir dépassé, qu’il tient pour la marque des petits esprits.
Il se moque volontiers de ceux qui voudraient changer le monde, pourquoi le changer, il est magnifique ce monde, ce sont les gens qui vivent dessus qu’il faut changer. Mais autant essayer de retenir l’eau avec une passoire.
Il n’est pas d’une nature très optimiste. Prie pour le meilleurs, mais prépare toi au pire lui disait son père. Mikhaïl n’est pas croyant, mais cela n’enlève en diminue en rien la justesse de ce dicton. Le meilleur étant probablement sa situation actuelle, il attends le pire de pied ferme.
Son agnosticisme ne l’empêche pas d’apprécier la majesté des édifices religieux dans lesquels il trouve un certains réconfort.

Il a tendance à considérer Shreveport comme un trou, mais le siège social de l’entreprise est là depuis bien avant lui, ainsi que la maison de son enfance dans laquelle il vit toujours. Il éprouve donc pour la ville une affection mêlée de rancœur, il a l’impression qu’elle le retient et le tire vers le bas. Il n’est pas question de délocaliser, pas pour l’instant en tout cas, la ville semble être un épicentre du surnaturel, et sa curiosité le pousse donc à rester. Un attrait certains aussi pour le surnaturel et l’occulte y contribue également, son statut de simple humain l’a toujours un peu déçu, surtout depuis la révélation. Son absence de pouvoir est une sorte de vexation et la magie une inquiétude certaine. Il a tendance à se méfier de ceux qui usent de telles capacités, bien que son tatouage lui offre une certaine protection. Pourtant un peu comme tout le monde, ce monde exerce sur lui une certaine fascination teintée de crainte respectueuse.

✤ Occupation diurneToujours occupé, en déplacement, en réunion, conférence, tout ceci me prend un temps considérable. En tant que PDG, mes journées ne s’arrêtent pas à 18h, il n’y pas de week-end qui tient. Mon agenda est donc chargé. Mais cela ne m’empêche pourtant pas de sortir, de tirer sur la corde jusqu’à ce qu’elle rompe. En semaine je me lève tôt, je cours, suit un entrainement de boxe avec un coach personnalisé, je ne prends mes fonctions qu’à 10 heures, le reste dépends de mon agenda. J’ai parfois du temps libre, quand je n’en ai pas il arrive que je m’en fasse. Les réunions tardives, les vidéos conférences avec l’étranger, ça m’arrive de les annuler, juste pour le plaisir de sortir, celui de renouer, dans les limites du raisonnable (puisque c’est ce que je dois être), avec mon passé, le temps d’une soirée. J’étais un fêtard, et j’ai encore beaucoup de contact dans le monde de la nuit, plus que n’aimerait l’admettre mon attaché de presse.
✤ Manies, habitudes & goûts Vegan depuis quelques années, moins par conviction que pour son image. Exercer un contrôle aussi poussé sur son alimentation lui parait également être un bon exercice de discipline corporel et  mental. Il n’a pas de tics apparents, si ce n’est qu’il est pratiquement greffé à son blackberry, en journée en tout cas.
✤ Convictions La révélation, ça nous a permis de mettre un nom sur la drogue que quelques malins nous refilait déjà dans la haute société, le V. Ca a permis d’expliquer l’inexplicable. Depuis qu’il est de notoriété public que le surnaturel est parmi nous je trouve que le monde tourne beaucoup plus rond. Même s’il faut bien l’avouer, l’humanité s’est trouvé un super bouc émissaire. Personnellement je ne fais pas de différence, mon assistante est une louve garou, mon comptable un médium pourvu d’une formidable, quoiqu’un peu inquiétante mémoire, et le service de nuit embauche quelques vampires. Notre service de sécurité permet même d’embaucher des CESS.
La révélation a permis à l’entreprise de se développer au-delà des espérances de mon père. C’est une bénédiction, lucrativement parlant. Mais se serait cynique de le voir comme ça. Disons qu’elle ouvre de nouvelles perspectives, et si les gens cessaient de se comporter comme des moutons de panurges, ne réfléchissant que par leur peur, ils pourraient s’en rendre compte. Mais vendre de la peur c’est ce qu’adore faire les médias, c’est comme ça qu’on élit de nouveaux politiciens aussi véreux que les anciens et c’est comme ça que l’entreprise familiale a quasiment quintuplé son chiffre d’affaire en seulement quatre ans.

✤ Signes particuliersUn tatouage magique, celui de Zmeï un dragon de la mythologie slave. Aux têtes multiples il est l'ennemi des dieux et celui face à qui se retrouvent ceux qui tentent de m'imposer leur volonté ou de pénétrer mon esprit. Le dragon envahit alors le leur pour mieux les expulser. Il contre également les illusions. Je suis en fait immunisé sur le plan psychique grâce à lui.

Prélude
CHOIX DANTESQUE Inventé ou pv ça dépends du point de vuePSEUDONYME bosieRUMEURS J'aime bien les chats. Neil Gaiman. Et les licornes. Un peu. SESAME Et bien, il ne manque que le thème musical de Dracula prince des ténèbres et je crois qu'on pourra pour commencer LE VENT D'EST par un chat, un renard et une marmotte DECLARATION L'hémoragie de tes désirs s'est éclipsée sous l'azur bleu dérisoire du temps qui se passe contre duquel on ne peut rien.TROMBINE Danila Kozlovsky



Dernière édition par Mikhaïl B. Orwell le 24/8/2014, 23:19, édité 8 fois
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MessageSujet: Re: Mikhaïl - I'm not living, I'm just killing time.   Mikhaïl - I'm not living, I'm just killing time. Icon_minitime14/8/2014, 01:30

Ticket for Pandemonium
C’est ce que j’ai toujours souhaité, être au sommet de la colline. Shreveport n’est pas New York, mais je fais avec. Et puis, il est apparemment hors de question de relocaliser l’entreprise. Le prénom de mon frère a déjà été effacé de la porte du bureau. Comme toute trace de son passage, ses reproductions de Don Eddy remplacé par un original de Ronald Ventura et des photographies d’Alexey Titarenko. J’avais méthodiquement annihilé toute trace du passage de mon frère, remplacé ce qui devait l’être avec un zèle que je masquais efficacement. Je n’avais pas l’autorisation de jubiler en public. Mais ici, installé confortablement dans mon fauteuil de président directeur général, je pouvais jubiler. Sabrer le champagne, sortir les confettis, organiser la plus grosse et la plus indécentes des fêtes. Mais je n’en fis rien. Je n’en avais même pas envie. Ma haine et ma rancœur s’étaient envolées au moment où j’avais été nommé à la tête du groupe. C’est toujours plus facile de pardonner au perdant.
A la place  je jetais un œil à mon agenda  déjà saturé, à mes mails urgents. Mon temps dont je ne savais quoi faire quelques temps auparavant, était aujourd’hui précieux, compartimenté entre rendez-vous, réunions, conférences, sur des semaines à l’avance. C’était oppressant. Et rassurant. J’avais moins de temps à gâcher. C’était sans doute ça l’essence du travail, pouvoir savourer son temps libre. C’est Hegel qui le disait, Le travail est désir refréné, disparition retardée : le travail forme. Elle m’avait paru stupide à l’époque aujourd’hui je la comprends, je la contextualise, parce que ce travail je l’ai voulu et que j’adore être occupé. J’aime surtout le fait d’avoir mes pensées occupés, l’ennui est chez moi un trop gros problème.

Mon téléphone portable sonne, je me redresse, décollant mes yeux de l’écran d’ordinateur pour venir décrocher face à la baie vitrée, Shreveport s’étends sous mon regard alors que je décroche. C’est un membre du conseil d’administration, ça n’arrête pas depuis ce matin, les félicitations, les rappels de la prochaine réunion, comme s’ils craignaient soudain que le noceur en moi se réveille, ne ruine tout ce que j’avais accomplis jusque-là. Je me montre poli à défaut d’être sympathique, j’ai le poste, et j’ai récupéré la majorité des parts, je ne suis plus obligé de l’être. Pas avec lui en tout cas, qui semble songer qu’un privilège de l’âge existe et qu’il se doit de me faire profiter de sa science. Je le laisse parler, il doit adorer le son de sa voix.
Quelques coups sont frappés à la porte, je tourne à demi la tête, je savais que c’était Tamsin avant de la voir, je lève ma main pour lui signaler d’attendre et fait des ronds de poignets pour lui indiquer que ça n’en finit pas, elle dépose sur mon bureau un dossier, épais comme un annuaire. Et décide de couper net les élucubrations de mon interlocuteur. « Merci pour votre appel, je ne voudrais surtout pas vous retenir plus longtemps. Nous nous verrons au prochain CA. Au revoir. » Et raccrochait sans attendre de réponse. Tamsin sourit légèrement mais ne fit aucune remarque.

Ce dossier était censé être mon grand projet, c’était en réalité le nôtre. Depuis la révélation et toutes les polémiques qu’elle suscitait, les ventes de systèmes de sécurité explosaient. Nous en proposions de nouveaux, lampes UV, filet en argent, location de service de sécurité CESS également. Tout pour assurer la sécurité de tout le monde, contre tout le monde. Nous avions sciemment éventé le dossier et les pré commandes étaient déjà saturées. J’étais invité le soir même dans un débat pour une chaîne locale. « Ton itinéraire est arrangé, CNN a organisé un débat, Ellen Degeneres a fait une demande et Jimmy Fallon te recevra. Un biographe a également demandé l’autorisation de raconter ton parcours, j’ai accepté avec droit de regard. » Elle ne me vouvoyait qu’en public, et cela me paraissait toujours sonner étrangement. « Si il y’a un Biopic, je veux que Fincher le réalise, si il a réussi à humaniser Zuckerberg, il peut probablement tout faire. » Tout avait été si simple, je réalise à peine. « Tu es un cas qui pourrait intéresser Uwe Boll. » Ce genre de référence dans sa bouche me parait si déplacé que je me surprends à rire « Autant mettre le feu à la compagnie. ». Je reprends place dans le fauteuil et tire le dossier  à moi, comme si c’était là un signal, Tamsin quitte le bureau me permettant de me plonger tout entier dans la lecture de celui-ci.

Because I was reserved, they said I was sly, so I grew reticent. I was keenly aware of good and evil, but instead of being indulged I was insulted and so I became spiteful. I was sulky while other children were merry and talkative, but though I felt superior to them I was considered inferior. So I grew envious. I was ready to love the whole world, but no one understood me, and I learned to hate. My cheerless youth passed in conflict with myself and society, and fearing ridicule I buried my finest feelings deep in my heart, and there they died. I spoke the truth, but nobody believed me, so I began to practice duplicity.  # Mikhail Lermontov

Une histoire de dingue


Les gens sous-estiment beaucoup trop la misère des riches. Vous pensez que c’est parce qu’on possède un yatch qu’on n’a pas de problème ? Mais messieurs dames, vous chiez dans l’eau potable pendant que des gens crèvent de soif. Les riches organisent des galas de charité pour envoyer de l’argent, déductible des impôts, certes, mais ça c’est qu’un détail. Un détail auquel vous vous accrochez par cynisme. Juger quelqu’un sur sa classe sociale, y déposer un jugement de valeur, positif ou négatif est stupide.
Mais notre monde est cynique, l’argent rends cynique. Peu importe votre classe social, peu importe même que vous en ayez. L’argent fait vendre des pères, trahir des mères, tuer des frères. Plus que l’argent c’est le pouvoir qu’il confère qui fait tourner les têtes. Un banquier de Wall Street possède le monde il réalise des transactions dont le chiffre dépasse très largement le PIB de certains pays d’Afrique. Je vois d’ici les optimistes, sauver le monde, on ne sauve pas le monde avec des bouts de papiers. Bande d’idiots. On le sauve avec de l’empathie. Il n’y aura jamais d’égalité, parce que l’humanité n’en veut pas.
On est pétri de pulsions, bonnes et mauvaises. Penser que répartir les richesses peut améliorer le monde c’est mal connaître l’humain. Il y’aura toujours une pression sociale, le besoin de faibles et de forts, de victimes et conquérants. A moins de vivre dans une utopie aseptisée et chiante.

Ce n’est pas de l’amertume, je ne suis pas, ou du moins plus, quelqu’un d’amer. C’est simplement épuisant de devoir justifier la moindre de ses actions, être un personnage médiatique, c’est devoir garder un contrôle absolu sur sa vie. Avoir de l’argent semble vous faire perdre le droit à disposer de votre image. Parce qu’une fois encore un torchon s’est permis d’afficher des photos volées de moi. Moi, Mikhail Bartholomew Orwell. Oui. Comme l’auteur. (Tout juste un lointain parent, quand les siens ont décidé de partir en Inde vivre aux frais des colonies, mes ancêtres ont décidé de tenter leur chance aux Etats Unis.)
Classé parmi les célibataires les plus en vue par Forbes, j’ai multiplié les scandales avec plus de régularité que Miley Cyrus, et voilà que ressortent encore des photos, celle affichée à la une de Us Weekly doit bien avoir cinq ans, un peu plus peut être. On m’y voit probablement ivre ou défoncé, ou les deux, cogner sur ce qui semble être un représentant de l’ordre. La Une titre, Big Brother is kicking you. Foutus journalistes, foutu nom.
Mon business, c’est la sécurité, Orwell Security, ça sonne comme une blague, mais c’est l’affaire familiale. Nos systèmes sont partout, on fait partie des leaders du marché. Nos services sont diversifiés, prisons, villa, banque, particulier ou  Emirats. On est les meilleurs, parce qu’on est les pires, souvent à l’extrême limite de la légalité, on propose tout ce qui se fait, et pour plus, tout ce qui ne se fait pas.
En toute discrétion bien entendu. Nos systèmes sont à la pointe de l’innovation, vampires, loups, cambrioleurs ou hackers, on travaille sur tous les domaines. On mange à tous les râteliers, disent nos détracteurs, ils n’ont pas tort.

Vous vous demandez comment un ancien camé, même friqué, a pu se retrouver à la tête d’une grosse compagnie. La réponse est simple et compliquée à la fois. En fait, elle pourrait se résumer en un prénom. Tamsin.
Tamsin c’est le genre de nana qui rentre dans votre vie, la chamboule, la démonte, la flambe. Elle a surgit un jour, a ouvert les volets et pendu un costume flambant neuf. Je sentais mon cerveau pulser contre ma boîte crânienne, le regard trouble je l’observais s’activer. Avec une force que ne laissait pas supposer sa stature elle m’a redressé. Automate docile et incrédule, déchiré surtout. C’est le jet glacé de la douche qui m’a fait réaliser que tout ceci n’était pas un songe tordu.

Elle ne m’était pas complétement inconnue, j’aurai bien été infoutu de me remémorer son prénom, mais elle gravitait autour de mon frère, donc dans l’entreprise familiale.

Remettons les choses dans leur contexte. Mon frère, Simon, avait quinze ans de plus que moi, c’était clair pour tout le monde qu’il reprendrait l’entreprise, et c’est ce qui est arrivé. Si ce n’était pas un abruti condescendant et pourvu d’une ambition démesurée, il aurait même pu vivre un peu plus longtemps pour en profiter. Toujours est-il que j’étais le petit dernier, chouchouté par maman, encouragé par papa. Haït par frérot. Ah et maman, n’était pas la sienne, il n’a jamais pu supporter le divorce. Sa mère non plus, puisqu’elle a fini au bout d’une corde.
J’étais meilleurs que lui, à toutes les étapes de ma vie j’ai été meilleur que lui, j’ai marché plus tôt, parlé plus tôt, appris à lire plus tôt, j’ai même baisé plus tôt. Il détestait le sport, j’ai été quaterback, il méprisait les fêtards, à seize je tournais déjà à la coke, il oubliait sa femme, elle s’est rappelée de moi. On était incompatible, ensemble dans une pièce et c’était l’explosion assurée. La guerre était froide, jusqu’à ce qu’on en vienne aux mains. En fait, jusqu’à ce que je lui fracasse le nez.  
La place qui aurait dû me revenir à ma majorité fut remise en question puis annulée à la mort de notre père. Ma mère, seconde épouse, ne put s’y opposer, je le lui ai interdit. Il n’attendait que ça pour l’évincer elle aussi. Simon n’avait jamais supporté que notre père se remarie. Yelena était jeune, Russe et bien que sortant de Berkley il l’a toujours vu comme une dinde. Elle n’a jamais non plus essayé de se faire accepter, Yelena n’aime pas user son énergie pour des combats perdus d’avance.
Très attaché à son pays natal, nous partions au moins une fois par an, nous partions en Russie. Rossiya-Matushka, la mère Russie, je m’y sens aussi à l’aise qu’aux Etats Unis. Mais je me sens toujours parfaitement à l’aise partout. Ma mère me parlait en russe parce qu’elle trouvait ça important, mais surtout parce que les russes sont extrêmement nationalistes encore plus quand ils sont friqués et proche du pouvoir. Mais ça, j’évite de le lui faire remarquer, parce que j’aime pas non plus user mon énergie pour rien.

Mon frère, donc, devenu directeur, avait décidé de s’embaucher une assistance, sans doute parce qu’il se prenait pour un Mad Men, surement parce qu’il avait toujours été infoutu de faire les choses par lui-même. Ces entretiens avaient des allures de castings, les sélectionnées l’avaient été plus pour plus plastique que leur CV, il faut dire qu’il en était déjà à son troisième mariage.
C’était là que je l’avais vu, Tamsin, elle était l’assistante de Simon, son ombre quasiment. L’idée que mon frère ait envoyé sa pute me réveiller m’aurait bien fait bondir si j’en avais eu la capacité physique. Pour tous ceux déjà prêts à bondir sur l’appellation, sachez que j’ai fait depuis mon mea culpa. Tamsin n’est pas une pute. C’est un mac.
Tamsin fut la panacée de mon existence, elle m’envoya en Russie me mettre au vert un temps, me faire oublier en fait. Elle-même ouvrit la voie pour des partenariats dont mon frère n’osait pas rêver et m’en a accordé tout le crédit. L’internationalisation de l’entreprise devint de mon fait. Je me contentais de me pointer dans des bureaux, d’échanger quelques mots tout était déjà prêt, j’avais la vague impression d’être un animal de cirque, inconscient de ses actions mais les exécutant à la perfection pour la récompense. Et quelle récompense ! Ma réinsertion dans l’entreprise et dans le monde. Pendant quasiment un an, j’ai été son pantin consentant, elle tirait adroitement les ficelles. Du paria, je devins le messie d’Orwell Corp. Lorsque Simon soupçonna son assistante d’une affiliation il était déjà trop tard, le conseil d’administration jugeant sa présidence médiocre finit par voter son éviction, profitant de la perte d’un gros client dont le système de sécurité s’était avéré complétement inefficace. A vouloir vendre des parts, il avait perdu depuis longtemps la majorité sur l’entreprise. Majorité que je rachetais sans problème avec mon élection.

Je ne prétendrai jamais avoir compris les affaires de Tamsin, je savais que l’entreprise servait d’écran de fumée à des opérations clandestines, mais je fermais volontiers les yeux. Déjà parce que je m’en moquais et ensuite, parce qu’elle pouvait être terrifiante. Les circonstances de la mort de Simon, m’ont toujours semblé être un avertissement. Son éviction l’avait rendu amer et revanchard, il s’était mis à fouiner, trop peut-être. Poignardé en pleine rue, on l’avait dépouillé de son portefeuille, de sa rolex et des clefs de sa Ferrari. Je ne croyais plus au hasard. Je n’ai pourtant jamais évoqué le sujet, le message était assez clair pour que je me passe de sarcasme. Ses affaires et les miennes, la séparation était claire, lorsqu’elles se rejoignaient nous nous accordions.
Je ne peux pas dire que j’ai pleuré la mort de mon demi-frère, j’ai été tout au plus surpris. Lorsque je dus prendre la parole à ses funérailles, c’est affublé de lunette de soleil cachant mon regard sec et parfaitement reposé. L’oraison était un véritable panégyrique rédigé par Tamsin, assise au premier rang impeccable dans le rôle de la jeune assistante éplorée.

Avant Tamsin, j’étais une loque, un être pathétique persuadé de sa supériorité intellectuelle, prenant mon cynisme pour la vérité, mon sarcasme pour de l’intelligence et assez de drogue pour fuir la réalité. Ma jeunesse flétrie s’écoula au milieu d’une lutte entre la société et moi. J’éprouve pas pour elle de reconnaissance, ce n’est pas de l’ingratitude. Elle ne m’a pas sorti de mon trou par bonté d’âme, parce que je suis un pion dans son vaste échiquier.

Peut-être un fou, soyons orgueilleux.

J’ai commencé la coke à seize ans, mais ça n’a rien de surprenant, chez la jeunesse dorée la coke se chope plus facilement que le sida en Afrique subsaharienne. La coke ça permet de se sentir comme le roi du monde, ça décuple l’ego, centuple l’estime de soi, mais ce rien comparé  au V. Le V, c’est la coke en plus puissant, vous vous sentez invulnérables et vous le devenez, un peu. Assez pour participer à des combats, parce que quand on a de l’argent et trop de temps, on a tendance à faire n’importe quoi. On ne retenait pas nos coups, mais on s’en foutait, le V nous dopait suffisamment pour qu’on ne sente plus rien. Il ressoudait nos os et effaçait nos bleus assez rapidement pour qu’on puisse réapparaitre en bonne société comme si de rien n’était. C’était le petit secret, le fight club de Berkley.
L’Université était un passe-temps, je refusais de penser à l’avenir, je m’en foutais, comme un punk trop riche pour crier no futur. Alors j’entrais dans les amphis écoutant les types déblatérer, déblatérer, toute la journée. Ce qu’ils peuvent aimer s’écouter ceux-là. J’observais avec condescendance mes condisciples gratter des tonnes de papiers et se shooter au redbull avant les partiels. Je passais toujours  je n’ai échoué à aucun semestre, sans résultat faramineux, je me contentais du strict minimum, la fac c’était une croisière, remplies de fêtes, d’insouciance, le plus dure ça a été l’amarrage. La liberté totale octroyée après l’obtention de son diplôme. L’angoisse de devenir un adulte, l’angoisse de devoir trouver quelque chose à faire de ma vie. Puis l’évidence s’imposa, je ne ferai rien, je n’avais envie de rien faire, et assez d’argent pour le pouvoir.
Vous réalisez que dans notre monde, il faut de l’argent, pour avoir le droit de rien faire ?

J’avais des propositions de job, mais je n’en voulais pas, rentier, parasite, voilà un statut qui me convenait. J’ai voyagé, beaucoup, j’étais de tous les événements, de tous les scandales aussi. J’étais bien décidé à cramer la vie, mon cynisme était un pathétique moyen  de me donner contenance.
En réalité, j’étais terrifié. Ma dépendance m’apparaissait de plus en plus, rien ne m’amusait vraiment, pourtant je continuais de sortir, d’organiser des fêtes monstrueuses, même le fait de savoir que ça emmerdait profondément Simon n’était plus assez motivant. J’étais entré trop profondément dans ce personnage que j’en oubliais d’être moi-même. Comme un cadre moyen enfile son costume mal taillé pour aller faire ses huit heures, chaque soir je sortais, chaque fois je rentrais déchiré ponctuellement avec une compagnie que je m’empressais d’oublier. Ma vie sentimentale était un désert, l’idée de me fixer me collait un ulcère, devoir partager mon quotidien et mes névroses, et pire partager celle d’un autre être humain. Je tenais trop à mon pseudo malheur pour laisser quelqu’un tenter de me le faire oublier. Les voir seulement essayer m’agaçait.
J’étais un foutu cliché, je m’y conformais avec soin, comme si je ne voulais surtout pas détromper mon frère.
Même ma mère commençait à me traiter froidement, ce qui l’avait au début amusé, aujourd’hui l’agaçait. Je gâchais mon potentiel, et ce n’était pas les opportunités qui manquaient. Mais j’étais un gamin capricieux, et je voulais ce que je ne pouvais avoir. Ce qui me revenait de droit, persuadé que j’étais que je ferai un travail bien meilleurs alors que j’ignorais même le sens du mot travail.

C’est à ce stade de ma vie, qu’elle m’a trouvé, je m’étais déjà plus ou moins résolu à crever d’overdose ou sous les crocs d’un quelconque longues dents. Les consommateurs de V, devenaient des cibles privilégiées d’attaques et nos fêtes décadentes attiraient de plus en plus d’invités, séduits par l’idée de victimes consentantes. C’est une période malsaine, à laquelle je n’aime pas beaucoup penser, j’étais dans un état second la moitié du temps, donc fort heureusement mes souvenirs se mêlent à mes délires hallucinés, je n’ai donc que peu de matière à ruminer.

Quelle déception pour la presse spécialisée, pour mes détracteurs, pour mon frère, de me voir remonter la pente, de me voir récolter les lauriers de marchés que je comprenais à peine. Je me plongeais dans les livres de sciences des marchés théoriques que j’avais boudés des années plus tôt, j’acceptais même un stage dans l’entreprise d’une tante spécialisé dans le marché du luxe, simplement pour me faire la main. Ne vous figurez pas que je suis devenu un citoyen modèle, je le parais seulement. J’ai diminué le cynisme mais accru le sarcasme, j’ai abandonné la suffisance pour une confiance inébranlable. Pourtant, colosse aux pieds d’argiles, je sais que tout ce que j’ai, je le dois à une autre et j’ai une conscience aigüe du fait qu’elle pourrait également tout reprendre. Mon ego n’est pas celui de mon frère, il peut supporter les critiques et même de savoir que ma réussite ne m’est pas dû.
Sauf quand des torchons médiatiques m’affichent en première page, remémorant mon passé chargé à la veille d’une importante signature avec le ministère de la défense. Mon passé je l’assume, vivre dans le déni serait complétement ridicule, et puis tout n’était pas complétement noir, tout n’était pas que glauque, mais je ne regrette rien, ce n’est pas dans mon tempérament de me morfondre.  Et puis… depuis appris que les actes avaient des conséquences, et aujourd’hui je me dois de penser pour l’entreprise, mes actions ont des répercussions. Ma ligne de conduite n’est pourtant pas toujours complétement impeccable, je suis un être humain.

Curieusement, mon brutal changement de cap est appréçié, je suis devenu très médiatique, régulièrement j’ai le droit à des interviews, invité dans des talk-shows, parfois comme expert sécurité, parfois pour mon histoire, parfois pour des débats. C’était moins pour le fond, que pour la forme, je passe bien à l’écran, l’image fantasmé du voyou repenti. Je ne me fais aucune illusion sur ce système et c’est bon pour l’entreprise, alors je me prête volontiers au jeu.

La compagnie gagnerait en prestige si jamais le ministère de la défense décidait de s’allier à nous. Il espérait aussi sans doute, que notre bonne image redore un peu la leur, en berne depuis quelques temps.
Et aussi, Tamsin y compte beaucoup. J’évite de poser des questions au sujet de ses affaires, je sais qu’elles n’ont rien de légale, et à vrai dire en savoir le strict minimum m’assure une certaine tranquillité d’esprit. Et même si nos rapports sont plutôt cordiaux, complice parfois, je n’oublie pas qu’au moindre faux pas, entente ou pas, un accident peut très rapidement m’arriver. Personne n’est irremplaçable, même si, sans fausse modestie, pour retrouver ma cote de popularité elle allait devoir faire très fort.
Et elle trouvera difficilement plus coopératif, je suis briefé et elle m’a même pimpé. Oui, Tamsin m’a fait tatouer.  
Un matin, peu après ma prise de fonction, Tamsin a débarqué à l’aube. C’est plutôt rare, mais lorsque ça arrive, inutile d’essayer de rabattre la couverture, de prétendre être malade ou tout autre subterfuge enfantin. Les douches glacées c’est lassant, et puis même si mon ego est en acier, se faire tirer du lit par un poids plume d’un mètre soixante-cinq, littéralement tirer du lit, ça finit par devenir vexant.
Un matin donc, elle m’a trainé à l’extérieur de la ville jusqu’à un camp fait de bric et surtout de broc. Elle me conduisit à un homme, dont la peau était si parcheminé qu’il avait des allures de momie. Elle le connaissait visiblement bien, il parlait avec un fort accent slave et ne me jeta un regard que lorsqu’elle expliqua, enfin, les raisons de notre venue. C’était un tatoueur, un tatoueur d’un genre particulier, lui-même en était recouvert, ils étaient étonnamment vifs sur sa peau délavé, des tatouages magiques sans aucun doute. Elle voulait me tatouer, pendant un court instant je me sentis comme un labrador.
C’était une sécurité, me dit-elle, m’immuniser sur le plan psychique, pour éviter que quiconque ne s’infiltre dans mon esprit, une sécurité pour elle et son culte du secret, et un avantage non négligeable pour moi. Le vieux gitan me demanda de réfléchir à un symbole assez puissant pour repousser les intrusions.
Je n’avais aucune idée, je savais juste que s’il essayait de me tatouer un tribal autour du biceps, magie ou pas, je l’éviscérais. Après un temps certains à réfléchir, assez pour que Tamsin se mette à feuilleter un magazine. Choisir un tatouage, c’est choisir quelque chose qui fera partie définitivement de vous.
Mon choix se porta finalement sur un élément de ma culturelle maternelle, Zmeï, le dragon aux têtes innombrables, l’ennemi des dieux, il servit d’araire pour limiter, le ciel, la terre et les enfers, puis fut relégué au dernier. Le tatoueur approuva appréciateur, le sourire de Tamsin laissait sous-entendre tous un tas de réflexion qu’elle s’abstint pourtant de faire. Ainsi s’acheva ma transformation, dans l’encre et le sang, ou plus justement, dans la crème et la cellophane.

Le reste de mon histoire n’est fait que de réceptions, de conseils d’administrations, de voyages d’affaires et de conférence de presse, de décisions sur la politique de l’entreprise pas toujours simple. Lorsque les humains d’abord ont fait leur apparition, il a fallu prendre une décision, jouer la politique de l’autruche ou assumer une position. J’assumais la mienne, celle qui convenait le mieux à l’image moderne et bienveillante que voulait donner l’entreprise, c’est en pure démagogue que je condamnais ferment les attaques et louait l’entente entre tous. En réalité je m’en moquais, je suis un paralytique moral, je n’étais pas pour entendons-nous bien, mais il y aurait toujours des fanatiques, tuez ceux-là, ils deviendront des martyrs, démonté les médiatiquement, ils le seront tout autant, un membre du conseil vint plus tard tempérer ma condamnation, arguant comprendre la peur que pouvait engendrer le surnaturel, notre discours bien rodé nous permis d’en venir à la conclusion souhaité, une nouvelle gamme de système de sécurité plus performant, pour tout le particulier, pour le CESS, contre le CESS, l’important étant de pouvoir se protéger, n’est-ce pas ? Plus cher aussi. Mais on n’a rien sans rien.
On est des marchands de peur, c’est elle qui contribue à créer et proposer des services de plus en plus élaboré, et comme les meilleures défenses est parfois l’attaque à développer également des armes. Toutes mes pensées me ramenaient sans cesse à ce foutu contrat. Si on perdait ce contrat, le gouvernement risquait tout de même de s’immiscer dans nos affaires. Et nous serions sans doute obligé de collaborer avec la concurrence, ça faisait beaucoup de paramètres que je refusais même d’imaginer.

Ce contrat on le gagna, les négociations furent longues, mais Orwell Security travaillait dorénavant avec le gouvernement. Nous étions parvenus à conserver une liberté d’action totale ou peu s’en faut, mais tout contrat à ses failles. Et nos experts juridiques sont les meilleurs.

Si vous voulez en savoir plus, internet vous dira tout et son contraire, et si vous vous ennuyez vraiment un des calles tables écrit par des gens qui doivent visiblement pas mal s’emmerder dans leur vie doivent se trouver dans toutes les bonnes et mauvaises librairies.


En bref.

21/07/1985 : naissance
1996 : dégradation des rapports avec son frère
1999 : mort de son père, son frère qui a repris la tête de l’entreprise, lui ôte tout droit de succession. Début de la déchéance.
2002 : overdose, devient un personnage public
2007 : obtention de son diplôme en science économique à Berkley
2009 : Rencontre avec Tamsin, elle l’envoie en Russie, il travaille pour sa famille maternelle.
2011 : sa cote de popularité remonte auprès du CA de l’entreprise, il réalise quelques marchés avantageux au titre de consultant
2012 : Son frère est exclu par le CA, Mikhail devient le PDG, d’Orwell Security. Tamsin lui fait rencontrer un tatoueur dont les œuvres ont des propriétés magiques. Il obtient une protection au plan psychique.
2013 : l’entreprise s’est développé en proposant des nouveaux systèmes de sécurité pour les CESS et contre eux.
2014 : Orwell Security signe un contrat avec le gouvernement



Dernière édition par Mikhaïl B. Orwell le 24/8/2014, 23:20, édité 6 fois
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MessageSujet: Re: Mikhaïl - I'm not living, I'm just killing time.   Mikhaïl - I'm not living, I'm just killing time. Icon_minitime14/8/2014, 01:33

Hm, et en plus il est HOT.

(re)Bienvenue officielle, Tamouille. Tu m'as manquée :05:
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MessageSujet: Re: Mikhaïl - I'm not living, I'm just killing time.   Mikhaïl - I'm not living, I'm just killing time. Icon_minitime14/8/2014, 02:30

Citation :
Les gens sous-estiment beaucoup trop la misère des riches. Vous pensez que c’est parce qu’on possède un yatch qu’on n’a pas de problème ? Mais messieurs dames, vous chiez dans l’eau potable pendant que des gens crèvent de soif. Les riches organisent des galas de charité pour envoyer de l’argent, déductible des impôts, certes, mais ça c’est qu’un détail. Un détail auquel vous vous accrochez par cynisme. Jugé quelqu’un sur sa classe sociale, y déposer un jugement de valeur, positif ou négatif est stupide.

RRRRRRRRRRRRRRRRR

Tamsin elle a dit que e devais bien m'occuper de toi, et que tu devais être sage bizaro
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MessageSujet: Re: Mikhaïl - I'm not living, I'm just killing time.   Mikhaïl - I'm not living, I'm just killing time. Icon_minitime14/8/2014, 11:20

Merci Shasha, cette fois-ci, on rp !

Rhys : si je te vois, je tire à vue OO
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MessageSujet: Re: Mikhaïl - I'm not living, I'm just killing time.   Mikhaïl - I'm not living, I'm just killing time. Icon_minitime14/8/2014, 12:12

Rebienvenue parmi nous apparemment coucou (même si j'ai un peu de mal à savoir qui tu étais avant... golmut lol)
Bon courage pour la suite de ta fiche ! ^^
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MessageSujet: Re: Mikhaïl - I'm not living, I'm just killing time.   Mikhaïl - I'm not living, I'm just killing time. Icon_minitime14/8/2014, 12:25

Merci !

J'ai pas fait un passage très remarqué c'est normal que tu me remettes pas, faute de temps j'ai pas pu vraiment m'investir dans le forum.

Cette fois-ci par contre :D
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MessageSujet: Re: Mikhaïl - I'm not living, I'm just killing time.   Mikhaïl - I'm not living, I'm just killing time. Icon_minitime14/8/2014, 13:22

Re bienvenue alors x3
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MessageSujet: Re: Mikhaïl - I'm not living, I'm just killing time.   Mikhaïl - I'm not living, I'm just killing time. Icon_minitime14/8/2014, 13:26

Re-bienvenu parmi nous ! Bon courage pour la suite de ta fiche
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MessageSujet: Re: Mikhaïl - I'm not living, I'm just killing time.   Mikhaïl - I'm not living, I'm just killing time. Icon_minitime14/8/2014, 14:09

Bienvenue, bonne chance avec la fichette
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MessageSujet: Re: Mikhaïl - I'm not living, I'm just killing time.   Mikhaïl - I'm not living, I'm just killing time. Icon_minitime15/8/2014, 00:00

J'allais dire "Tiens c'est pas Princesse Tamtam au cul rosé qui t'a ramené ici ?" et puis en fait...

T'es carrément moins bonne mais j'm'y ferai.
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MessageSujet: Re: Mikhaïl - I'm not living, I'm just killing time.   Mikhaïl - I'm not living, I'm just killing time. Icon_minitime15/8/2014, 07:46

Vinz : ton glamour m'avait cruellement manqué ! Mais je suis très déçue que tu me trouves moins bonne ! J'aurai pas du couper mes cheveux aussi courts !

Merci tout le monde pour les petits messages !
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MessageSujet: Re: Mikhaïl - I'm not living, I'm just killing time.   Mikhaïl - I'm not living, I'm just killing time. Icon_minitime15/8/2014, 11:42

T'as transféré la longueur ailleurs et c'est ça qui me gêne. fuck
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MessageSujet: Re: Mikhaïl - I'm not living, I'm just killing time.   Mikhaïl - I'm not living, I'm just killing time. Icon_minitime15/8/2014, 13:19

bizaro
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MessageSujet: Re: Mikhaïl - I'm not living, I'm just killing time.   Mikhaïl - I'm not living, I'm just killing time. Icon_minitime15/8/2014, 13:43

loosers02 
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MessageSujet: Re: Mikhaïl - I'm not living, I'm just killing time.   Mikhaïl - I'm not living, I'm just killing time. Icon_minitime22/8/2014, 22:42

Oh, c'est cool de te revoir !
Et puis ce personnage a l'air d'avoir des perspectives intéressantes.
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MessageSujet: Re: Mikhaïl - I'm not living, I'm just killing time.   Mikhaïl - I'm not living, I'm just killing time. Icon_minitime23/8/2014, 19:22

Au plaisir de cette fois-ci se rencontrer en RP !

Ma fiche est (enfin) terminée, sorry pour le délais, j'ai mal géré mon temps !

Je la livre aux fauves !

 superman 
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MessageSujet: Re: Mikhaïl - I'm not living, I'm just killing time.   Mikhaïl - I'm not living, I'm just killing time. Icon_minitime24/8/2014, 07:38

ROARRRR

bizaro
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MessageSujet: Re: Mikhaïl - I'm not living, I'm just killing time.   Mikhaïl - I'm not living, I'm just killing time. Icon_minitime24/8/2014, 10:06

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Iris Isengard
 

SIGNALEMENT : L'innocence perdue
HABILITIES : Elémentaliste Terre spécialité guérison et protection
OFFICE : Palfrenière
SERENADE : Bastille - Oblivoin ~Believe in fearies - The Celtic Harmony

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SOBRIQUET : Arwana
MISSIVES : 666
ACTE DE PROPRIETE : Bazzart

 
Iris Isengard
ADMIN ♠ Ah ! Une main sur moi !


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MessageSujet: Re: Mikhaïl - I'm not living, I'm just killing time.   Mikhaïl - I'm not living, I'm just killing time. Icon_minitime24/8/2014, 10:59

Haaaaaaaaaaan mais quelle honte jme suis pas manifestée ici ! je croyais mais non c'était que sur la CB
REVIENVENUEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEE

*balance Tasmounette dans des ronces!!*
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Gwendoline Wright
 
In my head I’m losing ; For sanity I’m begging

SIGNALEMENT : ton pire cauchemar
« Plains ceux qui ont peur car ils créent leurs propres terreurs. » ; -La ligne verte- ; Stephen King
INFORMATIONS CONFIDENTIELLES
SOBRIQUET : Gedauphin
MISSIVES : 1504
ACTE DE PROPRIETE : Marley Smith ; Klainerofthemoon ; Max Brooks

Tu perds la tête, tu déménages, tu travailles du chapeau, tu as les méninges en accordéon, tu as une araignée au plafond, tu as le timbre fêlé, tu ondules de la toiture, tu es bon pour le cabanon. Ou, tout simplement : tu deviens fou. ; Stephen King
 
Gwendoline Wright
ADMIN ; Don't touch me ; I don't want to feel your body


Black Moon
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MessageSujet: Re: Mikhaïl - I'm not living, I'm just killing time.   Mikhaïl - I'm not living, I'm just killing time. Icon_minitime24/8/2014, 20:47

Je m'occupe de lire ta fiche !

Welcome
Je suis là pour te guider

Tout d'abord, je te souhaites la bienvenue sur Drag me to Hell de la part de toute l'équipe administrative.
Ensuite, maintenant que ta fiche est achevée, je viens la modérer pour la validation.



; Étant en 2015 sur le forum, Mikhaïl aurait 35 ou serait né un an avant.

; « La différence sociale est pour lui une plaisanterie de mauvais goût. » c'est bien :05:
; « Son absence de pouvoir est une sorte de vexation et la magie une inquiétude certaine » je t'échange mon pouvoir contre ton non pouvoir n'importe quand !
; « Mais vendre de la peur c’est ce qu’adore faire les médias, » je devrais être superstar en fait !

N'oublie pas de modifier la date de naissance ou l'âge ! Bon jeu sur le forum :dédé:
J'ai le bonheur de t'annoncer
que tu es validé !
Toutes mes félicitations !






Maintenant que tu fais partie des Dragibus de Drag Me To Hell, tu peux :

♣️ Te rendre dans une fois que tu es validé pour remplir quelques petits formulaires ;
♣️ Remplir ton profil ;
♣️ Demander à être parrainé si jamais tu te sens un peu perdu ;
♣️ Adhérer à un clan ;
♣️ Créer ta fiche relationnelle ;
♣️ Choisir de recenser ou non ton personnage comme étant un CESS ;
♣️ Demander un RP ;
♣️ Visiter le coin des sujets multijoueurs pour pimenter ton jeu.

PS : tu pourras demander un logement et créer une entreprise, en cas de besoin, lorsque tu auras deux mois d'ancienneté et trois RP achevés.


Il ne me reste plus qu'à te souhaiter un bon jeu sur Drag me to Hell.
Amuse-toi bien, et rappelle toi, que si tu as la moindre question nous serons toujours là pour y répondre.
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MessageSujet: Re: Mikhaïl - I'm not living, I'm just killing time.   Mikhaïl - I'm not living, I'm just killing time. Icon_minitime

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